bipdan

Je propose que tout les cumulard « d’état » lachent une de leur fonction (et ses traitements) a un chomeur qui ne trouve pas de boulot...

Merci Mme Lagarde pour vos braves conseils. Ah vous avez oublié le covoiturage, la récupération de couverts a la caétéria, et la double utilisation des sachets de thé...

Sinon, combien de temps passez sur les comparateurs pour 240€ gagnés .

Moi pour ma part quand l’assureur s’aligne de 5€, je prend sa nelle offre et je la montre en me marrant a mon futur assureur qui s’aligne aussi une seconde fois. J’en profite pour lui dire, vous voyez, je suis reglo alors ne faite pas comme votre conccurent que je quitte pour vous et rappelez vous en quand je vous demanderai de revoir vos tarifs. Et enfin j’explique avec plaisir a l’assureur que je quitte, que sa meilleure offre, il fallait la faire quand je lui ai dit que je la voulais et pas seulement quand on me propose mieux ailleurs. (et c’est bon ça)

Certes sur ce coup la les syndicats ne sont vraiment pas futé d’avoir porté l’affaire devant les médias.
Pour ce que j’en pense, voici deux annecdotes concernant les CRS :
-1) J’ai pu intervenir a plusieurs reprises pour de la maintenance info dans une caserne vers Dijon. Ayant déjeuner au messe avec eux, je peux dire que le quart de rouge n’est qu’un minimum syndical (et je préfère peser mes mots que la ration de boisson). Clairement, certain n’abusent pas, mais une majorité si.

2) J’ai une connaissance, originaire des pays de l’est (genre qui fait très commando, mais qui nous surprend en parlant un français et en maitrisant notre culture bien mieux qu’un président) et qui est gendarme mobile. Strict avec son corps, et l’ayant toujours été, on lui a fait comprendre que ne pas aller boire un coup avec les collègues c’était très mal vu.

Conclusion : Oui il semble qu’il y ait un problème d’alcool bien ancré dans la police et ses traditions, et comme dans d’autres professions ou cela a déja été fait, il faudra commencer par ne pas ignorer ce problème et ensuite le traiter comme il se doit.

Quant aux scandale d’interdire au policier de boire. Moi franchement, je n’ai rien contre qu’il boivent un verre le midi, mais comme pour d’autre je leur demanderai de faire ça lorsque c’est possible. Franchement je n’ai rien contre le fait que le chauffeur de bus de ma fille boivent un coup le midi, mais seulement le samedi ou il ne conduit pas l’AM et le dimanche.

Pour les policiers / CRS / gendarmes, c’est pareil. Tu peux boire un coup (et pas deux) et seulement les jours ou tu reste au bureau, sans arme quel que soit la catégorie et que de ta tache du jour ne puisse dépendre l’intégrité physique ou morale de personne, la tu peux. Les autres jours, ce sera de l’eau comme pour toute autre profession dont l’engagement à une conséquence sur autrui non négligeable.

Je tiens d’ailleurs a rappelé a ces braves syndicat, que lorsque par chez moi, on a fermer le barre dans la caserne des pompiers les quelques plaintifs se sont vite vu remonter les bretelles.

Moi je flippe de voir ma belle région détruite. Ca n’est pas encore médiatisé, mais il y aussi des autorisations vers pontarlier. La franche comté est une des régions les plus vertes de france avec un paysage de moyenne montagne fabuleux. J’y suis trop attaché pour laisser faire ça.
S’il faut mettre du sucre, dans un réservoir, comme ça a été suggéré, je n’hésiterai pas. Et si il faut ensuite le revendiquer, je n’hésiterai pas non plus.

Mais marcDS a également raison, il faut d’un coté s’opposer à tout ça, et de l’autre se donner les vrais moyens de s’en affranchir définitivement. Perso, je n’ai pas accès au transport en commun, mais je covoiture autant que possible. Ensuite les solutions existent pour changer nos moteurs ou au moins améliorer significativement leur rendement, mais les lobbies font encore barrage à ces solutions alternatives.

Bref, le gaz de schiste et la destruction de notre planète, on ne la veut ni pour nous, ni pour les autres !

Pas besoin de mettre autant. En france on a les policiers casseurs qui font le boulot pour le salaire de base.