Les radiologues pourraient-ils passer scanner/irm de leurs c... en or ? Ce sont actuellement et si on excepte les labos, ceux qui (merci les médias, le gouverne’ment, la pub’ etc.) se font le plus de fric. Les examens inutiles sont prescrits à tous ceux qui fréquentent le milieu médical, donc la quasi totalité des gens. Ouf, je les fuis comme la peste qu’isl refilent partout ! Dépistage de ceci, de celà...
Des pistes âge ? Dépit stage ? Des pis... de vache à lait.
Merci Olivier de soulever encore les burqas de nos sociétés !
D’expérience, je pense que souvent un passage en ’’milieu hospitalier’’ et quel que soit l’âge, se termine, illico ou avec un délai quand il y a risque d’enquête, par une sortie les pieds devant. Minc sénior à aussi eu droit avec avec le caviar, à son bouillon d’onze heure.
Les scandales actuels (style sang contaminé, vaccins pourris voire ’’implantés’’, etc.) n’ont pas encore altéré les possibilités illimitées qu’apportent les gens chaque jour de leur vie, en offrant en toute confiance leur corps à ’’la science’’ de ce médiator de l’oms&co, leur fric au télécon, et j’en passe...
Tous les ’’hospitalisés’’ ne bénéficient pas de : ’’services de point’’ à 100 000€ durant 15 jours« > parole de Minc - (si de telles déclarations ne sont pas pure provocation, qu’est-ce ?) mais tous sont assurés (sociaux ?) de voir leur santé empirer, leur vie raccourcie.
»...un luxe immense, extraordinaire pour lui donner quelques mois, ou quelques années de vie (…) je trouve aberrant que l’Etat m’ait fait ce cadeau à l’œil (…)« dixit Minc.
A l’oeil, vraiment ? Alors c’est celui du peuple !
A l’oeil ? Mon oeil ! Et le vôtre !
L’oeil de la tête de mort est un trou noir (un trou de (sé)cu).
je pense qu’il va falloir s’interroger sur le fait de savoir comment on va récupérer les dépenses médicales des « très vieux », en mettant à contribution, ou leur patrimoine, quand ils en ont un, ou le patrimoine de leurs ayant droit.
Revoilà la stratégie usurière des banques. Hypothéque, dépossession, vols manifestes...
*
»Les pensées d’Alain Minc qui est l’un conseillé de Sarkozy, sont donc semblables à celles du national-socialiste.«
Oui Eugène !
Tous comme l’expulsion des Roms auraient du démontrer aux derniers aveugles, qu’ hors le statut des juifs, en F’rance, la politique d’Adolf est finalement en place et nos ’’vieux’’ (qui ont travaillé et pris les armes) sont depuis longtemps morts... pour rien.
*
Qui est-ce qui a remarqué que sur le site présidentiel le symbole n’est plus la Marianne ni le coq, mais la francisque de Pétain de l’époque 1940-1944 ? Etat français et non République française !
Merci à Eugène (12 janvier 17:36) pour l’info. (je ne vais pas sur ce genre de site).
*
Prochaine étape de l’euthanasie, enfer’me’ment, etc. les transformer en »soleil vert« , si ce n’est déjà fait. Après tout, on nous confisque jusqu’à nos morts, interdiction comme dans les cliniques vétérinaires, de voir ce que devient le corps soit disant incinéré ; ou ce qu’il font durant les autopsies (ou même les opérations).
Les »improductifs" sont la cible du ’’pouvoir’’.
Isolés que sont devenus nos vieux, décrédibilisés - la proie est aisément achevée. Qui s’en soucie. Dans ma famille quand la vieille arrière grand-tante de 96 ans est entrée à l’hospice pour traverser la saison froide (j’espère qu’elle passera l’hiver), aucun de ses quatre enfants encore en vie, n’a posé la moindre question sur la manière dont étaient soignées ses plaies à la jambe, bien que leur état se soit aggravé dans cet hospice.
Je salue Dupont (joli pont d’ailleurs) pour la lucidité dont il fait preuve dans son exposé des faits. Complètement d’accord avec sa vision.
A quand la déclaration des droits de l’homme imprimée sur p.q ?
@ Dume, si nous dialoguions lors d’une réunion ouverte aux citotens, je ne vous raconterais pas non plus ma vie qui n’est pas le centre d’intérêt, j’ose espérer que les idées sont plus essentielles que le c.v (réel ou inventé-virtuel)...
Que mes propos soient trop fouillés/alambiqués à votre sens expliquerait que vous ayez lu en diagonale à ce qu’il semble. « Simplement, à propos d’APOLITIQUE qui aurait selon vs des connotations »anarchistes de droite« » dixit Dume... Pouvez-vous me dire où j’assimile l’apolitique à l’anarchisme de droite (non sens pour ma conception et de l’apolitique et de l’anarchisme qui ne sauraient avoir étiquette... politique ; droite, gauche, etc).
Je remets donc ce passage :
... L’apolitisme n’est pas une absence d’opinions politiques mais un refus clair et assumé de participer à la citoyenneté, c’est à dire à la vie de la cité. Être apolitique, cela veut dire « sortir du champ politique », par ce fait, on ne peut donc pas prétendre à exercer des pouvoirs ou bénéficier des avantages issus du « politique ».
Ceci étant dit, les liens entre anarchisme et apolitisme sont réels mais très complexes. Il va falloir revenir un peu en arrière et reparler de l’anarchisme.
L’anarchisme a comme première volonté de refuser toute forme de domination. Toute forme de domination c’est à dire : intellectuelle (chaque pensée est unique), individuelle (égalité de tous les êtres entre eux), sociale (aucune administration humaine ne peut se prévaloir de droits sur ses administrés y compris celles judiciaires et religieuses), politique (aucune loi ne peut contraindre la liberté d’un seul être), morale (rien n’est supérieur à l’humain pas même Dieu) et économique (un seul ne peut pas se prévaloir de posséder le bien de centaines d’autres).
Merci
également de bien lire, j’écris D’OEUF RANCE... (Le D étant
un important symbole) état « généralisé » maintenu par
les gouverne-menteurs ; mais comme le montre mon portrait, mon cerveau
va bien, merci.
Vous
parlez comme un « chef d’entreprise », ce que vous êtes probablement -
déjà :
"...
cela dépend des personnes qui sont recrutées, leurs valeurs, leur
probité, leur loyauté et leur faculté à respecter un code de
déontologie établi et signé de leur main." Encore des
signatures, de par le monde on signe tout et tout le temps, mais qui
repecte ces autographes ?!
Tous
les politiciens n’ont pas fait l’ena, certains sont passés par la
filière gestion/commerce. Petit manuel à l’usage de ceux qui se
« spécialisent » ou lisent en diagonale :
Non
pas tout est « politisé » mais bien tout est politique.
(L’homme est un animal politique.)
Vous
avez dit distingo ?
Au
sens étymologique, la politique, renvoie à la polis, c’est-à-dire
la cité. Ce qui veut dire que tout ce qui touche au fondement de la
cité et au collectif dans la cité renvoie à la politique. On sait
que c’est la voie qu’avait suivie Aristote pour parler de la
politique. La politique serait donc un pan-politikon qui englobe tout
type d’activé de l’homme dès lors que celui-ci évolue à
l’intérieur d’une communauté. L’équation politique est donc
formée de l’égalité politique collective, milieu propre à
l’homme favorisant son épanouissement dans sa pensée et dans son
comportement.
C’est
d’elle qu’il reçoit son humanité, son développement, son statut
moral. ’’Mais l’homme qui est dans l’incapacité d’être membre d’une
communauté, ou qui n’en éprouve nullement le besoin, parce qu’il se
suffit à lui-même, ne fait en rien partie de la cité et par
conséquent est ou une brute, ou un dieu’’. Ne pas appartenir à la
’’polis’’, lei d’humanité, c’est être soit infra-humain, soit
supra-humain. L’exposé d’Aristote reprend la conception classique de
la cité au sens grec. La cité n’est pas un Etat (forme barbare pour
les Grecs), elle n’est pas liée à un territoire (comme aujourd’hui
où la citoyenneté se définit d’abord par référence au sol, à la
’’patrie ’’). La cité est une communauté d’hommes, vivant sous
les mêmes mois et adorant les mêmes dieux. L’idéal grec est celui
d’un groupe d’hommes pouvant tous se connaître personnellement.
L’idéal politique est donc celui d’une communauté d’hommes libres
(non asservis par le travail et les nécessités vitales, disposant
de loisirs) et unis par la ’’philia’’. Quand les contemporains
parlent ’’d’animal social’’, ou quand Marx déclare que l’homme est
’’animal politique’’, ce ’est pas au même sens que les Grecs. La
polis n’est pas une communauté économique, au contraire : elle naît
quand on peut s’affranchir de la contrainte économique et disposer
de loisirs. Ainsi les esclaves ne sont-ils pas citoyens, ainsi le
statut des artisans est-il difficile (Aristote dit qu’ils sont en
’’esclavage limité’’).
Concernant
l’apolitisme, une petite définition s’impose. Lecture recommandée :
On
peut lire ici que l’apolitisme n’est pas une absence d’opinions
politiques mais un refus clair et assumé de participer à la
citoyenneté, c’est à dire à la vie de la cité. Être apolitique,
cela veut dire « sortir du champ politique », par ce fait, on
ne peut donc pas prétendre à exercer des pouvoirs ou bénéficier
des avantages issus du « politique ».
Ceci
étant dit, les liens entre anarchisme et apolitisme sont réels mais
très complexes. Il va falloir revenir un peu en arrière et reparler
de l’anarchisme.
L’anarchisme
a comme première volonté de refuser toute forme de domination.
Toute forme de domination c’est à dire : intellectuelle (chaque
pensée est unique), individuelle (égalité de tous les êtres entre
eux), sociale (aucune administration humaine ne peut se prévaloir de
droits sur ses administrés y compris celles judiciaires et
religieuses), politique (aucune loi ne peut contraindre la liberté
d’un seul être), morale (rien n’est supérieur à l’humain pas même
Dieu) et économique (un seul ne peut pas se prévaloir de posséder
le bien de centaines d’autres).
Ceci
a été pensé dans le souci d’une justice sociale efficace et non
pas idéelle. D’ailleurs, on retrouve souvent dans les textes des
penseurs de l’anarchie (Proudhon, Bakounine, Stimer, Kropotkine,
Guérin etc.), une véritable réflexion sur "l’égalité en
droits« et »l’égalité réelle", cette opposition que
beaucoup taxent de « simpliste », est en fait le véritable
manuel de l’anarchisme.
Donc,
nos anarchistes en refusant toute forme de domination, en fait, ils
se retrouvent nez à nez avec les communistes qui, eux, veulent
libérer la classe ouvrière. Certes, les anarchistes sont bien
conscients que les prolétaires sont les plus touchés par la
domination que tout pouvoir impose à ceux qui le subissent, mais,
d’un autre côté, le communisme (et ça Bakounine l’avait
parfaitement compris) risquait très vite de tendre vers une tyrannie
révolutionnaire. Première fracture entre mouvement anarchiste et
parti communiste, car : les anarchistes, comme leur nom l’indique,
refusent catégoriquement que quelqu’un se considère comme leur
chef.
Mais
les anarchistes militants restent très proches des militants
communistes. De plus, les théories communistes ont toujours, encore
aujourd’hui, une influence de premier ordre pour qui veut penser une
révolution, et l’anarchisme consacre beaucoup de temps à sortir des
griffes du Kommintern (en particulier de Staline) le véritable idéal
révolutionnaire communiste. Ce qui va donner naissance à des tas de
groupuscules dont « l’anarcho-communisme » et le "communisme
libertaire". http://fr.wikipedia.org/wiki/Anarcho-com...
A
partir de là, les ficelles sont embrouillées au possible...
Résultat, de nombreuses organisations anarchistes se disent
« apolitiques » car, généralement, elles font passer
l’idéal révolutionnaire au premier plan et considèrent qu’un idéal
politique paralyse les révolutions sociales. Par exemple, ce que
l’on appelle les « syndicats anarchistes » sont assez souvent
(pas toujours) apolitiques.
Second
point l’après Mai 68 et la naissance des mouvements punks. Les
mouvements punks des débuts revendiquaient un apolitisme pur et dur
qu’ils traduisaient par leurs codes vestimentaires, leurs coiffures,
leurs tatouages et leur mode de vie volontairement « crade ».
Cet
apolitisme militant est donc une véritable revendication politique,
au départ. Et cette revendication a trouvé un fort écho auprès
des différentes cellules anarchistes. Et « l’apolitisme »
comme moyen de lutte et d’expression s’est répandu, d’abord
intellectuellement, puis de plus en plus comme une revendication dans
les milieux anarchistes jeunes (dans le sens moyenne d’âge).
Un
apolitisme historique rencontrait donc un apolitisme revisité. Et ce
fut le début d’une belle aventure. Dommage que les boneheads aient
fait volé tout ça en éclat...
(Les
boneheads c’est la faction néo-nazie des skinheads, c’est à dire
lorsque certains hooligans (les supporters de l’équipe de foot de
Liverpool ou Manchester, je sais plus) ont voulu la bagarre tous les
jours et pas seulement les jours de match... Ils ont
(malheureusement) croisé la route d’une branche dissidente des
skinheads, un peu trop sensible à l’extrême-droite et cela a donné
les « boneheads ». Des fachos imbibés d’alcool et
violences... Et le plus dingue c’est que c’est vraiment comme cela
que ça s’est passé. Au fait, au départ le mouvement skinheads
était apolitique ou communiste, et la raison de la naissance du
mouvement n’est pas franchement politique mais plutôt ’« musicale ».)
*
Oui,
"On est en droit d’espérer qu’en France il y ait, encore,
des gens honnêtes et altruistes." C’est à leur langage et
leurs actes tels la confiance réciproque, la droiture, qu’on les
reconnaît.
Je
vous souhaite encore bonne chance, si vous êtes (et resté)
sincèrement désintéressé dans le sens "tout pour le bien
commun« , vous ne pourrez que réussir, ceux qui veulent un
»chef« vous reconnaitront... comme ami du peuple et non
»président" de la république (orthographe libre) ou
d’état.