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demosoluce

Démosoluce car je pense que seule une solution provenant du peuple permettra d'améliorer les choses. Ce faisant, je suis donc contre le système représentatif dans le sens où dès que nous déléguons notre pouvoir, nous acceptons de le perdre : soit parce que le représentant a déjà prévu le détournement de ce pouvoir au profit d'intérêts particuliers, soit parce que le système représentatif l'encouragera à le faire.
Je soutiens donc un système de démocratie directe associé à un système économique permettant de libérer le citoyen de la pression d'asservissement ultralibéral (revenu de base, salaire à vie, dividende universel ?).
Sur cette base, je souhaite rester ouvert d'esprit, conscient que l'on doit sans cesse remettre en cause ses certitudes pour avancer honnêtement et librement.

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  • demosoluce 17 juin 2013 19:57

    @Peretz,

    le jour où vous aurez compris que le rôle de l’executif est comme son nom l’indique d’exécuter et non de décider alors vous aurez déjà fait la moitié du chemin. L’objectif n’est pas de remplacer des représentants élus par des représentants tirés au sort mais de ne pas abandonnner votre pouvoir citoyen à des représentants. Les tirés au sort n’ont comme rôle que d’exécuter les décisions des citoyens.

    est-ce plus clair pour vous ?



  • demosoluce 17 juin 2013 11:42

    @ Isga,

    Vous participez activement à l’extrème droitisation par votre simplificationite aigue.

    Vous avez le droit de construire une maison en dur sans fondation sur un terrain meuble. C’est votre droit mais il ne faut pas vous plaindre ensuite d’avoir une maison lézardée qui s’effondre.



  • demosoluce 17 juin 2013 10:47

    @ zozoter,

    Un commerce triangulaire se passe souvent à 3 ;o)

    Cette précision mise à part, je trouve votre approche intéressante mais je pense qu’il ne faut toutefois pas se focaliser sur l’aspect national. Pour les tenants du Nouvel ordre mondial, les Nations ne sont que des outils de mise en concurrence (le moins disant) et doivent à terme être détruites. C’est bien cela qu’il faut avoir en tête. Le Nouvel Ordre Mondial sera supranational, et non la domination d’une Nation ou d’un groupe de Nations sur les autres. Pour plusieurs raisons :

    Tout d’abord, on s’aperçoit que la mise en place d’un système mondial dominé par une minorité de Nations ne peut entrainer que la résistance des nations dominées. Un exemple, en Asie, la seule Nation qui n’a pu être « colonisée » (je le mets entre guillemets car les types de colonisations ont été multiples), c’est le Japon jusqu’en 1945 car cette Nation était suffisamment structurée (malgré l’époques des Shoguns etc...). Et il a fallu taper violemment dessus pour la mettre sous le giron US. De même, en Amériques, les Etats structurés ont été annihilés, les populations exterminées. Donc si on met de côté les aspects dépopulations (qui peuvent faire partie d’un futur proche), il faut que les Nations se détruisent de l’intérieur.

    Ensuite, parce que les grands leaders, les promoteurs de l’ombre de ce NOM n’ont pas d’identification nationale. Ils sont déjà profondément mondialistes. Certains culturellement (les grandes dynasties bancaires type Rothschild, Warburg, Loeb etc... étaient juives apatrides, de cultures yiddish si on veut mais détachées d’une approche nationale), d’autres par logique vu que c’est la mondialisation qui leur a donné le terrain de jeu propice à leur développement financier. On peut même voir dans la construction des Etats-Unis comme les prémices de ce NOM, une répétition sur un petit territoire avec des immigrants venant de diverses et multiples Nations. Pour en revenir aux Oligarques mondiaux, il est logique qu’ils aient en aversion la Nation, car qu’est-ce qu’une Nation ?

    Une Nation est le regroupement collectif de citoyens, regroupement souvent lent (espagne, France, Chine, Japon etc...), parfois rapide sur une base culturelle commune (Allemagne, Italie...), souvent de façon autoritaire (France et d’autres). Mais la finalité est la création d’un objectif collectif dont la taille est en relation avec nos capacités du moment. Plus petit, le passé mais aussi quelques scandales présents nous montrent qu’il y a un risque de féodalisme. Plus grand, l’organisation devient peu visible et donc technocratique (UE entres autres). Il ne faut pas voir systématiquement la Nation comme le regroupement de gens qui haissent les autres. La Xénophobie peut être un ciment à un moment donné dans la construction du projet collectif. C’est triste, c’est sûr mais je pense que ce n’est pas plus que cela. La Nation n’entraine pas obligatoirement le rejet de l’autre. Mais le rejet de l’autre peut servir d’accélérateur au projet commun. Il est intéressant de noter qu’actuellement, les citoyens français n’imaginent pas faire la guerre à un autre pays par exemple. Il existe un rejet de l’étranger qui se trouve en France, c’est vrai mais la raison en est l’impression de perte du projet commun et se traduit par « c’est quoi la France ? ». Mais la question « c’est quoi la France ? » ne se résume pas à « blanche ou non », « chrétienne ou non ». Elle se traduit par « c’est quoi tout court », dans le sens où depuis des décennies, il n’y a plus de projet commun. Ce vide a été masqué par l’illusion d’un projet collectif plus grand, européen. Mais cette illusion n’existait que chez nous, citoyens de base. L’Elite n’avait aucune ambition collective européenne, et c’est bien pour cela que l’Europe s’est faite économiquement et financièrement mais pas socialement ni politiquement.

    La Nation est donc à aujourd’hui le seul garant du projet collectif possible. Cela ne veut pas dire qu’on doit se limiter advital aeternam, nous pourrons construire plus grand quand nous serons mûrs collectivement pour cela. C’est en ce sens que si on n’est pas identitaire, il nous faut récupérer les symboles de notre Nation qui sont actuellement encore aux mains de groupes qui voient la Nation non comme un projet collectif mais comme un projet limitatif, ethnique.

    C’est la problématique que doit régler les courants d’extrème gauche (pour certains) de la vraie gauche (pour les autres). Le socialisme est culturellement universaliste. Je ne le remets pas en question c’est son choix. Ne me sentant pas socialiste, puisque recherchant l’équilibre entre intérêt collectif et intérêt individuel (pour moi, le socialisme privilégie trop l’aspect collectif au dépend de l’aspect individuel, et le libéralisme l’inverse), je n’ai pas d’opinion à avoir sur ce positionnement. Si ce n’est qu’en considérant la Nation comme une notion ennemie absolue, la Gauche (non PS) fait le jeu du NOM, de l’Oligarchie. Pour la bonne et simple raison que le projet socialiste est en gestation, nécessiterait s’il devait se développer encore beaucoup d’étapes alors que le projet du NOM lui est déjà bien engagé. Ils ont une énorme longueur d’avance.

    Donc par rapport au commentaire de zozoter, ce n’est pas la Chine qui vend, les US qui vendent, ni l’UE. Car ces 3 régions ont un point commun : dans les 3 cas de figure, ce ne sont pas les peuples qui décident et ce ne sont pas les peuples qui profitent de quoi que ce soit.



  • demosoluce 16 juin 2013 11:17

    @ Ykpaiha,

    J’imagine qu’il faut lire votre pseudo non pas en lettres latines mais en cyrillique.

    Y = ou, k = k, p = r, a = a, i = i, h = n et a = a => Ykpaiha = Ukraine donc



  • demosoluce 14 juin 2013 12:52

    Je suis d’accord avec vous Abou sur votre analyse mais comme je le dis dans mon com, je pense que ces aspects de l’économie réelle n’entrent plus du tout en compte dans la réflexnio de l’Oligarchie.

    Cela fait bien une trentaine d’années que les capacités d’investissement financier se détournent de l’économie réelle. Et bien au contraire, la pénurie renforce leurs taux de profit.

    Nous sommes donc dans un système (l’économie de marché) basé sur la gestion de la pénurie (qui s’accomode donc de la dégradation de nos ressources), dont les capacités d’investissement ont quitté l’économie réelle, et dont les tenants du pouvoir ont interdit d’autres moyens de financement que ces flux qui sont en dehors de l’économie réelle.

    Voilà le tableau.

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