Duralex

c’est l’ouvrier et les classes populaires qui ont fait venir Sarkozy au pouvoir !

le Bourgeois,c’est le Bobo qui vote Royal maintenant ,le prolo comme il en a eu ras la casquette des belles promesses de la« Gôche » qui n’en n’a rien à cirer du travailleur et du pue la sueur ,le prolo,il a d’abord voté Le Pen au premier tour ,puis Sarko au second ...

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Ah bon ! veuillez vous rappeler les scores de Sarkozy dans le 16ème, le 8ème, le 15ème, à Neuilly ou à Saint Trop

Ce n’est pas parce qu’il n’y a plus de gauche, que vous êtes aurorisé à dire des conneries

- 2 000 000 de femmes victimes de violence chaque année,

soit 10 millions en 5 ans
soit 20 millions en 10 ans
soit 40 millions en 20 ans
soit 60 millions en 30 ans
soit 100 millions en 50 ans

A moins que ce soit toujours les mêmes.

« L’autorisation qu’ils donneront aux clandestins et aux sans-papiers de travailler en zone grise ne fera qu’abaisser le niveau global des salaires dans les professions qui les emploient. »

C’est plutôt leur maintien dans la clandestinité qui tend à faire baisser le niveau des salaires dans les secteurs où ils sont employés.

Les discussions sur l’identité nationale et le football ont ceci en commun qu’ils déclenchent des passions totalement sans rapport avec la réalité (j’en ai été victime aussi)

Des milliers de personnes ont fêté la victoire de l’Algérie dans les rues des grandes villes françaises en brandissant le drapeau algérien et ce serait la preuve que ces « gens là » ne se sentent pas français, et ce d’autant que des dégradations ont été commises.

Mais d’abord qui fêtait la victoire de l’Algérie, des français ou des algériens ? Même si la nationalité française est soi-disant accordée avec beaucoup de générosité, il reste que de trés nombreux algériens de nationalité algérienne vivent dans notre pays, avec une carte de résident et non une carte d’identité.

Que des algériens fêtent une victoire de l’équipe de foot algérienne en brandissant leur drapeau dans les rues françaises, puisqu’ils habitent ici, en quoi cela serait-il plus choquant que de voir des français fêter la vicoire de notre équipe nationale en coupe du monde à Mexico, Hambourg, Tokyo ou je ne sais où ? Ce n’est pas plus choquant et, à vrai dire, cela n’a même rien de choquant.

Et même si ces gens étaient de nationalité française, depuis quand la République leur interdirait-elle de revendiquer fièrement leur origine dans un moment de fête ?

Il y a eu des violences et ceci prouverait que les immigrés et leur descendance sont définitivement étrangers à notre pays pour lequel ils seraient une menace ?

Voici l’éternel argument de ceux qui nous renvoient sans cesse à décompter les prisonniers en fonction de leur origine, en oubliant systématiquement (argument pourtant tout aussi arythmétique) que la trés grande majorité des descendants d’immigrés qui vivent en France ont un casier judiciaire totalement vierge.

Combien étaient-ils donc les gens qui ont cassé mercredi soir ? Quelques centaines tout au plus dans toute la France. Et quel âge avaient-ils ? Et dans quel contexte ont-ils cassé ? J’ai entendu dire dans un reportage qu’à Grenoble des gens chantaient joyeusement lorsqu’ils ont été brusquement bombardés par la police avec des lacrymogènes.

Il y a, dans toute la France, quelques centaines, peut-être quelques milliers de jeunes adolescents, pas forcément d’origine algérienne d’ailleurs, qui tombent chaque jour dans la délinquance. Délinquance dont bien souvent d’ailleurs ils ne demanderaient qu’à sortir car ce n’est pas vraiment une synécure.

En quoi ces jeunes gens menacent-ils l’identité française, alors qu’ils sont en réalité trés français puisque dans le pays de leurs parents ou de leurs ancêtres on ne se conduit pas comme ça ? En rien évidemment.

Tout ceci et les controverses qui en découlent ne sont que l’écume qui masque les vrais courants.

Quelqu’un a dit sur ce site que « est français celui qui a décidé de faire sa vie en France » et c’est tout à fait juste. Du moment que l’on a abandonné l’idée de rejoindre la terre de ses ancêtres et que l’idée, ou le besoin, de rester ici se sont imposés, on est embarqué dans la même galère que les français. Les liens qui en découlent nécessairement sont autrement plus forts que le petit plaisir bien innocent de brandir le drapeau algérien à la suite d’un match de foot.

Pardon ma mère, mais là je suis contraint d’approuver