@velosolex De Gaulle n’a pas viré l’otan hors de notre pays, et encore moins remis en question la place de la france à l’intérieur, il l’a retiré simplement du comamndement militaire. Pas la même chose.
Vous n’avez peut-être jamais fait votre service militaire.
Si vous l’aviez-fait, vous l’auriez peut-être fait, comme moi, dans une ancienne base de soldats américains, évacuée suite à la décision de De Gaulle.
Comme quoi faire son sevice militaire évite, entre autres bénéfices, de raconter n’importe quoi.
En fait, le wokisme est assez superficiel, ça n’impacte pas les
populations dans leur vie concrète de tous les jours.
Sans être un expert du wokisme, on peut quand-même se rendre
compte d’une certaine cohérence du wokisme avec le bloc « immigrationisme-antiracisme-Lgbtquisme-gauchisme
(à la mode NYT parti Démocrate US … ».
Ce bloc idéologique qui a été adopté par nos élites
médiatiques et approuvé avec mollesse par nos politiques LREM (ils ont
quand-même parfois un peu honte de n’être que des copieurs, des suiveurs des modes US).
Dire que cette
idéologie dominante n’a pas d’influence sur la vie concrète des Français
me paraît inexact. Je dirais même exactement le contraire : cette
idéologie règle la vie des Français, à moyen et long terme.
Vous déformez la
réalité : les Européens ont au contraire serré le frein d’une possible
entrée de la Turquie dans l’UE
Après avoir occupé Chypre,
être en état de conflit territorial/maritime permanent avec la Grèce, la
Turquie est toujours, je crois, candidate officielle à l’UE (l’UE aurait-elle mis quelques bémols à cette
candidature ? Faudra demander l’avis des USA).
Il faudrait que la Turquie
déclare une guerre ouverte à un pays de l’UE pour que les Européens se rendent
compte qu’ils ont serré un frein à main en chocolat durant toutes ces
décennies.
A défaut de guerre ouverte,
Erdogan se contente de venir en France haranguer ses troupes infiltrées et leur
expliquer comment « niquer la France ».
Mais la rengaine
politico-médiatique est un prétendu ’’devoir de solidarité’’ sur l’autel duquel
on doit tout sacrifier.
Notre Pravda diffuse jour et
nuit cet énorme mensonge. Ce « devoir de solidarité », c’est avec les
intérêts US bien entendu, avant les nôtres jugés négligeables par notre
suzerain. Le schéma suzerain/vassal fonctionne toujours, impeccablement.
les pays de l’Est
qu’il faut stipendier pour les arrimer dans leur bloc
Les occidentalistes
fergusogronichous du site pensent que la ruée des pays de l’Est vers l’Ouest,
vers l’UE et l’OTAN, résulte de la fuite d’une dictature vers le rêve démocratique. Sympa
pour notre ego mais conte de fée pour
enfants : ce sont les dollars (l’euro) qui exercent une force magnétique
irrésistible, l’argent étant aussi la cause des grands mouvements migratoires
que nous connaissons et qui nous inquiètent, sans compter le fait tragique que
l’Afrique y perd tous ses médecins, techniciens ...
J’ajoute qu’en
Suisse, il y a une barrière sélective « couperet » qui intervient assez jeune, à l’âge à peu
près de l’entrée en 6ème, et qui inquiète beaucoup les parents. C’est
décisif pour la suite. Ceux qui ne passent pas la barre ne feront pas d’études
supérieures.
Cela me
rappelle mon enfance. En fin de 7ème, mon instit. a fait le tri (1957) :
entre ceux qui iront au collège/lycée en 6ème et ceux orientés vers
le certificat d’études. Je suis tombé du mauvais côté : orienté vers le certif.
Heureusement,
j’avais une mère d’origine étrangère, de tempérament assez agressif, qui
parlait un Français approximatif avec un accent à couper au couteau et qui a « entrepris »
mon instit pourtant taillé en rugbyman (il s’appelait M.Tardieu pour ceux qui l’auraient connu à Paris, toujours en blouse marron).
Au final, il
m’a mis sur la liste supplémentaire et je suis entré en 6ème !
Pour finir prix d’excellence en math’elem, bac avec mention en 64 et finalement ingénieur. C’est
pas pour me vanter (à mon âge avancé …), c’est pour dire que des sélections « couperet »,
s’il en faut, il faut immédiatement imaginer des passerelles de rattrapage car
l’enfant traverse des phases positives/négatives et il faut savoir le gérer
positivement.