L’espérance de vie en bonne santé augmente
En 2022, l’espérance de vie des Français était, nous dit l’INSEE, de 85,2 ans pour les femmes et 79,3 ans pour les hommes. Et contrairement à une représentation assez répandue dans l’opinion, « l’espérance de vie en bonne santé » continue de progresser dans notre pays, que ce soit à la naissance ou à 65 ans. C’est évidemment une excellente nouvelle pour toutes celles et tous ceux qui avancent en âge ainsi que pour leurs proches...
Tout d’abord, il convient de s’entendre sur le concept. Pour la DREES (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques), vivre en bonne santé, c’est vivre sans incapacité, autrement dit « sans être limité dans les activités du quotidien ». Sont reconnues comme telles les personnes qui ne souffrent d’aucun handicap reconnu et, plus explicitement, qui ne sont affectées, de manière pérenne, ni par des problèmes de mobilité, ni par des insuffisances ou des dégénérescences cognitives, ni par des difficultés à respirer, à s’alimenter, à procéder à sa toilette ou à s’habiller.
Depuis des années, la DREES publie régulièrement des études sur l’espérance de vie sans incapacité. Celle-ci est mesurée : d’une part, à la naissance ; d’autre part, à 65 ans, âge considéré par convention sociale comme l’entrée dans la vieillesse. Le dernier rapport de la DREES porte sur l’année 2021. Ce document, riche d’enseignements sur l’état de notre société, a été mis en ligne le 23 février. Il dresse un tableau de nature à rassurer les nouveaux « séniors » sur leur avenir. Ce tableau contredit en effet les rumeurs qui courent dans la société sur un prétendu « recul de l’espérance de vie en bonne santé ».
« En 2021, les hommes âgés de 65 ans peuvent espérer vivre 11,3 ans sans incapacité, et les femmes 12,6 ans », nous apprend la DREES. Soit, nous dit le rapport, un progrès depuis 2008* de 2 ans et 8 mois pour les hommes, très proche de celui des femmes : 2 ans et 7 mois. Ces constats n’ont rien de surprenant : jamais les personnes âgées n’ont été aussi actives, passé leur anniversaire des 65 ans. Il suffit à cet égard de voir leur implication dans la vie associative** ainsi que leur goût pour les activités sportives comme la gymnastique, la marche nordique, la randonnée ou, dans les régions maritimes, le « longe-côte ».
Dès lors, d’où vient la perception erronée qu’a une partie de nos concitoyens sur l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans ? Probablement du fait qu’à la naissance, les données sont très différentes : en 2021, cette espérance de vie en bonne santé s’établissait en effet à 65,6 ans pour les hommes et 67 ans pour les femmes. Des données qui tiennent évidemment compte des accidents de toutes natures et des diverses pathologies qui affectent l’existence d’une partie de la population. D’où ce constat contre-intuitif : plus on avance en âge, plus l’espérance de vie augmente !
Y compris en bonne santé, comme le montre le rapport de la DREES. À cet égard, le taux des années qui seront vécues sans incapacité rapporté à celles qui restent à vivre à l’âge de 65 ans a augmenté de manière très significative. Entre 2008 et 2021, il est en effet passé de 47,7 % à 59,3 % pour les hommes, et de 44,7 % à 54,4 % pour les femmes. Une excellente nouvelle, tant pour nos concitoyens séniors que pour la collectivité nationale, dans un pays qui comptait, au 1er janvier 2023 (source recensement), 21,3 % de personnes âgées de plus de 65 ans.
Le dernier enseignement digne d’intérêt mentionné dans le document de la DREES se rapporte à des données de 2020, dernière année de collecte dans l’ensemble des 27 pays de l’Union Européenne. Il nous informe qu’en matière d’espérance de vie sans incapacité à 65 ans, la France se classait au 10e rang européen pour les hommes (+ 8 mois relativement à la moyenne de l'UE) et au 4e rang pour les femmes (+ 1 an et 8 mois). Confrontés à la perspective de leur fin de vie, les Français font donc preuve d'une belle résistance. Et qui sait ? peut-être se disent-ils en souriant comme Jules Renard : « Je n’ai plus l’âge de mourir jeune ».
* Depuis cette date, les questionnements réalisés auprès d’environ 15 000 personnes dans le cadre des enquêtes SRCV (Statistiques sur les Ressources et les Conditions de Vie) sont inchangés. Ces enquêtes sont diligentées en application du dispositif européen EU-SILC (European Union Statistics on Income an Living Conditions).
** Une étude de l’INJEP, réalisée en 2021, montre que 44 % des plus de 65 ans sont peu ou prou impliqués dans la vie associative : 21 % de manière régulière (au moins une fois par semaine), 12 % de manière plus occasionnelle, et 11 % sous la forme d’un engagement rémunéré ou dédommagé.
324 réactions à cet article
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Vision très optimiste, voire idyllique de la situation en France, où les Vosges ont vocation à arrêter net tout danger potentiel...
L’INSEE, qui s’avère « incapable » de fournir des données de mortalité prenant en compte le statut vaccinal (controversé, comme ils aiment si bien dire à propos de gens dont la parole dérange) à Mr Toubiana, parvient « miraculeusement » à fournir des données idéales (sur mesure pour encenser la politique gouvernementale, un peu comme la « baisse du chômage » réalisée à grands renforts de modifications des modes de calcul)
Vision à corriger au plan local (celui qui ne peut être influencé trop facilement par la propagande, à savoir votre situation personnelle) en observant attentivement les conséquences des politiques (de destruction) de santé des deux quinquennats les plus récents ...
Les gens claquent un peu partout, et de manière un peu trop nettement anticipée si on se réfère à leur âge ( https://mortsapresvaccination.wordpress.com/ ) mais chez nous, ce serait le jardin d’Eden et Cocagne pour tous...
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Bonjour, Lynwec
« Vision très optimiste, voire idyllique de la situation en France »
J’ai plutôt nettement l’impression que c’est le tableau de la réalité. Cette réalité que je constate tous les jours ou presque en voyant des personnes âgées — parfois très vieilles — en pleine forme physique et intellectuelle.
A cet égard, j’ai une belle-soeur de 97 ans qui — à l’exception de pertes limitées d’acuité visuelle et auditive — ne souffre d’aucune pathologie et qui conserve la faculté de discuter de la plupart des sujets. Or, elle n’est pas la seule dans son cas, loin de là.
Cela me fait penser à ma jeunesse, à une époque où l’on s’émerveillait de voir des personnes ayant, à... 75 ans, « bon pied bon oeil » comme on disait alors.
L’espérance de vie n’évolue quasiment pas depuis 2 ans, mais l’espérance de vie en bonne santé, oui, et cela ne me semble pas contestable. -
@ Lynwec
Sur la politique vaccinale, et faute de compétences — comme vous sur ce plan —, je refuse d’entrer dans le débat tant il est pollué par les certitudes trop souvent péremptoires voire agressives des partisans et des adversaires des vaccins ARNm.
Je note cependant — c’est un fait d’actualité — que la HAS continue de recommander ces vaccins dans l’optique de la prochaine saison hivernale. -
@Fergus
La HAS a été prise à autoriser la mise sur le marché de certains médicaments présentant pourtant des risques d’effets secondaires graves, voire très graves, mais très rentables . A noter qu’en bons lecteurs d’Orwell, ils prennent soin de parler non pas d’effets secondaires graves, mais « d’événements indésirables », ça fait tout de suite moins peur...
Quand je lis ce genre de recommandations de la HAS, je comprends de suite les motivations sous-jacentes (pognon, fric, flouze, pèze,thune,grisbi...)
https://www.lelibrepenseur.org/la-presidente-de-la-has-donne-le-feu-vert-pour-la-vaccination-des-2-17-ans-sans-comorbidite/
La tranche d’âge pour laquelle il n’y a aucun (AUCUN) danger, mais il faudrait les piquer (c’est Ursula qui trépigne, ses commandes ne seront pas perdues...) -
@ Lynwec
Je n’ai pas, loin s’en faut, une confiance absolue dans les recommandations de la HAS.
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@Fergus
Je ne pense pas que la HAS soit très « sérieuse » dans ses approches. Cet organisme est pourri. J’en veux pour exemple ce document qui traite du diabète de type II, une catastrophe mondiale. Que préconise la HAS ? C’est ici dans ce document.
https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2014-04/guide_pds_diabete_t_3_web.pdf
Voici les « recommandations nutritionnelles » de la HAS, celles qui seraient supposées améliorer votre diabète, voire le faire disparaitre, comme les « vaccins » qui protègent les personnes sensibles.
... « Contrôler l’apport quantitatif en lipides dans un premier temps en personnalisant les conseils à partir des recommandations générales comme la diminution des matières grasses des viandes dites grasses, de la charcuterie, des fromages gras, des fruits oléagineux, ainsi que de tous les produits de paneterie et de biscuiterie sucrés et salés. Privilégier dans un deuxième temps les conseils qualitatifs concernant les apports lipidiques en favorisant les apports en acides gras insaturés (omega 3). L’huile de colza riche enAGPI n-3 est proposée comme huile d’ajout de première intention. La prise d’aliments contenant des phytostérols n’est pas une priorité.
La consommation modérée d’alcool, à savoir 20 g d’alcool par jour, n’est pas contre- indiquée. Elle peut être bénéfique pour son effet cardioprotecteur, mais il est nécessaire de mesurer le rapport bénéfice/risque pour chaque patient.
Les aliments glucidiques ont une place indispensable pour leur effet sur le rassasiement et la prise alimentaire, Conseiller le pain et les féculents. Cela n’a pas de lien direct avec leur effet sur la glycémie, dans la mesure où les amidons possèdent des variations importantes dans leur index glycémique.Conseiller les légumes verts selon la tolérance du patient. Recommander la consommation de 2 ou 3 fruits par jour La répartition glucidique optimale semble être 10 à 20 % des apports totaux au petit déjeuner, ainsi que 40 à 45 % des apports totaux au déjeuner et au dîner. Les collations sont issues du fractionnement des repas. Toutefois, cette répartition peut être différente en fonction du patient. La consommation d’aliments à index glycémique (IG) faible permet un meilleur contrôle métabolique. Cependant, l’IG étant variable, il ne paraît pas utile de proposer une classification des aliments, pouvant aboutir à de nouveaux interdits. Le sucre a un index glycémique moyen, ce qui ne justifie plus son interdiction. »...
Lorsque l’on en arrive à développer ce genre de considérations, et bien j’affirme que les recommandations de la HAS sont assassines. Parce que, lorsque je lis que les apports totaux au déjeuner et au dîner de « glucides » doivent être de 40 à 45%, je comprends que la HAS est totalement à côté de la plaque. Ces « recommandations » ne peuvent pas vous guérir. Sachant, bien évidemment, qu’il est tout à fait possible, par l’alimentation, de « renverser » un diabète de type II, mais, certainement pas en suivant les recommandations de la HAS. C’est absolument désolant.C’est même monstrueux de bêtises et de contre-informations.
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@Lynwec 09:24
La HAS a été prise à autoriser la mise sur le marché de certains médicaments présentant pourtant des risques d’effets secondaires graves, voire très graves, mais très rentables : c’est pire qu’autoriser la mise sur le marché de certains médicaments présentant pourtant des risques ...La HAS dans son protocole contre le covid préconise encore le remdésivir en 2023 dont l’inefficacité et les risques sont connus, dont la prétendue efficacité a été décrétée à partir d’une étude bidon avec un faible nombre de participants (si j’arrive à retrouver les propos de 30mn d’un médecin je mettrais le lien).
Bref, tous les médecins de plateau n’ont rien à dire contre le remdésivir car ils ont des conflits d’intérêt avec Gilead le fabricant et aux États-Unis, c’est encore pire car c’est Fauci qui a été derrière. -
Bonjour, Legestr glaz
Merci pour vos observations sur le diabète. Un sujet important que je connais très mal et qui constitue l’un de vos « chevaux de bataille », ce qui n’est pas une critique.
Peut-on dire pour autant « assassines » à propos des argumentations de la HAS ? Je vous en laisse la responsabilité.
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@Fergus
la HAS continue de recommander ces vaccins dans l’optique de la prochaine saison hivernale.
Et alors ça prouve quoi ? -
@ mac
Cela ne prouve rien, ni dans un sens ni dans un autre !
Cela dit, la communauté scientifique reste très majoritairement favorable à la vaccination ARNm. -
@Fergus
Merci Fergus pour cette entrée en matière.
Je sais que j’utilise à l’égard de la HAS un vocabulaire très percutant mais d’une manière assumée. Je connais nombre de diabétiques de type II qui jamais n’auraient guéri s’ils avaient appliqué les « recommandations » stupides, et pourquoi le taire, « mortifères », de la HAS. Je suis effectivement scandalisé de lire ces recommandations qui vont totalement à l’encontre de la réalité biologique.
Et vous le savez, ou pas, le diabète de type II vous entraine doucement vers le diabète de type III. Vous connaissez ? Evidemment puisque vous avez écrit un article pour aborder ce sujet qui devient un véritable drame. Et j’ai beaucoup de compassion pour les familles qui doivent accompagner un malade de ce type.
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@Fergus
La communauté scientifique qui vous épate c’est celle qui a droit de parole dans les médias.
Vous vous prévalez de leurs turpitudes, à savoir, un suivisme inconditionnel et carriériste. -
@Fergus
Phrase incomplète, lire « Cela dit, la communauté scientifique autorisée à s’exprimer et ni diabolisée, ni censurée, reste très majoritairement favorable à la vaccination ARNm »...
Dit comme ça, on est plus proches du réel... -
Bonjour, Francis, agnotologue
Des « turpitudes » dénoncées par qui ? Ceux qui développent dans les médias des thèses considérées comme « délirantes » par la majorité des chercheurs ?
Quant au « suivisme inconditionnel et carriériste », c’est sans doute vrai pour certains, mais cette accusation est insultante pour la majorité des autres que l’on ne voit d’ailleurs que très peu dans les médias !
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@Fergus
C’est qui la « majorité des chercheurs », vous établissez des statistiques précises, on aimerait les voir ?
Tout ceci n’a aucun sens. -
@Fergus
Un certain nombre de chercheurs feraient peut-être bien de faire preuve d’humilité, même si on sait que certains ne sont pas bien payés et qu’ils ont absolument besoin de se faire financer.
La microbiologie et la médecine, semblent parfois être des sciences plus certaines d’elles-mêmes que la physique théorique qui utilise pourtant beaucoup les mathématiques. D’un côté on a des types qui nous soutiennent, sans beaucoup de doutes, que leur bouzin est efficace, et de l’autre on en est à douter de quoi est constitué 98% de l’univers...Il semble y avoir science et science ? -
@Francis, agnotologue
Il était logique que les vaccino sceptiques que vous représentez « dignement » au nom de votre « combat contre l’ignorance » apparaissent sur ce fil et tentent de le pourrir.
Avez-vous un avis sur la durée de vie en bonne santé des miliciens Wagner qui servent de chair à canon en Ukraine ? Oui, certainement... J’attends donc votre analyse « brillante », comme d’habitude... -
@Michel DROUET
pourrir ce fil en y introduisant la question des vaxins ? Au contraire, c’est lui donner une autre dimension, vu que ces foutues injections auront fatalement un impact sur l’espérance de vie et notamment l’espérance de vie en bonne santé. -
@Francis, agnotologue
Vous n’y comprenez rien (à la « logique » drouetienne) ! Evoquer le rôle plus qu’évident de la mortalité induite par les substances expérimentales renommées en vaccins, dans un article qui parle de l’espérance de vie des Français, c’est le pourrir (alors que ça touchera directement tous les Français injectés)...
Mais (ou plutôt MAIS), vous proposer une digression sur la durée de vie d’un mercenaire Wagner (à 2000 km de la France, donc directement en lien, n’est-ce pas suivant une logique de Shadok...), ce n’est PAS pourrir le fil...
Nuance...
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@Michel DROUET
copié-collé :... « Il était logique que les vaccino sceptiques que vous représentez « dignement » au nom de votre « combat contre l’ignorance » apparaissent sur ce fil et tentent de le pourrir. »...
Mais « vieillir en bonne santé », ce n’est pas aussi être « protégé » des virus ? « Tous vaccinés, tous protégés » ne serait qu’un « slogan » ?
Michel DROUET, s’il s’agit de « vieillir en bonne santé », les « vaccins » n’apportent-ils pas leur part à cet objectif de l’OMS que les gouvernements ont décidé d’atteindre ? , Parce qu’il s’agit de « protéger les personnes sensibles » et les personnes sensibles sont les personnes âgées, qu’il faut aider à vieillir en « bonne santé » en les « protégeants » des virus.
Ils peuvent, certes, mourrir des infections respiratoires déclenchées par la pollution atmosphérique, les PM10, PM2,5, PM1, PM0,1, les métaux lourds, le SO2, le CO, les HAP, en automne-hiver, et de l’ozone — O3— lors des canicules, mais pas de virus, grâce à la vaccination, si efficace que de très nombreuses études nous décrivent dans le détail cette efficacité redoutable et bienvenue. Parce que de nombreuses études scientifiques démontrent l’effet salvateur de ces vaccins, qui devraient être obligatoires, après ces nombreuses démonstrations d’efficacité, que l’on voit fleurir en permanence dans les journaux scientifiques et même plus populaires.
Parce que c’est l’évidence Michel DROUET : de très nombreuses études scientifiques attestent de l’efficacité des vaccins pour lutter contre les maladies respiratoires automnales et hivernales, et tout le monde peut avoir accès à ces études. Mais les complotistes font en sorte de les ignorer et ne font même pas l’effort de les lire. Un comble. Ils sont effectivement ignorants de toutes ces études qui paraissent en nombre.
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@Legestr glaz 08:33
Votre lien ncbi est inutile pour Michel Drouet car il n’est pas à l’aise avec l’anglais : il suffit d’écrire noir sur blanc qu’un prétendu vaccin efficace contre les maladies respiratoires n’existe pas, point. -
@Fergus Sans parler de politique vaccinale, le refus de l’INSEE de transmettre à Laurent Toubiana les statistiques de mortalité avec le statut vacciné/non vacciné est un fait.
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@leypanou
J’adore ces personnes qui évoquent les « anti-vax » et qui n’ont jamais lu une seule étude sur l’efficacité vaccinale contre les maladies respiratoires. Pas une seule.
C’est simplement extraordinaire de constater comme il est possible de troubler les esprits à force de répétitions. Technique, parait-il, utilisée par Joseph Goebbels : « un mensonge répété 1000 fois se transforme en vérité ».
L’effet de simple exposition est le phénomène qui fait que la probabilité d’avoir un sentiment positif envers quelqu’un ou quelque chose augmente par l’exposition répétée à cette personne ou à cet objet. Autrement dit, plus nous sommes exposés à un stimulus (personne, produit, marque, musique, odeur, etc.), plus il est probable que nous l’aimions ou l’apprécions. Il est à noter que ces préférences ont lieu sans qu’il y ait eu interaction avec le stimulus, ni réflexion de la part du sujet, d’où l’expression « simple exposition ».
L’effet de simple exposition est également présent en politique et lorsqu’il est poussé à l’extrême, il peut s’apparenter à de la manipulation.
https://www.toupie.org/Biais/Biais_simple_exposition.htm -
Bonjour, Bernard Mitjavile
L’Insee a produit en mai 2022 un document très complet sur la surmortalité liée au Covid (lien). Et il y a quelques jours, un document sur l’évolution pluriannuelle de la mortalité (lien).
De son côté, la Drees a produit en octobre 2022 une étude sur les taux de personnes vaccinées et non-vaccinées contre le Covid.
Le document auquel vous faites allusion n’a probablement pas pu être établi de manière fiable, l’identification des motifs de décès — notamment pour les personnes mortes à leur domicile — n’ayant pas pu se faire de manière indiscutable dans de nombreux cas, faute d’analyse spécifique des dépouilles. -
@Fergus
Une pensée pour ces gens qui n’auront pas l’opportunité de participer au débat sur l’espérance de vie :
https://nouveau-monde.ca/morts-subitement-comment-google-nous-eclaire-sur-cette-realite/
Heureux les Français que les Vosges (et l’INSEE) protègent efficacement de (prendre conscience de) cette calamité ... -
@Legestr glaz
Parce que vous vous exemptez de tout matraquage ?
Alors que vous nous rabâchez toujours vos mêmes explications données et sources ?
Et faudrait vous croire absolument quand vous nous affirmez avec force que les virus n’existent pas ? -
@Legestr glaz
Salutations, oui tout à fait.
D’autant plus que si « je » ne veux pas de piqûres pour moi même, ce que font les autres, m’importe peu , et encore bien sur..
mais hors de question d’obliger à ne pas se faire piquer,
pour mes enfants j’en ai pris la responsabilité,et donc ils ont du lire un tas de travaux sur le sujet, j’en ai 5 pas un piqué...
Nota bene : en changeant une seule lettre à piquer, un n au lieu de un d, on obtient le mot niquer..
ceux qui promeuvent la piqûre sans rien y comprendre ou ceux qui savent que c’est un plan génocidaire mais le font pour des raisons de démence pure , eux par contre aimeraient avoir des armes et piquer tout le monde avec le pistolet sur la tempe..
pourquoi ? arrivé à ce stade de démence il n’y a plus rien à expliquer..quoique j’en vois une bonne partie pour moi même..
respects -
Bonjour, Lynwec
Les morts subites ont toujours existé. Et elles restent extrêmement marginales. De plus, quand il s’agit de sportifs, il n’est illégitime de se demander quelles saloperies ils ont pris pour se doper.
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Bonjour, chantecler
« Parce que vous vous exemptez de tout matraquage ?
Alors que vous nous rabâchez toujours vos mêmes explications données et sources ? »
Exact !
Le plus comique étant — quand on est soi-même adepte du « matraquage » — de faire appel à Goebbels pour tenter de discréditer les études sérieuses et reconnues comme telles par toutes les communautés scientifiques de la planète. -
@chantecler
Et faudrait vous croire absolument quand vous nous affirmez avec force que les virus n’existent pas ?
Surtout qu’il y a des photos au microscope électronique que tout un chacun peut observer, rien de plus facile. Sans compter que les génomes doivent être connus pour la plupart..On est ici dans l’intox la plus crasse du même niveau que ceux qui disent que la terre est plate alors qu’on a, là aussi, pléthore de photos montrant l’inverse..
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@Francis, agnotologue
Où sont les morts qui devaient intervenir rapidement après les premières injections et dont vous nous parliez abondamment à l’époque ?« ...ces foutues injections auront fatalement un impact sur l’espérance de vie et notamment l’espérance de vie en bonne santé » comme vous dites...
Vous évoquez la fatalité à défaut d’apporter des preuves ou des sources.
Pas très rigoureuse, votre méthode pour quelqu’un qui se flatte de combattre l’ignorance... -
Bonjour, Michel DROUET
« Où sont les morts qui devaient intervenir rapidement après les premières injections et dont vous nous parliez abondamment à l’époque ? »
Francis, troletbuse et quelques autres nous prédisaient effectivement des hécatombes.
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@Fergus
’’ Francis, troletbuse et quelques autres nous prédisaient effectivement des hécatombes. ’’
— >
Vous affabulez une fois de plus ; je vous mets au défi de trouver un seul post de moi où j’aurais prédit une telle chose ou quelque chose de ressemblant.
Vous êtes vraiment quelqu’un de très dangereux. -
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@Fergus
Allez voir la presse anglaise et non la presse propagandistes française.
Oui, une hécatombe de fausses couches, de morts intra-utérines.
La natalité en baisse dans tous les pays de l’UE
Après les AVC’S, les infarctus, etc, les maladies immun-déficientes explosent. Elles arrivent. Ca arrive doucement mais surement.https://www.francesoir.fr/societe-sante/japon-mortalite-covid-professeur-masanori-fukushima-plainte
https://www.wsws.org/fr/articles/2023/01/18/runi-j18.html
Bizarre qu’avec un si bon waxxin, les décès augmentent même en France
https://infodujour.fr/sante/64701-forte-hausse-de-deces-en-france-en-2022 -
@ Francis, agnotologue
Le mot « hécatombe » est employé de manière ironique.
Cela dit, je ne vais pas chercher, mais vous avez toujours été sur la même ligne que troletbuse qui, lui, a bel et bien écrit des énormités du genre « le vaccin causera beaucoup plus de décès que le Covid ».Les gens « dangereux » sont ceux qui ceux qui, comme vous, sont dans le déni de la réalité sanitaire.
Mais vous n’êtes pas obligé d’être d’accord avec moi. -
@Michel DROUET
même réponse qu’à Fergus.
Si ces injections ne devaient avoir aucun impact sur l’espérance de vie, alors pourquoi ont-elles été pratiquées aussi exagérément ? -
@Francis, agnotologue
Une première réponse évidente serait : question de pognon . -
@chantecler 09:33
pour tous les virus en général, je ne sais pas mais pour le virus « covid », je demande à voir. Il n’y a pas que des charlots qui l’ont affirmé : la prétendue isolation n’en est pas une¹.
Savez-vous que le test PCR a été validé à partir d’un virus non réel car soi-disant ils ne disposaient pas d’une souche ?
Lisez Jon Rappoport : vous en apprendrez un peu plus sur cette affaire (il a plus de 80 ans, il en a appris des choses sur les escroqueries intellectuelles).
¹ : le Dr Andrew Kauffmann est sur cette ligne par exemple. -
@Michel DROUET
Ces injections ne sont d’aucune utilité pour lutter contre les maladies respiratoires automnale et hivernales qui sont le fait de la pollution atmosphérique augmentée lors des pics de pollution. Il y a une « corrélation » parfaite entre « épidémies de maladies respiratoires » et « pics de pollution ». Certains s’en émeuvent, d’autres passent totalement à côté, les « virus » remplissant tout l’espace de la réflexion et justifiant « tout ».
Et lorsque vous introduisez des « nanoparticules » dans l’organisme humain, lorsque vous introduisez des molécules appartenant au « non soi », l’objectif prioritaire de l’organisme sera de s’en débarrasser, de les éliminer. Personne ne sait ce que contient le « liquide vaccinal ». Ce qui est « certain » c’est que l’organisme mettra tout en oeuvre pour s’en débarrasser.
Depuis la découverte des PRR (récepteurs de l’immunité innée), des TLR, des DAMP et des PAMP (je parle Chinois), le fonctionnement de notre système immunitaire aurait dû être révisé. Il ne l’a pas été et, pour cette raison, la « vaccination » se poursuit, alors qu’elle est absolument inutile : notre système immunitaire « innée » fait la différence entre « soi » et « non soi », immédiatement. La vaccination est un non sens absolu !
15 février 2023 : La France connait un pic de pollution aux particules fines, mais « aucune mesure n’a été prise » selon l’association Respire, pour lutter contre les plus dangereuses : les PM 2,5.
... « Sur les pics de pollution, il y a de vrais manquements en France. Aujourd’hui, la réglementation n’observe des pics que sur les particules PM10. Tout le monde dit »particules fines« , mais ce ne sont pas des particules fines. Les particules fines sont les PM 2,5 qui sont les plus dangereuses pour la santé. On passe complètement en dehors des radars aujourd’hui en France. Il y a eu un gros pic de pollution fin novembre, début décembre. On n’a rien vu. Il n’y a eu aucune mesure qui a été prise. Derrière, qu’est-ce qui se passe ? On a eu de gros pics de grippe, de bronchiolite, de Covid. On le sait que c’est directement lié. »...
Qualité de l’air : les particules fines « les plus dangereuses pour la santé » passent « complètement en dehors des radars », regrette l’association Respire.
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@leypanou
Mais oui,
Je connais comme nous tous , l’arnaque des « cas » covid via des « tests » PCR démultipliés à l’infini sur des fragments viraux , pour des « malades » asymptomatiques !
De plus je ne pense même pas à un type spécifique de virus covid : il y a eu tellement de mutations et recombinaisons ...
N’empêche qu’il y a bien un vecteur !
Et que c’est en hiver , froid , humidité , et contacts humains : transports en commun, lieux publics , qu’il y a le plus de grippes ! -
@Francis, agnotologue
Il existe plusieurs pistes de réflexion.
L’une d’entre elles consistant à comprendre que le « liquide vaccinal », était réparti en différents « lots ». Il est donc fort possible que ce « liquide vaccinal » ait été peu ou prou « différent » d’un lot à l’autre. Ces « lots » étaient bien identifiés et les effets sur les organismes assez facilement mesurables.
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@Legestr glaz
J’adore tous les « scientifiques » autoproclamés comme vous, qui ont tout lu sur les vaccins, mon cher homard bleu, mais il faut savoir ce que l’on défend...
Je vous joins la réponse faite à mon agnotologue préféré, un autre scientifique lui aussi qui explique des morts à venir par la « fatalité » : manque de rigueur flagrant tout de même, non ?
Il est vrai que nous ne sommes pas sur une revue scientifique prestigieuse et il est normal que tous les professeurs Nimbus de France et de Navarre se retrouvent sur ce fil pour exposer leurs théories approximatives.@Francis, agnotologue
Où sont les morts qui devaient intervenir rapidement après les premières injections et dont vous nous parliez abondamment à l’époque ?« ...ces foutues injections auront fatalement un impact sur l’espérance de vie et notamment l’espérance de vie en bonne santé » comme vous dites...
Vous évoquez la fatalité à défaut d’apporter des preuves ou des sources.
Pas très rigoureuse, votre méthode pour quelqu’un qui se flatte de combattre l’ignorance... -
@Legestr glaz
"Il est donc fort possible
« »peu ou prou"
J’adore votre rigueur scientifique...
Ce n’est pas avec ce genre d’approximation que l’on démontre quoi que ce soit...
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@Francis, agnotologue
Un peu court jeune homme et pour tout dire argument à côté de la plaque pour un « scientifique » de votre niveau qui devrait, en toute logique, développer sa théorie en s’appuyant sur le « great reset », non ? -
@Michel DROUET
Lorsqu’il s’agit d’un « secret d’Etat », il y a « peu » de rigueur scientifique à l’oeuvre. Même les mails entre « Ursula » et Bourlat" sont secret défense, alors...
Si, de votre côté, Michel DROUET, vous possédez des informations sur la composition des injections vaccinales, vous pouvez nous communiquer vos renseignements.
J’adore votre parti pris !
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@Legestr glaz
oui, des listes de numéros de lots ont circulé faisant état d’une dangerosités inégalement réparties.
C’est évident, puisqu’il s’agissait d’une expérience dont tous les injectés étaient cobayes à leur insu.
@MD : je ne sais pas si les labos ont fait preuve d’une rigueur scientifique irréprochable ou pas, mais je suis sûr que le narratif était tout ce qu’on veut sauf scentifique. C’est pourquoi dès le débit je me suis érogé contre cette expérience qui, comme la lettre cachée, disait clairement son nom !!!
Et tout le monde ou presque est tombé dans le panneau.
Sans nous, sans les résistants, il n’y aurait aucune preuve de l’incapacité de ces injections à combattre la maladie : il n’y aurait que des hourra !
cf. la poudre anti-éléphants. -
@Michel DROUET
Vous me faites beaucoup d’honneur en me classant dans la catégorie « scientifiques autoproclamés ». J’espère que vous vous rendez compte qu’il s’agit d’un « jugement » de votre part. J’appartiens à cette catégorie, selon vos propres critères. Vous faites les questions et les réponses, c’est assez commode.
Pour ma part, pour mettre les points sur les « i », je me considère comme un passionné de biologie, pas comme un « scientifique », que je ne suis pas. Ce qui ne m’empêche pas de comprendre le fonctionnement biologique de l’être humain. Mais, de vôtre côté, êtes vous en capacité de comprendre ce que j’écris ? Ceci expliquerait cela. L’effet « Dunning-Kruger » serait actif chez vous ?
Et lorsque vous parlez de rigueur, examinez simplement le miroir qui vous fait face, peut être que vous comprendrez. Venez vous exprimer avec des arguments, parce que ce que vous écrivez, ou rien, c’est du pareil au même.
-
@Fergus
Bonjour Fergus
Oui, en ce moment sur ce fil, nous assistons à une hécatombe de commentateurs qui se réfugient derrière une culture scientifique à la petite semaine, incapables de prouver et d’assumer leurs dires antérieurs et qui se réfugient dans l’approximation, le déni ou la fatalité... L’heure de vérité en quelque sorte.... -
@Legestr glaz
’’Depuis la découverte des PRR (récepteurs de l’immunité innée), des TLR, des DAMP et des PAMP (je parle Chinois), le fonctionnement de notre système immunitaire aurait dû être révisé. Il ne l’a pas été et, pour cette raison, la « vaccination » se poursuit, alors qu’elle est absolument inutile : notre système immunitaire « innée » fait la différence entre « soi » et « non soi », immédiatement. La vaccination est un non sens absolu !’’
— >
Le business plan des vaxineurs est basé sur une conception archaïque de notre ssytème immunitaire, et largement invalidée comme vous l’écrivez ici et d’autres ailleurs.
Mais on ne change pas un business plan qui gagne.
C’est là que le bât blesse toute la population. -
@Francis, agnotologue 11:10
oui, des listes de numéros de lots ont circulé faisant état d’une dangerosités inégalement réparties : plus grave que çà, j’ai lu hier qu’aux États-Unis, les lots avec la plus grande létalité (on les connaît maintenant les lots dangereux) ont été envoyés dans les états républicains. Est-ce par hasard ? Personne ne le sait. Mais les conséquences sont flagrantes.
Autre chose : l’infirmière allemande qui a injecté des tas de personnes âgées avec de l’eau salée au lieu de l’injection miracle a été acquittée. -
@Legestr glaz
Effet Dunning-Kruger qui se cumulerait chez vous avec le Principe de Peter... -
@leypanou
’’Autre chose : l’infirmière allemande qui a injecté des tas de personnes âgées avec de l’eau salée au lieu de l’injection miracle a été acquittée’’
— >
Je me suis posé la question : est-ce qu’il n’y aurait pas eu beaucoup de héros comme elle et qui n’ont eu par rapport à elle que la chance de ne pas se faire prendre ?
Merci de l’info. -
@Fergus
Quand le ressenti des populations, et les statistiques ne sont pas en phase, on peut émettre l’hypothèse que la vérité officielle est liée à des biais d’analyse, et que les gens évoquent un malaise dans la civilisation, qui n’est pas remontée, par ces voies froides de la statistique informatisée.
Analyse qui peut être évidemment faussée, la réforme des retraites étant la première qui me vient à l’idée. Il est évident qu’il est plus facile de vendre un allongement de la vie active, ne serait ce que de façon insensible, quand on serine aux gens qu’ils vivent plus longtemps, et qui plus est, en meilleure santé, pour leur vendre l’allongement des années de cotisation. .
D’autres facteurs mortifères agissent sur l’intention politque : C’est une façon de nier l’importance sur la santé d’un environnement qui se dégrade, avec les réformes qui y seraient liées. Les agriculteurs sont parmi les premiers à s’appuyer sur ce genre d’information, pour dire que finalement, les pesticides, et autres polluants, et dégradation de l’air et des eaux, celle ci bien actées, n’’ont pas d’impact sur la santé.
Les statistiques enfin ne traitent enfin que sur les informations qu’on leur donne à digérer. Quand la dessertification médicale atteint un niveau jamais atteint, et que voir un médecin, par le parcours imposé, où il faut parfois faire plus de 30 kms pour voir un médecin, entre deux portes, tant ils sont surbookés, et n’acceptent pas de nouveaux clients, il faut être en bonne santé pour pouvoir aller consulter, et donc donner aux médecins, les informations qui devront être, elles mises dans la bonne colonne, pour être validés.
Enormément de gens dans ce pays ne consultent tout simplement plus. Les charlatans, et les magnétiseurs de tous poils, fleurissent sur cette pénurie. 6,3 millions de personnes dans ce pays n’ont pas de médecin traitant dans ce pays. Ceux qui en ont un n’ont pas l’energie toujours d’aller le voir. La rapidité du turn over imposé par ce fait ne permettra pas toujours des entretiens poussés, succeptibles de remonter un vrai problème.
Ainsi, des gens ayant des vrais problèmes qui les mettaient dans le groupe de personnes en mauvaises santé, restent dans la bonne. Cela ressemble au cynisme de nos dirigeants qui ont intentionellement diminué le nombre de médecins, et de structures médécales hospitalières afin de diminué les actes, et les ordonnances, de façon mathémaique.
Quand je vois, comme tant d’autres, les difficultés que m’ont donné le dossier à remplir sur les économies d’energies, avec l’impossibilité de rentrer certaines informations essentielles, je pense qu’il y un grand risque d’instrumentalisation, afin de faire coincider les informations venant de la base, avec celles qu’on veut obtenir en haut.N’attendons pas de l’assurance maladie de tirer la sonnette d’alarme, de peur d’affoler la population. Ma pratique infirmière a été assez desespérante lors des dernières années, avec cette impression de faire sortir les malades bien trop tôt de l’hopital pour accetper la parole rassurante de cranes d’oeufs vous disant que tout va bien, aujourdh’ui, mieux qu’hier, et demain, mieux qu’aujourdh’ui, pour prendre au mot des affabultions, digne d’un centre de diagnostic automobile véreux, vous disant que votre voiture est en pleine forme, si vous lui glissez un petit pourboire.
L’espérance de vie, bousculée pendant la pèriode de covid, quand à elle, a effectivement montée, de façon très légère. Depuis 10 ans en fait, les gains sont symboliques, sur une crète. Peut être serait il temps de s’interroger sur d’autres curseurs plus intéressants, propres à saisir le sentiment de sécurité des gens, et l’envie d’aller plus loin dans l’âge. -
@Legestr glaz 11:14 et éventuellement Francis
je ne sais pas si vous êtes au courant mais les 21-22 janvier 2023 a eu lieu à Stockholm une série de conférences intitulée Pandemic Strategies, lessons and consequences avec plus de 20 scientifiques. Pour le moment, j’ai écouté seulement Dr Astrid Stuckelberger (plus de 40 mn tout de même). Chaque intervenant a sa particularité comme le Dr Malhotra, cardiologue qui a changé d’avis sur l’injection, le Dr Malone, pionnier de l’ARNm, piquousé, la Dr Meryl Nass, menacée d’examens psychiatriques par les autorités états-uniennes car dispensant un protocole non dans la ligne et suspendu, Dr Pierre Kory du FLCCC, etc, etc.
Même si vous écoutez seulement les moins de 2mn de chaque intervenant, çà vaut déjà le coup.
Le lien est ici : bon visionnage (il faut autoriser rumble).
PS TheExposé en avait parlé, mais bizarrement à ma connaissance UK Column n’en a pas parlé. -
@Francis, agnotologue
« Mais on ne change pas un business plan qui gagne.
C’est là que le bât blesse toute la population. »
Oui, on passe aujourd’hui au Papillona Virus pour tous avant le premier rapport sexuel. -
@velosolex
’’Il est évident qu’il est plus facile de vendre un allongement de la vie active, ne serait ce que de façon insensible, quand on serine aux gens qu’ils vivent plus longtemps, et qui plus est, en meilleure santé, pour leur vendre l’allongement des années de cotisation. .’
— >
Bien vu.
Où l’on s’aperçoit que Fergus n’en rate pas une pour valoriser la politique actuelle.
Un « sans-faute » aussi éclatant c’est chelou. -
@Michel DROUET
Merci quand même d’entrer en matière.
Selon les renseignements en votre possession, vous pouvez, avec votre rigueur scientifique légendaire, nous préciser que les injections avaient toutes un contenu identique ?
Je cite un journal que vous qualifierez, probablement, de « complotiste », mais je prends ce risque :
... « C’est sur certains de ces « problèmes » que portent les autres documents dérobés en décembre 2020, non suspectés de manipulations par l’EMA. Et plus particulièrement, les problèmes concernant le vaccin Pfizer-BioNTech. On découvre ainsi qu’en novembre l’agence européenne formulait trois « objections majeures » vis-à-vis de ce vaccin : certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »...
Et vous, Michel DROUET, ce point ne vous a pas préoccupé ?
Vous avez très certainement des arguments à faire valoir Michel DROUET. Nous les attendons.
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@jacques
’’Oui, on passe aujourd’hui au Papillona Virus pour tous avant le premier rapport sexuel.’’
— >
j’ai même vu qu’il est question de vaxiner la faune naturelle, les abeilles pour commencer.
Cela me rappelle, en pire, cette époque naïve encore, où les ligues de vertu voulaient mettre des culottes aux animaux domestiques. -
@Michel DROUET
Psittacisme !
La cour de récréation ré-inventée par Michel DROUET : c’est celui qui dit qui est." La rigueur scientifique de Michel DROUET en action. Très convaincante intervention.
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@leypanou
Merci beaucoup, je vais regarder ça.
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@Francis, agnotologue
Faudrait waxxiner le Poudré vu que le Papillonavirus pourrait entrer par la porte de derrière -
Bonjour, velosolex
Merci pour vos réflexions dont je partage la majorité d’entre elles, notamment sur celles qui portent sur le rapport de nos concitoyens à la santé dans un cadre dégradé. Deux remarques :
« Quand le ressenti des populations, et les statistiques ne sont pas en phase »
Certes ! Mais il s’agit là manifestement du « ressenti » d’une partie de la population, plus ou moins auto-persuadée que l’étude est faussée.« Il est évident qu’il est plus facile de vendre un allongement de la vie active, ne serait ce que de façon insensible, quand on serine aux gens qu’ils vivent plus longtemps, et qui plus est, en meilleure santé, pour leur vendre l’allongement des années de cotisation »
Vrai. A ce détail près toutefois que les statistiques sur l’espérance de vie en bonne santé étaient déjà en progression depuis des années. Et comme je l’ai souligné dans un autre commentaire, le gouvernement ne communique pas sur cette étude qui lui est pourtant favorable. Ce qui semble démontrer une décorrélation entre son action et le travail des statisticiens. -
@Fergus
Avec les « bons » indicateurs, aucune chance de voir régresser la vie en bonne santé.
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@Fergus
J’insiste sur le fait que les statistiques sont forcément faussées, les gens même en mauvaise condition de santé, consultent bien moins, en raison de la désertication médicale. Leurs pathologies et leurs difficultés au quotidien ne sera pas ainsi remontés au premier stade du constat médical qu’il faudra valider.....Il faut une voiture, en campagne, ou l’aide des voisins pour aller consulter. Les médecins ne peuvent guère se déplacer, dans la mesure des besoins, étant déjà surbookés dans leur cabinet.
Les statistiques ne prennent pas en compte ses biais évidents, et même si je ne suis pas spécialiste de la science statistique, il va de soi que l’interprétation qu’on veut avoir a priori du résultat d’ensemble, induit forcément une analyse partisane, avec une langue de bois appropriée.
(Je me souviens des difficultés que l’on a eu à faire reconnaitre un taux d’invalitdé pour ma mère, alors qu’elle n’était absolument plus autonome, pour être du reste très sceptique sur les statistiques à refléter une réaltié autre que celle qu’on veut obtenir).Je viens encore d’entendre au journal de 13 h, un soi disant professeur, ayant un mandat accordé par le gouverenement, recommandé pour la ennième fois la fermeture des maternités dans les petites villes où elle existent encore. Non, pour des raisons économiques...Mais car la vie des mères seraient en danger....Il est vrai que notre pays se distingue actuellement par une augmentation de la mortalité des nouveaux nés.
« En dix ans, le nombre de décès de nourrissons a augmenté de 25%, selon Santé Publique France qui alerte sur l’évolution « préoccupante » de la santé périnatale. Chaque année, 1700 nourrissons perdent la vie en France avant d’atteindre l’âge de 27 jours. »Mais encore ne faudrait il pas en profiter pour prendre des mesures économiques encore aberrantes, car le risque pathologique est lié à d’autres facteurs, lié au suivi.
Mais de nous jours, la communication, et les chiffres, font valeur de vérité. -
@velosolex
es statistiques sont forcément fausséesah bon ?
donc tout ce qui se raconte sur le « chaos » climatique serait de la daube ?comme toujours on est victime du biais de confirmation, on accepte sans réserve les annonces suivant nos propres croyances
et même comme c’est le cas ici, on observe un gains de longévité, la clique habituelle ne peut l’accepter, car les sols sont morts, nous sommes pesticidés, et nous grillons dans la poele à frire
en réalité ,jamais nous n’avons eu une telle sécurité , que ce soit alimentaire, juridique,santé,jamais nous n’avons eu une telle facilité , un tel confort, jamais nous n’avons autant d’opportunités pour réaliser nos envies
mais curieusement, nous nous devons de nous repentir
le zievereer en chef l’a dit:l’opulence c’est fini, nous allons mortifier, il le faut, les statistiques, la sciences , sont formellesmais quelle bande de TDC
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@joletaxi
copié-collé : « et même comme c’est le cas ici, on observe un gains de longévité, la clique habituelle ne peut l’accepter, »...le titre de l’article est :« L’espérance de vie en bonne santé augmente ».
L’article ne traite pas du gain de longévité. Vous aurez mal compris.
Il s’agit d’un objectif de l’OMS que de « vieillir en bonne santé ».
... « La Décennie du vieillissement en bonne santé (2021-2030) vise à réduire les inégalités en matière de santé et à améliorer la vie des personnes âgées, de leurs familles et de leurs communautés grâce à une action collective dans quatre domaines : changer notre façon de penser, de ressentir et d’agir en fonction de l’âge. »...
Sachant que Bill Gates est le plus grand donateur envers l’OMS, sachant que Bill Gates a crée le GAVI (l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation), quelle est la probabilité pour que les « vaccins » fassent partie des « outils » qui seront mis en oeuvre pour atteindre les objectifs ? C’est « complotiste » ça ? -
@troletbuse
https://nouveau-monde.ca/morts-subitement-comment-google-nous-eclaire-sur-cette-realite/
Où l’on s’aperçoit que même des journaux comme le New York Post, difficilement soupçonnable de « complotisme » (comme ils aiment dire pour couper court) propose des chiffres de « died suddenly » en nette augmentation sur les trois dernières années ...
Pauvres Américains, s’ils avaient eu les Vosges, et Macron... pas de bol...
Waterpolo revisité (V.Hugo me pardonnera)
« Il dit Macron !, c’était Biden... »
Morne plaine, en effet... -
@joletaxi
Je me demande si vous ne faites pas la confusion entre « statistiques » et « indicateurs » d’objectif ?
... « L’objectif définit le résultat que l’on souhaite atteindre. Il ne s’agit pas d’un paramètre quantifiable. L’indicateur est ensuite utilisé pour mesurer l’évolution vers l’objectif. »... Et les indicateurs doivent être « pertinents ». Il ne s’agit pas de « statistiques ».
Il y a un fossé entre étudier la mortalité dans un pays, qui est déterminée par des chiffres, et mesurer la durée de vie en bonne santé qui ne peut pas être mesurée par des chiffres. Il n’y a aucune polémique sur ce qui fait un mort et ce qui doit être compté comme « mort ». En revanche, il y a nécessairement « polémique » concernant ce qui procède de la « bonne santé », ou pas, puisque ceci reste éminemment « subjectif ». Il faut donc introduire certaines notions et des « indicateurs ». Vous en arrivez, de fil en aiguille, à parler de « statistiques faussées » et de « gains de longévité ». Difficile de vous suivre sur ce chemin chaotique.
-
@troletbuse
Tout un chacun a remarqué que Fergus classait complotiste tout site même officiel qui contredisait sa propagande mensongère. Il ne répond qu"à ce qui l’arrange dans ses mensonges.
Pour la manif du 7 mars à laquelle il nous dit participer : je lui conseille de rgarder le site donné par Ouam pour voir si il aura besoin de s’équiper d’un flambeau car il fera encore jour à Dinan
A l’âge d’au moins 78 ans, cette réforme ne l’intéresse pas.Mais comment va-t-il faire pour exhiber un panneau expliquant que la durée de vie en bonne santé a augmenté et qu’après tout travailler 2 ans de plus, c’est pas grave ? -
-
Bonjour, Durand
Cela semble intéressant et très en prise avec l’actualité agricole, mais quel rapport avec le sujet du vieillissement en bonne santé ?
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@Fergus
Si, comme dit le dicton, « une pomme par jour éloigne le médecin » (à condition de bien viser), ben pour vieillir en bonne santé il me semble qu’il faut disposer d’une alimentation suffisante et de bonne qualité, non ?
..
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@Durand
Une pomme bourrée de pesticides et similis ? -
@Durand
De mon temps (sic), on pouvait envisager de manger une pomme après l’avoir essuyée avec une serviette de table, puis on est passé à laver la pomme, aujourd’hui, je n’oserais pas manger une pomme que je n’aurais pas lavée, séchée, pelée, c’est dire le « progrès » en matière de qualité alimentaire ...
« Mangez des pommes ! » qu’il disait, le claqueur de culs de vaches...
Certes... -
@eau-mission
LOLje confirme.
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@Lynwec
À force de peler la pomme à outrance il nous restera plus que les pépins à savourer !!! -
@ Durand
« il faut disposer d’une alimentation suffisante et de bonne qualité, non ? »
Vieux débat sur lequel je porte un regard très nuancé. Certes, l’on parle de « malbouffe », et c’est justifié pour nombre de productions, notamment exposées aux usages d’engrais et de produits phytosanitaires.
Mais en parallèle les normes sanitaires ont beaucoup évolué dans les usines et dans les commerces alimentaires.
A cet égard, je constate que, dans ma jeunesse, on mangeait beaucoup moins varié dans les classes populaires, et il y avait beaucoup plus de cas de légionellose, de listériose, de botulisme, et même parfois de scorbut.
Le fait qu’au final, les gens vivent nettement plus âgés et en nettement meilleure forme interpelle, non ? Surtout que la panoplie pharmaceutique ne peut pas à elle seule expliquer ces progrès spectaculaires.
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@Fergus
Vous utilisez le petit bout de la lorgnette Fergus. Les gens, « avant », ne mourraient pas du tout des mêmes maladies que celles qui se développent aujourd’hui. Les gens âgées étaient en bonne santé. Une grande mortalité avait lieu durant l’enfance.
Les énormes progrès réalisés dans le domaine de l’hygiène ont bouleversé la donne. Et la découverte des antibiotiques a sauvé des millions et des millions de vies. « Avant », n’importe quelle infection bactérienne (un piqûre, une coupure, une morsure, de l’eau souillée) vous emportait alors qu’aujourd’hui en une semaine chrono vous êtes guéri. Et que dire des techniques chirurgicales qui se sont développées.
La différence entre « hier » et « aujourd’hui » repose sur l’existence des antibiotiques, des règles d’hygiène strictes observées (la pollution de l’eau avait des effets désastreux), des techniques chirurgicales. Quant aux « médicaments », ils soulagent les « effets » d’une maladie mais ne soignent jamais les causes. Ils sont une rente sans fin pour l’industrie du médicament.
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@ Legestr glaz
« Quant aux « médicaments », ils soulagent les « effets » d’une maladie mais ne soignent jamais les causes »
Certes ! Mais le fait est que des millions de gens vivent sans problème durant des décennies — et sans effets secondaires — en étant diabétiques ou hypertendus grâce aux traitements régulateurs. -
@Fergus
Je peux concéder que, dans un « tout premier » temps, il peut être utile de faire prendre des hypotenseurs ou des antihyperglycémiants aux malades. Ceci doit être très bref.
Ces médicaments « détraquent » le métabolisme de l’organisme parce que se sont, souvent, des inhibiteurs de certaines molécules. Et si l’organisme produit justement ces molécules, ce n’est pas plaisir mais par utilité. Inhiber la production de ces molécules c’est jouer avec le feu.L’hypertension « peut » se soigner par des mesures d’hygiène alimentaire, la diabète « peut » se soigner de la même façon.
Si l’hypertension apparait, il ne faut pas considérer que c’est un « dysfonctionnement » de l’organisme. L’hypertension est une mesure de « sauvegarde » prise par l’organisme dans l’urgence de la situation. C’est un « pis aller » que choisit l’organisme pour se sortir d’une situation délicate.
Quant au diabète, puisqu’il s’agit d’une maladie par convention, qui montre une présence excessive de glucose sanguin, lequel glucose « attaque » les protéines en circulation dans le sang (phénomène de la glycation non enzymatique des protéines, parfaitement connus des biologistes), et qui, progressivement, fait échouer les LDL dans les vaisseaux, ces LDL qui sont oxydées, qui bouchent les vaisseaux, qui sont à l’origine de l’hypertension, et bien il suffit de mettre fin au processus de « glycation non enzymatique des protéines » pour qu’enfin, les macrophages parviennent à éliminer les LDL oxydées échouées dans les vaisseaux. Mais ceci ne se passe jamais. Parce que « l’idée », la « très » mauvaise idée, c’est de prescrire des antihyperglycémiants aux diabétiques et non de leur imposer une diète avec une consommation très basse de glucides, qu’ils soient à index glycémique bas ou élevé d’ailleurs.
Parce que les « médicaments » ne pourront jamais guérir un malade de son hypertension ou de son diabète.
La « metformine » est un médicament antihyperglycémiant donné aux malades première intention. Elle permet de faire baisser le taux de glucose sanguin. Ceci est resté longtemps un mystère mais aujourd’hui l’on sait très exactement que c’est en inhibant légèrement le complexe I de la chaine respiratoire mitochondriale, qu’il « impose » à l’organisme de produire son ATP par une voie métabolique alternative, à savoir la glycolyse, ce qui utilise le glucose. Mais ceci présente le défaut de faire produire à ces malades de l’acide lactique et de les mettre en danger d’acido-cétose. Quoi qu’il en soit, la « metformine », à laquelle on ne cesse de tresser des louanges, peut s’avérer très dangereuse. Mais elle aussi ne règlera jamais le problème du diabète. Seules des mesures « diététiques » sont en mesure de le faire. Mais ces mesures diététiques ne font pas appel aux médicaments ! C’est ballot.
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@ Legestr glaz
Vos observations sont sans doute très pertinentes.
Pour autant je constate — parmi d’autres exemples — que mon épouse (78 ans), tout à la foi hypertendue chronique et diabétique, prend des médicaments régulateurs depuis une trentaine d’années. Et cela n’a jamais eu d’effets négatifs sur son existence.
Je précise en outre qu’elle ne suit pas de régime alimentaire particulier : comme moi, elle est même très friande de charcuterie et surtout de fromage. -
@Fergus
Alors que vous dépendez de médicaments régulateurs, vous êtes considérés en bonne santé ?
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@ Adèle Coupechoux
Bien sûr, dès lors que ces médicaments n’ont pas d’influence négative sur votre vie. Comme je l’ai écrit à Legestr glaz, mon épouse — à l’image de millions d’autres Français ! — suit un traitement depuis 30 ans contre le diabète et depuis 50 ans contre l’hypertension (j’avais indiqué 30 ans par erreur). Jamais elle n’en a été affectée d’une quelconque manière ; au plan physique, elle a pu faire de la randonnée sans problème durant toutes ces décennies, et il lui arrive encore de parcourir plus de 15 km dans la journée, notamment en montagne.
-
@Fergus
Ce qui ne veut pas dire que votre femme est en bonne santé. Visiblement elle consomme trop de glucides entrainant des phénomènes d’oxydation en cascade.
Votre femme, comme une majorité de personnes, préfère prendre sa « petite pilule », son « traitement médical », plutôt que surveiller son hygiène alimentaire. Ce sont des choix de vie. Que je ne critique pas. Mais l’épée de Damoclès est toujours au dessus de la tête de ces personnes. Un AVC ou une crise cardiaque sont dans l’ordre des possibles si ce n’est l’émergence d’une maladie dégénérative, Alzheimer, à corps de Lewy ou Parkinson.
-
@ Legestr glaz
Houla ! Je ne lui ferai pas lire votre commentaire. Cela dit, elle est en pleine forme à 78 ans, et son médecin considère que son mode de vie, très actif aux plans intellectuel et physique, lui convient bien.
-
@Fergus
Quand on prend un traitement, on ne pas être en pleine forme. Surtout depuis aussi longtemps. Un collègue qui va sur ces 65 ans, diagnostiqué hypertendu, a tout simplement modifié son alimentation. C’est vrai que nous ne sommes pas tous égaux en matière de santé. En tout cas, sa tension s’est normalisée.
Mais si ce traitement permet à votre femme de ne pas changer ses habitudes alimentaires.. C’est assez déroutant quand même de considérer un traitement comme une possibilité d’entretenir ses maladies. Votre femme reste quand même une personne à risque. -
@Fergus
Détrompez vous Fergus, le fromage et la charcuterie ne sont nullement dangereux. Ce sont les glucides en excès les coupables, pas les lipides, même pas les acides gras saturés. Fromage et charcuterie = zéro glucide. Le problème c’est que le fromage se mange avec « du pain », que la charcuterie se mange avec « du pain ». Il faut éliminer l’un ou l’autre et c’est le pain le plus « dangereux » pour la santé. Hélas, hélas, hélas, parce que le pain : qu’est-ce que c’est bon.
Vous le savez, n’est-ce pas, que ce sont les « glucides » qui déclenchent l’action de l’insuline. Ce ne sont ni les protéines ni les graisses. Le diabète se signale par un taux de glucose sanguin trop important. Ce glucose sanguin, trop souvent trop élevé, provoque un stress oxydatif qui, petit à petit, induit l’oxydation des LDL (ces lipoprotéines qui transportent les acides gras et le cholestérol), qui vont s’échouer dans les vaisseaux, provoquer le début de l’athérosclérose et faire survenir l’hypertension en réaction à la diminution du calibre du vaisseau bouché. Tout ça les biologistes le savent parfaitement bien. Et parenthèse sur le cholestérol : il n’est, lui non plus, coupable de rien. Ce sont les LDL qui le transportent qui sont « oxydées » par des niveaux de glucose sanguin trop élevés et qui provoquent l’intervention des macrophages pour débarrasser le terrain « encombré ». Mais les macrophages eux même sont submergés par la tâche et se transforment en cellules « spumeuses » parce qu’ils s’engorgent. La plaque d’athérome se forme dans ces conditions.
https://www.eurofins-biomnis.com/services/referentiel-des-examens/page/LDLOX/#
https://www.inserm.fr/dossier/atherosclerose/
En présence d’un diabète et d’une hypertension, on prend des risques immenses concernant sa santé.
-
@Fergus
Croyez bien que je me réjouis pour elle et je ne peux que lui souhaiter de vieillir en conservant toutes ses aptitudes physiques et intellectuelles. -
@ Adèle Coupechoux
« Quand on prend un traitement, on ne pas être en pleine forme. Surtout depuis aussi longtemps. »
C’est pourtant le cas. Et comme c’est aussi mon cas, nous retournons cet été en Suisse pour crapahuter sur les sentiers de l’Oberland bernois.
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@ Legestr glaz
« Croyez bien que je me réjouis pour elle et je ne peux que lui souhaiter de vieillir en conservant toutes ses aptitudes physiques et intellectuelles »
Merci pour elle.
-
@Fergus
Il y a là une illusion d’optique...
« Jusqu’ici tout va bien », pourrait dire un type en 1939.
D’une part, les gens qui meurrent aujour’hui, sont ceux qui sont nés à partir de 1935, quand la natalité était faible.
A partir de 45, celle ci augmente considérablement, et l’exigence médicale qui va être demandé pour les soutenir, quand ils atteignent les années de vieillesse, où l’assistance médicale devient un enjeu, est inversement proportionnelle aux moyens qui eux se dégradent à toute vitesse.« Si les tendances démographiques et l’amélioration de l’état de santé se poursuivaient, la France hors Mayotte compterait 4 millions de seniors en perte d’autonomie en 2050, soit 16,4 % des personnes âgées de 60 ans ou plus (contre 15,3 % en 2015). Les personnes très dépendantes représenteraient alors 4,3 % de la population des 60 ans ou plus (contre 3,7 % en 2015). »
https://bit.ly/3KU2mOS"
Il est évident que la tendance est inquiétante, et que les chiffres sont en trompe l’oeil, comme une voiture dont on coupe le moteur mais qui continue à garder une bonne allure pendant un moment, profitant d’une descente.
La désertification médicale, le réchauffement climatique et les désordes neuro biologiques associés, l’augmentation prodigieuse des personnes agés, sont les tendances qui vont produire des effets évidents sur non seulement les personnes agées, mais, bien plus grave sur le reste de la vie en elle même. -
@velosolex
une bonne nouvelle... quibien entendu est inaudible pour les Philipulus
par contre on voit bien le bénéfice des mesures courageuses, héroïques de nos gouvernements, à savoir , interdiction du glyphosate, et bio dans les cantines
n’oublions pas l’académie du vélo
avec l’interdiction prochaine des pesticides en général, l’obligation du bio, végan de préférence ;la voiture inabordable, le chauffage à 19, bientôt à 12 au prix où va l’énergie, je nous vois tous centenaires
bien sur l’âge de la retraite passera à 78 ans pour les travailleurs, à 82 ans pour les glandeurs éligibles au télétravailmais quelle bande de TDC
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@ velosolex
L’avenir nous dira si vous avez vu juste.
-
@Fergus
Vivement les vacances estivales alors !
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@eau-mission
Un article didactique sur le climat et le cycle de l’eau, où le CO2 est marginalisé :
https://m.uneseuleplanete.org/Cycle-de-l-039-eau-et-Climat-les-interrelations
..
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@Fergus
Tant mieux pour vous si vous passez à travers les gouttes, Fergus, ainsi que votre femme, et on en est heureux pour vous. Néanmoins un cas ne fait pas une généralité. On se félicitera qu’il y ait maintenant des traitements pour les diabétiques, et les cardiaques, mais rien ne vaut une hygiène de vie. Le diabète de type 2, dit gras, peut être guéri, dans certains cas si on agit en le répérant assez tôt, en utilisant des médicaments hypoglycémiants et en changeant ses habitudes allmentaires.
L’alimentation, c’est la base de tout. Etrange que le gouvernement ne soutienne pas la filière bio, car elle est primordiale. Les gens sans doute vivaient moins longtemps jadis, mais même s’ils avaient une alimentation moins variée, elle était bien plus saine, et leur correspondait...Notre macrobiote est un élément hériditaire de notre identité collective. Les asiatiques par exemple supportent bien moins le lait que nous pour cela. Des milliers d’années nous ont adapté à une certaine forme d’alimentation, et la globalisation des échanges, à ce propos peut générer des problèmes gastriques ou d’intolérances.
. Les pesticides ont fait leur apparition après la seconde guerre...Les gens vivaient de façon bien plus autonome quand on sait qu’un français sur cinq était agriculteur. Par contre l’alcool était un fléau redoutable, et totalement décomplexé, et même vu comme un fortifiant, qu’on donnait aux gosses. J’ai bu pas mal de cidre, comme tant d’autres, quand j’étais gamin. La faculté recommandait un litre de vin par jour pour les travailleurs de force.....La qualité des eaux s’est évidement améliorée. Du moins au robinet. Pour les eaux de rivière, c’est autre chose.
La dureté du travail était aussi un aspect primordial de morbidité. Les maçons portaient sur leur dos, comme les charbonniers, des sacs de 50 Kilos, voir plus. Que dire des métiers de la mine ? Des normes de sécurité, des travailleurs de l’amiante ? Les deux guerres avaient aussi généré leurs millions d’estropiés, et d’alcooliques. Personne ne parlait bien sûr des situations post traumatiques. « Serre les dents, ça ira mieux ! »...... Les vieux avaient des retraites misérables, et ne flambaient pas en SUV, mais sur un vieux biclou rouillé pour aller au marché....L’allongement de la vie, tient au fait qu’on a érradiqué les maladies infantiles, amélioré la prise en charge des parturientes. Nous venons de très loin. L’espérance de vie etait de 40 ans à tout cassé il y a deux siècles.Les logements offraient eux aussi des risques sanitaires en nombre...Pas d’aération, sinon les courants d’air, un humidité souvent tenace, dégageant des moisissures. Les visites au médecin étaient rares, et quand on n’y allait, c’est qu’on avait vraiment un gros problème. Pas de prévention et de connaissances des symptomes inquiétants. Les antibiotiques ont eu un effet miraculeux sur des maladies qui étaient des maladictions. Ce n’est qu’à partir des années 70 que la surmédicalisation est devenue un problème, et l’association du lobby pharmaceutique, avec le corps médical en porte une grosse responsabilté. Les effets délètèrent se mesurent maintenant sur l’environnement pollué par les résidus....Nous somme maintenant dans la partie des conséquences à payer. Et je crains fort que l’espérance de vie, soit pour une bonne partie de la population sur un pic. Pas certainement pour l’autre partie. L’homme « augmenté », et la chirurgie sélective, une médication réservée aux plus riches, risquent d’être notre avenir, entérimant les prophéties d’Aldous Huxley, dans « le meilleur des mondes »
La vie était incomparablement plus dure dans le passé que maintenant. C’est une chose que les jeunes ne maitrisent pas trop, car on leur serinaiit ce cliché « des 30 glorieuses », en n’ayant aucune connaissance historique, sociale, ou sociologique de ces années là. Lire les bouquins de Zola, de Flaubert ou d’Hugo est inégalable, pour comprende d’où nous venons. Il est important de savoir la charge que les hommes avaient sur le dos, pour se faire une petite idée de la cause pour laquelle certains se sentent toujours jeunes à 83 ans, comme Jacques Lang, qui ne veut pas décoincer de l’institut du monde Arabe, ou il se cramponne comme une bernique, entre deux passages chez un chirurgien qui luir retend le visage
Maintenant il faut ne pas perdre de vue, qu’il y a un décalage qui existe, entre l’exposition aux risques et leur effet sur la morbidité. Les prises de toxiques de plus en plus importantes chez les jeunes, ( et les moins jeunes ;..) le stress et la dépression qui se traduisent pas une montée des « incivilités », (bel euphémisme), la traduction sur le terrain d’une sous médicalisation pour une bonne partie des Français, renonçant maintenant aux soins pour des raisons soient économiques, ou d’eloignement des centres de prises en charge médicaux ( médecins, mais aussi dentistes, ophtalmologie, etc..) , et la division des lits d’hospitalisation par deux en 40 ans, et qui continue de plus belle, vont se traduire en effets morbides, d’autant plus qu’ils peuvent se centrifuger. Ainsi, des jeunes mal dans leur peau, peuvent prendre des toxiques, pour s’automédicaliser s’ils sont dépressifs. Ne parlons pas de ceux qui sont complotistes, et ont décidé de mettre un terme avec leur relation avec big pharma, sans nuances aucunes -
@velosolex
bonsoir
j’ai adoré lire votre commentaire, il est plus complet que de nombreux article !!
j’allais éteindre l’ordi mais du coup je suis allé lire l’article de Fergus que je n’avais pas encore lu
vous êtes un bon rabatteur -
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Bonjour, velosolex
« un cas ne fait pas une généralité »
C’est évident, mais le fait est que, autour de moi, nombre de « personnes âgées » de 70 ou 75 ans, voire plus, sont en très grande forme physique et intellectuelle. Ce qui me surprend dans la mesure où, il n’y a pas si longtemps, l’on considérait les personnes abordant les 70 ans comme des vieillards plus ou moins subclaquants.« Les gens sans doute vivaient moins longtemps jadis, mais même s’ils avaient une alimentation moins variée, elle était bien plus saine »
Je ne suis pas d’accord : l’alimentation avait plus de goût, et elle était effectivement moins exposée aux engrais et aux produits phytosanitaires, mais les conditions de fabrication et de conservation généraient de nombreux problèmes de santé. A cet égard, je me souviens de l’état des matériels de collecte du lait dans les exploitations agricoles de mon enfance et de celui des laiteries coopératives : c’était parfois carrément lamentable !Pour les reste, d’accord avec vous sur les progrès de santé publique et d’assainissement de l’habitat et des eaux.
Un mot quand même sur « les jeunes mal dans leur peau » qui deviennent toxicos « pour s’automédicaliser s’ils sont dépressifs ». C’est, à mon avis, un phénomène de société très largement induit par le fait que lesdits jeunes sont blasés tant ils ont accès à tout dans notre société de surconsommation, et pour beaucoup formatés par les réseaux sociaux. Rien à voir avec un manque d’offre de soins !
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@Fergus
Pesticides : le « tour de passe-passe » pour rendre l’eau potable
Je me rappelle pas de jeunes clodos dans la rue, avant les années 90. C’est là en psychiatrie qu’on a commencé à les accueillir. La psy est une tête de pont des problèmes de la société. Jusqu’alors on accueillait beaucoup de vieillards, en état d’incurie et d’extrème solitude, potentialisant l’alcoolisme, voir les délirium tremens, une pathologie heureusement disparue, dont j’ai vu le dernier épisode il y a 20 ans. Mais les états de manque des toxiques ont pris la rélève,encore plus redoutables, surtout pour les proches. Le cas de Palmade a révélà au grand public, que deux mondes qui ne se croisent jamais, peuvent néanmoins se télescoper....
Les problèmes économiques des anciens ont été transféré aux jeunes, qui, de plus en plus, s’ils ne bénéficient pas d’un bon cadre, et surtout de parents aidant, se retrouvent dans des situations de grande précarité.
Miracle : Grâce aux réformes sur le chomage, et la radiation de beaucoup de bénéficiaires, le pays irait mieux.
Encore un thermomètre suspect, autre que celui de cette espérance de vie en meilleure santé.
Pour tout dire, je n’accorde qu’une importance relative à ces histoires d’espérance de vie, en bonne ou mauvaise santé, qui ne veulent pas dire grand chose, si ce n’est rassurer l’opinion, dans un monde, où l’espérance de vie de la terre, devient alarmante.
Je vous ai déjà dit pourquoi j’estimais que ces chiffres étaient matière à caution, car politquement instrumentalisés. L’état à ce propos à déjà agi sur les critères de potabilité des eaux, ou de l’air, changeant leur seuil de toxicité quand ils devenaient non maitrisables. https://bit.ly/3J8t8lD (Comment pouvez vous prendre au mot ces données, qui remontent de médecins traitant qui ont disparu en partie du paysage, et que parvenir à en trouver un, dans certains coins du territoire, demande vraiment d’avoir une bonne santé, dans ce parcours de soins impossible ?
La météorologie nationale ne s’appuie pas que sur une seule centrale météo, pour faire ses projections. Si l’on supprime la moitié de celles ci, comment peut on prendre au mot une analyse du climat ?..... -
@Fergus
« personnes âgées » de 70 ou 75 ans, voire plus, sont en très grande forme physique et intellectuelle. Ce qui me surprend dans la mesure où, il n’y a pas si longtemps, l’on considérait les personnes abordant les 70 ans comme des vieillards plus ou moins subclaquants.«Pour la »très grande forme intellectuelle et physique« , rien ne nous permet de dire qu’elle est plus importante maintenant que dans le passé. Il y a ce caractère de représentation, des vieux, cherchant à tout prix à ressembler aux jeunes, qui est subséquent. Alors que jadis, les adultes avaient la tendance à plagier les attitudes des vieillards. Lenteur, bonhommie, étaient les marqueurs de la bourgeoisie,,qu’on cherchait inconsciement à plagier. D’une façon générale, les hommes marchaient néanmoins beaucoup, pour se déplacer, même si le mot »sport« n’existait pas encore. Le corps était en exercice, lié à la necessité, et non au loisir. C’est la grande différence. Faire vingt, trente kms par jour, était banal, même avec une charge.
Stefan Zweig, ainsi dans »le monde d’hier« , évoque sa jeunesse chanceuse dans le Vienne de la fin du dix neuvième siècle. Il parle de son père, un banquier, qui n’ayant pas atteint la quarantaine, affectait l’allure d’un vieillard. Monocle, canne, étaient la panoplie du bourgeois. Zweig évoque son père qui était un solide gaillard, capable de monter une volée de marches en quelques pas de course, mais qui se retenait, affectant la pondérance, et la lenteur.
Tout le contraire des vieux, qu’il faut appeler maintenant » des séniors", se mettant souvent dans le rouge, en affectant l’energie de la jeunesse, qui est devenu l’idéal de représentation. Combien sont morts d’un arrêt cardiaque lors des ces cyclotouristes, ou en joggant ?...Le sport est sans doute conseillé, mais lié à son age.
Nous sommes des individus grégaires, et mourir à 60 ans était accepté assez tranquillement dans le monde d’hier, comme une chance d’avoir vécu assez vieux. Il ne faut pas oublier non plus que la religion pendant longtemps, quoi que nous en pensions et qu’elles que soient nos valeurs présentes, étaient pour la majorité des gens, une espérance dans un monde meilleur, et les aidaient à accepter le passage bien mieux que nous le faisons. L’espérance de vie, pour ces gens, c’était l’espérance du paradis......
La chirurgie, et la médecine, a évidemment apporté un must aux vieux, ainsi que les bienfaits de la retraite. Une fracture du col de fémur, dans le temps, et c’était l’alitement prolongé, et la mort. L’homme a dépassé maintenant sa limite de péremption. Nous prenons en charge des pathologies qui n’existaient pas, tout simplement parce, sauf quelques exceptions, peu de gens ne vivaient assez longtemps pour les avoir, comme celles de la dégérescence osseuse, ou la démence. Mais des simples infections, ou des choses anodines, tels les calculs rénaux, faisaient le ménage. Sans compter les grandes épidémies qui enmenaient tout à coup la moitié de la population. Nous avons accordé énormément d’attention à regler les problèmes singuliers, sans nous préocoper de la sytémie, et en faisant un bras d’honneur à l’écologie, à la surpopulation, à tous ces problèmes qui se potentialisent en un tsumani. C’est dommage, car on a beau etre en bonne forme, quand la maison flambe, cela ne sert pas à grand chose. -
@chat maigre
En fait l’intitulé de l’article me pose problème,et ne me semble par cerner les priorités actuelles, tout en s’articulant c’est vrai sur les valeurs du jour : L’individualisme, et l’illusion tenant à penser que longueur de vie et qualité de vie sont liées, ne regardant pas l’ensemble du paysage. .
Un mantra simpliste dont se gargarse le gouvernement, mais qui n’est qu’une illusion, car le malade, je veux parler de la planète, va de plus en plus mal. Des notions telle que celle de bonheur universel, me semble plus intéressante à viser, dans nos objectifs, que celle d’une espérance de vie , en bonne santé. Même s’il y évidemment des corrélations. Mais on peut être heureux, tout en n’étant pas à priori aux yeux des autres en bonne santé. Encore que je dirais qu’un type comme Hawkins, l’asro physicien Anglais génial, était pour moi, quoique très gravement invalide, en bonne santé : Sa pétulance et son appétit de vivre, et de partager le prouvant.« Et si on mesurait le bonheur plutôt que la richesse ? C’est l’idée un peu farfelue qui a traversé l’esprit de Jigme Singye Wangchuck, alors roi du Bhoutan, en 1972. Le concept du Bonheur national brut (BNB) était né, calqué sur le Produit intérieur brut (PIB), outil de mesure traditionnel de la santé économique d’un pays. Depuis, l’idée a fait son chemin, se transformant en véritable indicateur économique, repris sous diverses formes par l’ONU et l’OCDE entre autres. »
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@ velosolex
Même si je partage avec vous plusieurs constats (notamment sur les jeunes SDF ou en état de grande précarité), je n’ai pas le même regard pessimiste sur la société, trop souvent déprimante, mais dans certains cas rassurante.
« je n’accorde qu’une importance relative à ces histoires d’espérance de vie, en bonne ou mauvaise santé, qui ne veulent pas dire grand chose. »
En êtes-vous sûr ? Rappelez-vous l’état des vieux il y a 20 ou 30 ans. A âge égal, ils sont nettement moins « délabrés » de nos jours, et souvent encore fringants à plus de 75 ans. Etude de la Drees oui pas, cela ne me semble pas contestable. -
@ velosolex
Je n’ai pas envie de polémiquer avec vous sur les vieux.
Mais je garde des souvenirs très précis de ceux que j’ai connus naguère, et lorsque je les compare avec ceux que je connais maintenant, « il n’y a pas photo », pour reprendre une expression populaire. -
@Fergus
C’est faux ce que vous dites. Ces gens comme mon père a travaillé jusqu’à sa mort à 90 ans. Mais il n’était pas en costume, toujours en bleu de travail et casquette t de vieux habits. Mais comme on dit : l’habite ne fait pas le moine. -
Il s’agit d’une réalité globale qui rend mal compte de nos vies il me semble.
Je suppose que le travail de fond des scientifiques a consisté en un suivi de l’espérance de vie et de l’espérance de vie en bonne santé par PCS (profession et catégorie sociale) ou selon une autre catégorisation à voir si on s’intéresse sérieusement aux politiques de santé à mener.
Parmi les gros déficits des politiques de santé dans notre pays, la prévention dont la médecine au travail et à l’école, l’accès au soin pour le plus grand nombre et la baisse de qualité de la prestation fournie rapportée au taux de remboursement du secteur 1.
On pourrait parler aussi de bien des mutuelles qui sont devenues des systèmes d’assurance dont le poste salaires dans le budget est significativement supérieur à celui de la SS.
Je reviens aux statistiques. À partir d’un certain âge, on mesure en fait l’état de santé de ceux qui ont globalement bénéficié de bonnes conditions de vie et travail, les autres n’étant plus là. Tant mieux s’ils sont nombreux mais quand même.
Repère pour les curieux et ceux qui ont le temps :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Esp%C3%A9rance_de_vie_en_bonne_sant%C3%A9
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Bonjour, Octave Lebel
Il s’agit d’une étude globale réalisée sur un large échantillon représentatif d’environ 15 000 personnes.
Il est évident que de telles données moyennes ne rendent pas compte des grandes disparités qui existent entre les différentes CSP.A cet égard, 100 % d’accord avec ce constat : « À partir d’un certain âge (65 ans, nda), on mesure en fait l’état de santé de ceux qui ont globalement bénéficié de bonnes conditions de vie et travail, les autres n’étant plus là. »
C’est pourquoi je regrette, comme vous, non seulement que la « prévention » soit délaissée, mais que les effectifs des inspecteurs du Travail aient été drastiquement rabotés.
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@Fergus
Vos données qui sont des moyennes sont incontestables. Elles sont calculées sur la population dans son ensemble.
Il manque clairement quelques données sur les écarts qui sont énormes en fonction du milieu social : Les inégalités d’espérance de vie entre les catégories sociales se maintiennent.
Les causes ne sont pas aussi simples que ce que l’on pourrait croire :
Les inégalités entre milieux sociaux résultent d’un ensemble de facteurs. La qualité et l’accessibilité du système de soins jouent un rôle secondaire par rapport aux conditions et à la durée du travail, l’attention portée au corps, l’alimentation ou les modes de vie en général (consommation d’alcool ou de tabac, pratiques à risque). C’est en partie ce qui fait que l’espérance de vie des femmes ouvrières est supérieure même à celle des hommes cadres. La valorisation de l’endurance – en particulier chez les hommes dans les métiers physiques –, mais aussi les difficultés à s’arrêter de travailler sans risquer de perdre son emploi pendant la vie active, ont un impact sur la durée de vie des catégories les plus modestes.
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Bonjour, Aristide
Je partage votre opinion sur ce plan comme indiqué dans ma réponse à Octave Lebel.
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@Octave Lebel, et dans toutes ces conditions, Fergus titre : « que ce soit à la naissance ou à 65 ans ». Même l’INSEE n’ose pas écrire ça aussi franchement. Ils supposent juste qu’à la naissance les gens vivront dans les mêmes conditions (ou dans de meilleures conditions) que ceux qui sont nés en 58. Vaste supercherie, mais au moins eux, ils l’avouent.
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Bonjour, V_Parlier
« Ils supposent juste qu’à la naissance les gens vivront dans les mêmes conditions (ou dans de meilleures conditions) que ceux qui sont nés en 58 »
Pas du tout ! Une étude statistique de ce genre se base à la fois sur la connaissances des évolutions du passé et sur des éléments prospectifs qui peuvent évidemment évoluer dans un sens plus ou moins favorable dans l’avenir compte tenu de nombreux éléments sanitaires, économiques ou géopolitiques.
C’est pourquoi les rapports qui suivront pourront apporter des correctifs significatifs à celui que produit la Drees cette année. Mais cela ne remet pas en cause les travaux effectués au moment où nous nous exprimons !
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@Fergus
"et sur des éléments prospectifs qui peuvent évidemment évoluer dans un sens plus ou moins favorable dans l’avenir compte tenu de nombreux éléments sanitaires, économiques ou géopolitiques."
C’est bien à ça que je faisais référence, oui. Merci de confirmer -
Alors, évidemment, tout repose sur les « critères choisis » pour mesurer le vieillissement en bonne santé. Et lorsque l’on « s’engage » à respecter la stratégie de L’OMS pour le vieillissement en bonne santé, il s’agit de trouver les bons indicateurs ou de les favoriser, afin de présenter un bilan « acceptable ».
Produire des voitures moins polluantes, pour respecter les « normes », était une stratégie que WV a su développer en « trichant un peu ». A titre d’exemple.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Volkswagen
... « OMS. Les principaux objectifs proposés sont les suivants :
D’ici 2020, tous les pays s’engagent à promouvoir le vieillissement en bonne santé, ce qui se traduit par la mise en place de plans d’action qui bénéficient à tous, destinés à optimiser les capacités fonctionnelles.
D’ici 2020, les pays et les autres parties prenantes constituent une plate-forme pour soutenir la décennie pour le vieillissement et la santé (2020 à 2030). »...
https://www.who.int/fr/initiatives/decade-of-healthy-ageing
Etre obèse, par exemple, ne semble pas être un « indicateur » de « bonne santé ». Cela tombe rudement bien.
... « L’âge a un rôle déterminant : les personnes obèses sont 2 fois plus nombreuses après 60 ans qu’à 30 ans. »…
... « 45,5% de la population française serait en surpoids ou obèse selon une étude menée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et la Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts)(1). Autre constat frappant : c’est parmi les seniors qu’on recense le plus de personnes en surcharge pondérale. »...
https://www.wikidependance.fr/lobesite-en-france-plus-marquee-chez-les-seniors/
... Mais ces personnes sont « déclarées » être en bonne santé. N’est-ce pas merveilleux ! Le diabète est une « maladie par convention » comme le fait « d’être en bonne santé » n’est qu’une convention. Avoir reçu une prothèse du genou ou de la hanche ne fait pas de vous une personne en mauvaise santé. Le fait de prendre des hypotenseurs ou des antihyperglycémiants, ne fait pas de vous une personne en mauvaise santé. Le fait de développer des apnées du sommeil ne fait pas de vous une personne en mauvaise santé.
Tout est affaire de critères.
C’est bien connu, les obèses adorent faire du « longe côte », de porc en porc sans doute.
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@ Legestr glaz
Merci pour vos remarques.
Que « tous les pays s’engagent à promouvoir le vieillissement en bonne santé, ce qui se traduit par la mise en place de plans d’action qui bénéficient à tous, destinés à optimiser les capacités fonctionnelles » n’est-il pas une excellente chose ?
C’est bon pour les personnes, et bon pour les économies des états en matière de pris en charge des incapacités.
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@Legestr glaz
L’obésité ne commence pas à 60 ans. Elle est aggravée avec l’âge.
Le scorbut est de retour..
et NASH (stéato-hépatite non alcoolique)
la maladie du « foie gras » touche de plus en plus de jeunes.
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@Adèle Coupechoux
copié-collé : « L’obésité ne commence pas à 60 ans. Elle est aggravée avec l’âge. Le scorbut est de retour.. »...
Pour le scorbut j’ai vu ça. Il apparait principalement chez les personnes les plus démunies, les sans-abri. Manque de vitamine C.
Quant à l’obésité, elle n’est pas « aggravée » par l’âge. L’obésité est un continuum. Ainsi, si vous ne réglez pas la jauge du contenu de votre assiette, inexorablement la quantité d’énergie absorbée sera stockée sous forme de graisse. Et vous grossirez d’année en année mais cela n’a strictement rien à voir avec l’âge. C’est simplement la pratique de mauvaises habitudes de vie qui se prolonge sur la durée du temps.
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Belle publicité pour le report de l’âge de départ de la retraite à 65 ans...
Si l’espérance de vie stagne depuis 2014 alors que l’espérance de vie en bonne santé augmente, il faut comprendre la raison.
L’espérance de vie a certainement atteint un plafond dans les pays développés, c’est notamment le cas aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne, en France et semble-t-il au Japon.
Mais dans le même cas le développement des suivis médicaux et l’augmentation des diagnostics ont permis de prévenir et de repousser les problèmes liés au vieillissement. En tenant compte du fait que les baby-boomers déchristianisés ont peur de mourir et font attention une fois qu’il devient évident pour eux de reconnaitre qu’ils sont âgés.
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Bonjour, Florian LeBaroudeur
« Belle publicité pour le report de l’âge de départ de la retraite à 65 ans. »
La concomitance de la publication de cet article avec la réforme en projet n’est évidemment pas liée au débat parlementaire en cours, mais à l’actualité de la DREES.
Notez d’ailleurs que le gouvernement n’a pas utilisé ce rapport pour servir sa communication.« le développement des suivis médicaux et l’augmentation des diagnostics ont permis de prévenir et de repousser les problèmes liés au vieillissement. »
Entièrement d’accord.« les baby-boomers déchristianisés ont peur de mourir et font attention une fois qu’il devient évident pour eux de reconnaitre qu’ils sont âgés »
N’importe quoi ! Je suis athée, mon épouse est athée et la plupart des membres de ma famille sont athées. Or, personne n’éprouve de « peur de mourir » particulière. Ni plus ni moins que les croyants ! -
@Fergus
Un croyant me souffle à l’oreille qu’au plus il se vaccine au plus il se rapproche de St Pierre et du paradis comme promis ! hum -
@Fergus
copié-collé : « La concomitance de la publication de cet article avec la réforme en projet n’est évidemment pas liée au débat parlementaire en cours, mais à l’actualité de la DREES.
Notez d’ailleurs que le gouvernement n’a pas utilisé ce rapport pour servir sa communication. »...Notez que la France s’est engagée à respecter l’initiative de l’OMS sur le « vieillissement en bonne santé ». Il faut donc bien faire en sorte de promouvoir cette initiative. Cela « prouve » que l’on s’intéresse de près à la santé des populations. N’est-ce pas merveilleux ? C’est comme la « vaccination » qui nous protège tous. Le comble du bonheur.
... « Une décennie d’action mondiale concertée sur le vieillissement en bonne santé s’impose de toute urgence. La Décennie pour le vieillissement en bonne santé (2021-2030) est l’occasion de réunir les gouvernements, la société civile, les organismes internationaux, les professionnels, le milieu universitaire, les médias et le secteur privé pour mener sur une période de 10 ans une action concertée, catalytique et de collaboration en vue d’améliorer la vie des personnes âgées, de leurs familles et des communautés dans lesquelles elles vivent. »
Il convient, par conséquent, à travers les rapports de la DREES de montrer que la France est un « bon élève », un excellent élève même ! Même si tout ceci n’est que de la poudre aux yeux. -
@Legestr glaz 10:04
initiative de l’OMS sur le viellissement en bonne santé veut dire à coup d’injections régulières de préférence à ARNm, repertoriés dans le passeport vaccinal. Le Pandemic Treaty est en cours de négociations, ainsi que l’International Health Regulations où les états donnent les coudées franches à Tedros et la clique autour de lui (Bilou, Farrar, etc).
Notez que la France s’est engagée à respecter l’initiative de l’OMS sur le « vieillissement en bonne santé ». -
@leypanou
Il suffira de vacciner tous les poulets de la planète au nom d’une pseudo grippe à la bière pour nous mettre en douceur une injection par autrui...I.P.A -
@ Legestr glaz
« Poudre aux yeux », vraiment ? Vous ne devez pas fréquenter beaucoup de personnes âgées.
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@Fergus
Vous ne devez pas fréquenter beaucoup de personnes âgées.
Normal, elle sont presque toutes clamsées grâce à la waxxination ! -
@charlyposte
Vu le nombre de personnes qui vous soufflent à l’oreille, vous risquez pour le moins une infection. Je vous conseille de consulter. -
Pour rester en bonne santé il faut vivre comme on aime sans jamais dépasser la ligne rouge
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Bonjour, charlyposte
Bien vu !
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@Fergus
Ce genre de considération me ferait dire : « pour ne pas tomber malade, il suffit de rester en bonne santé ».C’est juste Fergus ? Je peux aussi obtenir un satisfecit ? Un « bien vu » de votre part ?
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@Legestr glaz
OU pour rester en bonne santé il ne faut jamais voir son médecin trop souvent. -
@ charlyposte
C’est ce que je fais : ne voyant pas de médecin, je ne fais jamais d’analyse, et par conséquent je ne souffre d’aucune pathologie.
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@Fergus, bonjour,
Tiens, moi aussi !!!
Je m’occupe de vieilles personnes de mon entourage (quelques-unes ont mon âge d’ailleurs) et quand je vois les sacs des médicaments que je leur apporte de la pharmacie... Je me dis « pauvre sécu » !
Par contre, ils ne semblent pas en souffrir.
Les médicaments sont des béquilles. Une fois qu’on les a prises, on ne peut plus s’en passer.
Et puis, il faut bouger, se bouger, marcher, remuer bras et jambes, et aussi faire fonctionner ses méninges.
Quel est l’intérêt de devenir nonagénaire si l’on est un légume sur son fauteuil ?
J’ai un bel exemple dans mon village : notre centenaire (elle a eu 101 ans fin 2022).
Belle vieille dame vivant seule. Et tout le village surveille son balcon car elle étend sa culotte qu’elle lave à la main chaque jour. Si un jour nous ne voyions pas la culotte, nous serions alarmés. Cela voudrait dire qu’elle est souffrante !
Et avec sa canne, elle descend ses escaliers et va apporter son sac poubelle dans le container... -
@Fergus
Idem pour moi...je n’ai d’ailleurs pas vu un seul médecin depuis plus de quinze ansmon secret... prendre 4 whisky glace par jour, un paquet de cigarette, savoir manger en cuisant tous les légumes, varier les plats comme on aime, faire 3 heures de marche par semaine dans des collines verdoyantes, boire de l’eau mais pas trop, boire du bon café sans sucre avec du bon pain grillé avec un bon beurre demi sel, une bonne confiture, une nana à embrasser sans modération ....etc....etc....
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@charlyposte, bonjour !
Bon, très bon régime !!!
A part l’alcool que je bois jamais et les nanas à embrasser, c’est exactement ce que je fais ! (rire). -
@cevennevive
...Concernant l’alcool, il faut éviter les apéros trop sucrés.
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Bonjour, cevennevive
Je partage votre commentaire sur tous ses aspects.
Notamment sur cette question : « Quel est l’intérêt de devenir nonagénaire si l’on est un légume sur son fauteuil ? » D’où mon soutien total à l’ouverture d’un droit à l’« aide active à mourir ».
Bravo à la (très) vieille dame que vous mentionnez pour son autonomie !
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@ charlyposte
Au plan diététique, je suis un vrai contre-modèle, ce qui m’amène à différencier quelque peu mon alimentation de celle de mon épouse.
La base de mon régime est en effet constituée — la faute à mes origines paysannes auvergnates — de charcuterie-fromage-pain, à quoi il convient d’ajouter des soupes bien salées et des compotes ou confitures très sucrées.
Cela me tuera peut-être (encore que je ne sois jamais malade) mais on ne vit qu’une fois, n’est-ce pas ? -
Pour les « nanas », ce sont des vieux souvenirs...
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@Fergus
je ne fais jamais d’analyse
Sauf vos analyses politiques bien orientées....dans le sens du vent mauvais. -
@Fergus
« Quel est l’intérêt de devenir nonagénaire si l’on est un légume sur son fauteuil ? » D’où mon soutien total à l’ouverture d’un droit à l’« aide active à mourir ».
Vous glissez vers autre chose que le suicide assisté : l’aide active à mourir !!! Qu’est-ce qu’un légume ?
Vous prétendiez que votre soutien au suicide assisté est très limité et seulement aux personnes en état de pathologies graves…
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Bonjour, Aristide
Je ne « glisse » vers rien : « aide active à mourir », c’est le terme générique sous lequel la Convention citoyenne mais aussi les médecins de soins palliatifs désignent le « suicide assisté » et (dans les cas de mort cérébrale) l« euthanasie ».
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BRRRRR ! ! ! J’ai 78,2 ans. deux infarctus, des prothèses de hanche, je me déplace avec deux béquilles....
Combien de temps vais je tenir ? ? ?
Je n’ai qu’une certitude : Comme TOUT LE MONDE, je vais mourir un jour.... Quand ? ? ? ?
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@jef88
Selon moi il vaut mieux mourir en bonne santéle contraire est un non sens
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@jef88, bonjour,
Mais bien sûr ! On mourra tous un jour. Mais est-ce écrit quelque part ?
Je vais avoir 78 ans au mois de mai. Le chiffre m’effraie lorsque j’y pense car j’ai toujours cette soif de vivre que j’avais dans ma trentaine.
Ne pas y penser. Vivre. -
@cevennevive
Bravo.... comme quoi un bon état d’esprit vaut dix valises de médicaments inutiles sauf pour les lobbiesun peu comme les pourvoyeurs de paix made in occident en vendant des armes et des bombes démocratiques pour vivre plus longtemps entre les gouttes à condition d’avoir un parapluie aux normes !!! hum
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@charlyposte
On ne meure en « bonne santé » qu’à un âge canonique.
Si l’on meure, disons à l’âge moyen des décès en France, dans les environs de 80 ans, c’est que l’on est malade et en mauvaise santé.
L’être humain peut vivre en bonne santé jusqu’à 120 ans, mais, pour ce faire, il faut cocher toutes les cases. Et aujourd’hui, avec la pollution ambiante qui touche toutes les régions de France, parce que les masses d’air se déplacent emportant avec elles les aérosols polluants, il devient difficile de maitriser tous les critères. Cette pollution subie est une véritable catastrophe sanitaire.
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@Legestr glaz
Tu veux parler de ceux qui habitent en ville ou autres ?
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