Savez-vous ce que sont les pressions subies par certaines personnes réclamant la liberté thérapeutique, notamment en matière de vaccination ? Savez-vous ce qu’ont eu à subir certains médecins qui avaient osé ne pas répéter mot pour mot la doctrine officielle ?
Je ne parle pas d’illuminés new age, de membres de quelque secte ou de fanatiques se croyant victimes d’un quelconque complot planétaire.
Je parle de personnes sensées, raisonnables, simplement soucieuses comme vous et moi de leur santé et de celle de leurs proches, connaissant très bien la question car elles se sont donné les moyens de rechercher une information indépendante ; ce qui n’est hélas pas le cas de tous, ni parmi les opposants systématiques aux vaccins, ni parmi les inconditionnels du dogme vaccinal...
Le problème très particulier qui se pose à tout Français est celui de l’obligation vaccinale.
Dans la mesure où le consensus est loin d’exister entre les spécialistes (biologistes, médecins, épidémiologistes, etc) que ce soit sur l’efficacité ou sur l’innocuité des vaccins - vous ne pourrez le nier -, que les politiques vaccinales diffèrent énormément d’un pays à l’autre sans pour autant provoquer de catastrophes sanitaires ou à l’inverse améliorer notablement la santé publique - mais si, mais si ) -, il semblerait logique et raisonnable de laisser à chacun le libre choix, et surtout la liberté de s’informer.
Or nous sommes en France dans une situation pratiquement totalitaire, malgré la suspension récente de l’obligation vaccinale par le BCG.
Je ne crois pas qu’il existe un autre pays démocratique où l’on soit passible de six mois de prison et d’amendes pharamineuses, pour avoir refusé de consommer ou de faire consommer à ses enfants un produit industriel, consommation rendue obligatoire par textes de loi !
Je comprends que les labos pratiquent le matraquage publicitaire, le bourrage de crâne des médecins lors de leurs études et ultérieurement, l’interprétaion parfois limite tendancieuse de certaines statistiques, c’est de bonne guerre commerciale , mais je ne comprends pas trop nos responsables (?) politiques...
La seule (ou presque) explication qui me vient à l’esprit est la peur... ou comme on m’a répondu un jour sur un forum, la tradition !
Ce qu’il est bon de retenir, en dehors de toute considération scientifique, c’est déjà l’arnaque qui consiste à présenter ce vaccin comme un vaccin anti-cancer.
Il y a une vingtaine d’années, on nous a déjà présenté le vaccin anti-hépatite B en ces termes, alors que la proportion de cancers hépatiques authentiquement liés au virus est infime.
Dans le cas du papillomavirus (dont seules quelques souches sont ciblées par le Gardasil®... avec quelle efficacité ?), je pense que l’escroquerie est du même ordre.