Il montre un certain décalage, je dirais, de nature culturel.
Ce qui est certains, c’est que les écoles de commerce, produisent un certain clubisme, comme le décrit bien Silent Bob (mais c’est en générale le cas de la plupart des grandes écoles privées, commerciale ou non). On nous parle ensuite de fracture entre la France dite d’en haut et la France dite d’en bas.
après quoi, n’ayant pas fait d’école de ce type, je ne peu dire si elles produisent des gens compétents. Le fait est que je m’interrogent souvent sur certain choix stratégique, avec des résultats des fois douteux, des personnes sortant des dites écoles.
Quant aux Universités, et bien le tableau n’est pas aussi mauvais que cela, d’un point de vue de la qualité de l’enseignement.
La ou elle a vraiement des difficlutés, c’est dans la quasi absence de liaison avec le monde du travail (j’en sai quelque chose). Dans certaines filières, on met en place des spécialité ou l’insertion est facilité (stage, partenariat, intervenant du monde professionnel) : c’est une erreur, cela doit englober TOUTES les spécialités.
La selection a l’entré, c’est du pipot, pour une raison qui est mal vu d’avancer : le selectionneur peut se planter ; avec des idnvidus qui aurait été refusé à l’entrée mais qui une fois dans le cursus se révèlent de tres bon éléments, et inversement. Là réside la véritable EGALITE des chances, et non dans les considération financières. La sélection se fait donc souvent d’elle meme puisque les 2/3 des inscrits ne franchissent pas le cap de la 1 année.
Mettre une selection a l’entré, s’est envisager le choix d’empecher les potentiels de se révéler, et partant, de s’en priver.
l’écologie politique, et ce qu’on appelle l’économie de l’environnement, sont, actuellement (j’insiste sur ce moment), des disciplines d’inspirations libérales pour une grande partie. Attention je ne parle pas ici de l’écologie science.
Il y a une identité des modes d’analyse et des bases axiomatiques, avec la méthode et l’ideologie libérale.
Pour les solutions, le meilleur exemple est la mise en oeuvre du potocole de Kyoto, et la bourse des quotas d’emission. on a décide, que la question écologique serait réglé par le jeu du marché avec la bénédiction de la quasi-unanimité du mouvement politique écolo (je dit quasi car je n’est pas entendu de « vert » s’y opposé, mais peut-etre il y en a t’il). un bon nombre des association écolo sont financés en grande pompe par des multinationales. Il existe un certain nombre de mouvement « écologiste » discident, dont on entend jamais parler.
le mouvement écolo actuel est un sous marin du libéralisme.
Bien sur, ils passent de la pommade de temps en temps, voire tres souvent, et prennent fait et cause contre la droite ( qui elle n’est pas libérale, mais corpo-libérale).
attention aussi, car vouloir faire du social ne signifie pas etre socialiste.
de ce point de vue, si les Verts ne veulent pas de Hulo, je dit que c’est interressant, il y a peut etre quelque chose a voire.
revenir à une élection du president par les assemblées ?!!! je ne comprend pas pourquoi certain veulent revenir aux regimes d’assemblée de la 3 et 4 Républiques. Régime bien connu pour la corruption.
Et si ce n’atait que ça ! il faudrait en premier avoir une assemblée représentative ; ensuite, avoir un systeme tel, que le dialogue entre le législatif et l’executif soit renforcé, ce qui revient a accorder plus de pouvoir aux assemblé.
ensuite, il y a un manque de loyauté flagrant des politiques vis a vis des citoyen (dans le sens de Rincevent) : jamais, ou fort rarement, les politiques ne nous expliquent les bases juridiques des lois et réglements qui veulent faire adopter dans le pays, c’est a dire les sources de doit europen ou international. l’exemple de la fusion GDF suez en un, car c’est en vue de libéralisation du marché de l’energie, promu par les texte europens, que cette fusion s’inscrit. pour obtenir ce genr d’information, il faut soit lire la presse spécialisé, soit se référer aux travaux parlementaires. mais qui se donne la peine de le faire ? seuls, ceux dont l’activité proffessionnelle, les incite a cette pratique, et quelque curieux. Sachant cela, nos politiciens ne disent mots aux citoyens. pourtant c’est essentiel d’expliquer aux gens les motivation de leur actes.
Certains disent bien que c’est a cause de la mondialisation, mais cette formule est trop vague (englobe tous et nimporte quoi) pour etre comprise, cela ne fait que renvoyer a une image souvent considérer comme hostile.
silent Bob
, oui, le langage est détourné pour masquer ce que les politiques ne veulent pas dire. on a donc le droit a des operations seductions, ou un show holywoodien pitoyable.
l’avantage d’une election du président au SU, est aussi, qu’une foi elu, le president peu, plus facilement dire, ce qu’il veut, sans tenir compte des susceptibilités partisanes, mais on sait que ce n’est guère appliqué.
je suis favorable au système de répartition, et à la solidarité en ce qui concerne les question de santé.
je voulais seulement pointé du doigt l’incohérence qui consiste a vouloir faire appel au privé de manière principal (dans ce domaine là), puis lorsque çà va mal, appeler l’Etat au secours.
Ce qui montre la non efficacité du syteme, car le risque financier ne serait probablement pas supporter, en ultime recours, par les entreprises et les actionnaires.
on oblige a contracter des polices d’assurrances, alors que par exemple, on s’empresse de proclamer l’Etat de catastrophe naturelle, lorsque les assurances sont incapable de répondre à leur engegament(ou même durant la crise des banlieux, on accorde une eveloppe spécifique), idem pour les assurances professionnelles des médecins (qui rencherie le cout des actes).
cela ne fait que montrer que, d’une manière générale, beaucoup des choses couvertes par les assurances privés relèvent en réalité de la solidarité collective, puisqu’une non indemnisation n’est pas envisageable même quand l’assureur est défaillant ou risque la faillite s’il payait.
le fait de transférer la « cotisation » au pres d’organisme privé, est alors une forme de copinage, et/ou répond uniquement a des dogmes idéologiques, contraire à une réalité économque, car certaine dépense et indemnisation ne peuvent etre légitimenet évité.