"pour la gestation pour autrui car il n’y a peut être pas besoin de loi pour cela : il suffit de s’arranger entre amis et ami(e)s sans commercialisation bien entendu«
J’ignore ce qui me terrifie le plus dans cette phrase : qu’on puisse honnêtement penser que derrière tous ces projets »sociétaux« ne se profile pas fondamentalement la marchandisation de l’Homme lui-même ; ou qu’on puisse proposer de »s’arranger" entre amis avec un gamin, comme s’il s’agissait d’une bagnole ou d’un mixeur. Remarquez bien, dans les deux cas, on en revient toujours au même paradigme : la transformation de l’être humain en objet.
Je me contenterai ici de retranscrire un commentaire que j’ai posté sur un autre article traitant du même sujet (avec toujours les mêmes arguments faiblards, invoquant « l’Égalité » et le « Progrès »).
A nouveau on vient nous bassiner avec l’idéologie complètement folle des Prométhées du lobby LGBT. Ces gens-là imaginent très sérieusement que la Science (je mets une majuscule car il s’agit pour eux d’une authentique divinité qui, selon eux, sauvera le monde du Diable de la Réaction), main dans la main avec sa sœur la Loi, donnent à l’Homme la complète maîtrise, non seulement de la nature, mais aussi de sa nature, modifiable en fonction des caprices de tel ou tel groupe plus ou moins groupusculaires. A ce titre on notera d’ailleurs l’acharnement de EELV sur ces histoires de PMA/GPA, qui démontrent clairement que ces gens-là son à l’écologie ce que le steak tartare est au végétarisme.
Pauvres petits êtres pathétiques que ces hommes et ces femmes en
lutte contre un »ennemi« qui peut les balayer d’une pichenette, et qui a
d’ailleurs déjà commencé à le faire. Les études récentes (je pense par
exemple au professeur Urs Scherrer) montrent que les enfants fabriqués
par PMA/GPA souffrent de maladies et de faiblesses chroniques, dégradant
leur qualité de vie et impactant leur espérance de vie. La Nature est ainsi : quand on la viole, elle se venge.
De là, on peut faire le lien entre l’obsession »créatrice« de la GPA et de la PMA (qu’au passage on devrait interdire, y compris pour les couples hétérosexuels) et son pendant mortifère, l’avortement et l’euthanasie. L’enfant (ou le vieillard dans le dernier cas), l’Humain d’une manière générale, sont réduits à l’état de simples sacs de viande dont d’autres, au nom de leur force, décident de la vie et de la mort. Car j’entends d’ici l’argumentation du camp scientiste : ces »défauts« des enfants fabriqués seront progressivement corrigés, du fait des expérimentations en la matière. Les »défectueux" sont donc sacrifiés pour faire avancer la Science. Une divinité, écrivais-je plus haut.
Aussi bien peut-on se demander ce que feront ces militants LGBT qui veulent avoir recours à ces méthodes prométhéennes dégénérées, lorsque leur gosse crèvera d’un problème cardiaque ou pulmonaire ? La réponse est, hélas, évidente.
Ils balanceront le cadavre à la poubelle, puis iront tranquillement en commander un nouveau sur Internet.
Pardon : « ... qui démontre clairement que ces gens-là sont à l’écologie ce que le steak tartare est au végétarisme. »
"La loi n’a pas encore modifié la biologie : deux homosexuels ne peuvent avoir d’enfants ensemble. Mais la science permet de pallier cet inconvénient.«
Voici exposée en peu de mots l’idéologie complètement folle des Prométhées du lobby LGBT. Ils imaginent très sérieusement que la Science (je mets une majuscule car il s’agit pour ces gens-là d’une authentique divinité), main dans la main avec sa sœur la Loi, donne à l’Homme la complète maîtrise, non seulement de la nature, mais aussi de sa nature, modifiable en fonction des caprices de tel ou tel groupe plus ou moins groupusculaires. A ce titre on notera d’ailleurs l’acharnement de EELV sur ces histoires de PMA/GPA, qui démontrent clairement que ces gens-là son à l’écologie ce que le steak tartare est au végétarisme.
Pauvres petits êtres pathétiques que ces hommes et ces femmes en lutte contre un »ennemi« qui peut les balayer d’une pichenette, et qui a d’ailleurs déjà commencé à le faire. Les études récentes (je pense par exemple au professeur Urs Scherrer) montrent que les enfants fabriqués par PMA/GPA souffrent de maladies et de faiblesses chroniques, dégradant leur qualité de vie et impactant leur espérance de vie.
De là, on peut faire le lien entre l’obsession »créatrice« de la GPA et de la PMA (qu’au passage on devrait interdire, y compris pour les couples hétérosexuels) et son pendant mortifère, l’avortement et l’euthanasie. L’enfant (ou le vieillard dans le dernier cas), l’Humain d’une manière générale, sont réduits à l’état de simples sacs de viande dont d’autres, au nom de leur force, décident de la vie et de la mort. Car j’entends d’ici l’argumentation du camp scientiste : ces »défauts« des enfants fabriqués seront progressivement corrigés, du fait des expérimentations en la matière. Les »défectueux" sont donc sacrifiés pour faire avancer la Science. Une divinité, écrivais-je plus haut.
Aussi bien peut-on se demander ce que feront ces militants LGBT qui veulent avoir recours à ces méthodes prométhéennes dégénérées, lorsque leur gosse crèvera d’un problème cardiaque ou pulmonaire ? La réponse est, hélas, évidente.
Ils balanceront le cadavre à la poubelle, puis iront tranquillement en commander un nouveau sur Internet.
Merci Dodiese pour votre commentaire si élogieux et drôle.
Effectivement la « Fistinièrisation » des esprits fait pas mal de victimes en France, et certains préfèrent se réfugier dans un confort intellectuel plutôt que d’affronter des réalités dérangeantes concernant les élites qui gouvernent ce pays. Remarque qui vaut d’ailleurs pour ces histoires de Gender comme pour la véritable allégeance desdites élites (brillamment démontrées, notamment par François Asselineau : si on diffusait ses conférences au collège et au lycée, l’école retrouverait une autre gueule... mais pas la peine de rêver). Certains sujets ne peuvent être abordés sans vous catapulter dans la catégorie des complotistes.
Seulement voilà, cette affaire des JRE révèle au grand jour le complot du monde politico-médiatique. Leurs mensonges, volte-faces et contradictions ne peuvent aller qu’en se renforçant, à l’image de tout ceux qui prétendent que l’ABCD de l’égalité et autres instruments de lutte contre les « stéréotypes sexués » ne relèvent pas d’une application des principes mêmes du Gender. Suivez mon regard...
S’agissant du FN, ma vision est simple : le FN doit choisir entre 1) continuer à cogner systématiquement sur les musulmans pour truster un créneau laïcard (déjà surpeuplé, du reste) qui ne lui rapportera strictement rien, ni politiquement, ni idéologiquement, ni bien sûr électoralement ; soit 2) devenir le parti qui brandira le bouclier de la Foi (ou des Fois) bafouées dans ce pays.
Amicalement.
"Mais je ne pense pas que tout le monde sera dupe puisque les arguments sont clairement exposés plus haut et il suffit de lire pour se faire une opinion..."
Voilà au moins un point sur lequel nous tomberons d’accord.
@ GaiaLayu
Pardonnez-moi, j’ai commis une grave erreur de jugement : l’espace d’un instant j’ai cru que vous étiez quelqu’un de raisonnable, je réalise à présent que vous êtes simplement un partisan du gender qui cherche à noyer le poisson en faisant systématiquement mine de ne pas comprendre ce que je dis ou en déformant mes propos.
Je vous abandonne à votre Meilleur des Mondes. Profitez-en tant qu’il ne s’est pas effondré.
« Et voila un bel épouvantail. Ça vous étonnes provenant d’une extrémistes féministe militante au MJS ? C’est ça le gouvernement ? »
Sur le reste de votre commentaire, il faut bien comprendre que le grand problème qui se pose est celui, non de la définition du « genre », mais de celle des « rôles sociaux » dévolus à l’homme et à la femme.
Prenons un exemple. Il existe un rôle social de « protecteur » (dont le guerrier est l’incarnation fondamentale) que dans nos sociétés européennes on considère comme étant naturellement dévolu à l’homme, du fait de sa plus grande force physique. Nul ne contestera ce point : la testostérone fait des miracles au niveau musculaire, et l’homme est mieux pourvu en la matière que la femme (bien sûr c’est aussi une question de probabilités : certaines femmes ont davantage de testostérone que la moyenne. Mais globalement, la plupart des hommes sont plus forts que la plupart des femmes).
Cependant, si l’on étudie l’histoire sur la longue durée, on réalise que ce « monopole » de l’homme sur la fonction guerrière varie aussi en fonction de la société qu’on analyse. Ainsi, si l’on remonte deux mille en arrière, on notera rapidement qu’une Romaine ne ressemble guère à une Gauloise (ne serait-ce que physiquement). Moins la société est organisée, plus elle est rude (voire violente) plus les femmes sont appelées à tenir elle aussi ce rôle de protection. C’est ainsi que si on reste à cette époque, on ne trouvera jamais aucune femme soldat chez les Romains, alors que les cas de guerrières (y compris de chef de guerre) chez les Gaulois, les Germains et les Bretons sont loin d’être anecdotiques.
Tout cela pour dire que le fonction du protecteur peut effectivement être classée comme « rôle social », variable en fonction de l’époque et du lieu. L’idée d’une femme portant les armes ne me choque pas, du moins en théorie. En pratique (c’est-à-dire pour parler d’ici et maintenant), j’aime autant vous dire que si vous comptez faire des soldats avec les « femmes modernes » (les féministes, en somme) vous risquez d’avoir quelques mauvaises surprises sur le champs de bataille !
Sinon je ne peux m’empêcher de vous trouver, une fois de plus, de fort mauvaise foi. Personne n’a jamais prétendu qu’une femme ne pouvait pas faire de mathématiques. Pas moi, en tous cas : d’ailleurs, j’étais nul en maths. J’ai toujours préféré les mots aux chiffres, et je ne considère pas que cela fasse de moi un homme « féminisé ».
De plus, il semblerait que les filles réussissent mieux à l’école depuis plusieurs années (décennies ?) déjà. Il y aurait énormément à dire sur le sujet (à commencer par le fait qu’un garçon bon élève est très souvent considéré comme une « anomalie » dans certaines franges du milieu enseignant : je le sais, je l’ai moi-même vécu), mais je n’ai pas l’intention de relancer une nouvelle discussion (peut-être à la faveur d’un autre article).
Là où vous faites fausse route, c’est justement lorsque vous affirmez que "ce n’est en aucun cas l’idée qu’un homme peut devenir une femme et une femme peut devenir un homme. Ni que l’attirance entre les sexe est une construction sociale.«
Bien sûr que si. Toute l’idéologie du gender tourne autour de cette question. Relisez Judith Butler, qui n’est pas une »extrémiste« , mais la figure de proue de la Théorie du Genre, son idéologue en chef, connue et reconnue sous ce statut par tous les promoteurs de la lutte contre les »stéréotypes« . Ces gens considèrent bel et bien l’hétérosexualité comme une norme »socialement construite« , utilisée pour tyranniser les déviants. Idem pour le fait d’être un homme ou une femme. Enfin, leur définition des »rôles sociaux« est dramatiquement extensive : pour eux, par exemple, la maternité est un rôle social, un »stéréotype" contre lequel il faut lutter grâce à la science, via ces horreurs que sont la FIV, la PMA, la GPA, etc.
Bon article qui brasse les différents vecteurs de la légitimation progressive de la pédophilie dans nos sociétés occidentales libérales, bien sûr sous couvert de « liberté » et d’« égalité » et autres concepts lénifiants.
Comme l’expliquait très bien Jean-Claude Michéa dans son livre « l’empire du moindre mal », une société qui choisit, sous couvert de « neutralité » de tourner le dos au Bien, au Beau et au Vrai ne peut que se muer in fine en « société de démons » (selon la formule même d’Emmanuel Kant qui y voyait naïvement la meilleure métaphore d’une société apaisée). De ce point de vue, vous avez eu raison de citer M. Mimoun quand il affirme que « ce qui est choquant, c’est d’être choqué ». Traduction : bien, c’est mal, et mal, c’est bien. Soit l’inversion totale des valeurs... ce qu’en termes religieux, on nomme le satanisme.
Cordialement.
"de vrais coincéEs, voilà l’ effet que vous me faites, je pense qu’ il vous manque encore des experiences à faire pour Evoluer...Naturisme par exemple, sentir son corps à oualpé glisser dans l’ eau sans ces saloperies de maillots de bain, héritage d’ une culture judéo-chrétienne mâtinée de « mens sana in corpore sano »..."
/Mode Théorie du Genre activé/
C’est un stéréotype honteux ! Les femmes aussi ont le droit de bander si elles le veulent !
/Mode Théorie du Genre désactivé/
Sérieusement, ça ne vous tente pas, une douche froide ?
»Faut vraiment être ALIENE pour AVOIR PEUR DE LA NATURE, et avoir du fric à rien faire pour gaver les Psys....«
Vous avez oublié le (e) potentiel à »vrais". Sale machiste, va. A part ça, quoi de neuf, Docteur ?
@ GaiaLayu
Le « complotisme » progresse :
Sans commentaire... et game over.
@ Rensk
"Vous savez ce qu’ils viennent nous dire pour que l’on refuse l’initiative populaire ? Que des femmes sont obligées d’aller a l’étranger pour avorter après avoir passé les 12 semaines (3 mois) de délai légal !!!«
Effectivement, c’est là une question centrale que nul ne songe jamais à poser. Comment une femme peut-elle attendre aussi longtemps avant de se faire avorter ? Les signes de la grossesse sont pourtant largement perceptible, ne serait-ce que le retard des règles. Le corps change aussi durant ces premières semaines. Il faut en conclure que, loin de maîtriser leurs corps, les »femmes modernes« ne sont même plus capables de l’écouter, là où leurs ascendantes pouvaient en comprendre les moindres signes. Cela n’empêche nullement les premières de mépriser les secondes, en se rengorgeant d’avoir totalement délégué le contrôle de leur corps à l’industrie pharmaceutique.
On peut aussi y voir, hélas, la conséquence de cet anti-humanisme que j’évoquais plus haut : quel que soit le délai écoulé, un, deux, trois ou même six mois, à aucun moment elles (je parle toujours de la »femme moderne« et »libérée") ne considèrent que ce qu’elles ont dans le ventre est un être humain, seulement un sac de viande.
Cordialement.
@ Sarah
Je rejoins entièrement votre analyse sur la source du wahhabisme « moderne ». Certes le fondamentalisme musulman existe antérieurement et en dehors de l’influence américaine, mais il ne serait jamais devenu une force à l’intérieur de l’Islam sans l’influence de Washington et le pétrole saoudien.
Cette alliance « protestante » (le wahhabisme n’étant jamais rien d’autre qu’un islamo-protestantisme) a toujours voulu abattre le nationalisme arabe (qui en dépit de ses références n’a jamais rien eu à voir avec la laïcité française) et cherche aujourd’hui à dresser les uns contre les autres les musulmans et les chrétiens (que ce soit en Orient ou en Europe), voire les musulmans entre eux, afin d’anéantir les deux grandes forces de résistance à la puissances atlantiste que sont le christianisme authentique et l’Islam.
Cette mainmise américano-saoudienne de plus en plus pregnante sur le monde musulman explique effectivement pourquoi il aura fallu attendre douze siècles pour voir les musulmans se lancer dans des politiques d’épuration à l’encontre de leurs voisins chrétiens. appelons d’ailleurs à ce propos que lors des Croisades, les Chrétiens d’Orient ne fraternisèrent jamais avec les Catholiques, considérés non comme des libérateurs mais comme des envahisseurs étrangers (on n’oubliera pas, à cet égard, la IVème Croisade et la mise à sac de Constantinople).
Je n’ai pas vu le film que vous évoquez mais j’avais lu des articles à l’époque et je m’étais penché sur le combat des Cristeros mexicains. De fait, aujourd’hui comme hier, l’ennemi le plus résolu du christianisme n’est pas l’Islam.
Quant à faire un article sur le wahhabisme... c’est gentil de me donner du boulot ;).
Plus sérieusement, c’est une idée. Je vais y penser.
Cordialement.
A Alea Jacta Est
"Mais ce n’ est pas le cas de la loi qui fait bien la différence et qui laisse un laps de temps à la femme pour réaliser un ivg«
Position anti-humaniste typique qui nie toute vie en dehors de la loi : dès lors qu’on est inscrit dans aucun registre, on n’existe pas, donc on n’a pas le moindre droit, et comme dirait Julien30, tant pis pour la gueule du plus faible qui n’a pas encore (ou qui ne les a plus, si on parle d’euthanasie) les moyens de se défendre. D’ailleurs je vous suggère de réfléchir à cette idée : ce n’est pas la naissance qui donne, miraculeusement, la vie à un tas de cellules jusque là considéré comme inerte, mais l’inscription à l’état civil, soit un délai supplémentaire de trois jours) ; et de mettre cela en parallèle à la revendication féministe qui commence à poindre dans le monde anglo-saxon de droit à l’ »avortement post-natal« .
»C’ est comme ça, que vous le vouliez ou non...et moi Monsieur julien 30 je considère que la vie de la mère est plus importante que celle d’ un embryon qui vient d’ être fécondé.«
Vous versez dans la mauvaise foi, dans le cas présent. Même le projet de loi espagnol (qui ne sera d’ailleurs pas voté, selon moi, vu qu’il s’agit d’une opération d’enfumage du gouvernement Rajoy) ne prévoit pas d’empêcher une femme qui risquerait sa vie du fait de la grossesse d’avorter. La vie de l’enfant n’est pas plus sacrée que celle de la mère : elles ont la même valeur, ce qui justifie de recourir à l’avortement. Cependant, en parlant de péril pour la vie de la mère, vous mélangez à dessein deux situations toutes différentes : d’un côté la femme qui court un réel risque du fait de la grossesse, et de l’autre la femme qui se ferait avorter dans des conditions dangereuses. La question qui se pose, au sujet de cette seconde femme, c’est : pourquoi veut-elle avorter ? Si elle a été violée, ou si sa situation sociale était si dramatique qu’un enfant ne pourrait que lui porter préjudice, alors on peut comprendre qu’elle veuille ne pas mener la grossesse à son terme. Je connais aussi le cas de femmes qui sont violemment allergiques (littéralement, pas au sens figuré) aux moyens modernes de contraception.
En revanche, il faut le dire haut et fort, dans la mesure où cela concerne l’immense majorité des avortements de nos jours : la femme qui mène une vie de bâton de chaise, qui se fait engrosser »par accident« , et qui nous la joue »non, c’est pas le moment, j’ai une carrière à mener" : celle-là ne mérite aucune compassion.
En tous cas elle n’aura pas la mienne.
A Sarah
Tout à fait. L’absence de précision dans le paragraphe que vous citez m’a moi aussi frappé. Comme vous le dites, l’idée qu’il faille qu’un enfant doive développer une curiosité pour le corps des autres enfants serait déjà choquante (La pudeur ? C’est quoi ça ?) mais tacitement on laisse ici entendre qu’il ne serait pas anormal qu’un enfant se montre curieux du corps d’un adulte a de quoi laisser pantois. Bien évidemment, comme vous l’avez deviné, cela s’inscrit dans un mouvement, initié dès les années 50-60 par Alfred Kinsey, de légitimer progressivement la pédophilie comme un comportement »simplement déviant".
Mais chut, hein ? C’est du complotisme, tout ça ;).
Cordialement.
A Julien30
« Le progrès
c’est la mort ! »
La Modernité résumée en six petits mots. Pas mieux à proposer.
Il y avait d’ailleurs une photo sur le site du Monde, prise pendant une manifestation en décembre dernier, où une jeune femme avait écrit sur son ventre : « oui à la vie, mais c’est moi qui décide ». Une phrase plus terrifiantes qu’un milliard d’avortements, de mon point de vue, dans la mesure où elle révèle la mentalité déficiente (en fait, psychopathologique) des gens infectés par cette Modernité, qui en viennent à fièrement revendiquer un droit de vie et de mort sur autrui -et donc, un statut divin.
Cordialement.
Voilà un article intéressant et qui éclaire bien sur les dérives de l’éducation sexuelle moderne (un oxymore et un pléonasme dans la même phrase... mille excuses !), à savoir la volonté pathologique de réification de l’être humain, hier par la seule consommation de masse, aujourd’hui par l’éradication méthodique des sentiments qui mène d’ailleurs à faire du sexe un acte de consommation de l’autre (et de soi-même, par la même occasion).
Tout à fait d’accord aussi sur l’hygiènisme qui rend le sexe aussi marrant qu’une séance de vaisselle : il y faut des gants et des produits spéciaux.
Enfin je suis assez étonné du contenu ainsi présenté de la B.D. en question : ne m’y étant jamais intéressé que de très très loin (j’ai un peu passé l’âge de l’acheter et n’ai pas d’enfants en âge de la lire) j’avais développé une nette méfiance à l’égard d’un contenu qui me semblait faire du scato pour le plaisir de faire du scato. Merci donc à l’auteur : je dormirais moins con ce soir.
Cordialement.
Tout à fait d’accord avec les commentaires convergents du Moine et de Xavier. L’Union Sacrée (qui passe du reste, m’est avis, aussi par une Union de la Foi -ce qui suppose que les français « de souche » retrouvent leurs racines chrétiennes et abjurent une certaine « Modernité ») du peuple de France qui se réalise sous nos yeux, grâce à des gens comme Dieudonné, Soral et Mme Belghoul -mais on pourrait en citer bien d’autres- explique les délires en roue libre des politiques et des médias depuis plusieurs semaines. Gageons que cela ne va pas s’arranger à l’avenir, puisque le seul moyen pour le système d’esquiver l’averse sera de plonger toujours plus profondément dans les eaux turbides de ses mensonges.
Cordialement.
La Suède a tout à voir, puisqu’elle est en Europe le terrain d’expérimentation privilégié des immondices du gender. Quant à mes affirmations aberrantes, renseignez-vous sur Egalia : vous verrez, ils sont fous et ils s’en vantent.
La volonté d’égal accès au métier a bon dos. Un rapport de l’ONU (du BIT, plus précisément) a définitivement tordu le cou aux prétentions suprématistes occidentales en matière d’égalité homme-femmes au travail. En effet, les chiffres démontrent que c’est dans certains des pays parmi les moins »égalitaires« (par exemple le Bangladesh) que l’on retrouve le plus de femmes dans des métiers dits »masculins« (l’étude estime que cela est lié au peu de libertés que les femmes, notamment les plus pauvres, ont dans le choix de leur profession) ; alors qu’à l’inverse, c’est dans les pays scandinaves (considérés comme les plus »avancés« en la matière, que les femmes »reproduisent« le plus spontanément ces »schémas genrés« que vous dénoncez. Conclusion, là où elles ont le plus de liberté, les femmes deviennent plus volontiers institutrices que forgeronnes, plus volontiers infirmières que maçons (encore que je connaisse assez pu d’hommes ayant envie d’exercer cette dernière profession).
Quant à être médecin, pilote de ligne ou chimiste, rien n’empêche les filles de se diriger vers ces métiers. Mais encore faudrait-il, pour embrasser une telle carrière, savoir lire, écrire et compter correctement...
»Et bien citez moi ce qu’on y trouve et qui confirme vos dire plutôt que de faire des sous entendus.«
Qu’à cela ne tienne. Donc, page 38 du rapport, je lis que, s’agissant des enfants de 0 à 4 ans, les enseignants devront, pour se conformer à ces »standards sexuels" :
- Informer l’enfant sur :
"le plaisir et la satisfaction
liés au toucher de son
propre corps, la
masturbation enfantine
précoce"
(Note : à part cela, non, il n’est question nulle part de masturbation. Qu’est-ce qu’on se marre...)
- Permettre à l’enfant de :
"devenir conscient de son
identité sexuelle
"exprimer ses propres besoins,
désirs et limites, par exemple
en « jouant au docteur »
(Note : c’est le boulot de l’école, ça ? Merde... je n’ai rien compris à la vie, alors. Mais les enseignants seront juste spectateurs des ébats de leurs élèves, ou ils joueront un rôle actif ?)
- Aider l’enfant à avoir :
"une curiosité pour son corps
et le corps des autres"
(Note : au passage, vous remarquerez que ce paragraphe ne précise pas « les autres enfants ». Hum... je me demande bien pourquoi...)
Allez, mea culpa : je croyais que vous étiez de mauvaise foi, quand je réalise à présent qu’en fait, même si vous ne défendez pas, à proprement parler, ces mesures, elles ne vous choquent en rien. Je ne gaspillerai donc plus mon temps à vous répondre. Comme disait un slogan publicitaire : « nous n’avons pas les mêmes valeurs ».
« Donc votre seule source est le site égalité réconciliation et vous en êtes fier ? »
Il se trouve que les gars d’E&R font le boulot auquel les journalistes ont renoncé.
« Ce n’est pas une théorie mais une étude. »
Je parlais de la page 38 du rapport (page 40 du PDF), vous citez la page 38 du PDF. J’ai un doute : avez-vous mal compris (il est vrai que j’aurais pu préciser), ou n’est-ce que de la mauvaise foi ?
Quand même.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération