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Adamantane-Freemen69

Adamantane-Freemen69

Formation scientifique (Ingénieur ENSICA), juridique et artistique. 20 ans cadre en entreprise (chercheur, méthodologue, puis secrétaire général, et enfin directeur-responsable d’un centre de profit dans les transports), 20 ans consultant (manageur-associé chez Bossard Consultants, puis patron-créateur d’une TPE).
Simultanément, activités d’écriture (deux ouvrages édités, prix Jacques Normand de la SDGL), prestation d’enseignement (Écoles de commerce et CRC), engagements politiques (cadre de vie, éducation), associatifs (cinéma, littérature, édition collective) et sociaux.

Actuellement écrivain, sociétaire aux poètes français, animateur de lieux d’expression culturelle, conseiller de quartier à Boulogne-Billancourt, VP de l’association des AE de l’ENSICA et de l’Institut Européen de Développement Humain.

Tableau de bord

  • Premier article le 28/01/2006
  • Modérateur depuis le 12/04/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique









Derniers commentaires



  • Adamantane-Freemen69 Adamantane-Freemen69 18 septembre 2006 22:47

    Cher lecteur, vous rassurez en ces termes : « Je comprend votre anxiété non fondée due à une présentation incomplète et même inexacte de l’anecdote initiale. » Pardonnez-moi d’insister courtoisement sur le fait que l’anecdote initiale, sauf à penser que j’aurais inventé l’enchaînement de messages et d’enquêtes que je relate, même si je l’ai présentée incomplètement, ayant en effet résumé l’affaire, n’est en rien inexacte.

    Je lis dans le Monde daté du 19 septembre, page 10, sur trois colonnes, un papier de Hervé Kempf titré « Jacques Chirac appelé au secours de l’ortie », qui reprend et le texte de loi qui nous a posé question,et l’information sur l’intervention de la DGCCRF vis à vis deM. Éric Petiot...

    Moi aussi, je voudrais bien qu’il soit inexact qu’un texte de loi dispose :« toute publicité commerciale ou toute recommandation (je souligne »recommandation« ) ne peut porter que sur des produits bénéficiant d’une AMM. »

    Je vous remercie de reconnaître, à titre personnel, que le reproche d’inexactitude est mal fondé. Ceci dit, bien d’accord avec vous sur la probabilité que ce texte devienne rapidement « inexact ». Il pourrait avoir le même sort que les articles d’une loi récente instituant le CPE... ?

    Bien cordialement.



  • Adamantane-Freemen69 Adamantane-Freemen69 17 septembre 2006 18:16

    Cher lecteur, L’anecdote que je rapporte est (hélas) exacte. Je n’ai d’ailleurs pas écrit que la loi en question interdisait toute information sur un procédé utilisant des produits dépourvus d’AMM. J’ai écrit que quelqu’un s’était indigné de cette possibilité. Et le fond de mon article est à peu près : dans quel état d’abêtissement nous a-t-on réduits pour que nous puissions avoir besoin de vérifier la possibilité d’un non-sens aussi gros ?

    Constater qu’en plus « c’est écrit » n’a rien non plus de rassurant...

    Votre réaction a d’abord été la mienne : il serait possible que la commercialisation soit interdite, mais pas l’utilisation privée ni l’information de bouche à oreille sur ce procédé.

    Les références fournies, les incidents relatés, la reprise de cette information pas des journalistes professionnels, en particulier dans Libération, vont dans le sens de la non-inexactitude du fait générateur de l’anecdote que j’ai rapportée.

    Ceux des lecteurs qui ont consulté « les tables de la loi » ont fourni, en amont dans la discussion, la preuve que cette crainte a priori absurde était cependant fondée.

    J’en suis aussi désolé que vous ! Bien cordialement.



  • Adamantane-Freemen69 Adamantane-Freemen69 12 septembre 2006 17:22

    Je ne vois pas où est la contribution de ce papier au débat pré-électoral. Sinon qu’il s’agit une fois de plus pour un sympathisant d’une orientation politique de dézinguer un candidat potentiel de la même orientation. Simulacre d’objectivité ou complexe du marigot ?



  • Adamantane-Freemen69 Adamantane-Freemen69 12 septembre 2006 16:58

    Voter ? Y aller ou pas ? Pour qui ou contre qui ? La question « avant la question » n’est peut-être pas :

    - Vais-je être influencé dans mon vote ? (car toute décision contient une part plus ou moins grande d’influence, sinon à quoi bon les débats et les campagnes...)
    - Mais pourquoi (pas : pour quoi !) faut-il que je vote ?

    En effet, ne pas voter est tout de même un manière assez curieuse d’assumer sa responsabilité civique et un droit qui a coûté la vie à pas mal d’idéalistes. Personnellement, j’attends que le « renouveau des pratiques politiques » revenu dans les conversations depuis ce regrettable 21 avril, et qui est à nouveau d’actualité, contienne la prise en compte du vote blanc, séparé des nuls. Il conviendrait de définir avec clarté, non dans les textes, que pratiquement personne ne lit et qui sont appliqués un peu n’importe comment dans les bureaux de vote (d’ailleurs, pourquoi approfondir, blancs et nuls sont regroupés !) le vote blanc (éducation civique). Les abstentionnistes inciviques perdraient ainsi la possibilité d’apporter une justification politologique controuvée à un comportement qui relève au pire de la lâcheté, au mieux de la paresse coupable. Si le Président actuel avait été élu avec 35 % des suffrages exprimés, et non 80 %, et avait dû prendre en compte l’existence de 45 % de votes blancs, nul doute que les orientations et pratiques de son gouvernement eussent été différentes. D’autant plus que rien n’empêcherait alors que la loi électorale stipule que si les votes blancs arrivent en tête, c’est l’élection qui est « nulle » et il faut recommencer... Un acte électoral positif : le vote noir

    Comment aller plus loin dans cette voie, qui voudrait conduire à inciter les citoyens à cesser d’arguer du fait -indéniable- que beaucoup d’élections sont légalement truquées pour s’abstenir ? Le truquage en question vient de ce que ce sont les partis politiques qui, au prix d’obscures combines, désignent le candidat censé porter leur programme, et qu’il est impossible de récuser le candidat tout en soutenant, fut-ce partiellemen, le programme. L’aspect le plus étrange de cette situation est qu’en droit l’élu est libre, ultérieurement, de ne pas appliquer le programme, de se désolidariser du parti qui l’a sponsorisé, d’adhérer à un parti voisin ou adverse. Certains ne s’en sont pas privé, d’ailleurs. Les promesses n’engagent que ceux qui les croient.

    Pour réduire les effets nocifs de ce détournement du suffrage universel, je propose le vote noir.

    Je demande pardon aux anars, peu électoralistes par conviction intime, de détourner une couleur qui leur est chère pour, paradoxalement, clarifier le processus électoral. Voter noir, ce serait mettre dans la même enveloppe
    - le bulletin du candidat du parti dont le programme mériterait mise en oeuvre
    - et un bulletin noir.

    Signification claire : vos perspectives me vont mais son porte-drapeau ne me revient pas...erreur de casting !

    Le votes noirs seraient bien entendu considérés comme exprimés, au même titre que les blancs doivent l’être, et mais viendraient en déduction des suffrages accordés aux partis (donc selon les cas à la liste ou au candidat) qu’ils auraient marqué. Les bulletins noirs, étant fournis par la République et tous identiques, ne pourraient en aucun cas être considérés comme signe de reconnaissance et provoquer l’annulation du suffrage exprimé, à la différence des ratures, gribouillis et autres graffitis qui, selon mon expérience du dépouillement ornent parfois les bulletins mis sous enveloppe et vont pudiquement grossir le paquet des nuls.

    Les partis auraient donc ainsi une information valide sur la pertinence de leurs choix de femmes et d’hommes, et pourraient être incités :

    - à organiser des primaires pour éviter trop de perte de suffrages,
    - à éliminer de leur dispositif représentatif les incompétents notoires, les girouettes professionnelles, les combinards, les malhonnêtes, et autres profiteurs de la protection accordée aux élus,
    - donc à faire ce qu’ils disent faire, car il serait politiquement incorrect de ne pas le dire, mais semblerait politiquement acceptable de ne pas le faire, à savoir écouter -un peu et de temps en temps-les électeurs.



  • Adamantane-Freemen69 Adamantane-Freemen69 12 septembre 2006 14:52

    Cher lecteur, il arrive en effet que le vocabulaire utilisé par certains commentateurs me semble un peu excessif. Mais je mets ça sur le compte :
    - d’une part, de leur envie d’exprimer leur pensée avec vigueur, même si je n’userais personnellement pas de cet artifice langagier un peu lassant et peu élégant,
    - d’autre part, de l’exemple donné par un nombre non négligeable de citoyens ordinaires, qui ont tendance à hyperboliser leurs propos y compris dans les menues circonstances de la vie (ah qu’en termes galants ces choses là sont dites...).

    Je cherche à éviter la confusion entre les processus démocratiques et les personnes qui les incarnent médiatiquement. Quelques unes de ces personnes n’hésitent pas à employer, dans leurs crêpages de chignon, les vocables dont vous relevez l’usage abusif. Nous sommes donc d’acord sur le rappel à l’ordre linguistique que vous émettez.

    Les « extrêmes », eux-mêmes et même eux, parlent la même langue que celle des commentateurs dont vous relevez les excès. Mais parler la même langue est-il passer un accord ? Si trop de politiciens professionnels, voire amateurs, sont indéniablement suspects de pourrissement, qui les a contaminés ? Et surtout « comment faire pour les décontaminer » si tant est que le processus soit réversible ?

    Je pense, comme vous l’envisagez, qu’il y a trop de lois : qui peut se targuer d’avoir tout lu tout compris ? Même parmi ceux qui ont à la faire appliquer. Je le constate au quotidien dans mon quartier, pour le seul et banal champ d’application qu’est le cadre de vie.

    Le fait que certains commentaires soient un peu « courts », udifficiles à saisir, visiblement partisans (et alors ?), ne suffit pas à mon avis pour en conclure que ce forum risque de manquer de crédibilité. En revanche, il convient de se préoccuper de ladite crédibilité, et je vous remercie de l’avoir fait. Rédacteur (très) occasionnel à AgoraVox, je suis en effet sensible à ce qui peut améliorer l’intérêt de ce média collaboratif.

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