@sls0 D’un point de vue historique, la science avance plutôt en escalier, une période de stagnation (nous n’avons plus que 2 3 trucs à résoudre et tout sera parfait), puis une crise (plusieurs observations qui contredisent le modèle) ou une révolution (un génie qui fait table rase du passée) et l’émergence de tout un tas de génies, suite à la relativité tout un tas de mathématiciens se sont intéressés à la physique (parce que c’était cool ces équations complexes) puis à la physique quantique (parce que c’était encore plus cool, Les débats Bohr-Einstein etc...), y à eût auparavant un boom de la chimie après une crise atomiste (la nature de la matière était continue ou insécable à un seuil ?). Mais je crois que cela fait partie d’un mouvement plus global au niveau sociétal, je crois que si le cubisme et la relativité sont de la même époque (et on a des passerelles entre la représentation de l’homme et de son espace) ce n’est peut-être pas par hasard (si on croit au concept d’époque).
J’aurai bien aimé un paragraphe sur le quiproquo entre la Révolution et la révolution d’un astre, ou somme toute une approche moderne de la révolution, est-ce que la révolution d’un peuple qui en moyenne à la vingtaine, peut dans une population atteignant la quarantaine, être la même ? (surtout par un vote révolutionnaire, puisque le vote ce fait à la majorité, la moyenne des votants potentiels à 18 ans de plus que la moyenne des français), un corps social au ventre plein peut-il avoir autant d’entrain ? (pour Loft Story TF1 avait bien compris que pour avoir des histoires, il faut un peu affamé les candidats, imaginez ses américains libéraux qui doivent pleurer l’aide alimentaire et puis Trump, faut pas donner du ressentiment aux gens). Pour revenir à votre billet : Qu’est-ce que l’essence révolutionnaire moderne, par delà l’Iphone (la technique révolutionnaire) ?, la révolution sociale (tout homme né libre et égaux en droit....) devenant révolution technique (les autoroutes de l’information, cf Deschiens, les conférence de Jobs, l’approche strictement mécanique de l’économie du management), Trump est une rupture, mais pas une révolution, y à quelques choses de modernes (sensibles) à espérer un Gandhi révolutionnaire et pacifiste (de toute manière le corps social est trop âgé pour la guerre, il comprenne pas qu’un jeune Djiadiste préfère être l’acteur d’un monde nouveau, même si c’est une folie, plutôt que de penser à sa retraite et au taux d’intérêt de son livret A). La révolution privé risque de ce résumer à une signature virtuel donnant un gage de bonne intention, une révolution nécessite un corps social public. Il y a eût pas mal de révolutions musicales, au point que chaque époque considère un peu la précédente comme un ancien régime musicale. Mais je suis pas très révolutionnaire ou plutôt je laisse à l’astre le soin de faire son tour, mais je crois être évolutionnaire :)
@Bernard Dugué
Et l indulgence, cette capacité à s apercevoir qu’à quelques grippes, asthmes, mauvaises humeurs, divergences, inaptitudes, troubles cognitifs, décès, on est pas parfait tout le temps, ce qui n est au mieux qu’un instant qui fût.
Y a 10 ans, dans le bon temps, y avait plus de cadres connectés, que d ouvriers.
Et après, on est héritier de la démocratie et non juge à moins d être très orgueilleux ( les consanguins aux sangs bleues, on a essayé).
@Taverne Mais c’est une chose terrible : le peuple existe un jour tout les 5 ans. Je suis aussi d’avis que cette présidentielle n’est rien sans le vote qui suivra, Attali est encore en retard, c’est pas dit que le futur président est encore 100 jours pour convaincre, il aura intérêt à être président sans faire les ponts du mois de mai, après ce sera compliqué.