Manifestement, toute votre vie, vous avez confondu enseignement par l’intéressement et la curiosité, avec le matraquage par la répétition et l’autorité despotique. Vous confondez aussi le lectorat libre avec une salle de classe contrainte. Si c’est ce que vous nommez la nouvelle presse face à l’ancienne, vous regardez en arrière quand vous pensez regarder droit devant.
Alors pour laquelle raison sent-on de l’aigreur tout du long de votre article bourré de marques énonciatives de passion et de colère ?
En tant que lecteur je peux difficilement faire l’impasse sur l’ambiance. Et vous présupposez trop aisément de l’incompétence de votre lecteur. Soyez plus attentif et respectueux de votre public, car par vos critiques trop radicales, vous manifestez ce que vous déniez-même.
Que d’aigreur et de dépit et de désillusion ! Ce n’est pas une analyse objective mais une tentative désespérée de revanche sans aucune chance de parvenir à ses fins. C’est donc pathétique.