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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Derniers commentaires



  • Fergus fergus 11 février 2008 13:35

    Le gag du week-end nous est en effet venu de Neuilly avec l’inénarrable Martinon dans le rôle du bouffon. L’imbroglio clochemerlesque de cette ville est à l’image de la Sarkozye tout entière : un indémêlable foutoir et une pathétique ambiance de sauve qui peut ! Sans compter l’énorme claque pour Sarkozy qui croyait, là comme ailleurs, qu’il lui suffirait de claquer dans les doigts pour imposer sa volonté. Jour après jour, le roi est de plus en plus nu ! Et ce n’est pas l’écran de fumée européen du JT de 20 heures qui pourra y changer quoi que ce soit. Bien que Sarkozy ait sur ce point respecté son engagement de campagne, il n’en a pas moins mis en œuvre un déni de démocratie reconnu comme tel par 67% des Français. Quant à son discours, le chanoine reprend la manipulation et le mensonge en réaffirmant que la France a ratifié un traité « simplifié » alors que le texte en est inchangé à 97% aux dires de l’expert Giscard d’Estaing. Mais tout cela n’a guère de portée, le spectacle politique étant tourné, grâce au clan Sarkozy, vers un pitoyable vaudeville mâtiné de Dallas, comme le souligne Hélène Fontanaud, et de guerre sanglante des Atrides, avec au premier plan le rejeton Sarkozy, à peine sorti de son youpala ! Lamentable et consternant !



  • Fergus fergus 7 février 2008 10:58

    Pour une fois, je suis solidaire avec Fillon. Comme quoi, tout peut arriver. Quant au délai apporté par le Premier ministre à s’exprimer sur le sujet, sans doute est-il dû à l’attente des remontées de l’opinion publique. On ne se refait pas.



  • Fergus fergus 4 février 2008 15:51

    Petite histoire personnelle, histoire d’illustrer le débat.

    Bien que n’étant pas très âgé, j’ai personnellement connu les châtiments corporels dans une boîte de curés. A la moindre faute, nous étions ipso facto envoyés chez le préfet de discipline, un prêtre irlandais amateur de whiskey et de polars. La sanction : trois coups de baguette, infligés, pantalon baissé, sur le haut des cuisses, un peu en dessous des fesses. Encore faut-il savoir que ce brave homme disposait d’une collection de baguettes correspondant à la gravité des crimes, la plus grosse pour les fautes bénignes, la plus fine (et donc la plus cinglante et la plus marquante sur la peau) pour les fautes graves, genre : avoir lu un bouquin de Boris Vian ou reluqué les seins d’une starlette dans Ciné-Revue !

    A l’évidence, ce type était un sadique. Mais sa perversion présentait des avantages, et notamment de pouvoir négocier l’échange d’un week-end de colle contre une quinzaine de coups de baguettes. A ce sujet, il faut savoir que nous n’avions que deux permissions par mois et qu’une colle équivalait à rester un mois complet sans sortir de l’Institution. C’est pourquoi, contrairement à la plupart de mes condisciples, il m’arrivait de choisir les coups. Il est vrai que j’étais très souvent sanctionné ! Pourtant, jamais je ne me suis plaint, pas plus que mes parents n’ont protesté.

    Autres temps, autres mœurs ! J’avais treize ans et cela ne se passait pas dans l’Angleterre de Dickens, mais dans la campagne française, au début des années soixante !



  • Fergus fergus 1er février 2008 12:56

    Carla Bruni et Nicolas Sarkozy sont désormais connus pour leur amour immodéré du fric et des paillettes, penchant qui, associé à des promesses vaines sur le pouvoir d’achat, a contribué à la chute du président dans les sondages. La chanteuse grandirait son image si elle s’engageait à verser l’intégralité des dommages et intérêts qui pourraient lui échoir à une association humanitaire. Dans le cas contraire, elle ne fera qu’apporter un argument de plus à ceux qui l’accusent de vénalité.



  • Fergus fergus 31 janvier 2008 13:01

    Le "Syndrome de la gomme"

    Les DRH des entreprises privées et publiques ont, sur les modèles de management venus d’outre-Atlantique, mis en place durant les dernières années des « entretiens individuels d’évaluation (ou d’appréciation) » qui visent à constater de manière contradictoire les résultats d’un collaborateur au cours d’un tête à tête avec son responsable hiérarchique. Buts de l’opération : pour le premier se faire mousser, pour le second donner des nouveaux objectifs et alimenter sa réflexion pour la prime de fin d’année du collaborateur.

    Et c’est là que le système devient comique. Sur préconisation de la DRH, le « chef » doit impérativement utiliser une grille d’évaluation du subordonné, le total des points déterminant le niveau de la prime annuelle. Problème : les critères, faciles à déterminer pour un commercial ou un agent de production, sont en revanche difficiles à établir pour un administratif dont aucune des tâches ne repose sur du quantifiable.

    La DRH ne renonce pas pour autant (question d’équité de traitement) et propose les critères suivants : ponctualité, implication, disponibilité, représentation, etc… Nanti de ces critères, le chef distribue les points et parvient à un total. Manque de chance, celui-ci ne correspond pas à l’image globale qu’il a de son subordonné et de sa manière de servir. Surtout, ce total se situe au-dessus de tel autre collaborateur qui lui semble paré de vertus supérieures, et en-dessous de tel autre qui est pourtant connu pour être un boulet dans le service.

    Alors, le front transpirant, le chef prend sa gomme et ajoute un point ici, en retire deux là sur les grilles de ses collaborateurs pour que le résulat corresponde enfin à son intuition personnelle et que, of course, les primes soient distribuées en conséquence.

    Ce problème, je l’ai connu des deux côtés : évalué et évaluateur. Je l’ai nommé « le Syndrome de la gomme » !

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