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  • fb 24 juin 2008 11:56

    Il ne s’agit pas d’Internet mais d’un accès sans fil via un opérateur GSM ou autre. Comme les opérateurs utilisent une passerelle ils peuvent sans problème réaliser ce genre de choses. Ils réinventent Compuserve, sauf que cette position ne sera pas tenable longtemps, car un jour ou l’autre un opérateur lèvera ces restrictions et les autres devront suivre.



  • fb 9 avril 2008 14:20

    On prend les chiffres officiels[1] mondiaux :

    2000 : 11 attaques fatales sur 79 attaques

    2001 : 4 attaques fatales sur 68

    2002 : 3 attaques fatales sur 62

    2003 : 4 attaques fatales sur 57

    2004 : 7 attaques fatales sur 65

    2005 : 4 attaques fatales sur 61

    2006 : 4 attaques fatales sur 63

    2007 : 1 attaque fatale sur 70

    Seules constatations possibles et factuelles :

    le nombre d’attaque (non provoquée) est très faible en regard du nombre de personnes pouvant être potentiellement en contact avec un requin et est vraisemblablement très en deça du seuil d’acceptabilité d’un risque (une chance sur un million),

    le nombre d’attaque fatale rapporté aux attaques ne dépasse que rarement 10 %

    l’évolution du nombre d’attaque et du nombre d’attaque fatale n’est pas significatif d’une année à l’autre

    Je vous cite : « Je précise qu’il n’y a en fait que peu d’attaques mortelles et qu’elles étaient justement en regression avant 2007. »

    Ce qui n’a aucun sens au vu des données ci-dessus et de plus le caractère fatal d’une attaque n’est pas reliée statistiquement qu’au requin mais également au lieu et aux conditions de l’attaque ; la cause de mortalité la plus fréquente étant l’absence de secours à proximité du lieu de l’attaque.

    Je préfère ne pas m’apesentir sur le  : « Les spécialistes s’alertent de ce regain de frénésie meurtrière [...] » mais j’aimerais bien connaître le nom de ces « spécialistes ».

    Comme par hasard il est toujours plus facile d’articuler un article sur un fait divers, de digresser sur des chiffres qui n’ont pas de sens que d’aborder vraiment le fond. Alors je vais compléter votre article avec deux nombres : 99 et 50.

    99 c’est le pourcentage de réduction de la population du Carcharhinus longimanus (requin océanique) dans le Golfe du Mexique[2].

    50 c’est le nombre d’années sur la période 1950 - 2000 qu’il a fallu à l’homme pour perprétrer ce massacre[2].

     

    [1] http://www.flmnh.ufl.edu/fish/sharks/statistics/statsw.htm

    [2] Shifting baselines and the decline of pelagic sharks in the Gulf of Mexico



  • fb 9 avril 2008 12:33

    Bravo ! Alors que le film « Les seigneurs de la Mer » sort aujourd’hui vous nous balancez un article bourré de clichés simplistes démontrant votre méconnaissance du sujet.

    En moyenne, par an, selon le Shark International Attack File, il y a cinq décès imputables à des attaques non provoquées de requins dans le monde. De là vous arrivez quand même à extrapoler sur des tendances, ce qui est un véritable exploit en matière de statistique ; pourquoi ne pas faire la même chose avec la mortalité liée aux morsures de cobras en Inde, là l’échantillon est un petit peu plus significatif mais c’est moins vendeur.

    En Australie, alors que trois des espèces de requin considérées comme dangereuses (requin blanc, requin bouledogue et requin tigre) sont présentes et que la population côtière est considérable et les activités nautiques développées, il y a trois cent fois plus de « chance » de mourir noyé que du fait d’un requin, cela permet de relativiser un petit peu.

    Lire, par exemple, le début de l’article de Wikipédia sur les requins vous aurait évité d’écrire une monstruosité  : « Les requins (R@ke /) sont des poissons cartilagineux ... ».

    Encore un article qui surfe sur les requins à leur détriment.



  • fb 18 mars 2008 17:31

    Vous avez raison de souligner que l’on parle d’économie d’échange alors qu’avec les immatériels il conviendrait de se placer dans une optique d’économie de partage. La nuance est d’importance, tout reste à créer dans ce domaine. Ajourd’hui ce sont des modèles indirects qui en fin de compte s’appliquent mais restent dans une logique d’échange et non de partage (accès « gratuit » contre visionnage de publicité).

    Néanmoins, quelques exemples en particulier dans le logiciel libre démontrent qu’il est possible (très indirectement) de créer une économie du partage.

    La route est longue mais visiblement elle existe...



  • fb 18 mars 2008 17:17

    Tout le problème porte sur la définition de l’art. Est-ce qu’un banquier est un artiste quand il « gère » votre compte courant ? Le numérique rend obsolète bon nombre de pratiques plus ou moins justifiées par l’absence d’un réseau unique et des pratiques d’interopérabilité. Aujourd’hui des pans entiers d’une économie basée sur le principe marketing de rareté s’effondrent dans la mesure où dans le monde numérique la rareté n’a pas de sens et l’abondance est la norme avec un coût marginal.

    Internet et le numérique remettent en cause la notion fallacieuse de « propriété intellectuelle », le débat est pour le moins vaste mais en gros les business models basés non pas sur l’art mais la rareté maintenue artificiellement vont souffrir...

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