• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

DG.

DG.

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 20/04/2006
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 3 337 36
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique






Derniers commentaires



  • DG. Damien G. 4 octobre 2006 14:58

    L’Iran souhaite que son uranium soit enrichi, sur son sol,par un consortium international : ce qui permet un meilleur contrôle de son activité nucléaire.

    Que la France soit désigné semble presque naturel, puisque que l’Iran est actionnaire d’Eurodiff.

    Politiquemnt, je ne voit pas ce que l’Iran peut proposer de mieu en terme de controle de son activité. C’est deja la deuxieme foi que l’Iran évoque cette possibilité, on peut se demander si elle est sérieuse ?

    notre ministre des affaires etranger repondant que c’est prématuré demandant la suspension de l’enrichissement.

    A force de réfuser les offres iraniennes, on se demande quelles peuvent etre les motivations de nos dirigeants.

    Soit l’offre n’est pas sérieuse, et si d’aventure on l’accepterait, cela mettrait l’Iran au pied du mur, qui aurait alors tenter de diviser les blocs, (qui n’ont qu’une unité de facade). Revenir sur son offre reviendrait a donner raison au US qui aurait toute la légitimite pour imposer des sanctions (une intervention militaire serait de toute facon voué a l’echec).

    Soit l’offre est serieuse, et la réfuser signifie que le but afficher du controle du nucleaire iranien, est une facade, et que de toute facon, les occidentantaux ont décidé d’en découdre avec l’Iran quoi qu’il arrivent. MAis, des lors, l’offre étant faite a la France, les avis exterieuress ne sont que des avis dont le contenu n’est pas contraignant, et seul les Etats souhaitant en terminer avec ce risque de guerre s’y joindront ; et la France aurait tout interet de l’accepter (retombé économique, « immunité » des caques bleu au liban, renforcement de la diplomatie Francaise et europenne dans la région).



  • DG. Damien G. 2 octobre 2006 20:31

    L’humour est une mes vertus cachées, je peux te donner quelques tuyaux si tu veux !

    certain de tes essais sont interrants, surtout ceux du programme (les manager en savent quelque chose) et de big brother (la fraternité selon la « droite »). tu aurais pu faire un éffort pour les transformer.

    Non , mais je pense que la véritable distinction politique se situe entre l’approche Republicaine, humaniste, universaliste et les ceux ayant une approche de caste, classe, communautariste, proletarienne, oligarchique. A toi de te définir par rapport a ça.



  • DG. Damien G. 2 octobre 2006 13:55

    la distinction droit gauche est un cache sexe, une étiquette commode pour un homme politique de situer par rapport a son éléctorat.

    mhoussaye, vous avez raison de mettre en vant le fait que le cette distinction, (dans son conteneu) évolue au fil du temps, et au sein meme de ces deux « groupe », on peut trouver des personnes plus proche des idées du groupe opposé. phénomeme lié à la transversalité de tous les sujets politique.

    a Anthony Meilland,

    on peut résumer la personne de doite, indépendament de l’étiquette, comme étant une personne principalement préocupé par la conservation de son statut personnel. le moyen étant habituelluement la mise en oeuvre des principes du libéralisme, lorsque cela joue a leur avantage. MAIS, cela peut se faire meme au détriment des principes du libéralisme politique, en terme de liberté civile, et même économique (n’assistons pas à une recartellisasion des entreprises). la personne de droite vote en fonction de son intéret personnel, et non en fonction de ce qu’elle estime etre juste pour la société (elle trouvé dans le monétarisme un instrument idélogique, cependant).

    la personne « gauche », serait enclin au mouvement des statuts sociaux personnels (et donc doit accepter l’eventualité de la perte de son statut), selon les efforts de chacun. la « gauche » est révolutionnaire, ou plutot progressiste, elle s’accommode bien du principe juridique de la liberté du commerce et de l’industrie, car s’est un moyen de réaliser cette mouvance. Mais elle ne fait pas une fixation sur les principe « théorique » du marche, et un gouvernement de « gauche » qui se couche devant les directions de la BCE, ou du FMI.., est une imposture. La « gauche » doit donc rejeter le monétarisme qui est une idélogie strictement de droite au sens le plus dur. De plus, la « gauche » ne vise pas l’égalitarisme, qui, tout comme la « Droite », a pour but, la conservation des statuts.

    Enfin, il ne faut pas aublier que la dillution de la disctinction droite gauche, vient également, des obligations juridiques assignés aux Etat, par la multiplication des normes supralégale.



  • DG. Damien G. 28 septembre 2006 20:26

    les mesures que vous poposé n’ont rien a voire avec le libéralisme.

    pour ce qui est de la retraite par capitalisation, j’espere qu’on pourra capitaliser aupres de l’Etat, si on le souhaite.

    pour ce qui est de conditionner le RMI en échange d’une activité. c’est contre productif, car certaine personne embaucheront des rmistes au lieu d’employer des salariés normaux. de la main d’oeuvre gratis pour les entreprises non merci.



  • DG. Damien G. 28 septembre 2006 15:03

    la dette publique est la plus grande arnaque faite aux citoyens par la collution Etat/Haute finance.

    La dette publique n’a pas lieux d’exister. C’est le symbole de son abdiquation du controle de l’emission monétaire, partant, de sa capacité d’engendrer le développement, en partenariat équitable avec les entreprises.

    Elle part d’un axiome ideologique. c’est a dire que la Republique ne peut etre concue comme un lieux ou les gens forme un cagnote commune afin d’etre mise au service du citoyen. Il existe un partie de la population qui considere que l’election n’est pas le seul vecteur légitime du pouvoir, en d’autre terme, le parlement n’a pas la seule légitimité pour décide du montant et de l’usage de la cagnote commune. Pourtant on pourrait croire que cela se traduit, par un affrontement droite gauche a l’assemblée. Cela se traduit aussi par les exigences de la « rue » ou par des menaces a peine déguisé de certain dirigeant d’entrepise. je ne jette la pierre a aucun des deux, et ne fait qu’un constat a ce sujet.

    La dette publique entre alors en jeux, dans la definition du budget, et de l’action de l’Etat.

    la dette publique est la contre partie de l’existence de la démocratie, ou de ce qui s’en a l’apparence. les possédants (minoritaires) ont peur d’etre dépouillé de leur propriétés, par l’election, et, parcequ’il vont contribué proportionnellement d’avantage à la cognote que les moins nantie, majoritaire, ils ont obtenu l’abdiquation, de facto, et en droit postif, du pouvoir de la République de battre monnaies (bien qu’elle ait toujours la souveraineté de s’en réaproprié l’exercice). Pour « compenser » cette perte, du cycle auto-entretenu non inflationniste des finances publiques, la République emprunte donc aupres d’eux, et donc crée la dette publique.

    En claire, la dette publique est une intrusion du capital, dans le fonctionnement des institutions Républicaine, afin de maintenir un équilibre, entre la démocratie (la tyrannie de la majorité) et la haute finance (arbitraire du capital).

    la dette doit-elle etre alors remboursée ? oui, mais une autre question se pose, faut-il encore emprunté ?

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv