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F-H-R

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Humaniste avant tout, je n’adhère à aucun parti politique ni à aucune religion. L’égoïsme, la vanité et l’injustice gangrènent les systèmes politiques, économiques et sociaux. Je me joins à ceux qui les dénoncent.

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  • Premier article le 26/07/2011
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Derniers commentaires



  • F-H-R F-H-R 24 octobre 2012 22:40

    @logan
    Si je réfléchi de manière statique, c’est-à-dire en prenant comme hypothèses les origines et les destinations actuelles des prélèvements, je suis parfaitement votre raisonnement.
    Si j’envisage un nouveau système de prélèvement et de redistribution sur la base de paramètres actualisés (à mon sens), tels que, par exemple, l’obsolescence du système de retraite par répartition, l’incapacité du système de sécurité sociale à jouer correctement son rôle, l’augmentation constante et nécessaire des prélèvements sociaux jusqu’à atteindre ses limites, alors le raisonnement est différent.

    L’objectif fondamental, in fine, c’est-à-dire le but que devrait se fixer tout gouvernement digne de ce nom, est que chaque citoyen puisse vivre décemment (qu’il est une éducation, un toit, qu’il accède à l’énergie, à la sécurité, etc.), quel que soit son environnement. Il s’agit donc de s’adapter au contexte économique.

    Le moteur de l’économie est constitué par les entreprises au sens large (toute entité capable de créer de la richesse). Il convient donc de veiller à ce que les entreprises prospèrent et que les salariés en tirent un bénéfice afin de perpétuer le cycle de production/consommation. Or à ce jour, les entreprises Françaises vont mal et ce n’est pas en surtaxant le système de production et les consommateurs potentiels que cela s’arrangera, bien au contraire.
    Je pense qu’il faut trouver une partie du budget nécessaire aux financements sociaux ailleurs que dans ce qui fait tourner l’économie. Les prélèvements sociaux sur les salariés et les entreprises ont trouvé depuis longtemps leurs limites.

    Or il se trouve que l’Etat persiste à considérer l’argent public comme une manne inépuisable qui lui est due et ne pense à résoudre les problèmes de budget qu’en augmentant taxes et impôts.
    Comme je l’écris dans mon premier post, l’argent qui manque (des milliards d’euros) doit se trouver dans la restructuration de l’Etat, de la fonction publique, de son organisation et de son fonctionnement. Une partie des cotisations sociales ne doit plus être prélevée au niveau des entreprises et des salariés mais au niveau des économies attendues d’une refonte de l’Etat.
    Tel que nous sommes parti, l’Etat sera toujours de plus en plus lourd et coûteux et la machine à fabriquer de la richesse de plus en plus affaiblie. L’Etat est une charge les entreprises un revenu. Les entreprises qui prospèrent créent de l’emploi, donc moins de charges pour la société, plus d’emploi génère plus de consommation donc plus de débouchés pour les entreprises. C’est un cercle vertueux.
    Quand j’entends que l’Etat va raboter les avantages fiscaux de ceux qui emploient des salariés à domicile pour récupérer un manque à gagner, alors que de la sorte des milliers de petites entreprises vont être obligées de mettre la clé sous la porte et licencier des dizaines de milliers de salariés générant ainsi du chômage (coût pour la société) et privant l’Etat d’un revenu 5 fois supérieur au manque à gagner, alors là, je trouve qu’il y a un sacré non-sens.
    Quand j’entends que l’Etat va embaucher 2000 fonctionnaires (charge supplémentaire) à pôle emploi pour résoudre le problème du chômage, alors là, je trouve qu’il y a encore un sacré non-sens.



  • F-H-R F-H-R 24 octobre 2012 18:06

    Ce sont les entreprises et les salariés du secteur privé qui réalisent les plus-values financières nécessaires au fonctionnement de l’économie et du social.
    Si les salariés avait plus d’argent en poche et les entreprises plus de fonds pour investir, le circuit économique fonctionnerait beaucoup mieux. Baisser les charges salariales et patronales, c’est injecter de l’argent dans le circuit, donc augmenter la consommation, développer la production, favoriser l’emploi.
    Seul frein à l’investissement et aux salaires : L’appétit des actionnaires pour le profit mais cela pourrait se réguler par des mesures fiscales d’incitation au développement.

    Malheureusement, la gouvernance de la France est aux mains des énarques, formés par cette école inepte (ENA) qui n’enseigne rien d’autre que la nécessité d’une puissance absolue de l’Etat et d’une fonction publique pléthorique. Cette école dépense toute son énergie à sélectionne l’ « élite » qui fera perdurer ce système oligarchique mafieux.
    Il est urgent de fermer cette école aussi inutile que nuisible. Nous avons des universités et des écoles qui forment des futures cadres opérationnels et compétents dans tous les domaines.
    Il faut également auditer l’ensemble des ministères et de la fonction publique afin de rééquilibrer les postes en fonction des besoins réels : Amélioration de l’éducation, de la santé, de la sécurité ; suppression des niveaux inutiles de représentation locales (collectivités) et surtout des agences de l’Etat qui sont un gouffre financier. Ce sont des dizaines de milliards d’euros qui pourraient être économisé tous les ans et qui permettraient non seulement de réduire la dette mais encore de financer des dépenses plus essentielles que des commissions et des postes administratifs stériles.
    Il ne s’agit pas d’augmenter les taxes et impôts comme le fait le gouvernement mais bien au contraire de réduire drastiquement le train de vie de l’Etat. Il faut un Etat au service des Français et non l’inverse.
    Mais cela, c’est prêcher dans le désert. Les Français préférant voter « utile » et ainsi, faire ce qu’attendent d’eux les professionnels de la politique.



  • F-H-R F-H-R 22 octobre 2012 21:33

    @ Romain Desbois
    Pas de classification abusive SVP. Le blaireau est universel.
    A mon avis, le bobo (de droite ou de gauche) peut être blaireau mais pas nécessairement. Par ailleurs, le blaireau peut être ou ne pas être bohême.
    Rien à voir avec les idéos quelle que soit leur nature (politique, religieux…).



  • F-H-R F-H-R 22 octobre 2012 17:02

    Il n’y a pas de lézard, c’est bien un compliment et effectivement, je ne considère pas la culture, l’éducation ou l’intelligence comme complémentaire ou opposable ni même subordonnées à l’une ou à l’autre.
    J’ai failli bourrer le compteur de « + » comme cela se pratique dans certains bureaux de vote mais, plus que mon honnêteté, l’impossibilité technique me l’a interdit.



  • F-H-R F-H-R 22 octobre 2012 16:19

    Ce genre d’article devrait être interdit ! J’ai failli mourir de rire.
    Pour un Bac -2, vous avez plutôt l’air d’avoir la tête bien faite et être de bonne constitution.

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