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demosoluce

Démosoluce car je pense que seule une solution provenant du peuple permettra d'améliorer les choses. Ce faisant, je suis donc contre le système représentatif dans le sens où dès que nous déléguons notre pouvoir, nous acceptons de le perdre : soit parce que le représentant a déjà prévu le détournement de ce pouvoir au profit d'intérêts particuliers, soit parce que le système représentatif l'encouragera à le faire.
Je soutiens donc un système de démocratie directe associé à un système économique permettant de libérer le citoyen de la pression d'asservissement ultralibéral (revenu de base, salaire à vie, dividende universel ?).
Sur cette base, je souhaite rester ouvert d'esprit, conscient que l'on doit sans cesse remettre en cause ses certitudes pour avancer honnêtement et librement.

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Derniers commentaires



  • demosoluce 4 juin 2013 11:44

    La fragile mécanique financière : oh les pauvres choux. Cessons d’être trop vilains avec ces gentils financiers qui se démènent pour nous alors qu’ils pourraient jouer au Golf ou siroter un cocktail sur un Yacht.

    Voyez vous Antyreac, « la France vit au dessus de ses moyens » ne veut strictement rien dire. C’est quoi les moyens ? Comment sont utilisé ce train de vie ? Si vos réponses sont sur BFM TV, alors, bon, effectivement, je vous laisse dans votre contemplation.



  • demosoluce 4 juin 2013 11:35

    Ne rentrez pas dans ce jeu de la classe moyenne contre la classe pauvre. Ne vous êts vous pas interrogés sur le fait que encore une fois, seuls les riches ne sont pas concernés ? Car, de toutes les façons, ils n’étaient déjà pas concernés par le problème. Pour une famille avec 3 enfants, c’est 6800 € par mois le nouveau seuil. Avec 6800 euros par mois, 3 enfants et en Région Parisienne, on n’est pas riche. O fait partie de la classe moyenne, supérieure certainement, mais classe moyenne. Les riches ne sont pas parmi les 10%, mais le 5, voire les 2 ou les 1%. C’est donc la classe moyenne dans son ensemble qui est touché. Mais pas au bénéfice de la classe pauvre. Le but de cela est de réduire les déficits afin de pouvoir continuer à rembourser les intérêts de la dette. Attention, non pas de réduire la dette, non, biensûr que non, juste rééquilibrer un peu les comptes pour que le remboursement des intérêts ne soient pas remis en cause. Donc pour protéger les placements des riches (car les placements de classe moyenne dans la dette française seront loin de compenser la baisse de pouvoir d’achat de cette loi). Pour les pauvres, les services publics vont continuer à se détériorer (pour la classe moyenne aussi d’ailleurs, les riches n’utilisant pas les services publics) et la pression sera maintenue : on reviendra rogner d’ici peu sur les avantages de la classe moyenne et les aides aux pauvres.

    Il n’y a donc qu’un seul gagnant. A l’image de Colombo, mon épouse me faisait remarquer : Sarkozy tapait sur les pauvres pour officiellement défendre ceux qui travaillent (la classe moyenne). Hollande tape sur la classe moyenne pour officiellement défendre les nécessiteux (classe pauvre). Je lui ai rajouté que les 2, en fait, tape sur une des 2 classes pour protéger la 3ème.



  • demosoluce 4 juin 2013 11:23

    @ Monsieur Dupont, je ne crois pas que ce site soit phagocyté par des lobotomisés soutenant Hollande. Qu’il soit majoritairement suivi par des FdG ou sympathisant au FdG, là oui, certainement, mais je ne trouve pas Hollande très à gauche ni même socialiste. Il y a d’ailleurs un bon article sur Blogapares cocnernant le point sur les fausses promesses de notre cher Président. Que ce soit dans les commentaires ou par le biais d’article comme ceux de Spartacus ou d’autres, force est de constater que ce site permet à une pluralité d’opinions de s’exprimer.

    @Spartacus,

    Je suis ravi que vous puissiez exprimer vos opinions même si je ne les partage pas. j’avoue que je me pose la question de savoir si vous défendez les opinions d’un engagement politique actif ou si votre vision du Libéral est naïve (ou trop optimiste, faisant confiance au système pour s’autoréguler quand les dernières 30 années ont montré qu’il en est incapable). Mais bon, à la limite, il est toujours ntéressant de lire vos arguments. D’ailleurs, certains sont probants, ne serait-ce que le trop d’impôt tue l’impôt (tout dépend comment on le comprend). ce qui me gène plus est que vous ne semblez pas en situation de débat mais plutôt en mission. Les arguments des autres ne vous intéressent pas sauf s’ils confirment les votres. Vous répondez rarement et quand c’est le cas, c’est surtout avec des évidences, quelques fois à côté de l’arguemnts d’en face (est-ce volontaire pour noyer le poisson ?). Voyez vous, vous avez peut être la chance d’avoir tout compris mais j’en doute, pas que je vous sous-estime mais sinon, tout serait au contraire merveilleux, il suffirait de vous donner les manettes de décision et roule ma poule.

    Non, je pense que nous nous en sortirons en évoluant vers quelque chose de nouveau. Les théories déjà tentées ont démontré leurs incapacités. Vous avez raison sur ce point de réfuter les thèses communistes et je vous suis sur le fait que retenter l’expérience est une erreur. Mais c’est la même chose cocnernant la dérégulation depuis les années Reagan/Thatcher. Le Libéralisme avait l’occasion après 1991 de montrer qu’il avait raison. Force est de constater qu’il a fortement échoué. Je pense même que la recherche du nouvel ennemi Salafo-terroriste montre que les tenants du « Libéralisme anglo-saxon » le savait et qu’on peut imposer une développement même si celui-ci est bancal en brandissant une menace extérieur (d’ailleurs, on va vraiment finir par l’avoir cette menace d’invasion E.T....).

    Il est donc dommage que vous vous efforciez à défendre un système qui a échoué plutôt que participer à la réflexion d’idées nouvelles (quite à prendre comme base de votre réflexion les arguments ibéraux qui vous semblent fondamentaux dans cette construction d’une approche novatrice). certains font d’ailleurs cette démarche, les jeunes libéraux de France soutiennent le RU par exemple, de même que certains FdG. Je ne dis pas que le nouveau TINA doit être le RU, mais cela a le mérite de proposer une approche nouvelle.

    Dans votre texte, enfin car c’est cela le plus important actuellement, vous schématisez trop sans prendre le recul permettant d’expliquer pourquoi une réforme ne pouvait aboutir ou pourquoi elle était nécessaire. je prends 2 exemples :

    Concernant Tony Blair, il est primordial de notre l’existence de la City et du complexe de paradis fiscaux au sein même de la Nation britanique pour expliquer que cela ne pouvait aboutir. Une des missions que se donne actuellement la City, Etat quasiment indépendant au sein de la Courronne, est de proposer une multitude de services financiers permettant d’optimiser ses impôts dans les paradis fiscaux (Ile de Man, Jersey, Iles des Caraïbes etc...) et ce de façon totalement opaque. C’est comme si on recherchait à baisser le nombre de morts sur la route tout en autorisant la conduite sous l’effet de la drogue et l’alcool sur les autoroutes sans limitation de vitesse par exemple. Cela ne pouvait fonctionner. Un tel manque de réflexion en amont interroge même sur l’honnêteté de la démarche, Tony Blair n’étant pas un symoble de politiques sociales.

    Concernant la Russie, il faut aussi prendre en compte la situation criminelle du pays et Poutine a beau être un dur, l’état d’avancement des organisations mafieuses en Russie ne pouvait lui permettre de la jouer que frontalement. Il l’a fait en combattant frontalement les Oligarques qui ne voulaient pas jouer son jeu, en portant la guerre en Tchétchénie pour obliger la mafia Tchétchène d’utiliser ses ressources dans cette guerre d’usure. Il était donc stratégique d’associer cette politique ferme d’ajouts législatifs plus accomodants afin d’encourager ceux qui ne voulaient pas agir frontalement, de légaliser leurs revenus en s’en sortant pas trop mal. C’est une autre façon d’acheter la paix sociale.

    On peut aussi parler des USA. Il y a quand même une grosse différence entre le passage de 90%à 73% de Kennedy et celui de 70% à 28% de Reagan. Kennedy associait cette politique à une volonté de rétablir la création monétaire par l’Etat (le Trésor), mettant fin à la mission de la FED cequ’il n’a pas eu le temps de faire et que Johnson s’est bien gardé de continuer, quand Reagan a au contraire été sur le chemin de la dérégulation financière à marche forcée.

    Bref, on peut avoir une vision libérale mais vous n’êtes pas sans savoir si vous soutenez cette thèse, qu’elle s’accompagne obligatoirement de la mise en place de moyens de contrôles très stricts et sur ce point, je ne vous lis jamais.

     



  • demosoluce 3 juin 2013 19:04

    Je pense que vous vous méprenez sur les bienfaits du seul libéralisme, mais bon...

    les grandes réalisations économiques ont été lancés principalement sous De Gaulle et donc sous une forte influence de l’Etat. Les années De Gaulle montrent que les évolutions industrielles et technologiques ne sont pas incompatibles avec la forte présence étatique. mais cela, on le savait déjà. Les plus grands progrès techniques et scientifiques l’ont été malheureusement en période de guerre et sous la pression et les besoins de l’Etat.

    Moins loin de nous, la conquête spatiale US (Lune jusqu’à la guerre des étoiles) l’ont été sous intervention majeure de l’Etat US. Au profit d’intérêts privés, c’est sûr mais ces intérêts privés n’ont pas eu à prendre bcp de risques. Si vous regardez d’ailleurs le système US, vous verrez que les avancées technologiques sont souvent effectuées dans les prestigieuses universités ou via des collaborations Etat/laboratoires privés. Et c’est l’Etat, directement ou via les programmes militaires et les différentes agences qui prennent les principaux risques financiers. Les intervenants privés investissent mais le système permet que leur retour sur investissement est quasiment assuré grâce au nombre de projets qui iront à terme et qui seront commercialisés par ces intervenants. C’est un peu le système du cinéma français.

    Théoriquement, le libéralisme est très intéressant et comme le préconisaient les penseurs libéraux, il devait y avoir concurrence loyale et non faussée donc surveillance accrue de l’Etat. Mais dans les faits, on s’aperçoit que très vite les règles du jeu sont pipées par ceux qui sont les décideurs, un peu comme si un arbitre était en même temps le président d’un des 2 clubs qu’il arbitre. On retrouve le même problème dans les tentatives communistes dans le sens inverse. Très rapidement, ceux qui dirigent s’émancipent des règles qu’ils font appliquer aux autres.

    Enfin, le chiffre de 56% est trop réducteur. Il faut mettre en parallèle les entrées fiscales parexemple et là on s’aperçoit que les actionnaires et les grandes entreprises ont obtenus bcp d’allègements fiscaux. En plus le PIB est déjà avantureux dans sa définition. Vous ne devez pas vous limiter à cela.



  • demosoluce 3 juin 2013 15:35

    J’ai fait pas mal de fautes de frappes, je m’en excuse.

    Pour les plus importantes, « universel et inconditionnel » et « en profiteraient ».

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