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Derniers commentaires



  • Enotero 9 septembre 2010 01:28

    Je suis assez d’accord avec ça : la plupart des gens sont pris aux cxxilles par leurs crédits.
    Je me rappelle que quand j’étais gamine, avec un père ouvrier et une mère qui faisait quelques ménages, nous n’avions ni télé, ni bagnole, mais on était heureux et on partait quand même en vacances avec les sous que mon père économisait toute l’année à cette intention (cf la chanson de Jonasz « on partait au bord de la mer... »).
    Le taux de syndicalisation en France est dérisoire.
    C’est par cette saloperie de crédit que les riches nous transformeront en quasi-esclaves.
    Je ne crois plus que modérément au bulletin de vote, mais pour le moment on n’a guère d’autre solution... Et puis il faut marteler des vérités pour faire un peu évoluer les mentalités des pauvres qui votent contre leurs intérêts.... On peut aussi lire et diffuser Fakir



  • Enotero 16 juillet 2008 23:20

    À ceci près que l’anglais n’est pas réservé à une élite ! Krokodilo pourra t’affirmer qu’on "force les pauvres petits français innocents à l’apprendre, quels qu’ils soient !".

    Mais il y a ici une erreur de raisonnement ! Forcer les pauvres petits français à subir un enseignement de l’anglais ne signifie pas qu’ils l’apprennent, et encore moins le maîtrisent...
    Enseigner quelque chose de difficile profite effectivement à quelques-uns. Ceux qui peuvent (de par leur situation sociale), bénéficier de séjours linguistiques, du soutien familial, etc...
    Les autres, au bout de quelques annnées d’enseignement, deviennent persuadés qu’ils ne sont décidément pas faits pour les langues... et renoncent à leur droit à la communication.

    Parenthèse : j’aimerais beaucoup voir ces défenseurs de "l’anglais véhiculaire" en réelle situation de communication "pointue", dans un débat, avec un anglophone natif. Ils se feraient sans doute ratiboiser vite fait.
    Mais l’être humain est ainsi fait, qu’il répugne à reconnaître ses faiblesses. Grand bien vous fasse, messieurs les illusionnés. Le problème étant, qu’hélas, d’autres se laissent manipuler par votre inconsciente assurance. Vous êtes complices objectifs d’un ordre injuste.



  • Enotero 16 juillet 2008 17:29

    Le "monde réel" c’est celui où les "élites" nous affirment qu’elles désirent la paix et le bien-être de tous, mais en même temps font tout pour que les riches soient toujours plus riches, quitte à devoir en payer le prix par des guerres.

    Etre dans le réel signifie donc démystifier le discours, et en mettre en relief les éléments trompeurs, pour afficher la froideur et la brutalité de la réalité.

    L’lllusion c’est croire que "tout le monde" peut accéder à une connaissance fonctionnelle de l’anglais et s’en servir pour défendre ses propres intérêts.
    L’illusion, c’est croire que l’anglais est enseigné comme langue "de culture" (j’entends là "culture" dans son sens humaniste).

    La réalité, c’est que l’enseignement massif de l’anglais ne sert la plupart du temps qu’aux individus issus des classes sociales moyennnes ou supérieures.
    La réalité, c’est que l’anglais est enseigné parce que les décideurs ont trop peu d’imagination pour se projeter dans le futur où les USA ne seront qu’un ex-empire décadent. Et trop peu de désir que le monde futur soit équitable.
    La réalité est qu’il est enseigné, parce qu’en 1945 les vainqueurs offraient des tracteurs ou autres aides à une Europe exangue, et que les désirs de ces vainqueurs valaient des ordres.
    Si l’Allemagne nazie avait vaincu, nous parlerions tous allemand.



  • Enotero 16 juillet 2008 17:09

    Marsupilami :

    "dégoûté par l’ambiance rassise et sectaire"
    "Rasisse" ? Assise de nouveau ?

    Selon Normand Baillargeon (Petit cours d’aurodéfense intellectuelle") on a ici un exemple du paralogisme "généralisation hâtive" épicé de "attaque ad hominem".

    1) En supposant (je dis bien "en supposant") que quelques espérantistes soient sectaires... il n’est pas pertinent d’en déduire que tous le soient.
    2) Pas plus qu’il n’est pertinent d’en déduire pour autant que leur argumentation soit invalide.

    Ensuite la "vraie sympathie" prétendue envers l’alternative "espéranto" (et non "utopie") me semble quelque peu douteuse. Vous voyez, du genre des firmes qui affirment "Le consommateur est intelligent" tout en le "ferrant" avec moults arguments qui vont te le ligoter et le pousser à acheter tant et plus des biens superflus. Passer de la pommade est une façon bien connue de désarmer l’adversaire. C’est l’histoire du loup qui fait patte blanche pour séduire les peits chevreaux...

    ========================

    Tout cela est une question de pouvoir.
    Il y a ceux qui se soumettent au pouvoir dominant, pensant y participer.
    Et il y a ceux qui oeuvrent à le démystifier, et qui sont donc forcément la cible des attaques des soumis (ou des complices) de ce pouvoir.

    Bon, je vais faire crédit à Marsu d’une possible naïveté. Il a eu une vélléité (peut-être ??? on va faire semblant de croire cette assertion douteuse) de s’intéresser à la langue internationale auxiliaire.
    Mais... On peut aussi faire quelques suppositions :
    Comme il lui était insupportable de penser que ses années d’étude de l’anglais pourraient, dans un monde plus juste, être relativement inutiles,
    comme il en tire une forme de pouvoir (celui de participer peu ou prou au monde des "élites" anglophones),
    ... il ne peut en aucun cas souscrire à un "projet" plus équitable (celui de généraliser largement ce qui fonctionne parfaitement dans une communauté de quelques centaines de milliers ou millions d’individus). Si tout le monde pouvait communiquer, Marsupilami ne serait qu’un parmi beaucoup d’autres, alors qu’en chevalier blanc défenseur de l’anglophonie, il préserve ses "acquis"...

    Je vais me critiquer moi-même : Marsupilami n’est peut-être pas tel que je le décris.
    Mais alors... en ce cas, d’où lui vient un tel aveuglement, une telle propension à nier la validité des arguments de l’interlocuteur ? (critique qui vaut également pour d’autres adversaires de l’espéranto)
    Car enfin, je ne crois pas que messieurs Phillipson ou Grin soient plus malhonnêtes ou plus sots qu’un quelconque Marsupilami....



  • Enotero 16 juillet 2008 16:49

    Le déni perpétuel : "Y a pas de problème, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes", est assez désagréable.

    C’est assez fatigant de dépenser tant d’énergie face à des gens visiblement si peu dotés d’esprit critique...
    Rien de plus facile aux conformistes que de prétendre que les contestataires n’ont aucun motif "valable" de porter la critique. C’est un retournement de "valeurs" qui n’honore pas ceux qui le pratiquent.

    Ceci dit, les "débats" d’ici, quoique (à mon avis) complètement stériles, ont du moins l’avantage de nous permettre de polir et affiner nos arguments...

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