Mortel football
Le PSG a fait match nul à Nantes, mais à vrai dire, on s’en désintéresse complètement.
Il y a une vingtaine d’années, j’allais assister aux matchs du PSG au Parc des princes ; l’ambiance était souvent animée, parfois chaude, rarement bon enfant, mais on éprouvait un vrai plaisir à aller regarder une rencontre de foot. Lorsque le PSG perdait, on pouvait repartir déçu, frustré, mais tout cela restait un jeu, et l’essentiel était d’avoir soutenu son équipe.
Dans les années 1990, le club connaissait ses heures de gloire - champion de France en 93/94, vainqueur de
Parallèlement, au fil du temps, l’ambiance au stade avait changé : les supporters s’étaient regroupés dans des associations - Supras, Rangers...- , la rivalité entre le kop Boulogne et le kop Auteuil s’était encore amplifiée, et on entendait de plus en plus souvent des chants et des slogans qui n’avaient plus grand-chose à voir avec le foot. L’ambiance, de chaude était devenue malsaine. Certains soirs de match, on sentait une peur diffuse s’installer, on percevait une tension, on sentait la violence affleurer. On regagnait le métro encadré par des bataillons de CRS et on se demandait finalement ce qu’on faisait là ; tout compte fait, la télé ce n’était pas plus mal. J’ai alors arrêté d’aller au stade.
A mesure que le bilan sportif du club devenait de plus en plus médiocre, celui de ses « supporters » devenait de plus en plus détestable. Quelques noyaux de fanatiques, des hooligans, gangrénaient la vie du club. Ils assistaient aux matchs dans le seul but de rechercher la baston, de provoquer, de déverser leurs slogans de haine. Violence et racisme formaient le carburant de ces groupes. A défaut d’un quelconque titre à se mettre sous la dent, le PSG remportait régulièrement la triste victoire du club français le plus violent dans les stades et autour d’eux.
Comme un cancer, les hooligans ont métastasé la vie du club : il fallait de plus en plus de policiers lors des matchs, régulièrement il y avait des incidents, l’ambiance était de plus en plus délétère. La relative impunité dont jouissaient ces voyous des stades les entraînait toujours plus loin. On a déjà oublié par exemple le match PSG-Metz de décembre 2004, où une tribune avait été démontée, prête à être jetée, et où on avait déjà frôlé le pire.
Ah, mais les supporters sont indispensables au club, nous disait-on, ils font partie de l’ambiance, il faut composer avec eux. Et puis à tant faire, pourquoi pas jouer avec le feu en favorisant l’émergence de nouveaux groupes, notamment au kop Auteuil, pour faire contrepoids au trop remuant kop Boulogne ? On ne peut pas se les mettre à dos. Entre temps, ce qu’on avait oublié, c’est que certains de ces supporters n’avaient plus qu’un très lointain rapport avec une quelconque passion pour le football et pour le PSG.
Devant la dégradation constante de cette situation, la direction du club et les pouvoirs publics ont alors pris des « mesurettes » : quelques interdictions de stade, un peu plus de caméras, des discours lénifiants, et la signature d’une convention entre le club et certaines associations de supporters - les plus « tranquilles » - en mars 2005. D’ailleurs, Nicolas Sarkozy, toujours prompt à s’emparer de ce type de sujet, allait même jusqu’à rencontrer certaines associations, et promettait dans la foulée d’éradiquer la violence des stades. Pendant ce temps, Jean-Pierre Larrue, ex-commissaire de police, et monsieur Sécurité du PSG, devait partir, sous la pression des plus excités. En effet, il avait essayé de durcir la politique vis-à-vis des voyous, mais bon, il ne fallait pas trop les énerver...
Et puis de beaux penseurs nous expliquaient que ce qui se passe dans les stades n’est que le reflet de la violence de nos sociétés, on ne peut donc pas y faire grand-chose, il faut vivre avec. Mais alors, comment expliquer que les Anglais, qui avaient connu des problèmes de hooliganisme tout aussi graves, aient refait des matchs de foot un spectacle où chacun peut aller sans craindre pour son intégrité physique ? Où l’on peut envisager d’emmener ses enfants sans les traumatiser ? La réponse est simple : avec des moyens, et une réelle volonté d’éradiquer le fléau. On ne soigne pas le cancer avec de l’aspirine.
L’avenir nous dira si, au moins, sa mort aura enfin permis de prendre conscience de la gravité du problème et d’y apporter de vraies réponses.
Un bon article sur le sujet : Libération
Le site du PSG : ww.psg.fr
99 réactions à cet article
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@ l’auteur
Malicieux clin d’oeil du hasard, fait à certains...Au dela de cet évennement tragique,qui ne manquera pas de soulever des intérrogations à défaut d’entrainer des remises en question Incident certes tragique, mais banal.Cette bavure policière, prend une résonnace toutre particulière, compte tenu des prochaines échéances électorales et de ce climat délétère, résultant des idées répandues par quelques uns . A ce propos,il serait intéressant de connaitre la position de gens comme JM Lepen, Devillers, Frêche,Finkielkraut ,Brukhner et consorts... Aussi simple que puisse paraitre cette affaire,ils ont là une belle occasion de parler, ou... se taire ! (ce qu’ils feront probablement)
tal.
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Quelle bavure policière ? affligeant...
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@ Julien
« Attention à ce que vous dites. Jusqu’à preuve du contraire on ne peut pas parler de bavure tant que ce policier a utilisé son arme pour défendre sa vie et celle d’autres supporters »
Ne jouons pas sur les mots, et même dans ce cas... Parmi les diverses acceptions su mot BAVURE données dans la version 2005 du dictionnaire encyclopédique Hachette,il y a celle concernant « l’imperfection d’un travail », et celle par euphemisme qui concerne une opération de police : " des faits qui débordent le cadre du droit et de l’éthique.
A chacun de choisir parmi ces définitions.La justice est seule souveraine a se prononcer, moi je ne retiens danscette affaire que les incohérences relevées en écoutant la radio, en lisant la presse et, en regardant la télé.Dieu sait ce qui a déja été dit ! Un jour la télévision prétend que Sarkosy « aurait » déclaré que le policier « aurait » été frappé à la tempe.Un autre jour on prétend que ce jeune homme était « connu » des services de polices pour divers faits de violences sur les stades,le lendemain dans une interview, la mère (dont je m’incline devant la douleur) déclare que la victime était un gamin rangé, pas violent et n’avait jamais eu de démélés avec la justice et la police. Par ailleurs le jeune supporter de l’équipe de Tel-Aviv, a parlé d’insultes, mais pas de menaces avec armes( pistolet, couteau etc.). Je maintiens donc intégralement le mot de BAVURE.
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@ le sudiste
(le sudiste)- « je ne vois pas en quoi l’avis d’un De villier ou d’un Le Pen serait interréssant... »
(tal)- Ces deux-là, plus Brukhner, c’est parcequ’ils sont en parfait accord avec les deux dont il est question plus bas.Ils en sont l’expréssion politique. Devant un pareil évennement tragique, l’avis d’un Frêche, et d’un Devilliers serait intéréssant, car ce sont des faits en relation directe avec le foot.
Ces gens quand ils s’expriment sur ce port, c’est généralement de manière très pertinente et pour faire des remarques à caractère raciste sur les joueurs du fait de leur couleur.
Je rappelle de mémoire celles d’un Finkielkraut disant avec sarcasme et une pointe de mépris à peine dissimulée :
« cette équipe de France qui n’est plus (...)mais black-black-black, ce qui fait rigoler tout le monde à l’étranger... »
Ah, oui ! pendant que j’y pense,puisque le policier de cette triste affaire est fortuitement antillais... Je vais aussi citer une autre « gentillesse » de ce monsieur, concernant les antillais :
« Ah oui, les antillais ?!...Ces assistés de la République ! »
Quant a Frêche, ses saillies( comme dit JmLP) telle la dernière sur le nombre excéssif « de pieds noirs » dans l’équipe de France de foot, sont aussi caractéristiques et significatives de l’époque...
(le sudiste)- « ... Les notres le seront-ils d’ailleurs ?... »
(tal)- Parlant des avis, les notres je te l’accorde,sont moins importants que les leurs.
( le sudiste)- « ...Que voudrais-tu entendre de leur part ?... »
(tal)- Ils doivent bien avoir une petite idée sur la cause des violences dans les stades, eux qui par leur petites phrases assassines, visant toujours les mêmes, contribuent (indirectement) à des situations dégradées dans les stades de foot, et plus généralement à un certain climat délétère dans ce pays. Soit dit en passant , c’est surtout Finkielkraut que j’aimerai un jour entendre s’exprimer là-dessus...
(le sudiste)- « ...Des propos qui conforteraient l’avis que tu te fais d’eux... »
(tal)- En quelque sorte...
(le sudiste)- « ...(et ce quoiqu’ils disent d’ailleurs) ?... »
Non pas quoi qu’ils disent. Là tu deviens partisan. Si ils ont quelquechose d’original à dire, qui infirme l’opinion que je me fais d’eux, le moment serait bien choisi.
(le sudiste)- « ...C’est stérile... »
(tal)- Pas tant que cela...
Cdlmt
tal.
@ les autres
Agoravox n’étant pas (pour le moment) un média de la pensée unique, donc je dis ce que j’ai a dire, sans ronronner comme TOUT le monde sur certains sujets. Tant pis si ça dérange, c’est comme ça.Je ne cherche pas a enlever l’adhésion de la majorité dans mes textes,ni à être « smpathique » en pratiquant la langue de bois, mais a exposer mon point de vue.En conséquence,ne vous genez pas pour les « notations » négatives telles qu’elles apparaissent. J’ai depuis longtemps pris la mesure de leur signification... Je trouve ça rigolo, et le prend pour ce que c’est, c’est à dire un jeu.
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@ CB
1) "Si tu considères les votes aux commentaires comme un jeu, retourne à ta playstation.
2) PS : n’oublie pas de finir ta dissert pour demain sinon tu vas te faire engueuler par ton prof ! "
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1)- c’est déja fait.
2)-merci, conseil utile,vu que le mardi il est toujours de mauvais poil...
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Avant tout, MERCI BEAUCOUP pour ton lien. J’y ai découvert un vrai petit bijou du net, des textes admirables, de l’émotion, de l’intelligence, un personnage vraiment attachant (en plus, le vieux est un ancien maire !). Voilà un blog qui fait réfléchir, pas un truc d’abruti !
Ensuite, pour cette histoire dramatique, je me dis qu’abattre un SS en 1940 était sans doute une chose horrible. Ce n’est pas parce que tuer quelqu’un est inévitable que c’est une belle chose. Et j’ai cru comprendre que le policier était aussi très choqué d’avoir eu à tuer, même si c’était pour sauver une vie, en plus de la sienne.
Misère, misère...
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Alors, c’est quoi, tous ces saluts nazis ? En quoi qualifier un salut nazi de... nazi relève-t-il de l’amalgame ? Cette idéologie est bien la même que celle qui a envahi l’Europe dès 1933, non ? Les néo-nazis, ce sont bien des nostalgiques du Nazisme, ou je n’ai rien compris ?
En plus, je te signale que, sur le blog de Firmin, tu liras aujourd’hui un des rares articles sur le net qui fasse preuve de compassion pour le pauvre type qui s’est fait descendre.
Venant d’un type qui s’est battu contre les Nazis, je trouve personnellement son attitude vraiment bien.
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Les grandes messes footbalistiques sont la manifestation contemporaine d’un sacré païen et archaïque. « Au temps jadis », cette religiosité, dont l’objectif plus ou moins caché était la régulation de la violence au sein du groupe social, s’exprimait par le sacrifice humain, puis par les jeux du cirque. Si, de nos jours, la dimension sacrificielle est réduite, elle n’en est pas moins prégnante, et trouve, au gré des circonstances, divers victimes expiatoires (ou bouc émissaires) : l’équipe qui a gagné (mais qui a « triché »), l’équipe qui a perdu (qui est mauvaise), l’arbitre (qui est un vendu), les supporters du camp adverse...
La loi de 1905 ne reconnaît pas les cultes ; ainsi, la présence du chef d’Etat lors de certains matchs, voire l’identification de la France à son équipe de football, posent un véritable problème à la laïcité. Athée footbalisquement parlant, je m’interroge également sur la construction de ces gigantesques lieux de culte, (même s’il est exact que le privé intervient de plus en plus, au profit d’une autre divinité, le dieu Argent).
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Oui, quelquepart, force est de constater qu’il faut raison garder ...
Le pape, le foot, l’insécurité : repris en boucle par tous les merdias, en continu du matin au soir, on touche le fond. Ajoutons l’intoxication par les huitres d’Arcachon. Beurk ....
N’oubliez pas d’acheter le foie gras pour les feeeeêtes. Je me gaverai bien un fermier foiegrassier, manière de me détendre, parait que ça fait du bien.
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A 100 contre 1 c’est encore mieux qu’un flingue, devant une bandes de demeurés imcapable de la moindre réflexion personnel, ce type armé a gardé son sang froid avec la peur au tripes.
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Il n’a pas vidé son chargeur, personnellement je ne sais pas si je ne l’aurais pas fait face à une bande de c.. !
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@Josew
Vous seriez ou vous vous considéreriez comme un héros face à une telle situation.
Mais ça ne vous arrivera pas !
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Rappelons qu’au cours des intenses émeutes banlieusardes et des nombreux lynchages de policiers qui les ont suivi il n’y a pas eu le moindre blessé par balle parmi les voyous !
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En 1981, la peine de mort était enfin supprimée en France pourtant depuis la mort de Julien, jeune supporter du PSG, elle est revenue au goût du jour. Pour les syndicats de policier, SOS Racisme ou les politiciens français, le policier qui a abattu froidement un homme en pleine rue de Paris est un héros. Pourtant quel crime avait-il commis pour mériter la mort ? La réponse est : aucun.
Cela devient une évidence quand on voit les efforts crapuleux pour salir la mémoire de cet homme. Julien Quemener non seulement a perdu la vie mais il est en passe de devenir un pestiféré. On essaie désormais de justifier son assassinat en l’abaissant au niveau où il devient acceptable pour les bien-pensants d’être éradiqué. Quelle honte de lire que les condoléances du PSG soient fustigée par une association dite « humaniste » comme SOS-Racisme. Que de dégoût à la lecture de tous les commentaires, toute tendances confondues, dans les journaux ou sur Internet qui insinuent qu’il aurait mérité son sort. Que s’est-il vraiment passé jeudi soir ? Où sont les victimes qui justifieraient la légitime défense que les médias invoquent ? Si Julien était une menace directe pourquoi la balle a d’abord traversée le corps de Mounir Douchaer ? Et la balle avait tué Mounir et non Julien, que dirait monsieur Sarkozy ? Qu’aurais-t-on lu si un policier avait abattu un des membres du Bétar quand ils ont lynché l’écrivain Alain Soral ou défiguré une jeune fille de 14 ans alors lors d’un attentat contre Dieudonné ? À quelques mois des élections, Sarkozy, le PS, SOS-Racisme tiennent leur nouveau Carpentras, le véritable problème de la France, c’est le hooliganisme, le racisme et l’antisémitisme et non pas la crise des banlieues, le chômage endémique, l’individualisme généralisé et la crise de l’identité française. Reste qu’un jeune homme qui ne le méritait pas est mort et que l’on offense une famille en deuil en crachant sur sa mémoire.
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@ franchouillard
Si j’ai 100 abrutis face à moi et un flingue dans la main, je n’hésite pas, enfin si mais je ne serais pas assez con pour leur dire « messieurs ! calmons-nous et discutons entre gens civilisés ».
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Le Hooliganisme n’a tué personne ? et ce supporter marseillais de 18 ans, tétraplégique pour avoir reçu en octobre 2000 un siège jeté d’une tribune parisienne ? Ah c’est vrai il n’est pas mort.
Et puis le policier n’est qu’un bourrin, après tout il a utilisé son arme pour blesser sa cible, et c’est un hooligan du deuxième rang de la mélée qui a été tué. C’est probablement parce qu’on donne aux policiers des armes trop puissantes... En tout cas, les policiers que j’ai pu observer étaient nettement plus couards, moins zélés, et plus branques (sauf quand ils étaient en surnombre).
Ce monde marche sur la tête, et on assiste à une hystérie collective générale. La théatralité allant jusqu’à une déconnection complète des réalités.
Brome, reconnectez vous au plus tôt !
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Trés juste « rainette ». Le salarié footeux n’a plus qu’à la fermer. Il se comporte de la même manière qu’un patron d’entreprise. Lorsque son équipe n’est plus au meilleur de sa forme, il la traine dans la boue, l’insulte et lui reproche sa rémunération.
Et propose même de virer les joueurs.
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Cela fait 20 ans que j’entend dire que plusieurs supporters des Kop du PSG sont des extrémistes... mais où sont les actes ? Pourquoi les responsables n’ont-ils pas réussi à éliminer ces gens des tribunes ? A qui profite le crime ? Pourquoi y a t’il tellement de tolérance envers ces gens ? Les résultats sont déplorables : de la casse et maintenant 1 mort. Cherchez les coupables
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Je veux bien haïr l’ED, mais c’est quoi l’ED ?
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Sauf à ce que l’enquête démontre qu’il s’est passé le contraire de ce qu’il en été relaté, ce qui parait moins probable que le contraire, cette histoire est très simple.
Une bande de 150 personnes a agressé une et une seule personne pour la seule et unique raison qu’elle était juive. C’est très exactement du nazisme. Toutes les personnes coupables de tels actes doivent être très sévèrement punies, de même que toute personne les soutenant, voire simplement les excusant.
Ca n’a rien à voir avec le foot, mais avec ce que nous pensons avoir de dignité humaine et nationale.
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Ca m’a l’air vrai, d’autant que les nazis n’ont pas massacré gratuitement que des juifs, mais également des homosexuels, handicapés, communistes, tsiganes, slaves, ...
Dans l’affaire citée, les délinquants semblent également multi-délinquants, puisque selon les faits relatés, l’interposition d’un homme noir aurait redoublé leur violence.
Tout à fait d’accord pour dire qu’il ne faut pas spécialiser son indignation. Dans une société civilisée, tout le monde est intouchable, et il importe que nous continuions à considérer comme le plus grave crime toute agression gratuite de personne basée sur une catégorisation, qu’elle soit fondée sur la race, la religion, le sexe, etc, etc, etc ... Faute de quoi nous retournerons vite au temps des loups.
cf. autre article
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« Le principe d’égalité vaut aussi pour les victimes. »
Je ne crois pas. Notre droit prévoit (je pense assez justement) des traitements différents pour des circonstances différentes. Est en particulier à mon avis circonstance aggravante une agression en situation de force, du fort au faible. Ou une agression contre une personne représentant un symbole commun : un policier, un magistrat, ... Etc ...
Dans ce cas, il me semble qu’une société civilisée doit être particulièrement attentive au traitement des minorités, et que c’est en bonne partie par cela qu’elle se reconnait et peut s’honorer.
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« Un ordre juste requiert que les minorités soient traitées équitablement, et non de façon privilégiée. »
Oui.
« On a dit en effet que la valeur morale d’un individu se reconnaît à la façon dont il traite les Juifs, le peuple juif étant de ce point de vue le corps mystique de Dieu. »
Je ne connaissais pas ce point de vue et ne m’y référais pas. Je suppose qu’il est exclusivement chrétien ?
« Ce qui laisse toutefois pendante la question de savoir à quoi on reconnaît la valeur morale d’un Juif. »
Comme tout le monde, je suppose. Par exemple à sa tolérance. Je préfère préciser mon point de vue. La « valeur morale » se juge à mon avis, en position de force, par la capacité a minima à ne pas en abuser, et au mieux à l’utiliser pour le bien d’autrui. Ceci repose bien sûr sur un système de valeurs typiquement monothéiste (« judéo-chrétien ») favorisant l’altruisme et la protection des faibles. Cela s’oppose aux valeurs « païennes » de puissance et d’honneur.
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Il n’y a pas eut lynchage. Il n’y avait pas une centaine de poursuivants, encore moins d’aggresseurs.
Voilà qui change beaucoup de chose, pour tous ces soit-disants « mérité-il l’a bien cherché. » C’est **après** le coup de feu que l’on pouvait compter une centaine d’excités, et entendre des insultes racistes, comme oui plusieur « Boys » l’ont dit et avoué depuis, spontanément, à l’encontre du tireur fou. Aucune insulte judéophobe contre le supporteur pourchassé (par 3 ou 4 types, d’après lui-même)(lui-même habituellement supporteur du PSG !), aucune chasse au juif n’a été rapporté depuis tout ce temps : ce sont des insultes dans les tribunes avec lesquelles on nous a rabattu les oreilles : ce n’est pas du tout pareil. Simple bordées vocales de groupe de supporteurs à groupes de supporteurs, ce qu’on appelle ’bon enfant’ d’habitude (’on tous vous b...’, etc. ce genre de joliesses qui réjouissent les jeunes gens... qui en rajoutent devant leurs copines invitées, nombreuses.) Quid alors des insultes des supporteurs de Tel-Aviv envers les Parisiens ?? Ca devient ridicule, tout celà.
Bien sûr, personne ne pense à applaudir aux comportements nazoïdes - caractérisés, non pas la simple joie d’être en groupe et de faire corps, de faire masse pour une équipe : ça n’a rien d’interdit ça - dans les tribunes de ces groupes-ci. Personne ici, ne pense à applaudir aux exactions ’limites’ des cette fin de match (rappelons que le Figaro a utilisé pour illustrer sa une sur l’affaire, un de ces derniers jours, une photo d’une tribune chaude et rouge...israélienne !! des supporteurs de Tel-Aviv !! l’on-t-ils fait exprès ?), on peut se rappeler que cette année un spectateur est devenu paraplégique en recevant une barrière lancée depuis une tribune, et qu’une main a été arrachée par ’un engin explosif improvisé’ ; personne ne nie que le tireur fou était dans une position difficile, et n’avait pas du tout envie de se faire tabasser par -quelques- personnes qui avaient identifié à l’évidence ’un excité’ qui allait au devant d’eux , un bravache, et qui venir de leur vider une bombe de lacrymo en pleine poire. Personne ne nie qu’après le coup de feu, ce même tireur a réellement dû faire face à une horde déchaînée.
Mais de la monter une sauce en « ..ce policier a eu le courage d’intervenir seul au péril de sa vie contre une centaine d’individus violents et armés.. » c’est...irréel.
Tout ceci, même ’les insultes racistes’, ne ’vaut’ pas un mort, un mort et demi même. (le jeune Mounir voyez-vous est en passe de devenir un héro : il apparait qu’il cherchait à séparer les gens et à protèger Julien) (Julien ’connu des services de police’ pour... simplement une GàV, pour... avoit introduit un fumigène dans les tribunes, le jeu de chat&souris classique quoi - les tribunes sont remplies de fumigènes, malgré ’interdiction’ et ’fouille’ : je suppose que tous savent que ce n’est pas (très) grave, mais l’interdit est posé là. Une fois, une seule fois...) Ce n’est pas la nazisme, ni le Klu Klux Klan à ses ’grandes heures.’
Mais il faut garder les yeux en face des trous, et les pieds sur terre. Dire la vérité.
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@ L’omnisaure sot briquet
Tu nous gonfles avec tes charabias de footeux Frontiste. Tu n’es qu’un décérébré. Ma préférence nationale à moi c’est que tu te casses en compagnie de tes alliés objectifs : les islamistes. Vous puez tous.
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"Aucune insulte judéophobe contre le supporteur pourchassé. aucune chasse au juif n’a été rapporté. le jeune Mounir voyez-vous est en passe de devenir un héro : il apparait qu’il cherchait à séparer les gens et à protèger Julien"
Quelle est la source de ces informations qui n’ont été publiées nulle part ailleurs ?
« Dire la vérité. »
Souhaitons tous la connaitre.
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Encore un témoignage : du côté feuje maintenant.
Je colle des témoignages ici (http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=15939&id_forum=233422&var_mode=recalcul#commentaire233422 ), et monsieur agoravox les enlève deux heures après, sans justification ni surtout laisser une trace de son coup de ciseaux, ce qui est le b-a- ba de la censure bien élevée (chrétienne.) Voici, un nouveau : intéressant bien sûr, sinon je ne le mettrais pas. AV m’a complètement dégouté de la gauche. Y avait toute une ribambelle de témoignages ici (cf lien), posté au fur et à mesure qu’ils tombaient : de quoi se faire une idéee honnête des évènements et de comment (dans quelle chronologie) ils se présentaient aux chercheurs curieux. Plus jamais je ne lui ferai confiance. J’imagine que vous avez lu les premier écho de ce qu’en pense Mounir (son frère, son avaocat, qui on fait des déclarations hier) Il faudrait qu’elle demande de façon sonore à se repentir pour que je revoies ma position :
///////////////////////////////////// source : http://www.qwoq.com/blog/2006/11/27/tribune-pestilentielle/
On entend crier “Palestine“, “Ils sont où vos drapeaux maintenant ?” ou “Allez les juifs, vous faites moins les malins maintenant !“. Les types sont derrière moi. Une écharpe du PSG autour du visage ou du cou, ils cherchent l’altercation. Les embrouilles, la castagne comme on dit.
“Vous êtes où les juifs hein ?” continuent-ils à brailler. C’est un groupe de jeunes arabes qui s’approchent d’une fille, probablement juive, qui téléphone et qui lui balancent une claque dans la figure. “Ils sont où vos drapeaux hein ?“, je les entends dans mon oreille, je rentre la tête dans mon blouson, je m’écarte sans courir et me dirige vers le métro. Sur toute la route, pas un policier. PAS UN.
L’autre moitié de notre groupe avait avancé séparément. Un père avec ses deux enfants (18 et 20 ans), et ses deux gendres. A quelques mètres de la police, à la porte de Saint-Cloud, Anthony (20 ans) se fait happer par un groupe de 4 jeunes. Ce ne sont pas des fachos, des skin heads, des lepénistes, non. Ce sont des fans moyens du PSG, arabes, haineux et déchaînés. Anthony se prend des coups au visage et dans le ventre. La famille le récupère tant bien que mal et se précipite vers la police, immobile, inactive. Ils sont attérés.
Je rentre chez moi par le bus, je me cache. Je le redis encore une fois : en 2006, en France, dans un bus public, je me cache d’être juif de peur de me faire prendre à parti (terme politiquement correct pour bastonner). Vous allez me dire : mais ce n’est pas écrit sur ta figure que tu es juif ! Erreur, lourde erreur. D’abord j’ai un gros nez. Ensuite, j’apprends par un collègue qui était au match, non-juif mais supporter inconditionnel du PSG, que certaines personnes qui portaient le maillot PSG mais “d’allure juive” ont également été frappées.
La bête est revenue, et ce soir-là, c’était un visage horrible que j’ai reconnu, celui de la haine sans concession d’acteurs du paysage français que nous cotoyons quotidiennement. Ceux que les médias appellent les jeunes ou les racailles, qui entretiennent et vouent une haine inconditionnelle à ceux que les médias pointent délicatement sous le terme “d’Israélites”.
C’est une vraie déchirure, un vrai traumatisme que toute la communauté a ressenti depuis la semaine dernière et si les informations de 20h ou votre journal favori n’en parlent pas, il est grand temps que la vérité éclate.
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« Quelle est la source de ces informations qui n’ont été publiées nulle part ailleurs ? »
Je faisais référence à des témoignages que j’avais collé ici même et dans l’autre page d’agoravox où j’en mets depuis que le sujet est évoqué (2 jours avant ce premier article dédié)(http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=15939&id_forum=233422&var_mode=recalcul#commentaire233422 ) Ces témoignages sont enlevés par monsieur aogoravox depuis hier sans même dire qu’il les enlève. Et on se demande bien pourquoi. Ce sont des témoignages que j’ai copier-collé de blogs, en général BBoys et autres oïs : c’est ’publié’ évidement, mais ce sont des truc sous pseudo, comme je le disais, en indiquant le lien source bien sûr. C’est pas ’publié’ par l’imprimatur Libé-Le Monde-OrangeNiouzik, c’est publié sur le web, par des gosse de 16 ans qui y étaient, et c’était plein écran sur agoravox ici-même avant que la cagoule ne flippe. L’usurpeux agoravox a préféré éradiquer ça, suivant les instructions du Grand Maître Bernard Pivot. On est gouverné par des imbéciles. Terrorisé à l’idée d’être mal vu auprès ’des sachants’ j’imagine, de se faire reprendre ’sa crédibilité’, ce mot creux, si vous vous y arrétez 2minutes, vide de sens vraiment ’crédibilité’, ’crédibiliser’, ’décrédibiliser’, vidés de leurs sens maigre, passés à la Derridette du prince du crachoir.Effrayé l’AV de se ’faire décrédibiliser’ en laissant des témoignage frais et soncères de ’kop-boulogne’ ou autres, ’psg identitaier’, décrivant du mieuix qu’ils pouvait les pas et les geste de cette maudite soirée. Du coup j’ai cessé (ce travail d’information citoyenne), et il y manque donc les premières réactions de Mounir, d’hier (« le flic n’avait aucune raison de tirer »). Je ne vais pas répéter 25 fois mon dégoût face aux exactions racistes de ces jeunes cons. Apparemment vous ne savez pas lire (marsu surout), et d’autre part AV supprime mes post alors... Toi même Forest, par exemple, avait répondu à l’un d’eux en citant un extrait, or le commentaire en question était (ensuite) introuvable, il avait été supprimé, mine de rien. Camarade Forest : tu veux les références ? : tu fais une demande d’ouverture des archives auprès du soviet d’agoravox et tu attends ton télégramme d’expulsion du parti en retour. Votre système du fiel et du mensonge methodique vous a perdu.
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En v’là un autre , compagnon du précédent : ça vient tjrs de http://www.qwoq.com/blog/2006/11/27/tribune-pestilentielle/
34Jay nous dit : Le 28/11/2006 à 10:41 []
Pour avoir été au match avec bibi (et avoir eu à “gérer” à la sortie les deux filles avec lesquelles nous étions), je me permets quelques commentaires.
Boulogne, Auteuil, même combat. Boulogne est politisé, tout le monde le sait. Je pense qu’Auteuil l’est maintenant aussi à sa manière, de l’autre côté (alter-mondialistes) de l’échiquier politique, mais d’une manière tout aussi peu favorable à Israël (et par extension aux juifs, cf la remarque suivante).
Le shit, la bière, et l’absence d’adrénaline (ben oui on a quand même été voir jouer le PSG) à outrance se substituent idéalement aux idéaux fachos et le résultat est bien évidemment le même : un ramassis d’abrutis prêts à en découdre (entre eux, avec la police, avec des supporters opposés) en courant plus rapidement que les joueurs sur la pelouse.
Petite anecdote : lorsque je suis arrivé au stade, je ne portais pas encore les couleurs de l’équipe que je supportais. Cela n’a pas empêché un mec de nous apostropher en nous lançant un : “Heureusement qu’il n’y a pas que des supporters de merde comme vous ! Moi je préfère qu’on soit 5.000 dans un stade avec des gens comme moi plutôt que 30.000 avec des gens comme toi...”.
Il n’était pas question de juifs, il n’était pas question de blancs/noirs : cette remarque est arrivée parce que, venant directement du boulot, j’avais le tort d’être en costume et pas enturbanné avec une écharpe PSG et prêt, dans l’accoutrement ou moins, à bouger, hurler, invectiver, huer, et tout ça par amour du PSG.
Quand on est sortis (un petit différent sur la tactique de sortie nous oppose avec bibi, et je corrige : nous sommes finalement bien partis au coup de sifflet final ! On s’est levés de nos sièges 1 minute avant mais le temps de rejoindre la sortie tout le monde partait en même temps...), les premiers mètres ont été calmes.
Et effectivement, après quelques pas, dans le no man’s land qui sépare le stade du pseudo-cordon policier de la place de la porte d’Auteuil, on a commencé à se faire insulter (à ce moment là je n’étais plus avec bibi) et menacer (des mecs faisaient mine de nous suivre : remarque, c’était peut-être parce que j’étais avec deux filles pas mal . Ensuite, mouvements de foule non identifiés derrière (ma consigne aux filles : vous ne lâchez pas mes bras et vous continuez droit devant), et mouvement de foule devant avec les CRS qui chargent vers nous (et nous dépassent).
Et c’est à ce moment là que c’était le plus chaud : quand les CRS essayaient de gérer derrière les plus kamikazes des supporters, alors que d’autres, tout aussi armés de mauvaises intentions, restaient “seuls” avec les supporters juifs français de l’Hapoël (ben oui, les supporters israéliens ont été assignés à résidence dans leur tribune jusque tard dans la nuit : c’était du cassage de juif français, pas de supporter israélien, et c’est très important de le dire).
Après avoir vraiment eu peur pour notre intégrité physique, après avoir fait le tour de la place en sens inverse et au milieu des voitures pour éviter de se faire cogner dans un coin sombre parce la police sortait difficilement de ses voitures de fonction, on a finalement rejoint la voiture et on s’est tirés rapidement.
Le pire peut-être ? Que je n’étais même pas étonné d’apprendre sur internet la mort de ce jeune homme quand je suis rentré à 3h du mat. Que c’était prévisible. Que ça se reproduira, malgré le flot de bonnes intentions et de fermeté dont nous sommes noyés depuis 5 jours.
Il y a de l’antisémitisme en France. Il y a des gens violents. Il y a des gens cons. Il y a du shit, de l’alcool, et la version moderne des combats de gladiateurs (sauf que ceux-ci sont beaucoup mieux payés) pour lever leurs dernières inhibitions. Il y a des lacunes dans la manière dont on a géré la situation depuis des années, et toujours dans la manière dont on la gère aujourd’hui. Il y a cet insidieux mélange du politique (alter-mondialisme et extrême-gauchisme) et du fondamentalisme religieux, et des “vrais” problèmes dissimulés sous les habits propres des conflits générationnels ou sociaux.
Il va falloir commencer à penser à des plans de secours.
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Source : http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=800002&sid=7308052&cKey=1164906695000
via fdesouche.com
PSG : le policier Granomort jugé en juin pour plainte mensongère et escroquerie
Le policier Antoine Granomort, qui a tué un supporteur du PSG, sera jugé en juin en correctionnelle à Paris pour escroquerie et pour avoir faussement affirmé en 2004 avoir été victime d’un enlèvement, d’une séquestration et d’un viol, a-t-on appris de sources proches du dossier.
///////////////////////// la suite au lien indiqué ci-dessus. Moi aussi je suis sans voix... La réalité nous cloue tous, hein !!
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Ouafff ’fin.. c’est pas grave quoi... ’fin, y’a bien eu des insultes racistes, non ? alors ? quoi !, ’fin... Y’a bien eut une claque qui a été donnée à une jeune fille juive par des vazys à la sortie du stade, dégagée exceptionellement pour l’occasion. ’fin.. quoi... Granomord a donné l’exemple pour tous le pays, c’est intolérable et il faut éradiquer. Là. Et puis, ptet nos merdias ils vont suivre à la 17ième après tout, hein ! quoi... même combat même maladie même délits !! pleins ! Dénonciations d’Infractions Imaginaires !! on a l’dossier ! ’fin... La 17è chambre même Victor Hugo y est passé ! c’est la plus glorieuse ! ’fin, quoi... Même Faurrisson d’ailleurs..’fin..euh, coît.
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Espérons que le jeu fera à noveau la une plutôt que le tragique avec P Le Guen.
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