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Alpaco

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  • Alpaco 13 février 2014 15:26

    Alinea,

    ne confondrais-tu pas le mot réactionnaire avec la liberté de chacun de penser par soi même ?
    Aussi appelé le libre arbitre ?



  • Alpaco 13 février 2014 15:09

    Salut les amis,

    « Le revenu du salarié est une avance de l’entreprise, sur le risque que le produit ou le service du salarié va se vendre. »
    C’est la théorie, cher spartacus. Théorie à la con.

    La réalité est que si je suis boulanger, et que tellement que je fait du pain qui est bon ET, SI ET SEULEMENT SI, les gens ont assez de pognon pour acheter mon super pain, je vais te salarier, ou un autre meilleur que toi si j’en trouve un. Dans le but évident de vendre plus de pains.

    Des « chefs d’entreprises » qui embauchent pour produire, qui prendrait le risque absurde de produit plus que ce que le marché achète, il n’y en a pas. Qu’ils se présentent et nous fassent partager leur expérience.

    Spartacus, ne sais-tu pas qu’Adam Smith et d’autres avant lui ont compris et expliqué les lois du marché : tout ce que tu vends rapporte. Ce n’est pas en produisant que fait de la plus value, c’est en vendant.

    Donc, Misère de Malheur, il faut répartir le pognon, la plus value avec ceux qui vont acheter.



  • Alpaco 13 février 2014 14:49

    Bon les mecs,

    les « flics » ne passent pas leurs journées à se battre avec des monstres de 100 kilo. Sauf dans vos rêves.

    Pour une charge de CRS, par exemple contre des agriculteurs bretons, on choisira des couillus plutôt costauds et entrainés, pas forcément très malins, on est d’accord.

    Et pour tout le reste du travail de « flics », pas besoin de poils au menton.

    Nous ne sommes plus en 1970 ...



  • Alpaco 13 février 2014 05:01

    Salut Juliette,

    C’est vrai qu’on ne l’a pas vu venir, le réseau social.

    Le réseau social dans le sens de celui d’internet, qui est à la foi virtuel et réel.
    Par opposition au réseau social réel, toi, ta famille, tes voisins, ton quartier, ta ville, ta région, ton pays , etc.
    C’est comme avec le commerce et les histoires de pognon : il y a un vendeur qui trouve un acheteur.
    Depuis Adam Smith et Karl Marx, c’est presque parfaitement compris.

    Mise en situation :
    Femme seule, homme qui cherche de l’argent. La femme cherche un plan cul, c’est à dire bisous, caresses et on fini par niquer. C’est pas glorieux, justement « bip » d’alerte.
    Normalement c’est l’inverse, L’homme, vous et moi les autres hommes, mâles que nous sommes cherchons et trouvons une « prostituée ». Ca se règle à coup de 50 euros, selon prestation.

    Donc Juliette, « Les experts estiment que le véritable montant des arnaques » estiment quoi des sentiments des femmes seules ?
    Nous, les mecs pas glorieux, on tire une pute pour cinquante euros. Tous, aucune statistique n’existe sur le sujet, préférerions avoir une « relation » avec notre voisine qui, car elle est seule, balance du pognon sur internet à son ami imaginaire, qui doit aller à l’hôpital ou je ne sais quoi, qui nécessite un mandat de 200 euros.

    Sachant qu’il y a autant de femmes que d’hommes qui naissent, la logique de la nature donne un homme pour une femme, à quelques dixièmes près.

    Donc les filles, on est un pour un.



  • Alpaco 13 février 2014 04:23

    Mais alors,

    Pourquoi le sujet de la votation n’était pas l’arrêt des « compromissions bancaires », pour en parler avec douceur.
    La démocratie ce n’est pas la majorité qui profite de la minorité, les cons partis à la pêche plutôt qu’aller voter. Encore un gros mensonge que nous croyons tous.

    Disons le : le gouvernement suisse est compromis, à l’images des gouvernements européens.
    Quel projet de loi, réforme, machin-truc, européen ou national, propose le meilleur pour chacun, un toit pour chacun, à manger pour tous, une éducation pour tous ?
    J’ose à peine ajouter : un travail pour tous.

    Heidi, j’en suis tombé amoureux à l’age ou moi aussi j’adorais courir pieds nus dans les champs de fleurs et de papillons, l’age où l’on croque les fromage de chèvre à pleine dent, sans se soucier de demain.

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