• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > Société > Portrait robot du psychopathe

Portrait robot du psychopathe

Les noms qui nous viennent spontanément à l’esprit, à l’évocation du mot « psychopathe », sont ceux de Michel Fourniret, Marc Dutroux ou Guy Georges. En réalité, la psychopathie est un trouble du comportement relativement répandu (environ 1 % de la population) et fort heureusement, rares sont les psychopathes qui basculent dans le crime. La majorité d’entre eux vivent des vies normales. On peut en croiser dans tous les secteurs de la société. Mais apprenez tout de même à les détecter, de crainte que l’un d’eux ne s’immisce dans votre existence et ne la saccage...

Robert Hare est le grand spécialiste mondial de la psychopathie. Il a consacré sa vie à la définition de ce trouble du comportement qui prend la forme d’un syndrome de traits psychologiques. Les psychopathes possèdent généralement la plupart des caractéristiques suivantes :

De beaux-parleurs : ils sont souvent très doués à l’oral, d’autant qu’ils ne ressentent pas d’anxiété ou d’appréhension à parler en public. Ils ont réponse à tout et sont capables de moucher les meilleurs orateurs. Bagout extraordinaire, tchatche exceptionnelle, faconde hors-norme. Méfiance.

Charme, charisme, aura : les psychopathes sont souvent charismatiques. Certains se transforment en gourous dans des sectes. On leur prête naturellement des qualités de meneurs d’homme. Ce sont de grands séducteurs. Si vous les intéressez (parce que vous avez de l’argent, du pouvoir, du prestige), ils parviendront à gagner votre confiance.

Narcissisme : les psychopathes sont toujours très arrogants, mais certains parviennent à dissimuler ce trait de personnalité déplaisant sous une fausse modestie. Ils ont une vision grandiose de leur propre importance. Ils ont l’impression d’être des surhommes, des individus à part, des bienfaiteurs, des sauveurs. Ils se perçoivent comme le soleil de la scène sociale. Leurs démarches, toujours intéressées, seront souvent présentées comme des faveurs. Dans leur esprit, tout leur est dû car ils sont exceptionnels ; par conséquent, ils se servent. On parle souvent de leur « mégalomanie » ou de leur « égocentrisme ».

Absence d’empathie : les psychopathes sont abominablement dépourvus d’empathie. Ils n’ont pas de sentiments pour les autres : ni amour, ni amitié, ni compassion. Parfois, ils font même preuve de sadisme. Beaucoup mettent en scène, de manière théâtrale, leur empathie. Ils s’efforcent de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas : des personnes sensibles avec un cœur grand comme ça.

Manipulateurs hors-pair : il existe de multiples manières de manipuler autrui. Les psychopathes possèdent un répertoire de techniques de manipulation particulièrement riche. Ils mentent avec un aplomb déconcertant ; ils peuvent vous culpabiliser en évoquant des obligations familiales ou professionnelles ; ils ont recours à des expressions-cadenas pour vous obliger à penser comme eux. Par exemple : « Quiconque pense le contraire est hypocrite ». Ils adoptent fréquemment une tonalité docte et se posent en dépositaires du savoir absolu. Ils tiennent des propos ambigus qui visent à vous faire comprendre leur pensée sans avoir à la formuler explicitement, pour éviter de se mouiller, etc.

Gestion virtuose de leur image : ils se comportent différemment selon les personnes à qui ils ont affaire. De sorte que certains les trouveront admirables, alors que d’autres auront perçu l’envers de la médaille : les mensonges, les manipulations, l’arrogance. Ils peuvent aussi se comporter très différemment en public et en privé, si bien qu’on a l’impression d’avoir affaire à un Dr Jekyll et Mr Hyde. Les psychopathes sont des communicants instinctifs. Ils ont un talent naturel pour donner d’eux-mêmes une image très flatteuse. Ils se font valoir pour le travail et les réalisations de leurs collègues ; ils bidonnent leur CV ; ils arrangent leur histoire ; ils traquent férocement tous ceux qui dans leur entourage ont compris à qui ils avaient réellement affaire et seraient susceptibles de faire tomber le masque.

La labilité logique : les psychopathes ont tendance à multiplier les erreurs de raisonnements. Ils accordent trop d’importance à certains faits, en minimisent d’autre. Leur esprit d’analyse, très sélectif, ne détecte que ce qui les arrange. Leur mémoire fonctionne de la même manière. Il leur arrive de se contredire dans une même phrase. Ils font des promesses qu’ils oublient peu de temps après. Ils commettent des lapsus, interprètent mal une situation. Tout cela pour vous manipuler. Après coup, ils vous diront qu’il s’agissait d’un « malentendu ».

Prise de risque : les psychopathes ont tendance à s’ennuyer et prennent plus de risques que les autres. Ils sont irresponsables et ont, semble-t-il, du mal à envisager toutes les conséquences de leurs actes. Ils ont fréquemment des trajectoires météoritiques. Du jour au lendemain, tout s’effondre comme un château de cartes. Parce que le psychopathe vit dans une bulle de présent. Il préfère jouir d’une gloire éphémère.

Absence de remords : ils ne ressentent jamais aucuns remords. Ils n’assument pas leurs responsabilités. Ils rejettent systématiquement la faute sur des boucs-émissaires. Ils essaient de culpabiliser les autres et de se faire passer pour de pauvres victimes. Ils minimisent les dommages qu’ils ont commis.

L’agressivité : les psychopathes sont toujours très agressifs et très combatifs. Ils ont aisément recours à des menaces. Ils conçoivent la vie comme une succession de combats avec, à chaque fois, un vainqueur et un vaincu. Ils sont déterminés à faire ce qu’il faut pour sortir vainqueur. Certains ont un tempérament explosif et peuvent en venir aux mains aisément. Ils abusent des procédures juridiques. Ils passent leur temps à dénigrer, à critiquer, à dévaloriser pour alimenter leur soi grandiose. Ce qu’ils font est exceptionnel ; ce que les autres font est banal.

La paranoïa : les psychopathes ont tendance à penser que tout le monde possède le même profil psychologique qu’eux. Si jamais on leur demande des comptes, ils crieront au complot. Ils ont souvent des tendances paranoïaques, pensent qu’on veut leur « faire la peau » ou qu’on leur a « baisé la gueule ». Ils n’ont aucun mal à imaginer que les autres commettent toutes sortes d’ignominies, car c’est ainsi qu’eux-mêmes se comportent. L’humanité est une confrérie de requins selon eux. Les psychologues disent qu’ils « projettent » sur autrui leurs propres dispositions psychologiques. Ils possèdent une connaissance intuitive du vice qui leur permet de voir le mal partout et notamment dans le bien. A leurs yeux, une amitié sincère devient du « copinage », du « piston », des « arrangements ». Ils peuvent se transformer en inquisiteurs féroces. Beaucoup de gens se font avoir et pensent qu’une personne qui dénonce avec virulence l’amoralité d’autrui est nécessairement exemplaire.

L’appétit de pouvoir : les psychopathes sont des « control freak ». Ils éprouvent le besoin de contrôler les gens qui gravitent autour d’eux et qu’ils perçoivent comme des objets ou des robots rats dont la seule fonction serait de subvenir à leurs besoins (psychologiques, matériels, sexuels). Ils sont dominateurs. Certains deviennent de parfaits tyrans domestiques. Ils occupent fréquemment des postes à responsabilité dans leur vie active. Ils s’entourent d’adjoints dociles et traquent tous ceux qui peuvent leur faire de l’ombre.

Ils connaissent la langue, mais pas la musique : le spectre émotionnel des psychopathes est pauvre. Ils apprennent tout au long de leur vie à simuler ces émotions qu’ils ne ressentent pas, notamment toutes celles qui relèvent de l’empathie et du sens moral : l’amour, l’attachement, la compassion, la honte, la tristesse, la dépression. On a souvent remarqué à leur propos qu’ils connaissent la langue, mais pas la musique. Les émotions qu’ils expriment sont parfois fausses. Ils ont tendance à en faire trop, leur style est grandiloquent, ampoulé, fleuri, pompier, truffé de métaphores. Il manque de sincérité. Les psychopathes manifestent leurs émotions à la manière d’adolescents sur MSN, en multipliant les points d’exclamation ou les smileys. Ils donnent l’impression d’une certaine immaturité émotionnelle.

Un style théâtral : les psychopathes ont tendance à en faire trop également sur le plan de la gestuelle. Ils ont un petit côté théâtral et parlent avec les mains, leur corps. Ils multiplient les mimiques, lèvent les yeux au plafond pour vous faire comprendre que vos propos sont stupides, ils soupirent, haussent des épaules, etc. Ils peuvent faire intrusion dans votre espace intime, vous toucher alors que vous les connaissez à peine. Ils outrepassent les étapes traditionnelles de l’amitié qui s’ébauche en s’efforçant de vous faire croire - trop vite - que vous êtes déjà les meilleurs amis du monde.

Le site du Pr Robert Hare

Ses ouvrages, en anglais :

Without conscience : the disturbing world of psychopaths among us

Snakes in suit : when psychopaths go to work (écrit avec le Pr Paul Babiak)



Moyenne des avis sur cet article :  4.55/5   (179 votes)




Réagissez à l'article

87 réactions à cet article    


  • COLRE COLRE 2 janvier 2008 15:05

    @N. Balcon,

    Bravo, c’est vraiment très drôle, même au premier degré. Quoique... Croyez-vous que vos lecteurs comprendront votre message ?


    • Ciucilon 2 janvier 2008 15:26

      Ok, une publicité, où est ce que l’on achète le livre.

      C’est dommage, pas de problématique rien, néant.


      • ekarine 2 janvier 2008 15:54

        Pas de problématique, c’est vite dit ! En filigrane j’en voit une flagrante... Portrait du psychopathe vs. portrait du pervers narcissique... Ce serait intéressant de confronter les profils


      • N. Balcon 2 janvier 2008 21:00

        La distinction entre la psychopathie et la perversité narcissique est un problème intéressant effectivement. Marie France Hirigoyen, dans son livre sur le harcèlement moral, semble dire que les professionnels emploient les deux termes de manière indistincte.

        Les psychologues anglo-saxons ont du mal à faire la distinction eux aussi entre le « malignant narcissist » et le « psychopath ».

        J’ai l’impression qu’on emploie l’expression « pervers narcissique » pour désigner les psychopathes bien intégrés socialement. On réserve le terme « psychopathe » pour les individus plus impulsifs, susceptibles de faire de la prison.


      • ekarnie (---.---.202.212) 2 janvier 2008 22:04

        Effectivement, cela correspond plus à la description du pervers narcissique en français. Pour faire un bon psychopathe, on ajouterait quelques joyeuses manies du genre cruauté envers les animaux ou individus, passage à l’acte de violence physique non spontané sans remords , vols ou destruction d’objets suivis de mensonges avec un aplomb extraordinaire, etc.


      • jako jako 2 janvier 2008 16:11

        Pfffffffff 5 articles sur NS aujourd’hui !


        • Hermes Hermes 2 janvier 2008 16:34

          Il s’agit plus précisément de la variante :

          Narcissic personality disorder, aussi appelée « Bully ».

          Il y a d’autres psychopathologies comme le paranoiaque, le schizophrène etc...

          Cherchez NPD + Bully sur Internet et vous trouverez (entre autres) cette liste en anglais.

          Des individus très nuisibles à la société d’après l’école de psychologie comportementaliste.


          • roOl roOl 2 janvier 2008 16:36

            C’est bizarre j’ai l’impression de lire un documentaire sur la psyche de Sarkosy... smiley


            • roOl roOl 2 janvier 2008 16:50

              j’ai oublié dans ma hate, de dire que cette article, ou son propos, si vous preferer ne sont pas neufs :

              Marianne : Le vrai Sarkosy (14-23 Avril 2007, 14 pages) repris ici : http://membrado.blogs.com/thoughts/2007/04/le_vrai_sarkozy_1.html ou ici : http://stanislaskazal.canalblog.com/archives/2007/04/21/4693836.html

               smiley


            • Rosemarie Fanfan1204 2 janvier 2008 16:57

              Je me suis fait exactement la même réflexion !

              J’évite de lre les billets sur NS (cela doit pas être bon pour la santé et j’ai pas de patch anti NS chez moi smiley) et malgré, j’arrive à le débusquer sur des sujets autres !


            • N. Balcon 2 janvier 2008 18:32

              Selon Robert Hare, les psychopathes sont particulièrement bien adaptés pour certains secteurs d’activité, notamment la politique en effet, mais aussi le droit (avec leur bagout, ils font d’excellents avocats), le « business » et les médias.

              La plupart des hommes politiques possèdent quelques-uns des traits mentionnés ci-dessus, mais ne sont pas pour autant psychopathes. Beaucoup dégagent un certain charisme et sont très à l’aise à l’oral. C’est presque un pré-requis pour faire carrière en politique. Mais ça n’en fait pas pour autant des psychopathes. Il faut vraiment cumuler un nombre important de ces traits.


              • Masso6 (---.---.5.3) 3 janvier 2008 13:18

                Il s’agit tout simplement d’un documentaire sur la psyche des Hommes politiques...


              • toto1701 2 janvier 2008 18:56

                et quand deux psychopathes s’accordent par interet ça donne quoi comme resultat ? une election a la présidentielle ?une cote de popularité en progression ?un champs de ruine ? une décote d’impot ?un choc fiscal ?une franchise medicale ?...que saisje encore !


                • toto1701 2 janvier 2008 18:58

                  faut lire « des psychopates » j’ai pas dit pas 53%


                • adeline 2 janvier 2008 19:45

                  hihihihi moi aussi j’y ai lut NS c’est bizarre docteur ?


                  • N. Balcon 3 janvier 2008 08:37

                    Je n’ai vraiment pas écrit cet article dans une optique politique, pour qu’on puisse « lire entre les lignes ». C’est une description d’un trouble du comportement qui -comme je le signale en introduction- est plus répandu qu’on ne le croit.


                  • TALL 3 janvier 2008 09:06

                    Il est totalement faux et pervers de décrire ces traits de caractère comme « troubles de comportement » ou « maladies mentales » puisqu’il n’y a jamais eu le moindre corrélat biologique observé entre « ça » et des dysfonctionnements cérébraux quelconques.

                    La psychiatrie abuse clairement ici de son crédit de « science » pour inventer un concept qui n’est que la reprise « scientifisée » de la vieille notion de « possédé du démon ». Notion chère à ce vieil Inquisiteur romain qui a justement récemment reçu Dieu en personne ( le seul, le vrai ) en sa modeste basilique St-Pierre.

                    Bref, des conneries de chez St-Connard à la sauce made in science. Pour preuve, pour établir ce genre de « diagnostic » la psychiatrie ne respecte aucune règle fondamentale de la méthode scientifique. Tout y est subjectif de A jusqu’à Z et rien n’est démontrable.


                    • N. Balcon 3 janvier 2008 09:21

                      Il y a eu un débat, effectivement, pour savoir si le concept de psychopathie avait un fondement scientifique. Un psychiatre irlandais disait à propos de la psychopathie :

                      « It’s a medicalisation of what we call, not just bastards, but complete and utter bastards. »

                      Ce qui rejoint votre propos sur les possédés.

                      Mais le concept est devenu la base de multiples publications scientifiques ces deux dernières décennies, en particulier dans le monde anglo-saxon, et on a trouvé plusieurs différences physiologiques et cognitives entre les populations de psychopathes et les « témoins » (cf travaux de Hare et Newmann).

                      http://www.sciencenews.org/articles/20061209/bob9.asp

                      La neuro-imagerie n’a fait que confirmer la pertinence du concept de psychopathie. Cf notamment les travaux de Adrian Raine.

                      http://www.sciencedaily.com/releases/2004/03/040311072248.htm

                      Il reste beaucoup de choses à explorer sur ce trouble.

                      Merci pour votre commentaire


                    • TALL 3 janvier 2008 12:38

                      C’est faux, vos références ne sont pas sérieuses. Il n’existe aucune relation causale entre la biologie du système nerveux et la morale ( qui dépend de la culture ea ). Mon job, c’est l’IA ( intelligence artificielle ) et c’est dans ce contexte que je suis de près et depuis + de 20 ans les dernières évolutions des sciences neuropsys ( surtout neuro ). C’est ainsi que je sais que ce genre de couillonnade est racontée depuis longtemps et par de nombreux psys qui ont pignon sur rue. Et ce n’est pas près de s’arrêter vu que ça leur permet de gagner du fric en se faisant notamment consulter par les autorités judiciaires ( bonjour les dégâts smiley ), alors qu’en fait, ils ne sont pas + crédibles en criminologie que les cartomanciennes.

                      Staline l’avait d’ailleurs bien compris et les a utilisés à outrance. Saviez-vous qu’il existe un gène trotskiste ? Si, si, il y a eu des études de grands professeurs russes là-dessus. smiley


                    • Francis, agnotologue JL 3 janvier 2008 12:49

                      « Cordonnier, pas plus haut que la chaussure » !


                    • guitou (---.---.1.42) 3 janvier 2008 13:40

                      L’intelligence artificielle n’est rien de plus que de l’informatique (plus ou moins avancée). En quoi êtes-vous plus qualifié pour parler de psychiatrie que l’auteur ?


                    • (---.---.187.116) 3 janvier 2008 15:52

                      Vous parlez de l’IA des autres alors. Car à mes yeux l’IA nécessite un bon bagage en psychologie, neurologie, épistémologie, philosophie, statistiques et informatique. Bagage qui n’est d’ailleurs rassemblé dans aucune faculté universitaire au monde, d’où l’auto-didactisme indispensable.

                      A ce propos, j’ai été stupéfait d’apprendre en discutant un jour avec une psychologue belge qu’elle n’avait jamais reçu un cours de neurologie durant tout son cursus !? smiley


                    • TALL (---.---.187.116) 3 janvier 2008 15:53

                      signature.


                    • N. Balcon 3 janvier 2008 20:54

                      Ce que vous me donnez là, ce sont des arguments d’autorité.

                      Il y a une littérature scientifique abondante sur la psychopathie et certains des traits psychologiques qui la constituent.

                      On parvient, depuis longtemps, à mesurer des paramètres comme l’empathie, la vulnérabilité au stress, l’attention, etc (qui sont tous des éléments constitutifs du spectre psychopathique).

                      Ce que vous dites sur le rôle de la culture est juste et j’y adhère. Mais le cerveau n’est pas une tabula rasa et l’éducation doit faire avec certaines prédispositions. Parfois on obtient des miracles, c’est vrai.

                      Robert Hare écrit dans Without conscience que l’héritage génértique joue probablement un rôle important dans l’installation de ce trouble du comportement.

                      Il précise néanmoins que l’éducation permet de moduler l’expression du profil psychopathique.

                      Ainsi, s’il est de bonne famille, le psychopathe va probablement mettre à profit ses atouts psychologiques pour faire carrière en politique, dans les affaires ou comme avocat. Il sera peu scrupuleux, manipulateur, peut-être escroc. Peut-être sera-t-il ignoble avec sa femme, certains de ses collaborateurs, sans pitié avec ses « ennemis ». Cela ne l’empêchera sans doute pas d’avoir une carrière en apparence brillante et d’être admiré.

                      S’il naît dans un contexte défavorisé, qu’il est battu, brimé, délaissé, pas encouragé à faire des études, le psychopathe deviendra peut-être un voyou violent, qui mènera une vie nomade et passera de temps à autre par la case prison.


                    • Eric Roux Eric Roux 4 janvier 2008 01:11

                      Effectivement, le seul fondement scientifique derrière la relation biologie/psychopathologie, c’est la complexité du verbiage employé... A moins que la vérité là-dedans soit que quelqu’un de mal nourri a plus de mal à se concentrer, que quelqu’un à qui on enlève une partie du cerveau est moins en forme qu’avant qu’on ne la lui enlève, et que quelquun qu’on bourre de morphine aura certainement moins de chances de se mettre en colère.


                    • TALL 4 janvier 2008 11:15

                      A l’auteur

                      Ce que vous me donnez là, ce sont des arguments d’autorité > c’est exactement ce que vous faites dans votre article : « Robert Hare est le grand spécialiste mondial de la psychopathie »

                      Il y a une littérature scientifique abondante sur la psychopathie > il y en a encore + sur les petits hommes verts.

                      - Ce que vous dites ensuite montre juste que le profil appelé « psychopathe » est un ensemble de traits de caractère. Mais c’est la même chose pour les thèmes astrologiques.

                      Robert Hare écrit dans Without conscience que l’héritage génértique joue probablement un rôle important dans l’installation de ce trouble du comportement. > affirmation totalement gratuite et dénuée de tout fondement observationnel.

                      Bref, comme d’hab, c’est du nul pointé de chez nada. En plus, je vois bien que vous ne faites que citer des références sans maîtriser vous-même conceptuellement le problème.


                    • Bertrand 31 octobre 2009 11:51

                      Merci pour cette réaction que je soutiens à 100%.

                      Au pire, cet article risque de faire peur à certaines personnes qui peuvent se reconnaître sur certains points et se penser psychopathe. 

                      Arrêtons de donner du crédit à n’importe quel soi-disant scientifique à cause de son status de psychiatre. Avant c’étaient les prêtres, maintenant les psy.



                    • sunrise 19 janvier 2010 14:13

                      Mon fils (22 ans) est un psychopathe.

                      Mensonges, comportement parasitaire, vit dans le présent...violence dans la sphère familiale principalement...

                      Après des années de reflexions douloureuses et de recherches afin de « l’aider », beaucoup de lecture aussi , je suis parvenue à la conclusion suivante :

                      La psychopathie ne trouve pas son origine dans l’environnement. Elle est innée. L’environnement néfaste ne fera lui qu’amplifier et accelérer les symptomes d’agression physique.

                      Dès sa naissance il a reçu amour et affection. A l’entendre, il est carencé affectif depuis son enfance et n’a rien « eu ».

                      Des histoires, de la zizanie, la manipulation, le chantage, la médisance, le harcèlement pour obtenir ce qu’il veut, la destruction de ma réputation... voici ce que j’ai vécu depuis qu’il est né.

                      Son frère et sa soeur sont humains, éprouvent des sentiments qui ne sont pas feints. Nous savons qu’il est psychopathe et nous l’aimons encore dans les rares moments ou il n’est pas « caractériel » mais ne sommes pas dupes. Nous savons aussi a quel point il voit en nous le comblement de ses besoins et uniquement cela.

                      Ce qui me navre particulièrement c’est la résistance de « professionnels » psy à lâcher le discours freudien et à ne pas se former sur les nouvelles découvertes concernant les pervers narcissiques et les psychopathes. Des moutons vous dis-je ! A l’ère d’internet en plus !

                      L’école de pensée psychanalitique de ces gens là est totalement obsolète, et je retiens dans ma façon de vivre en société une chose essentielle : Les gens honnêtes et droits tiennent un discours clair et compréhensible, la vérité les intéresse. Lorsque le discours est confus ou bien hermétique ou inexistant ou rempli de lieux communs, il convient de s’interroger sur la valeur de la personne qui est en face...

                      Ce qui fait qu’aujourd’hui nous pouvons mettre en lumière la souffrance vécue auprès de psychopathes et internet facilite les recoupements de témoignages et de découvertes notamment celles de Robert Hare.


                    • La voix de la vie 31 mars 2012 00:08

                      Si au contraire : renseigne-toi sur les analyses scientifiques qui ont été effectuées sur les psychopathe : 

                      En effet la psychopathie est un syndrome physique détectable justement au scanner cérébrale. 

                      Il y a des preuves établies et visuelles du dysfonctionnement des cerveaux des psychopathes :

                      A savoir que au cours d’études sur ce type de déficients mentaux : 

                      Il est une expérience : 

                      On met un individu sain, normal , intelligent et un psychopathe : on passe leur cerveau au scanner cérébral : et on leur pause différentes questions, voir même ou leur fait entendre des mots différents évoquant des émotions : exemple : Jardin, Liberté , mère , amitié , viol , arbre, oiseau , gentillesse, chaise électrique, repas, oiseau, chien, amour , mensonge, fidélité, manipulation, etc...


                      Il se trouve que chez toutes les personnes normales ’ individus sain ’ : au scanner cérébral : les zones du cerveau du language se mette à fonctionner ainsi que différentes zones : qui réagissent : celles des émotions, des sensations,des ressentis qu’évoquent les mots : selon des mots à l’évocation ’agréable’ : une zone déclenche des réactions ; et une différente à l’évocation d’un mot qui traduit quelque-chose de désagréable ...

                      Le scanner cérébrale des cerveaux des spécimens à déficiences mentales dites ’psychopathie’ : est très différent des cerveaux des hommes sains : en effet au scanner : l’évocation des différents mots ne fait aucunement réagir les zones des émotions : seule la zone du cerveau traitant les fonctions du langage agit : l’individu comprend le mot mais les mots n’évoquent chez lui aucune compréhension émotionnelle , c’est une compréhension froide, antipathique , comme on lierait un dictionnaire ...  Il n’y a pas plus de réaction sur le mot ’amour’ que sur le mot ’viol’ par exemple ...

                      Le psychopathe est donc, et cela est prouvé scientifiquement et visuellement par cette étude : un handicapé des émotions humaines. D’où son comportement inadapté, mensongé, manipulateur, pervers, profiteur ... 

                      Comme il ne se plie pas à des expériences telles que ’pleurer sincèrement’ sa tristesse, avoir du chagrin pour l’autre, comprendre la joie, l’amour : provoquer la joie , l’amour... Et qu’il décèle chez les autres cette fragilité : les autres pleurent , ont des facultés émotionnelles : perçurent pour lui comme des faiblesses :: LUI EST BIEN AU-DESSUS DE TOUT çA . Il se sent donc supérieur à tous, : ces hommes qui font des scènes passionnées, qui sont trop ’émotifs’ à son gout , c’est incompréhensible , ça l’agace ?? Il les imite pour passer pour normal , et dans le but d’obtenir une récompense , une reconnaissance... C’est un acteur né.  

                      Ce défaut de savoir ce qui se passe dans les émotions humaines : ( et qui nous occupe beaucoup de notre temps ) : le psychopathe ne perd pas de temps pour cela : être heureux, ressentir cet amour, ce chagrin cette émotion... Donc il a tout son temps pour mettre en place des stratégies d’action , des scénarios , des ’expériences’ sur ces ’cobayes ’humains dont il se sait différent et qu’il domine, utilise, asservit ... 

                      Le psychopathe est resté bloqué au stade du nourriçon quand il ’pleure ’ : il provoque l’attention ce qui se traduit par l’arrivée du biberon dont il a besoin . Plus il joue de son caprice , mieux il est compris ... Sourire lui apporte carresse câlin, récompense d’ordre apaisement physique , sexuel, apaisement ... 

                      Les parents sont instrumentalisés par le nourriçon, qui plus tard aime ses parents , ressent des émotions pour et avec eux ... 

                      Le psychopathe , lui , reste au stage du nourriçon : il continue d’instrumentaliser ses parents, puis le reste de sa famille puis tout le monde ... Par ce défaut d’empathie et de sincérité ( la sincérité d’un discours d’une personne ne peux venir que du vécu émotif de son émetteur : Le psychopathe dénué d’émotion déballe des phrases toutes faites apprises en écoutant les autres parler : c’est un copieur , un voleur , il s’approprie les langages des autres , tel un caméléon pour servir ces propres petits besoins physiques, son propre égocentrisme , rien de plus . 

                      Il n’y a pas d’échange , il n’a rien à ’partager’ ... 

                      Il est le contraire de la figure protectrice, paternelle ou maternelle : il est le bébé : toujours en demande , toujours en manque, toujours dans le besoin que l’autre lui fournisse ce qu’il n’a pas, un miroir, de l’alimentation, de la chaleur , de la vie pour contrer son ennui, sa peur de la solitude, se sentir exister etc ... etc.... 

                      Et cela toute sa vie ... 

                      Ce qui en font des individus très dangereux pour les autres car ils ne pensent qu’à eux , et leurs besoins doivent être comblé par l’autre : leur ’objet’ très vite : ils sont impatients , donc facilement irrité , en colère silencieusement , à faire des plans sur la comètes , à prêter à l’autres des intentions négatives qu’il n’a pas ( parano ) ... Ils agissent par pulsion : doivent être satisfait très vite :: : comme un toxicomane ; la seringue doit arrivé très vite dès les premières plaintes du manque : tout comme l’arrivée du biberon arrivait très vite aux premiers pleurs ...

                      Ce sont des asociaux, des solitaires , qui n’apparaissent aux autres que par nécessité . Et demeurent secret à tous , dénigrent sans en avoir l’air , dévalorise l’autre pour rehausser leur propre estime d’eux - même ... 

                      Sont donc lâche, manquent de courage , d’investissement dans les projets des autres....

                      Peuvent alors par intelligence, trouver un intérêt intellectuel à faire souffrir l’autre ’ différent’ , sans être pris , un intérêt basé sur leur mégalomanie : je suis puissant , rien ne peux m’atteindre . 

                      Le psychopathe est privé de conscience, tout en ignorant pas, les ’concepts’ de Bien et de Mal qui restent abstrait pour lui : pas de culpabilité mais un sens inné du ’’ bien être en société’’ ’’ être discret’’ : savoir comment et où se comporter de telle manière , comment et où et avec qui retourner sa veste ... 

                      Voilà comment ils arrivent , pour les plus dérangés d’entre eux, les moins ’chanceux’ , les plus ’pulsionnels’  à perpétrer des crimes , laissés non punit , sans éveiller les soupçons qu’une culpabilité pourrait transparaitre dans leur personnalité : sans remords, sans en être touché ... Au contraire leurs crimes leur procure le moyen de se sentir plus intelligents que les autres , plus rusés, plus supérieur : comparable à Dieu tout puissant ... Il peuvent continuer à se rendre à leur travail sans que leur comportement n’éveille l’attention ... et rester les même : même le lendemain d’avoir assassiné, ou violé une jeune fille laissée pour morte ...  


                      Cette attitude fait qu’ils ne sont pas soupçonnés : car on pense qu’un meurtrier ayant commis l’irréparable, serait tout -à- coup changé , malade, absent au travail , dépressif , stressé ... pris de remord etc...  

                      Le psychopathe ne fait pas de déballage d’émotions superflues car il n’en a pas . Ce qui fait qu’il est adapté à l’entreprise et le monde de l’entreprise l’interresse plus que tout car il peux manipuler autours de lui ... Il y a beaucoup à dire de la psychopathie : Cette maladie mentale est présente chez 1% de la population : Ces individus sont des asociaux, ils sont vides, n’ont pas de personnalité propre, que des masques différents ... dont ils usent et abusent comme des animaux...  En bouddhisme : ce serait des gens bloqués toute leur existence dans l’état de vie d’animalité . 

                      Ils créent des conflits partout où ils vont .


                      Il finissent en prison, en hôpital psychiatrique ou se suicident ... leur disparition entrainant un soulagement plus qu’autre chose ...  

                    • Tall 31 mars 2012 00:19

                      une chance que la connerie ne se détecte pas au scanner, j’en connais qui feraient exploser l’appareil


                    • Ahnzel 6 novembre 2013 23:57

                       La plupart des gens n’ont aucune formation épistémologique et ceux qui en ont une sont rarement capable d’être profondément rigoureux. Ce qui laisse une autoroute aux théories biaisées, orientées et tout simplement fausse.

                      « Salut j’ai vu un docu à la tv ils ont passé des gens dans scanner whoo c’est très scientifique tout ça, ca doit être vrai. »

                      Outre le fait que les américains ont une forte tendance à faire la confusion entre science et scientisme, il y a pas besoin d’être un génie (j’espère) pour remarquer que, de base, les méthodes employée sont profondément biaisée et partent de présupposer culturels. D’une part les zones qui s’allume ne sont que hypothétiquement des zones liées aux émotions. D’autre part tout le monde ne réagis pas de la même manière et le fait d’être dans un laboratoire sous scanner a de très forte probabilités d’influencer l’état d’esprit des sujets et donc de l’authenticité de leurs réactions.
                      Dernier point, les situations qui sont sensées déclencher des émotions chez les sujets, outre le fait qu’elles sont totalement factices et artificielles, partent d’un présupposer culturel du chercheur relatif à ce qu’il considère comme pouvant déclencher des réactions émotionnelles ou non.


                    • (---.---.111.81) 3 janvier 2008 10:53

                      Excellent article, à ajouter un chapitre à ceux sur le dictateur... parus ici. One voit pas plus de qui on parle, il semble. Mais la maladie semble bien présente...


                      • (---.---.111.81) 3 janvier 2008 11:07

                        Euh , à l’auteur : pensez-vous qu’on puisse relier votre maladie à une activité monomaniaque, genre philatélie ?


                        • saint_sebastien saint_sebastien 3 janvier 2008 11:15

                          Le terme « psychopathe » tout court n’est il pas un abus de language ? ne devrions nous pas dire « tueur psychopathe » plutôt ? car le psychopathe n’est pas automatiquement un tueurs fou.


                          • saint_sebastien saint_sebastien 3 janvier 2008 11:18

                            A excusez moi , je n’avais pas comprit que votre article parlait de Sarkosy smiley


                          • ROBERT Jean-Claude (---.---.20.226) 3 janvier 2008 11:30

                            Pourquoi votre article de vulgarisation est-il intéressant ? Parce qu’il devrait permettre à vos lecteurs de s’interroger sur eux-mêmes avant de s’interroger sur les autres. Encore faut-il qu’il y ait une démarche sincère dans l’introspection, et beaucoup de courage pour rechercher et examiner de bonne foi les points de vue qui diffèrent des nôtres. Au delà, une triste réalité est annoncée : dans les seules vingts prochaines années à venir, l’incapacité à comprendre et à s’adapter à une nouvelle vie sociale génèrera une fulgurante augmentation des psychopathes ou névropathes dans toutes les pays développés - on parle de 40% de la population globale. Qui s’interroge sur l’avenir de la démocratie ? Bonne année à tous !


                            • sunrise 19 janvier 2010 14:30

                              Moi ! j’y pense à la démocratie et je pense comme vous que les psychopathes vont se multiplier dans ce bon terreau


                            • (---.---.219.195) 3 janvier 2008 13:05

                              Les plus grands psychopathes se retrouvent dans les hémicycles et les ministères. Ce qui fait leur force c’est que c’est eux qui font la justice et que leurs victimes sont presque toujours consentantes. Faites des recherches sur la ponérologie politique : http://quantumfuture.net/fr/article-lkj-ponerologie01.htm


                              • Francis, agnotologue JL 3 janvier 2008 13:15

                                Névrosés, psychopathes, névropathes et psychotiques.

                                Pour s’y retrouver un minimum lorsqu’on emploie ces mots, il y a deux distinctions incontournables à faire : une distinction qualitative entre névroses et pyschoses, et une distinction quantitative entre affection et pathologie.

                                Faute de quoi on est dans l’imprécision ou le flou. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’il suffit de cela pour être pertinent. smiley


                                • maxim maxim 3 janvier 2008 14:07

                                  on l’est tous un peu à un moment ou un autre de nos existences dans tout ce que vous décrivez ...non ???

                                  c’est comme lorsque qu’on lit un livre de médecine ,on se trouve les symptômes de toutes les maladies ...

                                  qui n’a pas baratiné dans sa vie ,ne serait ce que pour séduire ,obtenir un avantage quelconque ,qui est vraiment parfait et clean ?

                                  de même en politique ( parce que l’on vous voit venir avec vos gros sabots ) en politique donc,ne faut il pas être un peu Psychopathe pour réussir et pour exercer dans une fonction où il ne faut aucun sentiment ,surtout pour ces plus hautes fonctions .


                                  • (---.---.233.76) 3 janvier 2008 18:29

                                    Bonjour. Norbert.

                                    Un monde trouble celui dans lequel tu t’es engagé.

                                    Retient ceci, chacun d’entre nous dispose d’un certain pourcentage de trait définie par une observation de nos comportements, il ne peut en être autrement puisque ce ne sont que le produit de nos observations. Ensuite éventuellement nous confirmons ou non par la science réfutable nos observations.

                                    La psychiatrie n’est pas une science elle ne pose aucune base fondamentale de référence juste des approximations regroupées dans un catalogue comportementaliste indicatif.

                                    C’est seulement le besoin de se rassurer qui en fait à tord une science explicative des comportements et laisse croire qu’ils n’ont que pour seule base l’inné alors que le culturel est prédominant.

                                    Le chef charismatique Sarkosien auquel chacun a pensé et qui était en filigrane n’est que le produit d’un environnement qui l’a généré favorisé par ses traits de caractères inné.

                                    Mais Sarkozy lui ou d’autres aux mêmes parcours dans un environnement primitif n’auraient jamais été des dominants alpha car ils sont des « dominants systémiques » issue d’un système.

                                    Et le système qui est un « dominant systémique » impersonnel confirmera à sa tête le produit généré par le système dont effectivement le caractère et le parcours social lui offrirons cette opportunité. Une société paranoïaque élira bien évidement un tyran rassurant. Une société marchande élira un commerçant etc.

                                    Lorsque certains comportements se caractérisent par un pourcentage de traits de caractères plus marqué chez les uns ou les autres nous les sériions et les classons par type de comportements générateurs de singularités.

                                    Ce que nous en déduisons est une impression qu’il reproduit les mêmes comportements puisque c’est de là que nous avons retiré notre appréciations, mais elle ne peut être détaché de son contexte environnemental qui l’ajustera s’il nécessite d’y faire appel ou pas.

                                    Le caractère inné au contact du monde devient le tempérament ou vice versa pour certains auteurs et ce tempérament épouse les valeurs culturelles que cet ensemble à construit et dont il nourrir la classification par ses propres analyses, leur conférant ainsi, non pas une valeur certaine, mais une suggestion admise par la majorité, et donc, seulement indicative d’un milieu dont certaines régularités confirmeront une prédominance sans garantie de l’obtention d’un résultat comportementaliste identique.

                                    Un psychopathe insensible au remord est condamnable individuellement en cas de meurtre alors qu’il est parfaitement admis militairement dans le même but tuer ; c’est là qu’entre l’appréciation culturelle.

                                    Un pour cent des français sont considérés comme schizophrènes et pour autant ils ne présentent pas la dangerosité des quelques cas que l’on nous présente.

                                    Notre société fabrique par exemple des comportements compulsionnels par son environnement suggérant en permanence le désir d’achats, tous n’y succombent pas mais chacun est prédisposé de ce comportement qui devient un handicap dans l’excès, le même tempérament dans un désert de tout biens ne se remarquera pas.

                                    C’est un monde très passionnant celui de notre cerveau d’autant plus si l’on comprend que nos créations en sont la représentation de son ensemble qui nous pousse à construire les outils pour s’auto examiner. Je trouve ce « mécanisme » rétroactif fabuleux, mais aussi plein de paradigmes et d’illusions qu’un regard ignorant ne peut pas déceler s’il n’a pas compris que même l’Univers est le produit de nos sens et quand nous expédions des satellites l’observer nous n’expédions qu’une partie de nous, pour le dire différemment nous faisons naviguer une partie de nos sens.

                                    Cordialement.


                                    • Mango Mango 3 janvier 2008 19:16

                                      A vous lire, on a un peu l’impression que la psychopathie, c’est la norme ! (Oups... J’ai mis un point d’exclamation : damned, je suis démasquée).

                                      Sinon, j’ai trouvé l’article bien écrit, et disons, divertissant : au fil des paragraphes, on s’y reconnaît, on y reconnaît des collègues, des proches, mais, et c’est là que je voulais en venir, on ne se retrouve pas à « tous » les paragraphes.

                                      Aussi, il me semble important de rappeler que c’est la somme, l’accumulation de traits qui font la différence entre le « normal » et le pathologique.

                                      Enfin, la morale n’a rien à voir à l’affaire : nous vivons dans un état de droit, et ce qui fait de quelqu’un, psychopathe ou non, un être dangereux, c’est uniquement le passage à l’acte qui enfreint la loi, loi qui, rappelons-le, est faite avant tout pour protéger contre celle du plus fort. (Après, on peut discuter longtemps pour savoir si les lois sont bien faites et bien respectées, mais c’est un autre débat).

                                      Bonne soirée à tous et meilleurs voeux.


                                      • N. Balcon 3 janvier 2008 20:05

                                        Votre commentaire est très juste. Beaucoup de gens peuvent manipuler, de manière ponctuelle, ou bien manifester l’un ou l’autre de ces traits psychologiques de manière isolée. Mais les psychopathes les accumulent. Le plus fascinant, dans ce trouble, c’est que malgré tout, cela ne saute pas aux yeux.

                                        Pour éviter les erreurs de diagnostic et cet effet d’ubiquité que peut donner une première lecture du tableau, Robert Hare a mis au point une échelle psychologique qui permet d’évaluer toute la série de traits de manière très fine.

                                        Le diagnostic de psychopathie est assez lourd à poser parce qu’il faut beaucoup d’informations sur la personne qu’on cherche à évaluer. Cela nécessite, de la part du psychologue ou du psychiatre, une véritable enquête.

                                        Un entretien en tête à tête avec une personne porteuse d’un tel trouble ne suffit évidemment pas, car les psychopathes vont se décrire comme empathiques etc. Il faut donc recueuillir les témognages de personnes qui les fréquentent.

                                        En fait, on ne doute absolument plus de la pertinence du concept que le jour où l’on a vécu intimement avec ce genre de personne (dans son environnement professionnel par exemple, ou sentimental car -je le répète- les psychopathes sont capables de se faire aimer s’ils le veulent).

                                        Ce que vous dîtes sur le passage à l’acte est également très juste. Cela pose la question de tous les comportements limite. Parce certains psychopathes intelligents et suffisamment maitres d’eux même ont une notion très fine de la légalité (à défaut d’avoir un sens moral bien épanoui). Ils prendront soin de ne jamais franchir la ligne jaune de manière flagrante, mais abuseront de toutes les situations.

                                        Le harcèlement moral, par exemple, est un processus qui se déroule dans une zone grise. C’est une multiplication d’agressions qui -chacune prise isolément- sont anodines.

                                        Au final, dans la durée, la victime peut être victime d’une dépression ou perdre son emploi. Le dommage est très important sans que l’on puisse réellement parler de passage à l’acte sur le plan juridique.

                                        Je crois qu’il est utile d’avoir ce tableau psychologique en tête, non pas pour diagnostiquer de manière sauvage tous les membres de son environnement et toutes nos personnalités médiatiques, mais simplement pour avoir la puce à l’oreille plus rapidement dans certaines situations « étranges ».

                                        L’actualité abonde d’exemples de catastrophes survenues parce qu’on a donné trop de pouvoir à une personne porteuse d’un nombre important de ces traits psychologiques.

                                        Lorsque je lis dans la presse qu’Eric Breteau est « charismatique », qu’il a du « bagout », qu’il est « manipulateur », « dominateur », qu’il a le goût du secret, qu’il possède un pouvoir de persuasion hors norme, qu’il est inconscient du danger, qu’il était très doué pour écarter ses rivaux pour accéder à la tête de la fédération 4x4, qu’il a trompé ses employés locaux, laissé entendre que Cecilia Sarkozy les soutenait, lorsque je vois la manière dont il rejette la responsabilité sur ses intermédiaires etc, je me pose des questions. On peut probablement parler de « tendances » psychopathiques. Je crois que la dimension psychologique a joué un rôle prépondérant dans ce fiasco humanitaire et il serait intéressant d’avoir un avis d’expert. Non pas pour stigmatiser tel ou tel, mais pour éduquer et aiguiser la vigilance.

                                        Peut-être que si ses collègues avaient entendu parler du « charisme » des psychopathes, ils auraient cherché à en savoir plus sur les détails de l’opération « Children Rescue ».

                                        L’adition est dramatiquement lourde pour des personnes qui étaient probablement bien intentionnées, et j’ai pitié d’eux.


                                      • Comprendre (---.---.19.99) 3 janvier 2008 22:12

                                        AU DELÀ DE LA FOLIE par le Dr. Amos M.Gunsberg

                                        ..........................

                                        Nous les appelons habituellement les psychopathes --- ces créatures qui apparaissent sur notre planète sous forme humaine, mais qui ne sont pas des êtres humains.

                                        Nous avons noté qu’elles sont amorales. Cela devrait nous avoir donné un indice.

                                        Nous avons noté qu’elles ne RESSENTENT PAS de sentiments. Cela devrait nous avoir instruit.

                                        Nous avons noté qu’elles sont sans coeur. Cela devrait avoir sonné l’alarme.

                                        Ces créatures manquent des éléments qui font que l’être humain est être humain. Elles ne montrent aucune connection avec, aucune compréhension de ce que nous appelons « moralité », « honnêteté », « décence », « fair play », ...etc. Elles n’ont pas la faculté que nous appelons empathie. Elles n’ont pas cette possibilité humaine que nous appelons introspection.

                                        L’être humain a passé des siècles à essayer de comprendre ces créatures comme une forme d’être humain. En vain. Pas seulement en vain, mais à un coût pharamineux pour notre civilisation. Ces créatures ne sont pas des êtres humains qui ont mal tourné. Elles sont d’une espèce différente... dédiée au meurtre des valeurs humaines... en prélude au meurtre des êtres humains... voir les tactiques utilisées par les Nazis, passés ou présents.

                                        Les psychopathes nous rient au nez. Ils disent : « Personne ne nous comprend. Les gens ne peuvent imaginer l’esprit d’hommes qui agissent sans conscience. Ils essaient de comprendre, mais ils ne peuvent pas. »

                                        Ces créatures ne PENSENT PAS humain. Elles ne PARLENT PAS humain. Elles ne savent pas ce que c’est que D’ÊTRE humain.

                                        Nous les classifions comme « humanoïdes ».

                                        Oui, elles ont forme humaine. Si nous arrivons à résister à leurs attaques suffisamment longtemps, nous pourrions éventuellement développer des techniques de scanning qui mesureront combien différentes elles sont des êtres humains, malgré leur similarité de forme.(note du traducteur : le Dr Hare, au Canada, a effectué des scans Imagerie par Résonance Magnétique Nucléaire de cerveaux de psychopathes et de cerveaux d’êtres humains normaux ; la différence de réactivité est frappante au point que des neurologues consultés ne pouvaient pas croire que les scans IRM des psychopathes étaient ceux d’êtres humains ; certaines réactions furent : « S’agit-il de cerveaux de martiens ?... » Voir http://www.hare.org/index.html ).

                                        Entre-temps, la qualité de nos vies... et nos vies mêmes ... dépendent de la capacité que nous avons de reconnaître ces créatures pour ce qu’elles sont, et de la capacité de prendre des précautions pour neutraliser leurs tentatives de nous détruire.

                                        ............................ ............................ ............................

                                        ÉVIDENCES ET PREUVES DE COMPORTEMENT HUMANOÏDE PSYCHOPATHIQUE

                                        Ils font des déclarations sans justifications. Pour eux, ces déclarations représentent ce qu’est la réalité, déclaration après déclaration. La présente déclaration peut contredire ce qu’ils ont déclaré un moment plus tôt. Cela n’a aucune importance, pour eux. Ils ne font aucun effort pour gérer la contradiction.

                                        .................

                                        Ils démontrent un total manque de compréhension de ce que nous appelons un fait . Dans leurs écrits et leurs discours, ils n’utilisent pas ce mot.

                                        Nous humains trouvons cela difficile à croire. L’utilisation des faits est une chose tellement basique dans nos vies. Nous basons nos conclusions et nos actions sur les faits. Nous partons des faits pour tester et établir d’autres faits. Quand nous débattons, nous présentons des faits, et montrons comment nous déduisons et prenons position à partir des faits.

                                        Sans faits, la seule chose que nous ayons est ce que nous appelons « un phantasme ».

                                        Comme ces créatures ont apparence humaine, nous pensons qu’elles doivent penser comme nous... soyez avertis de ce dont nous sommes avertis !... Nous pensons qu’elles DOIVENT savoir ce que sont les faits. Quand elles nient les faits, nous disons qu’elles jouent un jeu. Nous pensons qu’elles savent ce qu’est un fait, mais qu’elles ne veulent pas l’admettre.

                                        Pas vraiment !... Elles ne SAVENT PAS ce qu’est un fait. Quand nous parlons de faits et leur demandons de faire face à un fait, elles nous regardent avec des yeux vides. Elles ne savent pas de quoi nous parlons.

                                        Elles nous étudient, parce que leur stratégie est de se faire passer pour des êtres humains. Elles nous entendent utiliser les mots : « fait », « preuve », « justification ». Elles n’ont pas la capacité humaine de comprendre ce que cela veut dire. Ce qu’elles font est d’ignorer nos références aux faits, ignorer nos demandes de fournir des faits, en espérant que nous ne nous rendrons pas compte que c’est à cause de leur incapacité de comprendre.

                                        ................

                                        Regardons quelques exemples de ce qu’ILS ( les psychopathes ) utilisent pour ce que NOUS voulons dire par « les faits »

                                        L’Association pour l’Avancement de la Gestalt Thérapie (AAGT) a tenu une conférence ouverte où trois « maîtres thérapeutes » travaillaient avec trois volontaires. Le Docteur Jeffrey A.Schaler a publié une critique de cela, titrée « MAUVAISE THÉRAPIE », dans laquelle il citait des exemples non seulement de mauvaise thérapie, mais aussi d’abus systématique d’un volontaire par un « maître thérapeute » (The Interpsych Newsletter, vol 2, Issue 9, Nov 95). Dans leur newslist internet officielle (aagtarobasenetridepointcom), des membres de l’association ont lancé une attaque contre le Dr Schaler, attaque culminant avec le slogan « Sauvons la Gestalt Thérapie de Jeff Schaler », slogan utilisé comme sujet dans un thread/fil de discussion. Sous cet intitulé, ils ont « SAUVÉ » la Gestalt Thérapie en envoyant des emails qualifiant Jeff Schaler comme étant « arrogant, narquois, coupeur-de-cheveux-en-quatre, pinailleur, dérangé, mauvais esprit, fouteur de merde, intéressé » ...etc...

                                        Quand on leur demanda en quoi ces qualificatifs « SAUVAIENT » la Gestalt Thérapie, ils ignorèrent la question. Quand on leur demanda en quoi la Gestalt Thérapie était mise en danger par Jeff Schaler, ils ignorèrent la question.

                                        Il devenait clair qu’ils croyaient profondément que leurs déclarations effaçaient non seulement les preuves présentées mais aussi Jeff Schaller lui-même. Ils le « déclaraient » comme n’existant plus. Pour eux, quoiqu’ils déclarent, c’est la réalité. Ce que NOUS appelons réalité n’est pas réel pour eux. ILS « déclarent » ce qui doit être considéré comme réel.

                                        Un autre exemple. J’ai demandé à une patiente de regarder une chaise située à environ six pieds de distance près d’un mur. Je lui ai ensuite demandé de décrire cette chaise. Elle le fit, d’une façon assez complète, sauf pour les pieds de chaise. LA DESCRIPTION QU’ELLE FIT NE COMPRENAIT PAS LES PIEDS DE CHAISE.

                                        Je le lui fis remarquer, et lui demanda comment la chaise pouvait elle être suspendue en l’air, si elle n’avait pas de pieds de chaise pour la supporter. Elle me répondit : « Je la mets là ». Je lui demanda : « Si vous regardiez ailleurs, la chaise tomberait-elle par terre ? ». Elle répondit : « Non. Si je regarde ailleurs, la chaise n’est plus là. ». Je lui demanda : « Et si vous regardiez ailleurs... et qu’il se trouve que la chaise est toujours là ?... ». Elle ignora la question.

                                        Encore un autre exemple. Pendant une discussion sur CDarobasemaeltrompointstjohnspointedu plus tôt cette année, cette déclaration a été faite : « Si suffisamment de personne croient que quelque chose est vrai, alors ce qu’ils croient EST la réalité ».

                                        Une question fût alors posée : « Il fût une époque où tout le monde, pour autant que nous le sachions, croyait que le soleil tournait autour de la Terre. Diriez-vous qu’à cette époque le soleil tournait, dans les faits, autour de la Terre... Et que c’est seulement par obéissance au changement des convictions que c’est la Terre qui s’est mise à tourner autour du soleil ? ».

                                        La question fût ignorée.

                                        Vous pourriez penser que ces refus de répondre constitue une admission... une admission que ce qu’ils disent est totalement incongru et indéfendable. L’expérience a montré que vous auriez tort. L’expérience a montré qu’ils retournent directement aux mêmes déclarations, même après que la preuve du contraire ait été apportée.

                                        Voyez-vous à quel point ces créatures sont différentes ? Voyez-vous à quel point leur pensée et comportement est éloigné de la pensée et du comportement humain ?

                                        Rien de ce que NOUS appelons la réalité n’est réel pour EUX.

                                        Je répète.

                                        Rien de ce que NOUS appelons la réalité n’est réel pour EUX.

                                        Quand un être humain mentionne une chaise, la référence est à une chaise qui est là sur ses propres pieds. Que quelqu’un la voie ou pas, que quelqu’un la mentionne ou pas, que quelqu’un « déclare » qu’elle soit là ou non. Elle est là, de sa propre existence.

                                        Un élément basique du profil psychologique des humanoïdes est leur absence de compréhension que quoi-que-ce-soit puisse exister de sa propre existence, séparément de leur dire. Ils ne le VOIENT pas. Les seuls objets que les humanoïdes voient sont ceux qu’ils « déclarent »... Ceux qu’ils imaginent.

                                        Nous utilisons l’expression « ma perception » pour signifier une estimation, une mesure de quelque chose séparé de nous mêmes. Nous ne présentons pas cela comme « un fait ». Nous sommes ouverts à considérer d’autres points de vue si des faits sont fournis.

                                        Les humanoïdes utilisent l’expression « ma perception » comme un remplissage sonore du discours. Ils imaginent ce qu’ils choisissent d’imaginer, et nous disent que ceci est leur « perception ».... Ce qui, dans leur esprit, ÉTABLIT la réalité. Ce que nous appelons des « faits » n’existe pas pour eux. C’est pour cela qu’ils pleurnichent et se disent attaqués chaque fois qu’une justification leur est demandée.

                                        Les humanoïdes, les psychopathes, affirment que leurs déclarations sont valides simplement et uniquement parce qu’ils les déclarent !!!! Ils élaborent comme ceci : « J’honore l’intégrité à cet égard. En tant qu’égoïste, je fais des déclarations qui sont valides pour moi. La validité pour moi-même vient en premier. J’accorde aux autres ce même respect en supposant qu’ils disent des choses valides pour eux-mêmes. »

                                        Parmi les êtres humains, pour que quelque chose soit considéré valide cela doit être justifié par des faits. Rien n’est valide uniquement et simplement parce que quelqu’un le dit.

                                        Quand il est demandé aux humanoïdes comment ils déterminent que ce que quelqu’un dit est valide pour cette personne, et non quelque chose de fabriqué ou d’imaginé, ils ignorent la question.

                                        À noter, l’étrange emploi du mot « intégrité ». Les êtres humains définissent l’intégrité comme droiture de caractère, probité, honnêteté. Nous nous référons à coller aux faits, à rechercher la vérité, pas à de la vente d’idées. Les humanoïdes utilisent « intégrité » pour dire que ce qu’ils imaginent est ce qui est vrai. Pas de mesure. Pas d’évaluation.

                                        Quand une demande est faite pour que leurs déclarations soient évaluées, ils affirment que le demandeur est celui qui n’a pas d’intégrité... voulant dire que le demandeur ne soutient pas LEUR position : ce qu’ILS imaginent est ce qui est vrai.

                                        Sur quel base affirment-ils cela ?... Les humanoïdes traitent le monde comme s’il était leur hologramme privé. Ils « déclarent » les choses en êtreté. Tout est un hologramme. Ils programment les hologrammes. Ils interagissent avec eux de toutes les façons qu’ils choisissent. Ils ont le contrôle total. Quand ils décident de fermer un hologramme, celui ci s’évanouit.

                                        Un hologramme est un hologramme est un hologramme. Un hologramme n’est pas supposé avoir la capacité de penser par lui-même. Un hologramme n’est pas supposé avoir la capacité de mesurer, évaluer, apprécier ...etc... Plus important, un hologramme n’est pas supposé être capable de sortir de son état holographique et de critiquer son maître.

                                        Quand cela arrive, ils le blâment et le chatient d’abord sévèrement pour le ramener dans la ligne. Si cela ne marche pas, ils « l’évanouissent ». Quand ça ne marche pas non plus, ils courent se cacher en abandonnant le programme et en appelant un autre programme.

                                        L’expérience a montré que quoi que nous disions, quoi que nous montrions, quel que soit le nombre de preuves données, cela n’a pas de sens pour ces créatures. Ils ont un but : nous tromper en se faisant classifier comme êtres humains afin de pouvoir se concentrer à tuer nos valeurs humaines. Sans valeurs humaines, l’étape suivante est le meurtre d’être humains.

                                        ...........

                                        Dans le film « The Invasion of the Body Snatchers », les aliens sont montrés prenant le contrôle en occupant les corps d’êtres humains. Les aliens prennent le contrôle non seulement du corps physique mais aussi de l’esprit, de la mémoire, des facultés ...etc. Les gens sont montrés comme identiques de toutes les façons possibles sauf pour une chose. Ils mentionnent les évènements, mais avec aucun sentiment à leur propos. ILS NE RESSENTENT PAS DE SENTIMENTS.

                                        Nous y voyons un enfant luttant pour se sauver de ce qui paraît être sa mère. Le jour d’après, ils sont main dans la main. L’enfant est désormais sous contrôle.

                                        Les amoureux dans ce film essayent de rester réveillés pour ne pas être pris sous contrôle. Elle succombe... et « elle », désormais une créature, essaie de le tromper. Quand elle n’y arrive pas, elle essaie de le trahir.

                                        Ces créatures ne se SENTENT pas vivantes. Elles ne RESSENTENT pas de sentiments. Pour pouvoir passer pour des êtres humains, elles savent qu’elles doivent donner l’apparence de savoir qu’elles sont vivantes. Leur seule ressource est de DÉCLARER qu’elles sont vivantes.

                                        La déclaration ne produit pas la qualité du RESSENTI d’être vivant. Elles ne RESSENTENT TOUJOURS PAS de sentiments. La seule chose qu’elles ont pour continuer, pour se référer, est leur propre déclaration. Si « déclarer » est montré comme étant insuffisant... si elles sont appelées à discuter de sentiments, à donner des preuves de sentiments, à distinguer entre des sentiments ...etc... elles sont perdues. Leur vide intérieur est apparent. Leur statut non-humain est montré.

                                        ..............

                                        Voici un exemple final. Dans le cours d’une discussion sur psych-ciarobasemaelstrompointstjohnspointedu il y a quelque temps, un humanoïde a dit : « Vous heurtez mes sentiments. » Il était demandé à l’humanoïde d’identifier les déclarations exactes, et d’expliquer en quoi ces déclarations lui faisaient mal en quel sentiment particulier. Réponse (pleurnichant) : « J’ai dit que vous heurtez mes sentiments. Je ne sais pas quoi dire d’autre. ...Vous m’attaquez. »

                                        Question : « De quelle façon considérez-vous une requête de justification et de clarification comme étant une attaque ?... »

                                        Pas de réponse.

                                        ............................. .............................

                                        UN APERÇU GÉNÉRAL

                                        Les humanoïdes

                                        1. Font des déclarations sans justifications. Ces déclarations devraient être acceptées comme définissant ce qu’est la réalité... moment après moment.

                                        2. Ignorent les demandes de fournir leurs bases pour leurs déclarations.

                                        3. Ricanent de l’importance que les êtres humains donnent aux faits, à l’honnêteté, à la décence, au fair-play.

                                        4. Applaudissent à l’usage du mensonge, de la tromperie... etc.

                                        5. Pleurnichent qu’ils sont « attaqués » dès qu’ils sont questionnés. Ne donnent pas d’explication à propos de qu’est-ce qu’est « l’attaque » considérée ou de qu’est-ce qu’est être attaqué.

                                        6. Ne RESSENTENT PAS de sentiments.

                                        7. Voient le monde comme leur hologramme privé.

                                        8. S’appliquent à garder l’être humain « à sa vraie place », c’est à dire l’insignifiance.

                                        .............................. ..............................

                                        PLUS AMPLES CONSIDÉRATIONS

                                        Les humanoïdes ne comprennent pas la distinction que nous êtres humains faisons entre le bien et le mal. Quand ils nous nuisent, ils ne comprennent pas pourquoi nous les appelons diaboliques. Ils ne comprennent pas pourquoi nous avons des lois contre le meurtre. Leur approche est de se vanter, et même de moraliser sur le dos de leurs victimes.

                                        Comme ils ne comprennent pas les raisons de telles lois, ils argumentent qu’ils ne peuvent pas être tenus pour responsables de leurs actions.

                                        Pas vraiment. Quand ils adoptent cette position que la loi ne s’applique pas à eux, ils savent que la loi est promulguée pour s’appliquer à tous. De plus, s’ils essayent de dire qu’ils ne savaient pas qu’une telle loi existait, nous répondons avec un principe fermement établi : « L’ignorance de la loi n’est pas une excuse ».

                                        Quand ils utilisent de tels arguments, ils montrent clairement qu’ils vont continuer d’agir en accord avec leur structure psychique. Nous pouvons attendre du remords (qui est une capacité humaine). Nous n’en trouverons aucun. Ils ne se pensent pas comme promouvant le mal. Ils font simplement ce qu’il est dans leur condition de faire. Le serpent à sonnettes ne se pense pas comme étant le mal quand il injecte son poison. Il fait simplement ce qu’il est dans sa condition de faire.

                                        L’expérience a montré que les humanoïdes continuent de se comporter des façons de leur espèce... Détruire les valeurs humaines comme prélude à tuer les êtres humains. Les nazis ont montré cette image.

                                        Le problème de les tenir pour « responsables », au sens humain du terme, doit être divisé en deux parties. Nous ne pouvons les tenir pour responsables d’ÊTRE ce qu’ils sont. Nous les tenons responsables pour les dommages qu’ils FONT.

                                        Quand un chien attrape la rage, nous ne le tenons pas pour responsable d’être enragé. Ce que nous faisons, pour nous protéger, est de tuer le chien AVANT qu’il ne nous morde, AVANT qu’il ne nous infecte.

                                        Nous ne tenons pas le serpent à sonnettes comme responsable pour avoir des crochets venimeux. Ce que nous faisons, pour nous protéger, est de tuer le serpent à sonnettes AVANT qu’il ne nous tue.

                                        Pareil avec les humanoïdes. Nous avons besoin d’être sur nos gardes au premier signe d’un meurtre des valeurs humaines.


                                        • (---.---.87.192) 4 janvier 2008 10:08

                                          @ Comprendre : c’est grave docteur ?

                                          Parce que, soyons sérieux, vous faites là du racisme caractérisé envers les malades mentaux. Je ne crains pas le point godwin, aussi je peux dire qu’avec des idées pareilles, vous auriez fait un excellent collaborateur du régime nazi. Soit dit en passant, beaucoup de ses dirigeants, pour ne pas dire tous, étaient peu ou prou psychopathes.


                                        • Francis, agnotologue 4 janvier 2008 10:12

                                          à l’équipe Agoravox, ce post précédent prouve qu’il est possible de poster sans être identifié.


                                        • (---.---.108.147) 4 janvier 2008 19:01

                                          bonjour ?

                                          j’ai pris le temps de lire ton commentaire, exclusion faite du conte cinématographique, il redéfinie des caractéristiques déjà donné dans l’article.

                                          Mais du point de vue de l’échelle des valeurs quel est l’être le plus dangereux, « l’humanoïde » que tu décris ou ceux qui font exploser deux bombes atomiques au cours de la guerre de 1940 ?


                                        • Comprendre (---.---.19.99) 4 janvier 2008 22:44

                                          ...Il se pourrait que ce soient les mêmes !...


                                        • Comprendre (---.---.19.99) 4 janvier 2008 23:52

                                          La psychopathie est une maladie mentale particulière ; comme dit Amos M.Gunsberg : « Au delà de la folie » !...

                                          Le chiffre de 1% de la population donné par l’auteur de l’article que nous commentons est déjà énorme, d’aucun disent 4% voire 6%.

                                          Le problème avec la psychopathie, c’est que c’est une maladie mentale qu’on pourrait qualifier comme « invisible » aux yeux de la société. La société n’a littéralement aucune protection contre les agissements amoraux de ces « déviants » dépourvu d’empathie et de sentiment. Il parviennent même assez facilement à être chefs d’état.

                                          Les psychopathes possèdent aux yeux du commun un « masque de santé mentale » qui facilite leur fonction prédatrice. Non point qu’ils ne soient pas détectables, mais l’écrasante majorité de la population ne sait pas les détecter. C’est pourtant relativement facile, mais ça ne peut vraiment pleinement s’apprendre que dans la douleur d’avoir été victime de leurs agissements et tactiques finalement assez primaires mais néanmoins très efficaces.

                                          La psychopathie est encore très mal connue en France, y compris par les psychologues. L’ouvrage qui me semblerait le plus « en pointe » au niveau de la description de la psychopathie et de ses conséquences individuelles, familiales, sociales, civilisationelles, serait « Ponérologie Politique » du psychologue polonais Andrew M. Lobaczewski, ouvrage qui rassemble un savoir collecté par de nombreux polonais depuis l’arrivée du régime communiste en Pologne, il y a plus de cinquante ans.

                                          Bien sûr, la psychopathie n’est ni de gauche ni de droite, pas plus communiste que libérale. Les psychopathes ont plusieurs caractéristiques annexes à leur maladie mentale inguérissable pour l’heure. Pour en citer quelques unes :
                                          - Ils savent qu’ils sont différents des personnes dotées de conscience, depuis l’enfance.
                                          - Ils se reconnaissent entre eux dans une foule (s’infiltrent et créent des réseaux psychopathiques dans toutes les structures de pouvoir humaines, les partis politiques de droite comme de gauche, utilisant au final les idéologies comme des paravents pour leurs activités de prédation psychopathique quand ils arrivent au pouvoir).
                                          Ils sont incompétents, même si on les prend souvent pour des génies.

                                          ...Il y a d’autres caractéristiques annexes à la condition de psychopathe. Ce qui me semble important à comprendre est ce que dit Gunsberg : « ...Dédiés au meurtre des valeurs humaines en prélude au meurtre des êtres humains. ». Pour continuer à résumer, la psychopathie est le problème politique planétaire numéro un. Et ce, depuis l’aube de l’humanité.

                                          Tout ceci est trop vite dit, bien entendu, et nécessite des développements ainsi que des recherches scientifiques encore plus poussées sur le phénomène psychopathique.

                                          Pour les développements actuels, ceux qui sont intéressés par cette question centrale de la psychopathie pourront se référer aux auteurs cités dans l’article, ainsi qu’à « Ponérologie Politique » de Andrew M. Lobaczewski, qui est à mon avis un ouvrage magistral autant que fondateur, par certains cotés en avance sur les travaux des psychologues anglophones.

                                          ...Inutile de dire qu’en France, au niveau travaux sur la psychopathie, c’est le désert. Et pourtant, on en aurait bien eu besoin, ça nous aurait peut-être évité de faire des grosses bêtises, par aveuglement et ignorance. Il n’est jamais trop tard...

                                          Pour finir, je dirai qu’une fois qu’on sait reconnaitre, déceler un psychopathe, alors c’est relativement facile, y compris à l’écrit sur l’internet. Mais avant d’être efficace dans cette détection, il y a beaucoup à apprendre. Ne pas oublier que même des psychologues se font berner par des psychopathes (c’est d’ailleurs l’un des jeux préférés des psychopathes que de berner des psychologues) ; à ces psychologues là, il manquerait un complément de formation ou bien un niveau d’intelligence... Il est également bon d’avoir à l’esprit qu’il y a aussi des psychopathes parmi les psychiatres et les psychologues, eh oui, dure vérité.

                                          En ce qui me concerne, je détecte un psychopathe par un simple échange de regards, mais vous n’êtes pas obligés de me croire, et j’ai mis des décennies à perfectionner cette détection. Juste pour vous souffler que ça pourrait être aussi simple que ça, même si je ne m’attends pas à ce que vous me croyez. Je répète encore que des psychologues professionels se font berner par des psychopathes.

                                          ...Bref, il y a du pain sur la planche afin de résoudre ce problème central pour l’humanité. Malheureusement, il se pourrait qu’une quantité incalculable de souffrances précède la prise de conscience générale de ce problème crucial, si cette prise de conscience arrive jamais (avec les scans IRM de Hare, on a déjà des éléments matériels solides, avec le bouquin de Lobaczewski on a des schémas qui tiennent la route).


                                        • Norbert Balcon 5 janvier 2008 01:18

                                          Je suis d’accord avec presque tout ce que vous écrivez.

                                          Je pense comme vous que le fait d’en avoir bavé à cause d’un psychopathe aiguise la sensibilité à ce trouble.

                                          Je pense aussi que c’est un problème fondamental. Comme l’écrivait Henry Thoreau :

                                          « There are a thousand hacking at the branches of evil to one who is striking at the root. »


                                        • Francis, agnotologue JL 5 janvier 2008 09:29

                                          @ Comprendre, ne m’en veuillez pas mais j’essaie moi aussi d’y comprendre quelque chose :

                                          Il me semble que ceux que vous appelez les psychopathes c’est une autre façon de désigner les méchants par rapport aux bons, le mal par rapport au bien.

                                          La personnalité d’un individu, sa santé mentale, sa valeur morale, etc, dépendent de plusieurs paramètres.

                                          Je voudrais n’en évoquer qu’un : l’empathie, paramètre qui me parait être l’essentiel dans ce qui nous préoccupe ici.

                                          Qu’est-ce que l’empathie ? « Faculté intuitive de se mettre à la place s’autrui ». Cela relève de la faculté d’aimer, mais aussi de haïr. Des photographies nous ont montrés des bourreaux nazis en famille : ils semblaient capables d’aimer leurs enfants. Le pb c’est qu’effectivement, ils ne considéraient pas les prisonniers comme leurs semblables. Un terroriste qui pose des bombes le fait peut-être par amour de sa ’race’ qu’il juge opprimée par une autre ’race’. GB, NS et qui sais-je encore, que vous classez peut-être dans la catégorie de ceux que vous appelez des psychopathes ne nous considèrent certes pas comme leurs semblables, mais ils ne sont sûrement pas dénués d’empathie.

                                          Etc.

                                          Tout ceci pour dire, cher monsieur Comprendre, qu’il me semble que votre discours n’aide pas à comprendre.


                                        • Printemps 10 janvier 2008 14:15

                                          Cher Monsieur JL,

                                          L’absence d’empathie chez les psychopathes est une vérité scientifique. C’est effectivement ardu à réaliser, à comprendre, c’est à la limite de l’imaginable et contraire à ce qu’ont pu nous inculquer certaines formes d’éducation, mais ça n’en est pas moins une vérité scientifique, qui a des parties comportementales et neurologiques.

                                          Vous pouvez penser que l’empathie existe chez tous les êtres humains, le penser n’en fait pas une réalité objective mais reste seulement votre opinion, pour l’instant basée sur des présupposés et des apparences, comme vous le décrivez.

                                          Ce sujet de la psychopathie vous intéressant, comme vous le montrez en contribuant à cette discussion, vous pourriez pour information lire les ouvrages et recherches cités ; car nier sans autre forme de procès comme vous le faites l’existence de la psychopathie, sur la base de ce que vous exprimez, n’use pas d’objectivité, tellement nécessaire.

                                          Bien à vous


                                        • (---.---.66.72) 5 janvier 2008 04:45

                                          Si on vous suit textuellement dans votre ’traduction" européenne de la néo-psychiatrie des Amériques certes relevant plus du style méthode Emile Coué du pratique et avant tout du pragmatique on devrait avoir 2,5 Millions de concitoyens en taule. En plus les « faux-papiers » les « politicards » les psy quèques choses et les marketing machins m....

                                          En voilà du beau monde à faire loger par BOuygues... à gérer par du privé et qui doit être rentable pour attirer le boursicoteur-rentier.

                                          Les aliénistes français cf la Bible de Henri Ey préférent le terme délinquant avec ou sans passage à l’acte. De tout temps les societés humaines comprennent 5 à 10% de délinquants et ont ou et du vivre avec. C’est comme une autre constante que seul 20% d’une classe d’âge a le QI nécessaire et suffisant pour passer le Bacc.

                                          Ce que vous décrivez ne se retrouve plus dans la Nature tout a/social est sous thérapie médicamenteuse ou non plus ou moins adaptée. D’ailleurs la meilleure stabilisation et non traitement définitif de la délinquance c’est l’Amour et laisser le temps au Temps. Ce n’est pas pour rien qu’on renforce le « courrier des prisons » trouver une âme soeur en dehors du milieu carcéral.

                                          Je vous en veux pour cette aliénation psychiatrisation du grand public. Toute notre Justice se base sur le bien et le mal impose des schémas à suivre alors que ces 5 - 1o % n’en ont rien à faire. La prévention est inutile. Pire l’Institution cherche à plaquer une étiquette névropathe ou psychopathe ou ce « borderline » tout nouveau tout beau pour faire croire qu’une solution « blanche » existe et doit être instaurée.

                                          La où je vous en veux tout particulièrement c’est de détourner l’opinion publique des Dépressions. Plongez vous dans Charles Melman, L’Homme sans gravité. Jouir à tout prix. Entretiens avec Jean-Pierre Lebrun. Denoël (2002), Folio Essais (2005). http://www.lemagazine.info/spip.php?article481

                                          Nous produisons et laissons produire la Dépression. Cette affection est aussi productrice d’actes et de criminalités. Ah-oui ! Dès qu il y a des mobilisations globales de la société tel Mai 68 ou la Coupe du Monde du foot presque plus de TDS tentatives de suicide. Alors révoltés contre cad TSS ou l’inverse le cas rare exemplaire et didactique de notre LERMA ça revient « analytiquement » à l’identique. Les statistiques des hygiénistes démontrent que c’est en période « va t’en guerre » que le risque de suicide est le plus bas. A méditer. Cette épée de Damoclès vaut des milliers de caméras et des hordes de policiers....

                                          Non ! Monsieur l’auteur par votre « portrait robot » barré du Wanted vous ne contribuez que trop à la politique de notre Président inspirée de la « dératisation » du Métro de New-York. Il y a d’autres voies et voix.


                                          • Norbert Balcon 5 janvier 2008 05:52

                                            Délinquance et psychopathie ne sont absolument pas synonymes.

                                            La majorité des psychopathes n’a jamais affaire à la justice. Ils ont un sens moral (très) défaillant et posent des problèmes multiples à leur entourage, mais échappent complètement à la justice.

                                            Par ailleurs, beaucoup de détenus, dans les prisons, ne sont pas psychopathes. Au Canada, 15 à 20% des prisonniers obtiennent un score de 30 sur la PCL-R. Ce sont donc des psychopathes. Les autres détenus ne le sont pas. J’imagine que la situation est comparable en France et en Europe.

                                            On peut être l’auteur d’un crime violent, sans être pour autant psychopathe (par exemple les auteurs de crimes passionnels).

                                            Inversement, on peut être médecin, jouir d’une excellente réputation, n’avoir jamais été confronté à la justice, mais être psychopathe (sa psychopathie s’exprimera de diverses manières : ce sera peut-être un tyran domestique, ou alors il arnaquera la sécurité sociale, il trompera sa femme, il virera sa secrétaire comme une malpropre, il harcèlera un collègue etc, tout en parvenant à préserver sa réputation).

                                            Je ne propose pas de solutions dans mon article et certainement pas de mettre 600 000 personnes en prison. Je voudrais simplement sensibiliser.

                                            Par contre, je pense -d’un point de vue simplement pratique- qu’être capable de repérer un psychopathe peut aider à éviter certaines situations pénibles à vivre.

                                            Je pense qu’épouser un ou une psychopathe peut très rapidement virer au cauchemar. A moins qu’on ne s’en rende jamais compte (ce qui arrive aussi, tant la majorité d’entre nous sommes aveugles à la psychopathie).

                                            Subodorer qu’un homme d’affaires est psychopathe n’a pas pour principal intérêt de l’envoyer derrière les barreaux.

                                            Par contre, il sera judicieux de ne pas le propulser PDG d’une multinationale (on évitera ainsi des scandales du genre Enron ou Worldcom).

                                            Vous parlez de « courrier du cœur » dans votre commentaire. Il est indispensable de comprendre que les psychopathes n’ont aucune aptitude à l’attachement. Je ne crois pas qu’un psychopathe puisse écrire un roman d’amour convaincant, tout simplement parce que ce type de sentiment ne fait pas partie de son registre émotionnel. Au mieux, il pourra pasticher ce qu’il a lu ailleurs.

                                            Vous n’avez peut-être pas visité mon profil, mais j’ai publié un petit roman sur la dépression et la crise suicidaire. Cf le lien ci-dessous.

                                            Cordialement


                                          • Francis, agnotologue JL 5 janvier 2008 09:54

                                            @ ce débat est nul et non advenu, j’approuve pleinement votre intervention.

                                            La réponse de l’auteur, quoique pleine de bons sens, est à coté de la question que vous lui posez.

                                            Je disais dans un post précédent mais sans m’y appesantir, ceci :

                                            Névrosés, psychopathes, névropathes et psychotiques. Pour s’y retrouver un minimum lorsqu’on emploie ces mots, il y a deux distinctions incontournables à faire : une distinction qualitative entre névroses et psychoses, et une distinction quantitative, donc de degré, entre affection banale et pathologie.

                                            Je précise que la distinction de nature entre névrose et psychose est liée à l’histoire de la personnalité selon que le Moi s’est constitué par étayage ou par clivage, et cela seul, est binaire.

                                            Ce serait cet aspect binaire du développement que perçoit intuitivement tout individu correctement développé, j’entends ’étayé’ - les autres je ne sais pas - qui se retrouve dévoyé, perverti ici mais également dans beaucoup de travaux et discours sur cette question des psychopathe et par extension, du Bien et du Mal. Je pense qu’il existe beaucoup d’individus ’clivés’ utiles à la société, à commencer par des artistes ou même, hé oui, des saints, et encore plus d’individus correctement ’étayés’ qui sont de vrais boulets, c’est un euphémisme, pour leurs semblables.


                                          • Printemps 10 janvier 2008 16:26

                                            Cher Monsieur JL,

                                            Interpellant Monsieur/Madame (IP:xxx.x96.66.72)  vous dites être en plein accord avec son expression que "Ce débat est nul et non advenu". C’est faire peu de cas des applications pratiques des travaux de Robert Hare, travaux qui se sont déroulés sur des décennies, travaux qui commencent aujourd’hui à être appliqués aux recrutements dans le but d’éviter la destruction d’entreprises par les actions d’individus psychopathes, ce qui se produit trop souvent, ruinant beaucoup de vies au passage. En quoi "Ce débat" est-il "nul et non advenu" ?... Est-ce constructif ou même instructif que d’employer une telle expression ?..

                                            Vous dites également que l’auteur de l’article dont nous discutons n’a pas répondu à (IP:xxx.x96.66.72)  . Pouvez -vous expliciter cette affirmation ; en quoi précisément pensez-vous qu’il n’a pas répondu ?... Cela, vous devez le dire sans quoi il n’y a pas de réel dialogue mais une tentative de discréditer.

                                            Peut-être est il utile de rappeler que le sujet n’est pas ici la délinquance, ni la carcéralité, ni la dépression, mais la psychopathie. Il est parfaitement loisible à (IP:xxx.x96.66.72)  d’écrire des articles sur ces sujets qui lui tiennent visiblement à coeur a tel point qu’il en veuille à l’auteur de l’article de ne pas les aborder, mais ça n’est pas sérieux de reprocher à l’auteur de l’article de ne pas mentionner la délinquance, la prison et la dépression dans son article, quand la psychopathie est déjà un sujet vaste, difficile à comprendre. En quoi, Monsieur JL, pouvez vous "approuver pleinement" ces propos de (IP:xxx.x96.66.72)  qui ne sont pas sérieux ?... 

                                            Par ailleurs, vous faites la distinction entre névrose et psychose, induisant que tout être humain est soit névrosé soit psychotique, et qu’il n’y aurait pas d’autre alternative (vous employez l’expression de "binaire"). Vous ne mentionnez pas la troisième alternative dénommée : "les pervers". Catégorie où se situent les psychopathes, qui ne sont ni névrosés ni psychotiques. Le mot "pervers" ne devant pas être compris ici dans son acception populaire qui a une dimension morale, mais comme un mode de fonctionnement particulier.

                                            Accessoirement, vous faites un amalgame entre "artistes" et "clivés", ce qui n’est pas ici le sujet central mais dénote un a-priori et une méconnaissance, certes issu d’un substrat culturel populaire (les "artistes" seraient des "fous", ce qui n’est pas démontré ni démontrable mais préjugé des plus courants).

                                            ...Dans l’attente d’éclaircissements de votre part, rendus nécessaires par une certaine violence non justifiée de votre propos.


                                          • Lou 21 septembre 2008 20:41

                                            Bonsoir,
                                            Effectivement il ne faut pas être PDG pour être psychopathe, mais en toute connaissance de cause je peux vous affirmer qu’un psychopathe est prévisible dans ses "émotions" apparentes et ses belles paroles de charmeur...oui il faut du temps pour s’en aperçevoir mais il reproduit effectivement sur d’autres ce qu’il a vu fonctionner ailleurs, comme un test, de façon à l’affiner... Ce qui l’amène même parfois à confondre les histoires...


                                          • Levaihcam 28 novembre 2013 01:02

                                            Je n’ai qu’une seule chose à dire, 


                                            C’est que les propos tenus dans les articles et les réponses aux commentaires sont des incitations à la haine envers certaines personnes victimes de certaines déviances mentales.

                                             Depuis quand doit-on avertir une personne lorsqu’elle est sur le point d’épouser un psychopathe ?

                                             Et puis autre chose... qui êtes-vous pour affirmer quoique ce soit d’aussi catégorique à ce propos ? 

                                            Pour en connaître sacrément long sur le sujet, je peux vous affirmer que plus de la moitié de votre article est tout simplement faux, certaines choses peuvent s’avérer vraies, mais il faut surtout se rappeler que les individualités chez les psychopathes sont aussi variées que chez le commun des mortels, pour la simple et bonne raison qu’ils en font partie. 

                                            Alors donc je suis un psychopathe et c’est pour ça que je remets en cause votre article ? Trop facile ! Les psychopathes accusent le monde de vouloir leur faire la peau, et sont paranoïaques ? Dites-vous que c’est peut-être à cause des gens comme vous qui les transforment en monstres et sujets de crainte que c’est le cas. 

                                            Bien à vous, je vous souhaite d’apprendre votre métier un jour.

                                          • Brieuc Le Fèvre brieuclef 25 février 2008 11:17

                                            Apparemment, les psychopathes seraient des êtres qui, pour une raison ou pour une autre (inné, acquis, mélange des deux, parcours personnel, milieu d’éducation, quid ???) seraient incapables de ressentir l’empathie, et incapable d’admettre que ce qu’ils déclarent ne puisse pas être.

                                            Ce comportement est tout simplement inhumain, comme le rapporte l’intervenant "comprendre", et de la même manière qu’un aveugle de naissance est incapable de saisir le concept de couleur, les humains sont incapables de saisir le concept d’absence d’empathie.

                                            Certes, il reste possible de considérer le cas de ces bourreaux nazis qui dînent en famille et sourient tendrement à leur enfants. Ces gens sont-ils devenus psychopathes à un moment, par prédisposition ou par évolution graduelle ? Le fait est que les bourreaux et autres "grands méchants" (patrons, politiques, religieux, etc) qui usent et abusent de leur pouvoir commencent par déshumaniser ceux à qui ils font du mal. C’est ainsi que les victimes des camps de la mort étaient systématiquement mentionnées comme "unités" ou "bûches", jamais comme "morts" ou "personnes à tuer". Cela démontre qu’à un certain moment, les bourreaux auraient été susceptibles de ressentir de l’empathie pour leurs victimes, si celles-ci leur avaient été présentées comme humaines. Dans la chaîne d’exécution nazi, les vrais psychopathes étaient aux commandes, tandis que les bourreaux pourraient être considérés comme des personnes sous influence. C’est d’ailleurs la thèse retenue par les juges de Nuremberg, qui ont condamné les chefs du parti et laissé vivre les exécutants.

                                            La psychopathie, à mon sens de profane en la matière, serait donc cette capacité inimiginable de renier l’humain. Ce serait un vide affectif total, dont cause, origine ou thérapie sont aujourd’hui encore difficiles à cerner. Sans doute la psychopathie, ainsi définie, est-elle difficile à admettre parce qu’elle n’est pas visible immédiatement. Rappellons-nous que la cause des maladies infectieuses, qui firent tant de dégâts dans les populations humaines au cours des siècles, furent une fatalité incompréhensible jusqu’au jour où l’existence et le mode d’apparition des "microbes" furent établis. Et s’il en était de même pour beaucoup des maux que connaît l’humanité (cupidité, politique en toc, exploitation financière et matérielle de la Terre et des humains, etc) ? Et si tous ces maux, considérés aujourd’hui comme une fatalité incompréhensible, disparaissaient presque totalement le jour ou la psychopathie sera cernée, et reconnue comme affectant les cadres dirigeants majeurs de l’humanité ? Et si cette prise de conscience venant à rejeter systématiquement les psychopathes de nos milieux politiques et économique, pour nous permettre enfin d’y placer des humains honnêtes (ou tout au moins réellement humains, c’est à dire empathiques) permettait d’éliminer tous ces maux ?.

                                            Je suis peut-être en train de rêver éveillé, mais il me semble que les comportements tyranniques, colériques, immatures, amoraux, etc existent. Que certains individus présentent tous ces comportement en même temps. Que beaucoup de familles vivent sous l’empire de telles personnes (on les appelle parfois simplement "dominateur" ou "manipulateur", voire "mythomane", sans bien cerner le sens exact de ces mots). Et il me semble, subjectivement je l’admets, que bien des politiques de haut niveau sont dans ce cas, et présentent simultanément un nombre élevé des "symptômes" de la psychopathie.

                                            Nier le fait ne le fera pas disparaître, et une voie d’étude reste ouverte pour essayer de comprendre l’origine de ce cumul de comportements déviants par rapports à une métaphysique acceptable. Entre autres, il serait bon de définir en premier lieu combien de personnes haut placé (dans tous les milieux) sont psychopathes, quelle est leur influence sur les autres hauts placés (capacité à embrigader les autres dans des oeuvres inhumaines, en déshumanisant les victimes : cf les nazi, mais aussi les grands plans de "dégraissage" des entreprises, la capacité des "décideurs" à ruiner des centaines de familles pour délocaliser, l’exploitation esclavagiste de la main d’oeuvre infantile, etc), et enfin quelle est l’influence de notre structure sociale sur ces comportements (plus la structure est grosse, plus la décision est loin de l’humain, et plus il est facile de déshumaniser ceux qui auront à souffrir d’une décision favorable au décideur).

                                            Berf, l’imbroglio est fort difficile à démêler. Raison de plus pour s’y mettre dès maintenant.


                                            • Gonzague gonzague 26 février 2008 09:38

                                               

                                              @Brieuclef
                                              "Ce comportement est tout simplement inhumain, comme le rapporte l’intervenant "comprendre", et de la même manière qu’un aveugle de naissance est incapable de saisir le concept de couleur, les humains sont incapables de saisir le concept d’absence d’empathie"
                                               
                                               
                                               
                                               
                                               
                                               
                                              Ce n’est pas parce que des sentiments sont répandus que ceux-ci relèvent de la logique. Vous parlez tous ici de l’empathie comme si celle-ci était la caractéristique première de l’être humain. L’empathie est fréquente, mais nullement synonyme de normalité. L’absence d’empathie est on ne peut plus humain. La haine, la torture, la guerre sont bien plus fréquentes dans l’Histoire de l’humanité que l’amour du prochain. Il y a eu plus de Staline et d’Hitler que de Samaritains (vous remarquerez que ça rime). Les génocides qui ont gentiment jalonné l’Histoire ont rarement été perpétrés par des dahlias ou des chrysanthèmes ; ces derniers sont d’ailleurs les témoins végétaux de cette réalité.
                                               
                                               
                                              Je saisis parfaitement l’absence d’empathie, je comprends la haine, le mépris, la violence, je ne suis toutefois pas pratiquant ni psychopathe. (ou du moins je pense ne pas l’être, psychopathe). Quant à cette phrase, je préfère penser que c’est une blague : "Les humains sont incapables de saisir le concept d’absence d’empathie"

                                            • Francis, agnotologue JL 26 février 2008 10:21

                                               

                                              Interpellé plus haut par Mr comprendre, je n’ai pas répondu plus tôt, d’une part je ne le savais pas, d’autre part, parce que je n’aime pas parler aux sourds, ce que ce monsieur semble être, de l’espèce de ceux qui ne veulent pas entendre : d’autres que moi lui ont ici parfaitement mis les points sur les "i", je l’y renvoie.

                                              Ceci dit, Mr brieuclef écrit : "" … de la même manière qu’un aveugle de naissance est incapable de saisir le concept de couleur, les humains sont incapables de saisir le concept d’absence d’empathie.""

                                              Cette phrase n’a pas de sens, en toute logique brieuclef aurait dû écrire : " les non humains sont incapables de saisir le concept d’empathie". Mais non humain s’appliquant à des hommes est un terme raciste et l’on pourrait rétorquer : "C’est celui qui dit qui est".

                                              Qui peut dire en effet qui est humain et qui ne l’est pas ? Enfin, cette histoire d’empathie rassure certains, parce que après le bon sens, l’empathie est la chose la mieux partagée du monde ! A bon entendeur …


                                            • Norbert Balcon 26 février 2008 16:54

                                              Pour illustrer l’article, je vous recommande de vous intéresser à l’histoire de ce psychopathe, dont on n’a pas beaucoup parlé en France, Robert Hendy-Freegard. Je ne sais pas quel score il obtiendrait sur l’échelle de Hare, mais il doit monter très haut.

                                              Un reportage en français

                                              Sur Wikipedia (il y a des liens vers des papiers de la BBC)

                                              Sinon, un fait divers qui a fait un peu de bruit en Espagne au mois de janvier. Je ne sais pas si le principal protagoniste serait diagnostiqué psychopathe, mais son histoire montre assez bien comment on peut se comporter lorsqu’on n’a pas d’empathie. C’est l’histoire d’un chauffard qui a tué un adolescent puis qui a assigné les parents du gamin en justice pour obtenir les frais de réparation de sa voiture :

                                               

                                              En août 2004, Tomas Delgado Bartolomé[1], un Espagnol de 43 ans, renverse et tue Enaitz Iriondo, 17 ans. Le chauffard roulait à plus de 160 km/h sur une route limitée à 90. L’accident s’est produit en pleine nuit. L’adolescent, à vélo, roulait en direction de son camping. Il ne portait ni casque ni bandes réfléchissantes, obligatoires dans ce pays. Son corps a été retrouvé à 107 mètres du lieu de l’impact. Le chauffard a rapidement été relaxé. Selon lui, Enaitz avait grillé un stop et traversé la chaussée sans regarder. Les parents ont renoncé à faire appel, dans l’espoir d’oublier ce drame au plus vite. Ils ne voulaient pas non plus accabler le chauffeur : « Nous pensions que le pauvre allait vivre avec cette mort sur la conscience jusqu’à la fin de sa vie », a expliqué la mère.

                                              Mais au mois de mars 2006, ils ont reçu un courrier les informant que Tomas Delgado Bartolomé les poursuivait en justice pour obtenir 20 000 euros de dommages et intérêts : 14 000 pour les frais de réparation de son Audi ; 6 000 pour la location d’un nouveau véhicule « nécessaire pour l’exercice quotidien de son métier ».

                                              Cette actualité, largement diffusée, a suscité une indignation très vive dans l’opinion publique. On a reproché à cet homme d’être un « monstre », une « canaille », de n’avoir pas de conscience, pas d’âme, pas d’empathie. « Hay gente que no merece vivir », constate un internaute sur un forum de discussion. D’autres ont appelé à boycotter le commerce de ce chef d’entreprise.

                                              « Moi aussi je suis une victime », a déclaré l’intéressé à la presse. « L’histoire du petit, on ne peut pas y remédier, mais la mienne si. » On a pu le voir dans un reportage télévisé - un homme soigné, très à l’aise devant la caméra- tenter maladroitement de s’expliquer. Sa démarche lui paraissait justifiée parce qu’ « il fallait bien que quelqu’un paye  ». « Ce n’est pas que j’aie absolument besoin de ces 20 000 euros, a-t-il concédé, mais je ne vois pas pourquoi je devrais y renoncer. »

                                              Le journal El Correo a publié une chronique intitulée « Idiota moral », dans lequel l’auteur rapporte la réaction d’un juge au procès de Nuremberg, qui aurait dit, après avoir visionné un film tourné par les nazis dans les camps de la mort : « Maintenant, je sais ce qu’est le mal, c’est l’absence d’empathie ». Idiotie morale ou imbécilité morale : c’est ainsi que les premiers aliénistes qualifiaient les psychopathes.

                                              Ana Maria Ortiz, une journaliste d’El Mundo[2] est allée enquêter sur cet homme. Elle a d’abord été surprise par la peur de témoigner manifestée par ses voisins. Elle n’est pas parvenue à trouver la trace de la société de celui qui s’était présenté aux médias comme « chef d’entreprise ». Son nom ne figurait pas dans les registres des chambres de commerce. On ne lui avait d’ailleurs jamais connu d’activité professionnelle bien claire. Il menait néanmoins la grande vie, possédant trois voitures, dont un 4x4, et la fameuse Audi. Pourquoi avait-il eu besoin de louer un véhicule supplémentaire ?

                                              Sous couvert d’anonymat, des langues se sont déliées. Certains l’ont comparé à Don Vito Corleone. D’autres pensaient qu’il gagnait son argent dans les milieux de la nuit. Ces dernières années, Tomas Delgado avait été impliqué dans trois accidents de la route et avait dû s’acquitter de diverses contraventions pour excès de vitesse. Plusieurs plaintes avaient également été portées contre lui pour non respect de la réglementation sur la chasse. A l’âge de 16 ans, il avait attaqué une station service, armé d’un couteau. Cela ne l’empêchait pas, aujourd’hui, de faire son plein régulièrement dans cet établissement. Un jour, les policiers ont dû intervenir alors qu’il battait sa seconde épouse. Il n’a pas été inquiété car elle n’a pas osé porter plainte.

                                              Au terme de deux années de procédure, Tomas Delgado Bartolomé a renoncé à sa poursuite contre les parents d’Enaitz, en se disant victime d’un lynchage médiatique.

                                              Un juge a décidé de rouvrir le dossier de l’accident meurtrier. A l’époque, l’éthylotest avait révélé que le chauffard avait 0,15g d’alcool dans le sang, une heure et demi après le drame. Selon les parents de l’adolescent, si on l’avait fait souffler plus tôt, il aurait peut-être franchi la limite légale de 0,25g. Des experts ont par ailleurs émis des doutes sur sa version, selon laquelle le cycliste traversait la chaussée au moment où il a déboulé.


                                              [1] Un conductor pide 20.000 euros a los padres del joven al que mató, El Pais, 25 janvier 2008.

                                               [2] Cronica, El Mundo, 3 février 2008

                                               

                                               

                                               


                                            • Francis, agnotologue JL 26 février 2008 19:03

                                              Norbert Balcon, quand allez-vous admettre que l’empathie est sélective ? Ce type dont vous parlez, il a surement des amis, de la famille, des gens qu’il aime. Et vous ? Si vous ne faites rien pour tous ces enfants d’Afrique qui meurent de misère, que diriez-vous si je vous accusais de manquer d’empathie ?

                                               

                                               


                                            • Francis, agnotologue JL 27 février 2008 09:56

                                              Qui manque d’empathie ?

                                              "Les réfugiés de la faim", publié par Le Monde diplomatique

                                              Qui est psychopathe ?


                                            • Norbert Balcon 28 février 2008 04:17

                                              L’empathie et l’engagement sont deux notions différentes. Je ne crois pas que l’empathie soit "sélective". Imaginez que vous marchiez dans une rue et qu’un chien se fasse écraser. Il est là, à quelques mètres de vous, il essaie péniblement de se relever. Son ventre a explosé et ses intestins sont étalés sur la route. Par vous ne savez quel miracle, il vit encore et pousse des cris déchirants, mais vous auriez préféré qu’il meurt sur le coup.

                                              Vous ne pouvez pas décider ou non de ressentir de l’empathie pour ce chien. Vous ne pouvez pas vous dire : "Oh la barbe, je réserve mon empathie pour ma femme" ou bien "Je réserve mon empathie pour une cause plus juste et plus importante", comme ces Africains dont parle le Monde diplomatique.

                                              Malheureusement, il y a des gens qui ne ressentent aucun malaise face à la souffrance d’un autre être vivant ; Il n’y a rien en eux pour les pousser à agir dans l’espoir de soulager cette souffrance, parce qu’ils n’ont pas ce don de pouvoir la partager. Il n’y a pas d’identification, autre qu’intellectuelle et froide.

                                               

                                               

                                               


                                            • Francis, agnotologue JL 28 février 2008 10:20

                                              Norbert Balcon, comment vous le dire ? Evidemment qu’on ne décide pas d’avoir ou non de la compassion. Pas davantage qu’on décide d’aimer ou de haïr. L’empathie comme tout sentiment altruiste est à la fois objective et subjective. Ce n’est pas une aptitude binaire, qu’auraient certains et pas d’autres. Vous ne pouvez pas réduire comme vous le faites l’humanité en deux catégories distinctes selon que l’une aurait cette faculté et pas l’autre. C’est absurde. Bien sûr qu’il y a des gens qui n’éprouvent que rarement, voire jamais de sentiments. Et d’autres au contraire qui sont d’éternels passionnés. Et il y a des êtres qui inspirent l’amour comme il y en a qui n’inspirent que rejet, ou indifférence.

                                              Je connais ce problème que vous évoquez : selon vous ces gens qui seraient dénués d’empathie seraient des prédateurs. Mais connaissez-vous une seule personne qui soit capable d’admettre en se regardant dans la glace qu’elle est dénuée d’empathie ? Votre théorie est doublement fausse en ce sens qu’elle est réductrice et non productive.


                                            • Lou 21 septembre 2008 20:19

                                              Bonsoir JL,
                                              Oui je connais une personne qui ose bien dire qu’il n’a pas de coeur, ce que je n’ai pas pris au sérieux au départ ,parce que pour moi ça ne se peut pas, mais avec les années qui passent je suis bien obligée d’admettre, qu’a certain moment, se vanter de ne pas avoir de coeur faisait de lui un intouchable hors pair et déstabilisant, biensûr avec toute la contradiction des je t’aime et je suis mal pour reconquérir son objet... pour mieux le détruire...


                                            • Francis, agnotologue JL 26 février 2008 11:24

                                               

                                              Si le sujet de l’article n’est pas la délinquance mais la psychopathie, les deux sujets ont évidemment partie liée, j’en veux pour preuve le débat actuel autour du projet de loi sur la rétention préventive.

                                              Le propre du pervers est de pouvoir soutenir au juge qu’il n’est pas responsable de ses actes répréhensibles, et au psy qu’il dispose de toutes se facultés mentales. A ce titre on pourrait dire que le projet de loi sur la rétention préventive punit les pervers par là où ils ont péché.

                                              Est-ce satisfaisant ? Non, parce que l’on ne peut punir une personne pour une chose et pour son contraire, sous peine d’agir comme elle. C’est là tout le paradoxe de ce projet de loi : peut-on punir quelqu’un pour un acte délictueux, et considérer dans le même temps qu’il est incapable de se conduire normalement ? La réponse est non, évidemment.


                                              • iboga 29 août 2008 22:19

                                                 je voulais vous féliciter pour cet article. "Victime consentante" depuis 3 ans 1/2 d’un tel homme (puissant , riche, au dessus des lois , séducteur brillant et j’en passe) que j’ étudie tel un animal de laboratoire (déformation professionnelle , j’ai fais de la recherche en psychophysiologie...) , je peux vous assurer que je reconnais mots pour mots ce type de profil. Malheureusement, les commentaires critiques me désolent : soit de ceux qui sont eux mêmes des pervers narcissiques, soit des gens qui n’ont rien compris. Il faut vraiment avoir été victime de ce type de personnage pour comprendre la signification profonde de cet article.
                                                et peut être ajouter un mot sur leurs victimes (ici femme blonde, belle et profondément gentille, naturelle et intelligente, valorisante ) : pas toutes innocentes. On peut être tellement fasciné, ou bien névrosé de telle manière que l’on trouve écho à notre "ombre" dans un tel personnage. Il y a alors une sorte d’addiction dont on sort difficilement, malgré la lucidité, car les psychopathe travaillent avec ce que nous avons en nous de plus inconscient... C’est pour cela qu’ils sont dangereux. Et tellement brillants que moi-même, malgré tout ce que je sais sur lui, je me laisse encore volontiers piégée ,(on aimerait tellement y croire ! , il semblent tellement au-dessus de la mêlée) , ils sont irresisitibles quand ils veulent nous séduire. Mais on le paie ensuite, et terriblement . Car c’est pour mieux nous anéantir . le danger est réel. Et leur exactions sont toujours commises en privé, en public ils sont charmants : on a alors l’impression qu’ils ont passé au travers du rayon vert, d’avoir en face de soit un demi -fou (changement du visage) brutalement. On a "honte" d’avouer ce qu’ils nous disent et font en privé. C’est un relation de prédation, d’emprise hallucinante... 
                                                 


                                                • Norbert Balcon 8 septembre 2008 18:09

                                                  Bonjour,
                                                  Oui, il faut probablement avoir vécu près d’un psychopathe pour savoir que ça existe et pour mesurer à quel point leur fonctionnement psychologique diffère de celui de la majorité des gens’. 

                                                  Je ne sais pas si vous avez lu le livre de Paul Babiak et Robert Hare, sur ces psychopathes ’’brillants’’. Il y a un passage qui décrit assez bien ce dont vous parlez dans votre commentaire. Le livre va bientôt paraître en français.

                                                  Cordialement

                                                  NB




                                                • Lou 16 septembre 2008 16:47

                                                  Bravo à l’auteur de cet article, analyse très précise et très juste. 
                                                  Comment prouver cette pathologie devant un tribunal si cette personne n’est pas un criminel ?
                                                  Oui se dresser devant un être pareil est un réel danger. 
                                                  Merci.


                                                  • Lou 16 septembre 2008 16:53

                                                    Iboga, je suis avec toi, je suis plus loin dans le temps de cette emprise mais la sortie est rude.
                                                    Courage à toi.


                                                  • kdiey 12 septembre 2009 12:28

                                                    Le plus triste n’est pas que tu m’aies autant trompée — c’est toi qui trompes. Le plus triste n’est pas comment ni pourquoi tu m’as jetée — c’est ton style. Le plus triste est que tu es un psychopathe. Plus il y aurait de personnes comme toi dans une société humaine, moins il y aurait de société humaine. Juste capable d’imiter les émotions, les sentiments, le psychopathe est un « sans âme » de qualité supérieure. Certains humains préfèrent dire « prédateur », ou « rat », ou « connard ». Etant sans âme il mange celle des autres, qu’il a intérêt à maintenir en vie pour cette seule raison. Quand il est un psychopathe raté, il tue vraiment (quelques cas isolés de cannibalisme). Il paraît qu’il n’ignore pas qui il est et n’en souffre pas. Il s’en fout. Il est sans empathie. D’où le mot incurable. Une zone de son cerveau serait endommagée. C’est l’explication à 10%. Pour le reste c’est l’enfance. Le psychopathe le serait devenu dans une famille dysfonctionnelle. A 100%, le psychopathe se sert de ces explications pour n’être ni dit ni tenu responsable de ce qu’il fait du matin au soir. Faire semblant d’être quelqu’un d’humain est son soucis constant. Quand il est démasqué, il tue et/ou s’enfuit dans un endroit où personne ne le connaît encore vraiment. En somme, où il y’aura de la nouvelle bouffe pour lui. Il s’enfuit rarement pour devenir humain (0,1% des cas).


                                                    • Isabelle 24 décembre 2009 04:16

                                                      Ma soeur correspond à tous les critères sans exception ! Il y a déjà longtemps qu’on avait remarqué qu’elle était différente, mais sans savoir ce qui la rendait ainsi. Cette article la décrit si précisément qu’on aurait pu l’intituler par son nom et je n’en aurais pas été moins surprise ! Pour le moment elle n’a pas encore commis de crime... ou plutôt elle manipule si bien même les autorité qu’aucune pleinte n’a été retenu contre elle. Elle a malheureusement 2 enfants dont l’un est atteint d’autisme et de déficience. Il n’est pas rare qu’elle l’est rabaissé publiquement et humilié ! Plusieurs fois j’ai dût m’interposer physiquement pour l’empêcher de le battre physiquement autent que psychologiquement. Mais le problème c’est qu’elle est éducatrice spécialisé dans un centre de détention pour jeune délinquant. Ce qui lui donne tous les outils pour savoir manipuler les gens puisqu’elle a suivit des cours de psychologie pour son métier. Bien entendu je me suis retrouver dans sa mire de par mes nombreuses interventions. Mais mon vrai problème ce n’est pas qu’elle tente de retourner mes proches contre moi, puisque ceux-ci ne se sont pas laisser berner par ses statèges mensongé. Non, mon soucie principale, c’est que je craint énormément pour la vie de mon neveu et je suis impuisante à lui venir en aide tout comme à ma soeur qui refuse d’admettre qu’elle a un problème. Selon elle, on se serait tous ligué contre elle pour monter un complot selon ses propres paroles. J’en parle sur ce site car les autorités en place finnissent toujours par nous suggérer de laisser tomber nos pleintes. Je ne sais plus quoi faire, et bien que personne sur ce site ne puisse vraiment me venir en aide, je me dis que peut-être que quelqu’un s’aurait me proposer des solutions auquels je n’ai pas songé vu que je suis plongé dans le problème...
                                                      Merci à l’avance à toute personne qui se sentent interpellé par mon cri du coeur et ceux qui tenteront de m’avancer des solutions.


                                                      • Viviane 16 mars 2011 13:20

                                                        Bon courage

                                                        Ma soeur est comme la tienne. Je n’ai pas de solution, juste un exemple de vie à te communiquer.

                                                        Elle a martyrisé nos parents jusqu’à ce que mort s’en suive en instrumentalisant la justice française pour se faire.

                                                        Ceux ci lui ont interdit leur domicile pour se protéger de ses agressions physiques et morales. Elle les a d’abord attaqué en justice en exigeant qu’ils la logent gracieusement : elle ne travaille pas, s’étant brouillée avec tous ses employeurs successifs. Sur ce point elle a échoué

                                                        Elle a ensuite exigé et obtenu la mise de sa mère et de sa tante sous tutelle. Elle l’a demandé aussi pour son père mais ne l’a pas obtenu. Elle a alors attaqué son propre père en prétendant qu’il l’avait violé toute son enfance (ce qui était faux évidemment), elle a échoué sur ce point. Elle a également attaqué un vieil ami de la famille pour viol parce qu’il témoignait en faveur de son père.

                                                        Elle a fait le siège de la tutrice pour la dresser contre ses protégés. Quand sa mère a dû être hospitalisée, elle s’est ruée à l’hôpital pour aller dire à chaque aide soignante noire que sa mère était une abominable raciste ce qui est faux, mais du coup maman a été maltraitée à l’hôpital.

                                                        La tutrice a privé ses soit-disant protégées de tout et refuse même de nourrir notre tante que j’ai totalement à ma charge.

                                                        Nos parents ont fini par mourir d’épuisement face à cette lutte acharnée, haineuse. J’essaye de protéger ma tante, mais ma soeur a obtenu le droit de visite une fois par mois et depuis ma tante se laisse mourir.

                                                        La justice ne nous protège pas de ce genre de fous. Bien au contraire, c’est toujours à l’accusé de prouver son innocence. La présomption d’innocence les juges ne connaissent pas. On t’accuse donc tu es coupable.

                                                        Des solutions : il n’y en a pas pour ton neveu. Sa mère a des droits sur lui, elle s’en servira pour le torturer moralement à mort et même si tu préviens les services sociaux, ce sera toujours lui le coupable.

                                                        Pour toi, tu peux fuir et changer de nom. Mais c’est même pas sûr que ça suffise. De nos jours avec internet on peut facilement retrouver quelqu’un.

                                                        Il faudrait monter une association de victimes de ce genre d’individu pour exiger que les juges examinent l’état mental des plaignants avant de les croire.


                                                      • sinouhé 11 février 2010 15:25

                                                        Portrait Robot du CVIH (syndrome du champ vibratoire inversé humain)

                                                        Le monde sous l’emprise du syndrome du champs vibratoire inversé humain.....

                                                        Le CVIH est une pathologie qui échappe aux considérations habituelles de la médecine, car cette dernière est très souvent un des vecteurs de la transmission de cette pathologie vibratoire apocalyptique qui touche les trames subtiles de l’être. Elle ne peut donc agir sur cette dégénérescence à tors attribué aux problèmes d’adaptations aux pathologies mentales ou aux possessions diaboliques.
                                                        Qui est atteint ?
                                                        -La plus parts des individus de la planète soumis aux modifications du champ vibratoire cosmique et planétaire et humain.
                                                        Tous le monde est il touché de la même façon ?
                                                        -Non, les plus touchés sont :
                                                        - Les portails organique nés avec absence d’incarnations humaines.
                                                        - Les lignées avec une forte présence d’implants reptiliens dans leurs cortex cérébral, vestiges des croisements « humano-reptilien » décrit dans les tablettes Sumériennes .
                                                        -Les individus soumis aux diktats d’un système déjà perverti .

                                                        Manifestations de l’état de CVIH.

                                                        Cet état ne permet plus à l’individu de se positionner normalement par rapport à son identité d’humain, il est rendu à l’état de portail organique connecté avec les plus sombres couches du bas astral et des dimensions inférieures, il en devient le jouer.
                                                        Certain sont soumis à des états de consciences alternées ( bipolaire), ce qui explique la prolifération de suicides dans toutes les couches de la société. Dans une phase de semis conscience le sujet préfère le suicide à l’aliénation .
                                                        Il s’agit la plus part du temps d’une prise de conscience individuelle qui révèle la nature de l’emprise . Le suicide est le seul issu.

                                                        A chacun son CVIH.

                                                        Le CVIH peut également ce traduire par des états pathologiques de types radiations poisseuses. Ces états sont notamment observés chez les collabos en tous genres. Les personnalités soumissent à ces radiations sont de parfait petits pervers qui génèrent le chaos partout ou ils passent. Ils sont généralement perçu comme de bons camarades par certain avec les quels ils observent un comportement faussement affable et généreux. A l’inverse ils se comportent comme des monstres avec d’autre cibles, où là ils donnent libre cours à leurs sadisme, à leurs cruautés surtout si ils sont à des postes de petit chefs. Dans d’autre cas , il peut s’agir du caïd des quartiers qui va rendre la vie impossible autour de lui, ou de certain hommes politiques qui ne pensent qu’à pondre des lois qui vont pervertir encore plus les relations des individus entre eux sous prétexte de participer à leurs sécurités ou à leurs intérêts. Dans tous les cas ils participent activement aux délabrement des personnalités les plus fragile qu’ils vampirises pour les conduire à la dépression voir au suicide. En cela leurs actions est un crime parfait jamais dénoncé, jamais puni, digne des plus célèbres « serial killers ».

                                                        On trouve également des victimes atteintes d’addictions à toutes sorte de drogues notamment de types médicamenteuses vendus sur ordonnances. Dans ces cas là une inter action est possible entre leurs propres états vibratoires, et d’autre individus qui participent activement à leurs dégradations comme décrit dans le paragraphe précédent.
                                                        La presque totalité de la population vie actuellement sous l’emprise d’un ou plusieurs médicaments quotidien. L’intoxication « Médica Menteuse » d’un individu rend son esprit perméable à toutes sortes d’incursions parasites et de prisent de contrôle de son mental par les charognards de l’espèce. Le CVIH n’est pas loin l’aliénation aussi.

                                                        Vous priez les mauvais dieux.

                                                        La religion est devenu également un vecteur important du CVIH. Les extrémistes de tous poils, ne contrôlent plus leurs actes et son soumis à l’état de psychopathes criminels absous par les dogmes qu’ils vénèrent. Bel exemple d’adoration de la bête.

                                                        Les adeptes des philosophies « New Age » sont également des victimes encore plus facile pour le CVIH. Ils sont volontairement embarqués dans les chimères d’une libération plus hypnotique qu’hypothétique. Ils s’en remette à de pseudo gourous libérés ou à des êtres de lumières qui sont à la spiritualité ce que le scanner est la médecine, un bon moyen de gagné de l’argent et d’aligné des âmes sur le tableau de chasse de la bête.
                                                        Les médias et plus particulièrement l’audiovisuel sont au centre de la propagation du CVIH, la plus parts des jeunes sont dors et dèja contaminés par les poisons transmis par leurs géniteurs. Ils sont en plus soumis à un empoisonnement sanitaire, physique et obligatoire dés la naissance avec la vaccination.
                                                        Chaque individu reçois sa dose de poison dés la naissance, il est ensuite lobotomisé par paliers successifs avec l’éducation et surtout par la programmation de la trilogie toxique CTM (cinéma ,TV, Musique) arme absolu pour les implants viraux sonores et visuels, distillés à longueur de journée dans leurs cerveaux en dés-construction avec l’aide de supports de diffusions« high tech » prévu à cet effet et en vue d’implants ultérieur mais déjà prêts.
                                                        Tout cela sous prétexte de parfaire leurs évolutions et d’en faire de bon sujets, mais sujets à quoi exactement ?

                                                        Aux« sévices » de la Machine .

                                                        Les malades du CVIH sont rendu à l’état de simple serviteur d’une vaste machination planétaire dirigé par des entités pour la plus part issu de la base 4eme dimension et du bas astral . Ces entités sont déjà en phase d’incarnation dans la 3eme dimension.
                                                        Leurs incursions est possible par l’abaissement de la fréquence propre à la 3eme dimension . Cette baisse est dû notamment à la participation de la presque totalité de l’humanité à des conflits contre nature.Cette fréquence propre au KI change donc en fonction du comportement global de l’humain.
                                                        Plus le genre humain participe à des horreurs activement ou passivement, plus il génère la dépression, plus le taux vibratoire global baisse.
                                                        Plus la fréquence ou le taux vibratoire propre a une dimension est bas plus ils rend possible les incursions d’entités issu d’autre fréquences voisines et plus particulièrement venant de mondes parallèles obscurs comme ceux de la base 4eme dimension ou du bas astral, poubelles des égrégores de l’humanité, mais également de tous ce que la planète à supporté de vivant comme les espèces disparus types dinosaures.
                                                        Quand une fréquence n’est plus syntoniser avec son récepteur alors il y a interférences.
                                                        Plus les humains sont plongé dans une matrice fantasmagorique mensongère plus leurs identités profonde d’être humain est « parasitable », et plus l’homme s’enferme dans une camisole chimique et électro magnétique qui le prive des rayons cosmiques lui garantissant son statu d’être humain et son maintien dans la fréquence vibratoire qui lui est propre.

                                                        « Aux larmes citoyens »

                                                        Les parasites de l’espèce humaine sont les monstres de nos pires cauchemars. Ils sont les démons qui peuple les contes et les légendes depuis la nuit des temps.
                                                        Leurs objectifs est de faire main basse sur le genre humain car ils ont eux aussi la volonté d’améliorés leurs états, mais ce sont des prédateurs et leurs nourritures est notre substance fondamentale.....
                                                        Il n’y a donc rien d’étonnant a voir des enfants devenus soldats ou criminels ordinaires. Des ouvriers esclaves du confort d’une poignée de profiteurs. Des enfants victimes de la barbaries et de la dépravations de ceux qui sont normalement leurs protecteurs leurs guides. Des peuples entier sont décimés pendant que la presque totalité de planète pleure un monstre comme Mickael Jackson. Voila un exemple de CVIH planétaire.
                                                        Vos nouveaux maîtres ce délectent de vos peurs de vos traumatismes et pour cela ils vous utilisent à leurs noirs dessins et pendant ce temps vous pleurnichez et vous cherchez à trouver un coupable à vos malheurs et pendant ce temps ils vous sirotent comme des cocktails pris au bord de la piscine déjà bien rempli de votre sang en putréfaction.
                                                        Aujourd’hui, ils vous sirotent la cervelle, car votre substance est déjà la batterie qui alimente leurs machines en cilice et composent électroniques que vous avez contribué à construire en croyant que vous construisiez votre avenir.

                                                        EN FIN DE COMPTE :

                                                        Plus vous abaissez votre taux vibratoire ou la fréquence propre à votre épanouissement plus vous vous éloignez de la nature profonde de l’être humain jusqu’à ce que votre champs vibratoire s’inverse et que votre votre perception soie définitivement déformé.

                                                        De ce fait nous sommes entourer d’individus qui ne réagissent plus en humain mais en simple machines psychopathes alors que leurs substance est devenu une nourriture énergétique qui renforce les monstres qui sous peu seront en mesure de ce matérialiser dans la troisième dimension.
                                                        Ils prennent forme humaine dans un contexte matriciel renforcé par « la technologie informatique micro sacerdotale » qui génère un champ vibratoire propre à leurs existence dans la troisième dimension. La phase d’autonomie est proche, les humains seront alors aux services de ces machines crées de toutes pièces afin de permettre aux entités des dimensions inférieures de prendre définitivement le pouvoir sur l’homme.
                                                        L’enfer n’est pas à venir il est là tapi dans les trames obscures et inférieures de votre cerveaux, de vos plans vibrationnel, de vos peurs, de votre disposition maladive à vouloir existé coûte que coûte et à n’importe quel prix.
                                                        Vous avez rompu les liens avec votre essences divine car vous êtes persuadés que la terre elle même peut s’arrêter pour vous regardez tourner en bourrique et en ridicule l’essence même de votre existence.
                                                        La Terre n’en peut plu de vous supportez, vous êtes envers elle, à l’image des cancers qui ronge le genre humain et qui n’est que le revers de la médaille le CVIH est l’autre face.
                                                        Vous n’êtes plus des malades vous êtes devenu des patients qui attendes patiemment leurs prochain cancer, et pendant se temps vous dévorez le ventre de votre mère comme le psychopathe tu sa mère froidement sans aucun problème de conscience.

                                                        Plus qu’un éveil c’est un réveil qui doit s’opérer dans ce bas monde où la bête aligne ces effectifs de profil en rangs obscurs pour le combat final.

                                                        Les armées de L’apocalypse sont à vos portes.

                                                        Sinouhé.


                                                        • mila370 13 juillet 2016 16:49

                                                          (Des peuples entier sont décimés pendant que la presque totalité de planète pleure un monstre) comme Mickael Jackson. Voila un exemple de CVIH planétaire.

                                                          BONJOUR ,pourquoi dites-vous cela au sujet de michael jackson ?

                                                          j’aimerais comprendre


                                                        • sonya 20 mars 2011 21:06

                                                          Bonjour à tous smiley smiley smiley Je suis une psychopathe smiley smiley

                                                          Non plus sérieusement g le profil mais je pense qu’on a tous des défaillances psychologiques c bien pour ça qu’on est tous différents, mettre un maladie psycologique a quelque un c chaud quand mm parce que a ce moment là on devrait définir une normalité et keske C être Normal C ne pas avoir de personnalité ?
                                                           Je vois un psy régulièrement pour m’améliorer parce que faut se le dire on souffre tellement qu’on est bien obligé de construire des murs qui sont en quelque sorte nôtre prison on est surtout trop sensibles enfin je parle pour moi et mon absence d empathie vient du fait que je ne supporte pas du tout les souffrances. Quand a mon enfance G totalement manqué d’amour C dur de se construire quand on grandit avec un manque pareil comment donner de l amour alors qu’on ne sais pas ce que c’est ? Malgré ça je me suis pris en main après que quelque un m’aie fait remarquer que mon affectif ne fonctionnait pas très bien et je ne le regrette pas, mais g eu de la chance de trouver quelque un qui a mit le doigt dessus :)
                                                          JE VOUS AIME ET JE VOUS EMBRASSE TOUS ...J SUIS LA MEILLEURE ihhihihihihii


                                                          • La voix de la vie 31 mars 2012 00:34

                                                            MEFIONS-NOUS CAR      LES PSYCHOPATHES SONT DES PRÉDATEURS .


                                                            NE LAISSONS PLUS AGIR LIBREMENT LES PSYCHOPATHES : 

                                                            CAR IL REPRÉSENTENT 1% SEULEMENT DE LA POPULATION MONDIALE : 

                                                            MAIS CE SONT EUX QUI PROPAGENT GUERRES, DESTRUCTIONS, MALHEUR 
                                                            ET DÉTRUISE NOTRE BELLE HUMANITÉ , NOTRE BELLE PLANÈTE . 

                                                            COMPRENONS LES MÉCANISMES DE LEURS MANIPULATIONS , 

                                                            COMPRENONS NOS FAILLES QUI ONT FAIT QU’ILS NOUS ONT BERNÉS UN MOMENT . 

                                                            AUJOURD’HUI AGISSONS ; LEVONS-NOUS , DRESSONS-NOUS POUR REPRENDRE LA DIRECTION DU RESPECT, DE L’EMPATHIE, L’ALTRUISME À L’ÉGARDS DE CEUX QUI LE LE MÉRITENT VRAIMENT .

                                                            AU LIEU D’ETRE INSTRUMENTALISÉS PAR SES ROBOTS SANS COEUR QUI CRÉENT DES CONFLITS QUI NE SERVENT QUE LEURS PROPRES BESOINS ;

                                                            NOUS N’AVONS PAS BESOIN DE CES MALADES NÉGATIVISTES , 

                                                            SANS EUX ON POURRAIT ARRIVER À LA PAIX DANS LE MONDE ;; 

                                                            malheureusement ils se propage comme des tumeurs cancéreuses ; il suffit d’une seule personne profondément mauvaise pour gangréner ses collègues , ses voisins etc ,,, et rendre rapidement l’entreprise, la vie de quartier invivable , insupportable , 

                                                            PRENEZ DU RECUL !! 

                                                            QUI AUTOURS DE VOUS VOUS MANIPULE , 

                                                            ORIENTE VOTRE PENSÉE DANS DES ABIMES TOUJOURS PLUS NÉGATIVES ?
                                                            QUI ENGENDRE LES CONFLITS AU SEIN DE VOTRE GROUPE D’AMIS , DE COLLÈGUE ; 

                                                            une fois cet individu poison identifié , 

                                                            observez ces manigances , ces manières avec détachement ,  
                                                            prenez le temps de répondre aux ordres qu’ils vous oblige à exécuter , 

                                                            ne répondez plus positivement à ses requêtes : ne l’aidez plus , ne soyez plus son allié , 
                                                            faites blocage ou ignorance de ce qu’il pourra vous dire , 

                                                            ne l’écoutez plus et entourez-vous de personnes avec lesquelles le dialogue est possible et vous n’êtes pas niée .

                                                            LE PSYCHOPATHE N’ARRIVE A RIEN TOUT SEUL : IL SE SERT DU COURAGE , L’HUMANITÉ , LE DÉVOUEMENT DES AUTRES POUR ARRIVER À SES FINS : CONTRÔLE / POUVOIR / DOMINATION . 

                                                            NE LE LAISSONS PAS ARRIVER AU SOMMET POUR ENSUITE NOUS CONTRÔLER ENCORE !!!



                                                            • Tall 31 mars 2012 00:40

                                                              Article parfaitement inepte comme tous ceux qui parlent de psychopathie, puisque ce concept est une catégorisation fictive qui ne repose sur aucun élément scientifique digne de ce nom.

                                                              Cette authentique fumisterie a été inventée il y a + d’un siècle par un médecin qui n’a fait que pseudo-scientifiser de manière parfaitement artificielle la bonne vieille notion de « possédé du démon ».

                                                              Et cette arnaque a bien vite été adoptée par la société pour les mêmes raisons qu’on avait adopté jadis la notion de « possédé du démon ».

                                                              Et pourquoi ?

                                                              Pour rassurer le quidam sur le fait que si un humain fait d’ignobles saloperies, il ne peut pas avoir un cerveau comme tout le monde, car sinon, ça voudrait dire que n’importe quel quidam super mal « élevé » ( ou bien rabaissé ) pourrait aussi parfois devenir un monstre.
                                                              Et ça, c’est bien trop dur à avaler. Ah non alors !
                                                              C’est bien + confortable de croire que le « monstre » a forcément un cerveau biologiquement différent. Sauf qu’on n’a jamais perçu aucune différence biologique, et pour cause.

                                                              Résultat des courses : jamais dans l’histoire de la psychiatrie, un seul « psychopathe » n’a été « guéri ». Forcément, puisqu’il n’y a aucune maladie.
                                                              A moins de considérer la haine comme une maladie. Mais alors l’amour l’est aussi.

                                                              Enfin, cette bande de charlatans qu’on appelle « psychiatres » ont fini par dire depuis quelques temps que la psychopathie est incurable. Très drôle ...

                                                              Bref, ce qu’on appelle un « psychopathe », c’est juste un type à gros tempérament qui a passé son enfance dans une logique de haine dure. Ce qui altère complètement et durablement ses rapports aux autres et le fait s’inscrire dans une logique relationnelle quasi exclusivement conflictuelle et impitoyable.

                                                              • Tall 31 mars 2012 00:43

                                                                merde alors ... on est dans un article de 2008 ici ...


                                                              • jaja jaja 31 mars 2012 00:44

                                                                Il faut aller te coucher Tall il est tard.... C’est d’ailleurs ce que je vais faire....


                                                              • Tall 31 mars 2012 00:48

                                                                oui ... c’est un psychopathe qui m’a attiré dans ce piège .. smiley

                                                                marrant de retrouver mes anciens posts ici

                                                              • La voix de la vie 31 mars 2012 03:59



                                                                Salut Tall : 

                                                                C’est facile de jouer les détracteurs comme toi : 

                                                                Tu fais des phrases toutes faites qui prétendent être des vérités ....

                                                                je te cite ’’ sauf qu’on n’ a jamais perçu aucune différence biologique et pour cause ’’’ : 

                                                                Cette phrase est un tissu de mensonge habile !! Bravo !! Mais désolée, il saute aux yeux : 

                                                                Ta déclaration est complètement infondée : qui est ce ’’ ON ’’ d’ailleurs ... Tu ne peux pas dire ’’ Je n’ai jamais lut nulle-part d’information scientifique parlant des découvertes cérébrales au sujets des cerveaux handicapés des psychopathes ?? : ’’’’ 

                                                                Non, il faut que tu affirmes une grosse erreur ’’ON A JAMAIS Perçu aucune différence biologique «  »... 

                                                                Oui et bien : on voit que tu ne sais pas te servir d’internet : tape ’’ cerveau différent psychopathe dans google ’’ et tu as alors des tas de résultats de recherches scientifiques qui ont démontrer le cerveau handicapés des psychopathes // 

                                                                Il n’ y a que peu d’activité électrique dans le cerveau des psychopathes , ils n’ont pas de transmissions entre neurones dans les zones des émotions, empathie etc... 


                                                                Pour ne citer que le premier article sur lequel on tombe dans Google ...

                                                                Il y en plein d’autres .... 


                                                                D’autre-part oui : c’est incurable : 

                                                                C’est comme dire à un aveugle de se mettre à voir tout - à - coup alors qu’il est née avec l’handicape de ne pas avoir de transmissions dans ses neurones s’occupant du sens de la vue dans son cerveau ... ?? 

                                                                Le psychopathe c’est pareil : voit le comme un aveugle des émotions humaines : telle que l’empathie , etc... 

                                                                On ne peux pas apprendre à un trisomique à manipuler autrui ; à faire du mal : les trisomique sont handicapés mais dans l’autre sens : ils aiment tout le monde et apporte du bonheur autours d’eux !!  

                                                                Le psychopathe est un malade mental comme le trisomique sauf que lui n’aime personne . 

                                                                Et cela n’a rien de ’’Drôle ’’ comme tu dis : Mais démontre plutôt ton sens de l’humour , limite noir , et ton CYNISME désagréable :: 

                                                                Serais-tu un psychopathe ?? toi-même pour te poser seul détracteur avec tes petites phrases non construites du style ’’ ce n’est pas vrai : personne ne l’a jamais prouvé ’’ = alors que biensur que si c’est prouvé ....


                                                                ET tu est ici au sein d’une communauté de victimes de psychopathes qui ont eu tout le temps pendant des années : d’analyser , d’étudier le comportement de la bête : qui ne changera jamais : malgrès avoir tout tenté avec elle !!! Tous les témoignages se recoupent et cela dans toutes les régions du monde ... 

                                                                DE plus pour les psychopathe et leur enfance : au sein d’une même fratrie élevée dans la haine, il est rare qu’un enfant devienne violeur ou sérial killer , même maltraité ... 

                                                                Ou alors les frères et soeurs du psychopathe : eux sont normaux alors qu’ils ont les memes parents : si la psychopathie étaient le fait des parents : tous les frères et soeurs deviendraient psychopathe ... 


                                                                Hors les psychopathes  ONT la haine : ce sont eux qui détruisent leurs frères et soeurs , leurs parents , crée des conflits au sein de leur famille , instaure la guerre , refuse de descendre manger en famille, dresse le père contre la mère etc... Martyrise leur petite soeur , ce n’est pas le contraire .... Alors qu’ils ont tout pour être heureux , ils voient le mal partout , ne ’ se mettent pas à la place des autres’’ ’ne se remettent jamais en questions ’’’ ’’tire du plaisir a xercer une emprise sur leurs parents , leur famille , puis sur tout le monde ... 


                                                                Des psychopathes peuvent naitre autant de famille aisée, père et mère cultivés, équilibrés, que de parents déséquilibrés car ce qui est en cause c’est le cerveau de l’enfant qui se développe en rupture car il n’a jamais rende positif à partager ...  : car pas d’empathie .

                                                                Les psychopathes interrogés en prison se décrivent toujours de la même manière . 

                                                                Ils n’ont pas de remords non plus, car ils n’ont pas de conscience . 

                                                                De tous les temps ces handicapés de la vie existent et ont été décrits dans la litttérature ou dans toutes les religions :: symbolisé par les vampires par exemple, ou le grand méchant loup qui montre patte blanche, se déguise pour abaisser la vigilance du petit chaperon rouge et la dévorer toute crue !!! 

                                                                Ou encore bien évidemment les démons dans les religions ::


                                                                (Alors que les personnes normales sont attirées et guidées par Dieu , le Bien . 
                                                                Les psychopathes eux sont comme possédé par le diable :)

                                                                Car ils existent bel et bien :  leurs destructions massives ou secrètes , préméditées, et agissent avec sang froid .  Réitèrent leurs actes sans rien apprendre de leurs erreurs ...
                                                                Ont cette soif de pouvoir et de domination tellement grande qu’elle les rend ridicule : prenons Sarkozy par exemple .... 
                                                                Les psychopathes sont comme possédés par le Diable et n’ont pas le choix physique , matériel , d’apprécier une autre vision de la vie qui leur serait donnée par l’empathie qui leur fait cruellement défaut : donc il sont juger étranges par les individus sains , et toujours rejetés , inadaptés , ce qui les rends de plus en plus violents, d’où des passages à l’actes : viol , meurtres ... 

                                                                ce sont des êtres irresponsables qui répondent à des pulsions sexuelles ou de mort : se moquant bien du jugement dernier, fuyant les églises , fuyant tout court . En quête de sensation = qu’ils trouvent un temps dans la quête du pouvoir , l’adrénaline de la disgression , le viol , le meurtre ... 
                                                                Mais qui les renvoie toujours face à leur propre vide = un vide constitué par un manque de ’télépathie’ avec les autres . Donc une très profonde solitude . Qui est malheureusement incurable , car neurologique, cérébrale ... leur cerveau présente des lésions, des incapacité à émettre des signaux électriques au endroits des émotions :: :: :: :: :: ce qui fait qu’ils sont souvent ’bêtes’ et  ne savent pas ’dialoguer’ malgrès pourtant une ’intelligence’ dans la moyenne . 





                                                                 






                                                              • Tall 31 mars 2012 08:02

                                                                vachement sérieux votre source ...

                                                                je vais vous la faire courte : j’ai été taxé de « psychopathe » dans ma jeunesse par une « sommité » ( le professeur paul ghysbrecht, il y a 30 ans de ça )
                                                                je suis donc ma propre preuve-source vivante que c’est du total n’importe quoi

                                                                et maintenant, arrêtez vite cette conversation avant que je ne vous envoie une décharge de 10.000 volts à travers le fil téléphonique, suivi d’un grand rire sardonique hiark ! hiark ! hiark !

                                                                bouffon !

                                                              • Tall 31 mars 2012 08:23

                                                                enfin, je vois vite à votre salmigondis de conneries que vous n’êtes pas un psy professionnel

                                                                et si je me demande quelle pourrait bien être votre motivation, il n’y a qu’à voir le nom qui apparaît à la fin de votre com’ : Sarkozy .... smiley
                                                                tout ça pour ça ! smiley

                                                                je vais vous rassurer, je vote Melenchon !

                                                                ça va comme ça ? je suis guéri ? smiley



                                                              • mila370 13 juillet 2016 17:20

                                                                lol ta race de dégréner n’a rien est n’auras jamais rien d’intéressant ,pas de capacité d’ intuition, cette intuition qui ma permit de gagner au loto est qui est atteignable seulement pour les humains pas pour les hommes mécanique comme toi mon chère ,car l’empathie l’émotion la sensibilité relie des don de clair voyance ,qui en réalité sont accessible à tous les humains ,juste avec une alimentation bio sans gluten et de la méditation ,est le ménage dans notre entourage en GAGNE t’es pas obliger de me croire ,mais je tien à témoigner de la puissance de l’humain est de c’est capacité que vous jalousé tant ,donc un psychopathe c’est un raté de naissance qui cherche à détruire est détourné l’humain de c’est pouvoir ,vous les psychopathe je vous plein pour être aussi merdique et inintéressant .maintenant je voie quelle est la raison de votre haines envers les humains

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès