Bastienou Carcajou

J’appelle immigré ceux ou celles qui refusent les us et coutumes de ce pays mais acceptent les bienfaits qu’il leur octroie.

Vous pouvez me traiter de raciste, je m’en fous royalement. Je pense réellement que tous ceux qui ne veulent pas de cette façon de vivre peuvent aller dans un pays où ils trouveront celle qu’il souhaite, au bled par exemple. Les autres sont les bienvenus.

J’ai parcouru l’Afrique francophone pendant des années au contact de la population et j’y ai ressenti moins de rejet que dans mon propre pays. Pigez-vous ?

Cordialement

Ami immigré - je m’adresse à toi directement sans passer par ceux qui croit savoir qui tu es - , toi qui a choisi ma maison parce que tu la trouves plus confortable que la tienne, toi qui a choisi ma ville parce que tu y trouves ce qui te manque là-bas, chez toi, respecte ma maison et ma ville.

Si tu ne le fais pas, si tu veux conserver ces habitudes qui n’ont pas permis à ton peuple de te rendre heureux, si tu refuses d’adopter cette façon de vivre qui t’a pourtant attiré, retourne chez toi vivre comme tu l’entends, je n’irai pas t’ennuyer avec mes habitudes que tu n’apprécies pas finalement.

Mes ancêtres sont allés chez toi et y ont séjourné moins d’un siècle en te laissant à l’abandon, parait-il. Pourtant, ton père n’a pas repris les us et coutumes de son père et de son grand-père. Il a donc suffit de 80 ans environ pour que cette culture que tu revendiques soit remplacer par une ressemblant à la mienne.

Mais aujourd’hui, tu m’en veux de ce que mes anciens ont fait. Tu m’accuses de tous les maux, mais tu viens me demander l’hospitalité en critiquant ma décoration, mon alimentation, mes tenues vestimentaires, mon dieu ou mon absence de Dieu.

Alors, mon ami, je te le dis sans haine mais fermement, tu dépasses les bornes de la civilité. Si tu ne comprends pas mon courroux, je serai obligé de prendre des mesures drastiques.

Réfléchis-y, je t’en prie avant qu’il ne soit trop tard.

Cordialement

Le respect se mérite. Sarko se permet d’insulter tout le monde parce que, depuis de nombreuses d’années, tous lui ont léché le cul.

Tous ces « grands personnages » qui chouinent, qui écrivent des bouquins vengeurs, qui crachent dans la soupe qu’ils ont savouré pendant un temps plus ou moins long sont des salopards sans honneur et sans conviction.

Bertrand n’avait pas vu Sarkozy sous son vrai jour. Il manque un tantinet de psychologie, le gazier.

Trierweiler a harponné Hollande , vécu plusieurs années avec lui, écouté ses blagues et ses jugements sur les sans-dents sans que sa conscience de gôôôche n’en soit troublée. Larguée à son tour, elle répand son venin dans un bouquin.

Morelle qui se faisait cirer les pompes conseillait Hollande. Il n’a pas pesé le bonhomme. Une fois jeté, il s’éveille à la vérité.

Tous des faux-derches.

Sarkozy ne manque pas de respect à Bertrand, il pose un diagnostic. Bertrand est un assureur de la pire espèce, ceux qui flattent pour vendre la police puis rechignent à casquer en cas de sinistre.

Je ne suis pas Sarkosiste, je n’ai jamais voté pour ce guignol. Mais je trouve indécent ces lèche-cul qui aujourd’hui retournent leur veste. Si Sarkozy est réélu ( ce qu’à Dieu ne plaise) et qu’il a besoin de Bertrand, il le sonnera et l’autre arrivera ventre à terre et langue pendante.

Cordialement

@Fifi

Mais nous tirerons un bras d’honneur spectaculaire à la mondialisation heureuse et aux traités européens.

Impossible, diront d’aucuns. À ceux-là je répondrai : « Impossible, disaient-ils tous. Un homme est venu qui ne le savait pas et qui l’a fait ».

Soit nos 65 millions d’habitants comptent sur le marché et nous pouvons l’infléchir par une volonté inflexible, soit nous ne pesons pas grand chose et personne ne s’occupera de ce que nous faisons.

Qui ose, vaincra. Sursum corda.

Cordialement

Awa, je ne lis pas les artics au Momo - c’est pas Flaubert, le mec, tu connais, ses élèves y devaient pass’marrer tous les jours, trop boulouck, lui - mais les commentaires valent leur pesant de manioc.

Tu connais que je déconne pas, à peine 2 ou 3 qui causent de l’artic, les z’autres y se payent sa fiole. Mais lui, tranquil comme une mer’ loche su’ sa papate, fin peinard, il est là fin content.

Awa, tu connais, je souhaite bon’ bourre à tous les vosu zaut’. Bonsoir tan mande. Tata les mecs.