Eric, d’abord je n’écris pas « oeuf rance » mais bien « de F’ rance », ainsi que je la nomme depuis 2007, ne me demandez pas pourquoi cette date, mais plutôt pourquoi depuis les rêves de vraie r-évolution sont tués dans l’oeuf... les mentalités puent toujours plus l’individualisme et l’hypocrisie et tout pourri dans les têtes (la mienne est restée claire, voir coupe sur photo) Vous aviez pourtant bon le 14 à 23:25 : D’oeuf rance, vous êtes d’un parfait comique mais aussi blablabla... Manque de cohérence, de constance, d’attention... vous restez accroché à vos idées parce que seuls les imb... ne changent pas d’avis ou pour être au moins « fidèle », quelque part, comme un bon toutou.
Donc :
<<et si on vous mets le nez dans les vrais chiffres, vous serrez vos petits poings humides en hurlant au sans coeur qui ne connait que les chiffres....>> dixit Eric 14 janvier 23:25
<<A oeuf rance. je vous signale : Que tous les chiffres dont il est question ici sont avalises par l’auteur de l’article qui non seulement affirme qu’ils sont officiels, mais également qu’ils sont pertinents vu qu’il en tire des conclusions assez définitives. >> Eric 15 janvier 11:14
Bah non, pas tous, puisque vous, vous me mettez le nez sur les vrais chiffres. Contradiction quand tu nous tiens. Les menteurs se dévoilent toujours par leurs incohérences...
Lâchez vos chiffres
Au lieu de faire le procès perpétuel d’ Olivier qui ne vole ni n’affame personne et de répéter comme un mainate bien dressé les mêmes choses sans valeur réelle, répondez aux choses énumérées dans la liste que vous feignez de n’avoir pas vu (à moins que vous lisiez vraiment 1 mot sur 5, ou pire). Débouchez vos oreilles, ôtez vos oeillères et répondez, svp !
<<Ici on parle de politique, d’argent public, de priorités sociales.>>
Précisément !
Et donc, expliquez nous, svp, en quoi sarko à fait du bien dans ces domaines ?
Ce n’est pas moi qui veux enfermer les « gens du voyage » (250 mille ?) et leur couper les ailes, ni qui piétine les Roms, qui veux euthanasier les vieux et les (chiens des) sdf, priver les « marginaux » de l’affection d’un animal, ni qui permet les internements (HP, prison, garde à vue) à tout-va, ni qui possède les immeubles vides que je fais murer pour faire bosser mon pote bouygues, qui construira les (250 mille ?) « logements sociaux » où pour rapprocher les gens, celui de 7è étage sait bien quand celui du 15è tire la chasse... et pour améliorer l’ordinaire d’un des patrons les mieux payés de France avec 3,4 millions € en 2009, ouvrirai la porte des ministères à Martin et son frère Olivier pour qu’ils entrent, l’un à la communication (hadopi) ou à l’aménagement du territoire (« écologie »/énergie/développement « du’rable »), l’autre au logement (combien déjà ?) ou à l’industrie (dans quels pays payés en cacahuètes ?)
Qui sinon sharko et ses co shark ? Vous ?
Si pas de réponse, disqualifié ! 10 kalifs fiéffés menteurs...
Bon, puisqu’ici on a au moins droit à ça (pour le moment), je pousse encore un coup de g...
Encore un exemple d’ouverture de Nico & c°, déjà que les médias satiriques sont rares ou a double face. Je l’aimais bien moi bakchich info, je l’ai vu à sa naissance et il meurt déjà...
Un dernier pour la route - Extrait
Les chemins de traverse que nous aimons ne nous ont pas toujours ouvert grandes les portes des revues de presse. Les « grands » médias nous ont ignorés, sauf au moment de piller nos informations. Les juges nous ont tant aimés qu’ils viennent de lancer une dernière salve, un dommage de 40 000 euros accordé au député UMP David Douillet, un honnête homme.
[...]
Dans vingt ou trente ans, des thésards plongeront dans les archives et décrieront les dernières traces de cet artisanat délicat que fut le métier de journaliste indépendant.
*
Question :
Sur Agoravox, il faut être pistonné pour publier un article qui ne parle pas de drucker, zemmour, arditi’sson ou loana, bref l’écho des télés ou faire croire qu’un tyran est évincé par la rue et que le suivant est un sauveur, l’écho des médias ; bref tout ce qu’on voit partout tout les jours ou alors il ne faut pas parler de certaines choses, oder was ? Combien de temps vous attendez, vous les rédacteurs pour que votre texte soit lu ? Une heure, au plus une demie journée, pas plusieurs jours... Ca censure ou ça boycotte... (?) Géométrie variable encore.
Il y a soit des bons points, soit on vous met au coin ? 9a avait l’air pas mal ici au premier abord, j’aurais du attendre plus avant d’entrer peut-être...
Hadopi ce mardi 18 ce sera fait ! Ils attendent le 19, les frileux qui filtrent et flipent quand on propose de parler de la nudité des belles actions ; une belle âme doit être ignorée, évincée, muselée ou pire, pour qu’elle n’ensemence plus. Encore la terre brîlée ? Pourtant rare le bonhomme en question ! Ca sera quoi l’excuse bidon, article non validé par la « modération » ? Y a t il aussi un chef et des ministres ? Combien de dizaines de « modérateurs » ici ?
Décidément la majorité ne change pas de camp de concentration !
Superficiel et léger... Simulacre de volonté de changement.
Le 19 « on » sera muselé par la peur de voir sa connexion coupée, c’est ça ? Plus de dialogue sans analyser chaque mot des fois qu’il tombe sous le coup de la « loi » ? Des ados dos à dos, pis c’est tout. Gardez-le votre pouvoir perverti (pléonasme) pervers.
C’est pas demain que les morts bougeront.
Tout au plus le cimetière changera-t-il de place.
*
Discours de la servitude volontaire
Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres ;
n’en ayons qu’un seul.
Qu’un seul soit le maître, qu’un seul soit le roi.
Voilà ce que déclara Ulysse en public,
selon Homère.
S’il eût dit seulement : << Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres >>, c’était suffisant. Mais au lieu d’en déduire que la domination de plusieurs ne peut être bonne, puisque la puissance d’un seul, dès qu’il prend ce titre de maître, est dure et déraisonnable, il ajoute au contraire : << N’ayons qu’un seul maître... >>
Il faut peut-être excuser Ulysse d’avoir tenu ce langage, qui lui servait alors pour apaiser la révolte de l’armée : je crois qu’il adaptait plutôt son discours aux circonstances qu’à la vérité. Mais à la réflexion, c’est un malheur extrême que d’être assujetti à un maître dont on ne peut jamais être assuré de la bonté, et qui a toujours le pouvoir d’être méchant quand il le voudra. Quant à obéir à plusieurs maîtres, c’est être autant de fois extrêmement malheureux.
Je ne veux pas débattre ici la question tant de fois agitée,
à savoir << si d’autres sortes de républiques sont meilleures
que la monarchie >>. Si j’avais à la débattre, avant
de chercher quel rang la monarchie doit occuper parmi les divers modes
de gouverner la chose publique, je demanderais si l’on doit même
lui en accorder aucun, car il est difficile de croire qu’il y ait rien
de public dans ce gouvernement où tout est à un seul. Mais
réservons pour un autre temps cette question qui mériterait
bien un traité à part, et qui provoquerait toutes les disputes
politiques.
Pour le moment, je voudrais seulement comprendre comment il se peut
que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent
quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent,
qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer,
et qui ne pourrait leur faire aucun mal s’ils n’aimaient mieux tout souffrir
de lui que de le contredire. Chose vraiment étonnante ... et pourtant
si commune qu’il faut plutôt en gémir que s’en ébahir
-, de voir un million d’hommes misérablement asservis, la tête
sous le joug, non qu’ils y soient contraints par une force majeure, mais
parce qu’ils sont fascinés et pour ainsi dire ensorcelés
par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient pas redouter --- puisqu’il est
seul ... ni aimer ... puisqu’il est envers eux tous inhumain et cruel. Telle
est pourtant la faiblesse des hommes : contraints à l’obéissance...
[...]
... comme la cité d’Athènes le fut à la domination des trente tyrans...
Bon, je n’ai pas précisé en en-tête que ma longue tirade juste au dessus est adressée à Eric, j’espère qu’entre, sable et somnifère, il trouvera ses lunettes pour lire ce que j’vais sur le coeur (sans croc de boucher, mon coeur, hein !)