C’est un schéma plus complexe, d’abord la philosophie Grec était une practis, c’est à dire une philosophie qui s’exprime par la vie du philosophe et où des écoles enseignaient des pratiques en correspondances avec la pensée de l’école, puis est venue la philosophie Allemande, plus conceptuelle et désincarné (au sens ou la vie de l’auteur est une vague conséquence à l’idée philosophique), puis vint le structuralisme français qui a plutôt mis en avant le texte comme un « tout » suffisant (et la vie du pingouin on s’en fout).
En conséquence de quoi beaucoup de philosophe recherche à nouveau une practis originelle (à cause d’un excès inverse) et forcement pour défendre la philosophie Allemande y à plus tant de penseurs (Onfray critique l’approche pratique de kant sur le mensonge comme nécessité face un un envahisseur, etc..).
@CN46400 Quel révolution n’a pas produit de contre-révolution ?, au matin suivant le grand soir débute la contre-révolution (Française itou, les perdants se vengent forcement) et si les soviets dorment sur leurs lauriers, leurs sommeils éternels servira de socles à la révolution, contre révolutionnaire.
Les inconnus avaient fait une fausse pub « benetton » ou la réplique final était :« c’est pas parce qu’on est différent, qu’on est plus intelligent » :)
@abcd Et on pourrait aussi penser le renversement politique au Brésil comme une conséquence de la faible croissance des émergents (dont la croissance est du à la compétitive ce qui rend fragile ses émergences à la différence des 30 glorieuses) et il parait qu’en Chine on repense au culte de la personne du gouvernant pour stabiliser le régime, comme quoi les inégalités sont peut-être plus dangereuses au sein des nations, qu’entre les nations
Cela démontre surtout qu’il n’y a pas une exception Française à la mondialisation, ce qu’on a fait croire depuis 15 ans, la dévaluation interne a des conséquences sociales qui entrainent des changements de régimes (sans en faire une cause exclusive, deux années de mauvaises récoltent avant la révolution, cela ne veut pas dire qu’une famine suffise à une révolution, l’augmentation des denrées alimentaires a quand même contribué aux printemps Arabes), reste à savoir ce que donnera une crise sociale en Suède (ou en Allemagne quoique la l’ex-RDA a déjà des tendances Autrichiennes), puisque Pujadas en fait un modèle et cela sans préciser qu’ils ont des ressources et qu’ils ne sont pas dans l’Euro.