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alcodu

Je suis libéral avec une sensibilité et des préoccupations de gauche.
J’ai été élu pendant un an au Conseil National du parti Alternative Libérale sur la liste : gauche libérale.
J’ai été candidat aux élections européennes en Ile de France.
J’anime depuis 2003 la Gauche Libérale, association qui vise à faire renaître une véritable pensée de gauche, c’est à dire basée sur les Droits de l’Homme (libéraux) de 1789.

Tableau de bord

  • Premier article le 09/08/2008
  • Modérateur depuis le 22/12/2008
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Derniers commentaires



  • alcodu 5 mai 2010 11:46

    Lorsque l’Etat dépense 56% du PIB nous sommes en effet plus en régime collectiviste qu’en régime libéral. Sans compter l’immense secteur du capitalisme politique qui n’est pas une économie libérale. Le vrai secteur libéral concurrentiel doit représenter 30% de l’économie en France.
    L’économie socialiste coule et favorise les apparatchiks : c’est l’évolution normale de toute économie collectiviste.

    Gauche libérale



  • alcodu 5 mai 2010 11:39

    Oui foufouille on emprunte bien à des banques « privées » mais elles ne peuvent accorder du crédit qu’ à des conditions précises et pour un volume fixé par l’Etat. L’émission du crédit est strictement contrôlée par les banques centrales avec une armée de fonctionnaires et des milliers de pages de textes règlementaires.

    Il faut discuter avec ceux qui travaillent dans ce secteur pour découvrir que les banques ne sont absolument pas libres, les banques américaines comme les autres.

    Le crédit, donc la monnaie est bien un monopole d’Etat.



  • alcodu 5 mai 2010 10:34

    S’il y a bien un monopole d’Etat c’est celui de la monnaie (donc du crédit). Les banques sont déjà hyper encadrées par des dizaines de milliers de pages réglementaires.
    Les banques sont de droit et de fait aux ordres du pouvoir économico-politique.

    La crise ne vient ni des banques, ni de la « finance » elle vient bien des monstrueux Etats-nations qui les dirigent (mal).

     



  • alcodu 5 mai 2010 10:21

    Une société est une personne morale composée de : ses salariés, ses actionnaires, ses dirigeants mandataires.

    Lorsque la société achète le travail, donc les inventions d’un salarié-inventeur elle contribue à sa propre pérennité. Elle prend les risques : le salarié-inventeur peut ne rien trouver, il sera quand même payé. Elle fourni l’outil de travail c’est à dire le capital. Elle réparti les gains entre les salariés et les actionnaires 
    Où est le mal ? Qu’est-ce que c’est encore que cette vision bébête et marxisante de la société commerciale ? On revient toujours à la vieille théorie de la survaleur, (l’exploitation inhérente au salariat) qui a pourtant été complètement démontée par les philosophes libéraux.

    Le prix d’une marchandise ou d’un service dépend de l’acheteur, il n’a pas de valeur en soi. La valeur-travail ou, dans le cas présent la valeur-invention n’existe pas. C’est la grande erreur de Marx. Une invention n’a de valeur que si elle rend des services subjectifs à ceux qui sont prêts à la payer. C’est un principe hautement démocratique et progressiste.

    Il est facile de réclamer la rémunération d’une invention après que celle-ci a trouvé un industriel pour la produire et un marché c’est à dire des acheteurs volontaires à qui elle rend service.
    Vous évoquez la paternité de l’invention. Fort bien, mais pourquoi cette paternité ne serait-elle pas aussi attachée aux dirigeants présents et passé de l’entreprise, à tous ses salariés et à tous les actionnaires qui ont mis à disposition l’outil de travail ?



  • alcodu 4 mai 2010 20:04

    Je ne connais pas suffisamment la façon dont sont organisés les syndicats grecs pour répondre sur ce point.

    En France, il est clair que l’oligopole syndical organisé par l’Etat porte une lourde responsabilité dans la situation du pays. J’y inclus bien sûr le grotesque MEDEF, antenne officielle (et monopolistique celle là) du capitalisme de connivence.

    Tout ceci pour dire que de vrais syndicats, libres et indépendants du pouvoir sont hautement souhaitables et respectables mais que les « machins » actuels financés par l’Etat en sont de tristes ersatz.

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