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christophe nicolas

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  • christophe nicolas christophe nicolas 26 mai 2012 13:53

    Bonjour Gollum, (tu devrais mettre ton vrai nom parce que c’est un peu lugubre)

    Oui le « tout » ne se laisse pas décrire en équations, mais il y a toujours des hypothèses comme point de départ des sciences, si les hypothèses sont justes, on progresse, si les hypothèses sont fausses il y a des difficultés qui apparaissent.

    C’est vrai, « les hypothèses » c’est plutôt le domaine des traditions mais elles parlent d’une façon symbolique et chez les esprits simples, cela peut induire la raison en erreur, même si le fond du coeur est juste.

    Prenons l’exemple de la génèse, c’est l’homme qui prend conscience de sa liberté, de son libre arbitre. L’apparition de la conscience, la co-naissance de lui même. Certains y voit une création ex nihilo. D’autres, pourtant de bons scientifiques, on fait le Big-bang.

    La raison ne remplace pas le coeur mais elle peut éclairer les choses pour savoir qui est dans le juste. Prend l’exemple de la mécanique quantique, certains s’en sont servis pour justifier toutes les philosophies probabilistes donc septiques. L’est-elle fondamentalement, intrinsèquement ? Parce que c’était cela le problème. Bien sur que non. C’est même par elle que tout va changer.

    La marche au hasard des objets élémentaires (photons entre deux atomes) de la physique classique, certains s’en sont servis pour justifier les philosophies matérialistes (et idéalistes c’est presque pareil). Est-ce exact dans les fondements de la science ? Non, c’est faux.

    La physique classique était déterministe mais matérialiste. La physique quantique était indéterministe donc septique. La relativité était d’essence classique mais incompréhensible. Beau merd...

    D’un autre coté, les religions abondent d’images naives (pas toutes) ou de dogmes (pas toutes) qui, sans une approche éclairée ou un travail philosophique assez difficile, peuvent obscurcir l’esprit. Les reliques des anciens temps... on peut comprendre, mais cela ne doit plus nous induire en erreur même si le mystère du « tout » demeure.

    Je ne te parle pas du reste (philosophie, éthique, droit, politique, économie, sociologie, psychologie, ...) qui découle soit des sciences soit des religions. Heureusement, il y a toujours des gens éclairés, des gens de bonne volonté ou de caractère qui ne se laissent pas trop impressionner.

    Servons nous de la raison pour éclairer les traditions, utilisons l’hypothèse fondatrice des traditions pour les sciences et voyons ce que cela donne.

    Je peux te dire que cela va changer beaucoup de choses, les sciences vont « exploser » et ce n’est qu’un début... je peux te dire que bientôt, pour la plupart, les certitudes vont être mises à l’épreuve.



  • christophe nicolas christophe nicolas 26 mai 2012 09:12

    Comment expliquer les fentes d’young en mécanique quantique (particules envoyées une par une, donc pas d’interférence comme avec des ondes, l’interférence est dans la particule) et la superposition des états (chat de shrodinger, chat vivant par la première fente, chat mort pa la deuxième fente, résultat : un mélange de chat mort et de chat vivant).

    Voici ce que font les mathématiques de la mécanique quantique. Il y a dans la fonction d’onde une partie complexe (sens mathématique) qui lui permet d’interférer avec elle même et qui signifie que la particule passe par les deux fentes, chose évidemment impossible. Lorsqu’on utilise un moyen pour savoir par qu’elle fente est passée la particule, quelque soit ce moyen, on détruit la figure d’interférence. Si on place un champ de potentiel sans champ de force (c’est possible avec un potentiel vecteur, solénoide infiniment fin), donc sans action, on déplace la figure d’interférence.

    Ces paradoxes aboutissent au principe d’incertitude et à des théories philosophiques probabilistes, un mode de conffusion...

    Alors que se passe t-il exactement ? Pourquoi n’arrivent-on pas à comprendre ? Nous sommes empreint de cette idée fausse que les choses fonctionnent par la « marche au hasard » c’est à dire que le déroulement du temps est continu, que l’état suivant dépend complétement de l’état qui précède, et que l’on peut diviser le temps en parties aussi petits que l’on veut. Ce sont les hypothèses de travail des physiciens mécanistes du XIX siècles dont Laplace est le symbole. Comme l’outil mathématique, à travers ses fonctions continue et dérivables est bati sur ces hypothèses, il entraine de grandes confusions d’interprétation.

    Voici comment cela fonctionne réellement, toute chose est lié instantannément dans l’univers, donc les échanges élémentaires le sont également. Dans le cas de notre expérience, un échange élémentaire est très court (temps que la particule aillent de la source qui doit être cohérente à la cible ce qui réduit l’univers à notre dispositif expérimental). Si par la première fente, la particule va en un point A en produisant un effet et qu’en passant par la deuxième fente elle va au même point A en produisant un effet contraire, alors la probabilité de faire cet événement est détruite.

    Si je vous demande de déplacer un tas de pierre d’un point x à un point y puis de le redéplacer en x pour le remettre à son point d’origine et que je vais boire un café. Quand je reviendrai, je ne crois pas que vous aurez beaucoup transpiré... Si je met un jalon et que je viens contrôler en y, là vous êtes coincés.

    On voit donc bien ce qui se passe pour les échanges élémentaires. Si je mets dans mon dispositif expérimental un moyen pour « coincer la particule » et savoir par qu’elle fente eellen passe, je modifie l’expérience.

    Ce que fait la source au départ, c’est d’éxaminer toutes les possibilitées. C’est « tout l’univers de l’expérience », qui est pris en compte parce que tout est lié instantannément.

    Lorsque les« trajectoires » par chacune des deux fentes donnent des résultats contraires la probabilité (je préfère potentialité) de l’évènement s’effondre, c’est pour cela que les mathématiques de la mécanique quantique ont une partie complexe, c’est pour cela qu’on parle d’états et non de trajectoires. Pour ceux qui connaissent la mécanique, en aditionnant les fonctions d’onde de chaque trajectoire (état) et en les élevant au carré pour obtenir la probabilité, on obtient une valeur différente de la somme des probabilités. A... les mathématiques... , elles vous font prendre des vessies pour des lanternes...

    Si la potentialité d’un évènement s’effondre en un point mais que j’ai toujours le même nombre d’vénement alors en d’autres points cela doit augmenter. En terme scientifique, la somme des potentialités doit être constante, on fait une renormalisation (une sorte de taux si vous préférez). Alors on voit de beaux pics à coté des creux, une figure d’interférence.

    Si je mets un champ de potentiel vecteur dans mon dispositif expérimental, comme tout est lié instantannément, celui est pris en compte. Il influe au point A et fait que les effets ne sont plus totalement contraires : la figure d’interférence se déplace.

    Alors notre chat de schrodinger, est-il mort ou vivant ? Les potentialités ne sont que des possibles que l’on introduit dans les calculs pour quantifier les résultats avant la réalisation de l’une d’elle qui dépend d’un tout qui nous échappe. Un chat n’est jamais mort et vivant, mais lorsqu’il saute sur la rambarde d’un balcon du dixième étage, alors on envisage un court instant qu’il puisse tomber.

    Il n’y a que le chat qui ne doute pas et c’est pour cela qu’il tombe très rarement.

     



  • christophe nicolas christophe nicolas 24 mai 2012 19:05

    Oui, je fais des copier/coller pour éviter d’infliger aux lecteurs les fautes d’orthographe.

    Je ne connaissais pas John Wheeler. Mais on a eu la même idée sauf que je n’ai pas pris la même direction. J’ai transmis un article de trentes pages à une cinquantaine de sommités scientifiques à travers le monde et à certains chefs d’état parce que les conséquences sont assez , comment dire..., disons qu’elles changent notre façon de voir le monde.

    Les conclusions sont plutôt « explosives », voici les plus spectaculaires :

    Pas de big-bang, pas d’énergie noire, pas d’univers à multiples dimensions, pas de matière sombre, réunification conceptuelle de la mécanique quantique et de la relativité, explication conceptuelle des champs et de la mécanique quantique, variables cachées pour la relativité. Bonne nouvelle : voyages stellaires possible sans limite et sans grand différentiel de temps par des méthodes très classiques (la relativité s’inverse pour les corps accélérés de l’intérieur comme un vaisseau). Il faut quand même un réacteur à fusion.

    Suspens : pas de possibilité d’observer des civilisations par des moyens classiques d’observation, surprise en arrivant.

    La théorie prédit clairement l’anomalie pioneer, pas comme un récent article qui ne tient pas la route. Elle prédit clairement l’avance des neutrinos entre 0 et 100 ns avec un pallier à 0 ns. Pour des raisons un petit peu complexes, les deux expériences, Icare et Opera ont certainement raison l’une comme l’autre. Il y a des expériences proposées pour tester la théorie, je suis un adepte de Karl Popper, juste pour l’epistémologie.

    D’un point de vue théologique, je pense que science et religion sortent plutôt réconciliées. La science a été brimée pendant quelques siècles, disons que ce fut l’inverse lors des deux derniers.

    On verra plus tard les conséquences philosophiques, économiques, sociales, politiques et psychologiques. Disons qu’on est à l’aube d’une nouvelle ére.

    Pour l’instant, place à la science, attendons les résultats d’Opéra. La presse internet abonde de « l’erreur d’opera ». Moi, si j’avais un résultat incroyable que je n’arrive pas à expliquer, si l’expérience d’à coté, dirigée par le grand Carlo Rubbia me contredisait et si on allait couper les budgets, vous savez ce que je ferai, je dirai avoir trouvé une erreur incertaine pour qu’on me permette de recommencer l’expérience. Je démissionnerai pour qu’on ne puisse plus mettre en doute ma bonne foi. Un petit mensonge tout à leur honneur.

    Rassurez vous, je n’ai aucun lien avec ces chercheurs, cela n’engage que moi. La chose qui m’interresse c’est de comprendre. La chose qui m’intrigue, c’est pourquoi l’univers nous serait inaccessible ?

    On attend les résultats et on en reparle. J’expliquerai tout en détail. Vous trouvez pas qu’ils avaient l’air content récemment les présidents... Ils parlent même de relance économique...

     



  • christophe nicolas christophe nicolas 20 mai 2012 13:28

    Très bien votre article.

    La mécanique quantique parait bien mystérieuse. Quand on ne comprend pas bien quelque chose, c’est que les hypothèses fondatrices ont des lacunes. En poussant jusqu’au bout une théorie, on en arrive à des élucubrations, c’est le cas lorsqu’on parle de remonter dans le temps ou pour les univers à multiples dimensions. Pourquoi, la mécanique quantique parait-elle si bizarre ? Sa structure mathématique probabiliste ? Non, elle défie un vieux dogme qui veut que l’on peut séparer les choses spatialement et temporellement en autant de parties qu’on le souhaite. A un moment cela ne marche plus. Ce qui se cache derrière ce vieux dogme, c’est le principe de la « marche au hasard » dont Jacques Monod se fit le chantre «  L’ancienne alliance est rompue ; l’homme sait enfin qu’il est seul dans l’immensité indifférente de l’Univers, d’où il a émergé par hasard. Non plus que son destin, son devoir n’est écrit nulle part. A lui de choisir entre le Royaume et les ténèbres. » .

    En mécanique quantique, la fonction d’onde porte la probabilité de tous les états potentiellement possibles parce que les événements ne sont plus séparables. Cela signifie que tout est lié instantanément. En laboratoire, on peut isoler un système pour faire une expérience et bien comprendre pour limiter « tout » à l’expérience. Seulement voilà, lorsqu’on veut mesurer, il y a un moment où cela influe sur la mesure. C’est le domaine de la mécanique quantique, cela signifie qu’on ne peut plus séparer les choses. Je ferai remarquer qu’une dérivée mathématique n’a de sens que si l’on peut tendre vers l’infiniment petit alors il ne faut pas s’étonner de voir apparaitre le principe d’incertitude qui ne fait que traduire la carence mathématique. Simplement cela, inutile de faire dire à ce principe, je ne sais quelles élucubrations.

    Comme les échanges élémentaires ne sont plus séparables, Il faut attendre l’actualisation d’une potentialité pour la décrire, on ne peut pas parler de trajectoire, on doit parler d’état. Est-ce si bizarre ? Il y a plus de 2000 ans, Aristote a produit la théorie de la « puissance et l’acte ». Je vais raconter une histoire pour montrer qu’on le vit tous les jours « Si un larron rentre dans une boulangerie pour voler un croissant et qu’à ce moment un policier rentre pour acheter son pain, vous êtes bien d’accord, le larron ressort bredouille discrètement. Le policier n’a rien perçu mais il a changé le résultat de l’expérience ».

    Et bien Jacques, désolé, tu t’es planté, tout est lié. Il n’y a plus qu’à postuler une fonction d’onde constante de l’univers. Chose étrange, en partant de cela on peut décrire les mécanismes des échanges élémentaires et montrer que la relativité en découle, on peut montrer qu’elle est mal comprise, on peut montrer qu’elle est juste pour un domaine de validité précis, on peut montrer qu’elle cache une partie de la réalité et qu’en fait on peut voyager dans l’espace. Les résultats sur la vitesse des neutrinos permettront de mettre cela en évidence.

    Les neutrinos, qu’elle histoire… Si les échanges élémentaires ne sont pas sécables, il ne faut pas s’étonner que les neutrinos issus des protons stoppés dans la cible de carbone aillent chez Icare construit avec des récepteurs ultra froids et peu mobiles. Il ne faut pas s’étonner que les neutrinos issus des protons qui traversent la source aillent un peu plus vite et finissent chez OPERA.

    La physique statistique au niveau de la source et des récepteurs, c’est cela qui cache l’intrication.

    Je crois que la communauté scientifique va être obligée de s’excuser auprès de certains chercheurs… par exemple en leur donnant le Nobel…



  • christophe nicolas christophe nicolas 20 mai 2012 13:25

    Très bien votre article.

    La mécanique quantique parait bien mystérieuse. Quand on ne comprend pas bien quelque chose, c’est que les hypothèses fondatrices ont des lacunes. En poussant jusqu’au bout une théorie, on en arrive à des élucubrations, c’est le cas lorsqu’on parle de remonter dans le temps ou pour les univers à multiples dimensions. Pourquoi, la mécanique quantique parait-elle si bizarre ? Sa structure mathématique probabiliste ? Non, elle défie un vieux dogme qui veut que l’on peut séparer les choses spatialement et temporellement en autant de parties qu’on le souhaite. A un moment cela ne marche plus. Ce qui se cache derrière ce vieux dogme, c’est le principe de la « marche au hasard » dont Jacques Monod se fit le chantre «  L’ancienne alliance est rompue ; l’homme sait enfin qu’il est seul dans l’immensité indifférente de l’Univers, d’où il a émergé par hasard. Non plus que son destin, son devoir n’est écrit nulle part. A lui de choisir entre le Royaume et les ténèbres. » .

    En mécanique quantique, la fonction d’onde porte la probabilité de tous les états potentiellement possibles parce que les événements ne sont plus séparables. Cela signifie que tout est lié instantanément. En laboratoire, on peut isoler un système pour faire une expérience et bien comprendre pour limiter « tout » à l’expérience. Seulement voilà, lorsqu’on veut mesurer, il y a un moment où cela influe sur la mesure. C’est le domaine de la mécanique quantique, cela signifie qu’on ne peut plus séparer les choses. Je ferai remarquer qu’une dérivée mathématique n’a de sens que si l’on peut tendre vers l’infiniment petit alors il ne faut pas s’étonner de voir apparaitre le principe d’incertitude qui ne fait que traduire la carence mathématique. Simplement cela, inutile de faire dire à ce principe, je ne sais quelles élucubrations.

    Comme les échanges élémentaires ne sont plus séparables, Il faut attendre l’actualisation d’une potentialité pour la décrire, on ne peut pas parler de trajectoire, on doit parler d’état. Est-ce si bizarre ? Il y a plus de 2000 ans, Aristote a produit la théorie de la « puissance et l’acte ».Je vais raconter une histoire pour montrer qu’on le vit tous les jours « Si un larron rentre dans une boulangerie pour voler un croissant et qu’à ce moment un policier rentre pour acheter son pain, vous êtes bien d’accord, le larron ressort bredouille discrètement. Le policier n’a rien perçu mais il a changé le résultat de l’expérience ».

    Et bien Jacques, désolé, tu t’es planté, tout est lié. Il n’y a plus qu’à postuler une fonction d’onde constante de l’univers. Chose étrange, en partant de cela on peut décrire les mécanismes des échanges élémentaires et montrer que la relativité en découle, on peut montrer qu’elle est mal comprise, on peut montrer qu’elle est juste pour un domaine de validité précis, on peut montrer qu’elle cache une partie de la réalité et qu’en fait on peut voyager dans l’espace. Les résultats sur la vitesse des neutrinos permettront de mettre cela en évidence.

    Les neutrinos, qu’elle histoire… Si les échanges élémentaires ne sont pas sécables, il ne faut pas s’étonner que les neutrinos issus des protons stoppés dans la cible de carbone aillent chez Icare construit avec des récepteurs ultra froids et peu mobiles. Il ne faut pas s’étonner que les neutrinos issus des protons qui traversent la source aillent un peu plus vite et finissent chez OPERA.

    La physique statistique au niveau de la source et des récepteurs, c’est cela qui cache l’intrication.

    Je crois que la communauté scientifique va être obligée de s’excuser auprès de certains chercheurs… par exemple en leur donnant le Nobel…

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