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  • fb 16 janvier 2008 17:37

    C’est fait en revanche je me suis peut être mal exprimé dans mon commentaire précédent c’est la banalisation qui me semble extrêmement dangereuse : utiliser le taser plutôt que le dialogue pourrait être plus facile et plus déterministe ce qui est terrifiant...



  • fb 16 janvier 2008 17:23

    « En appliquant la loi d’Ohm (U=R.I), on se rend compte que l’intensité est comprise entre 8 et 16 ampères... soit bien plus que les 2 milliampères indiqués par le fabricant et même plus que l’intensité du courant EDF. »

    Euh... je pense que vous méprenez : 8 à 16 ampères directement dans le corps c’est la mort assurée ; quant à la résistance (électrique) du corps humain elle est nettement plus élevée que quelques kohms. Vous confondez, je pense, la puissance avec la loi d’ohm.



  • fb 16 janvier 2008 14:40

    Si sur le fond l’article est intéressant, en revanche il y a suffisamment d’inexactitudes pour que cela nuise à sa crédibilité. Pour information « voltage » n’existe pas en français il s’agit de tension de même que « l’ampérage » est en fait l’intensité. Ensuite comparer la dangerosité du courant EDF avec « l’injection » de courant directement dans le corps est réducteur, en effet le corps humain présente une résistance (au sens électrique et mesurée en ohms) qui fait que la plupart du temps une électrocution accidentelle avec le courant domestique n’a pas de suite. Toutefois, un courant de quelque milli ampères qui viendrait à traverser le coeur peut être mortel.

    Ne pas aborder le problème posé par la généralisation probable de ce type d’armement me semble être une erreur alors que c’est certainement le fond du problème...



  • fb 10 janvier 2008 19:11

    J’ai lu le document de la FAA mais outre que c’est une prose avec une forme assez indigeste il n’y a pas d’élément suffisamment spécifique pour apprécier le potentiel des failles possibles ; il s’agit plus d’un rappel à des principes généraux façon vaporware comme l’administration sait si bien le faire.

    L’histoire du lavabo n’est pas une blague mais un des ces incidents totalement improbable qui fort heureusement ne s’est pas transformé en accident faisant la une des journaux.

    Aucun système ne sera fiable à 100 % mais vu le passif de l’informatique nous disposons de méthodes de plus en plus précises pour déceler et corriger rapidement des failles ; toutefois, il faut faire fi de la sécurité basée sur l’obscurantisme ce qui dans l’industrie est loin d’être une chose acquise. Évitons en tout cas de faire de cette blague l’avenir aéronautique : « À compter de l’année 20XX le poste de pilotage comportera un pilote et un chien, le chien sera là pour empêcher le pilote de toucher aux commandes. »



  • fb 10 janvier 2008 15:34

    Charles, mon propos n’était nullement de faire du bashing sur votre article mais simplement de préciser que l’accès au cockpit ou aux armoires électronique est plus réaliste pour avoir accès aux commandes de vol que de tenter un buffer overflow via le wifi en cabine

    Vous avez raison de signaler qu’un incident en vol est souvent lié à des causes infimes et multiples (le dernier en date est lié à un lavabo qui déborde et qui innonde l’armoire électrique obligeant un 747 à se poser en disposant juste de quelques dizaines de minutes d’autonomie sur batterie...).

    En revanche, ce qui est intéressant c’est que la sécurité informatique expose à plus de transparence ce que bon nombre d’industries ne savent pas faire ou transposer à leur métier. À l’époque où les limes à ongles étaient interdites (bah oui c’est une arme de destruction massive) il suffisait d’ouvrir le compartiment à bagage qui allait bien pour découvrir une hache, équipement de sécurité obligatoire !

    C’est pour cela que la news présentée par TheInq et Wired me semble aller un peu trop dans le sensationnel digne d’inspirer un (mauvais) réalisateur de film catastrophe alors que le point capital est qu’un tiers n’étant pas versé dans la certification aéronautique expose des failles possibles ou théoriques dans un milieu habituellement très fermé et peu communiquant à l’égard du public.

    Ce qui est inquiétant c’est que l’informatique visible des passagers n’est qu’une petite partie mais l’informatique vitale est de plus en plus mise en cause par les pilotes qui se retrouvent hors de la boucle de contrôle (l’auto-poussée d’Airbus est, selon moi, une abération ergonomique par exemple) ce qui est un sujet sans fin, à quand un avion Open Source ?

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