J’avais proposé un truc semblable lors d’un plan de licenciement. C’est simple, on répartissait l’économie imposée par l’actionnaire au prorata des salaires. Une réduction de salaires pour tout le monde, peut-être 1€ en bas de l’échelle et je ne sais pas combien en haut.
Au final, ce qui s’est produit, c’est fermeture d’une usine et hausse des hauts salaires.
Je crois qu’à l’échelle d’un pays, celui qui serait en position de réaliser ça risquerait un accident... Le petit groupe qui serait en position de promouvoir cette idée serait traité de populiste... Un mouvement tentant de la faire entendre pourrait être classé terroriste... Et le pays qui y arriverait quand même ferait sans doute partie de l’axe du mal...
Mais pour être pratique, il faudrait considérer deux aspects : payer la dette sur des patrimoines peut se concevoir. Il faut par contre générer l’équilibre des budgets sur les ressources. Selon le même principe.
La « règle d’or » ? Pourquoi pas, si on inscrit que l’équilibre s’obtient par rallonges budgétaires financées selon ce principe. Et on serait dans un cercle vertueux et équitable puisque ceux qui ont le plus de moyens pour impacter sur les budget seraient le plus forts contributeurs...
Si je suis ton raisonnement, celui qui ne sait pas laver son cerveau en immigrant en France ne pourrait pas vivre en paix ? Le multiculturalisme, on ne entend assez parler. j’aimerais que quelqu’un tente de défendre le monoculturalisme.
« les actionnaires sont propriétaire de la société, c’est à eux, tout est à eux : pourquoi la massacrer ??? » Parce qu’ils ne sont pas propriétaires de la société mais propriétaires d’actions et que leur seul intérêt est le rendement de ces actions. C’est comme ça que ça marche. C’est du vécu, pas la peine de chercher à me convaincre du contraire je l’ai vu. La plupart des actionnaires ignorent même comment le rendement de leur argent est réalisé.
La guerre implique une certaine symétrie entre les protagonistes, ne serait-ce que dans la conscience des événements et la volonté de combattre.
Le chasseurs et le lapins ne sont pas en guerre. Le chasseur sait ce qu’il fait au lapin, comment et pourquoi. Le lapin ne demande qu’à vivre sa vie de lapin et réagit à ses peurs.
Je crois que la situation actuelle ressemble beaucoup plus à un modèle de prédation qu’à un modèle de guerre.
Les guerres, les vraies, ne sont que des techniques de chasse pour les prédateurs. Ils n’y participent pas. Ils s’en servent. Contre nous tous.
Une prise de conscience globale et l’établissement de lois pourraient éviter le pire.