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  • Enotero 16 février 2013 21:57

    « Langue natale + Anglais + Espéranto = équation gagnante »
    Bernard, je dirais plutôt, à cause des qualités propédeutiques  :
    Langue natale + espéranto + anglais = équation gagnante
    ...
    Et d’ailleurs pourquoi forcément anglais ?
    Je suppose que cela peut être dans un futur de moyen ou long terme :
    Langue natale + espéranto + arabe
    ou
    Langue natale + espéranto + chinois
    ou encore
    Langue natale + espéranto + allemand

    chacune de ces combinaisons conduit à quelque chose de différent...



  • Enotero 16 février 2013 21:53

    Tiens, Skirlet !!! Cela faisait longtemps que je t’avais perdue de vue ! heureuse de te retrouver...



  • Enotero 16 février 2013 21:51


    @Mmarvinbear
    C’est curieux... Vous semblez très au fait des problèmes posés par le « genre » en Eo (et vous avez partiellement raison sur ce point...) mais par contre, vous commettez de grossières erreurs en ce qui concerne le développement réel de cette langue, sa culture bien réelle, ainsi que sa structure...

    Je m’interroge, je m’interroge sur vos motivations personnelles et la... disons « transparence » de vos motivations (pour rester un peu dans le flou et la courtoisie)...

    Alors, vos erreurs sont :
    1) la culture de l’espéranto existe bel et bien, depuis 125 ans elle s’affine et s’enrichit sans cesse. D’autre part cette langue évolue, est en expansion, notamment en Inde, au Brésil ou en Chine. Il ne faut pas croire que si les médias ne parlent pas de quelque chose, cette chose « n’existe pas » !!!

    2) Les racines de l’Eo sont à un peu moins de 60% latines, et seulement 2 ou 3% slaves, mais à presque 30% germaniques.
    L’accusatif est très utile car il permet (effectivement en autorisant un ordre des mots moins rigide, ce qui convient aux Japonais par exemple ! !!) de marquer l’objet ou le complément circonstanciel. Mais en espéranto l’accusatif a une simplicité et une régularité inconnues en latin, et même dans d’autres langues à déclinaisons comme allemand, néerlandais, polonais etc... Deux cas seulement : nominatif, accusatif, et ce dernier est toujours marqué par le « -n » et lui seul. JE N’APPELLERAIS PAS CELA UN RELIQUAT DE LATIN !!!

    2) Vouloir qu’une langue internationale « colle » à toutes sortes de langues comme les langues 
    sémitiques, africaines et orientales est un argument irrecevable : c’est tout simplement impossible. 

    Et puis, ma chère, dites-vous bien qu’en imposant l’anglais comme « lingva franca » on fait bien pire, puisque cette langue a encore bien moins d’internationalité dans sa structure, est bien plus difficile et bien moins « neutre » idéologiquement et géopolitiquement

    3) Le déni concernant la nécessité de fournir un effort qui sera (peut-être, mais peut-être pas) payant est souvent le fait de personnes qui ont oublié le temps qu’elles-mêmes ont dû passer à cet apprentissage, ou bien qui, étant d’extraction sociale favorisée, se moquent de la démocratisation des savoirs... Dire « tout le monde peut y arriver est une position quelque peu élitiste (dans le mauvais sens du terme).

    J’espère que ce n’est pas votre cas.

    En ce qui concerne le sexisme de l’Eo (qui ne fait que refléter la mentalité de l’époque où il a été créé), ma foi, ce sexisme est présent dans tellement de langues que c’est lui faire un procès bien mesquin en insistant sur ce point particulier... et puis, comme disait un des commentaires, on peut faire évoluer cela. Par exemple, en disant »virpatro« et »inpatro« . Quelques »rebelles" s’expriment déjà comme cela.



  • Enotero 16 février 2013 19:12

    C’est absolument désespérant de constater à quel point les imaginations sont formatées.

    Je suis allée au Japon en 2007 pour un congrès d’espéranto, et j’ai donc parlé avec les participants, en espéranto et non en anglais... Des Japonais espérantistes visitent régulièrement notre pays. C’est comme cela qu’il faut considérer la question, et non l’inverse.

    En outre, il ne faut pas croire que tous les Japonais-e-s parlent anglais !!! Et même quand ils le parlent, il arrive qu’ils parlent mieux une autre langue (comme l’italien par exemple). Enfin, si vous croyez que tous les touristes visitant l’Europe ou la France parlent anglais, vous vous faites de grosses illusions. Mais hélas l’Etat du monde et les choix qui sont faits par les peuples reposent en grande partie sur la manipulation et l’illusion, alors....

    Je voudrais terminer par une blague. J’avais un copain qui disait : « Si j’avais une petite amie anglaise, je suis sûr qu’en moins d’un an....
    ....
    ....
    ...
    .... elle parlerait très bien le français »



  • Enotero 16 février 2013 19:04

    Il est très fréquent que les espérantistes soient polyglottes... Mais il n’est pas nécessaire de parler cette langue pour la soutenir. Franchement, chacun a suffisamment à faire dans la vie pour ne pas devoir encore passer des heures à apprendre une langue qu’il (elle) n’utilisera peut-être pas (ou peu).

    Par contre, ce à quoi on ne pense pas, c’est que l’espéranto aurait toute sa place à l’école dans les petites classes, car il est bien plus ludique et facile à maîtriser que l’anglais par exemple. Cherchez sur la Toile « espéranto propédeutique » et vous comprendrez.
    Il faut savoir que des établissements britanniques ont fait le choix de prendre l’espéranto comme médiateur vers les autres langues, non pour que les enfants le parlent, mais pour facilité le développement des capacités linguistiques des élèves...
    Voir « Springboard to languages »

    J’ajoute, pour lever toute ambigüité, que cela non seulement n’empêcherait pas d’apprendre l’anglais, mais en limiterait très probablement les échecs

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