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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

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  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Derniers commentaires



  • Fergus fergus 30 janvier 2008 17:02

    C’est malheureusement officiel : Tsonga va rejoindre la cohorte des tennismen cupides et égocentriques, ces Forget, Mauresmo, Gasquet et quelques autres douteux personnages, soucieux de se soustraire à leurs devoirs de solidarité, via l’impôt, envers les classes populaires et les démunis de notre pays. Cela m’inspire du dégoût. Et cela d’autant plus que ces sportifs ont largement bénéficié des infrastructures de notre pays pour accéder au plus haut niveau.

    Tsonga, pour en revenir à lui, doit certes son talent à son père et à sa mère, mais aussi et surtout à l’Etat français qui a, durant de longues années par le biais de la Fédération, mis à sa disposition des structures techniques, des entraîneurs, des médecins, des kinés, et de coûteuses prises en charge financières de ses déplacements et séjours (sans compter l’argent de poche), investissements sans lesquels ce jeune homme ne serait certainement pas à son niveau actuel. On peut à la rigueur comprendre qu’un sportif chevronné se montre ingrat après quelques années de carrière, mais certainement pas un minot qui est très loin d’avoir payé la dette qu’il a contractée envers son pays !

    Dommage pour Tsonga, je trouvais ce jeune homme plutôt sympathique. Je n’éprouve plus qu’un profond mépris pour lui.



  • Fergus fergus 28 janvier 2008 17:00

    Rien de particulier à dire sur cet article.

    Si ce n’est que les coiffes bigoudènes ont totalement disparu, sauf lors des "pardons" où quelques-unes sortent encore des placards. Même à ND de la Joie (Saint-Guénolé), les vieilles dentelières coiffées sont définitivement rentrées chez elles pour regarder "Les feux de l’amour " en attendant que la camarde vienne les faucher.

    Si ce n’est qu’ à Plozevet vivent autant de Bigoudens que de Capistes (les habitants du Cap Sizun), comme en témoigne la plaque-frontière apposée à Pors Poulhan, le petit port de la photo dominé par sa Bigoudène.

    Un détail encore : "Stourm" signifie combat ou lutte en breton. Ce mot figure dans "Stourm Ar Brezhoneg" (lutte pour le breton), raison sociale du mouvement qui, durant fort longtemps, a surchargé les plaques routières d’entrée dans les villages de leur nom breton pour revendiquer la double écriture.

    Kenavo ar wech all ! (ce que l’on peut traduire par "Salut, à la prochaine !)



  • Fergus fergus 25 janvier 2008 13:11

    Je ne crois pas un instant à la responsabilité unique d’un "trader fou". Que ce Bigouden (il est de Pont-L’Abbé) ait pu commettre des fautes professionnelles, c’est probable, et c’est sans doute la raison pour laquelle il est "tenu par les couilles" pour parler trivialement. Il me semble en effet impossible que la banque ait pu le laisser "jouer" avec 40 ou 50 milliards d’euros pendant des mois sans que quiconque s’en aperçoive. On nous prend pour des imbéciles !

    Je pense pour ma part que l’annonce de cet énorme trou a été négocié entre la direction et le trader pour faire porter le chapeau à ce dernier, moyennant sans doute des petits arrangements dont nous ne connaîtrons jamais le fin mot. But de l’opération : soit masquer la plus grande partie des pertes liées aux « subprimes » pour ne pas mettre en évidence une course en avant spéculative à risque de la Société Générale, soit occulter de graves erreurs de stratégie financière de la part d’un top management mouillé jusqu’au cou.

    J’ajoute que j’ai moi-même été informaticien durant 15 ans et que je sais, à ce titre, que l’on met systématiquement en place des contrôles croisés non accessibles à un seul individu pour toutes les applications sensibles. A plus forte raison dans les banques pour des placements spéculatifs qui portent sur la totalité des fonds propres de l’entreprise.

    Je crains, hélas ! que d’autres mauvaises nouvelles ne surviennent dans les prochaines semaines avec la publication des résultats des autres groupes bancaires.



  • Fergus fergus 23 janvier 2008 10:39

    Nous avions cru que Sarkozy était du genre, comme il nous l’a vendu pendant toute la campagne électorale, à aller de l’avant, toujours de l’avant. Eh bien non, depuis quelque temps notre chanoine-président multiplie en effet la conduite à vue, les virages sur l’aile, les changements de cap à 180°.

    Dernier exemple en date, après la spectaculaire volte-face sur les quotas de pêche (dénoncée vent debout par les écologistes et l’Union européenne) : l’engagement personnel de Sarkozy dans la campagne des municipales, claironné de manière tonitruante durant sa conférence de presse il y a deux semaines (on allait voir ce qu’on allait voir !), et aujourd’hui piteusement abandonné. Plus question pour le chef de l’Etat de se mettre en première ligne pour transformer le scrutin en plébiscite pour ou contre sa personne et sa politique. « Beaucoup trop dangereux », disent les sondages qui dégringolent les uns après les autres. « Beaucoup trop risqué pour nos mairies » disent les élus locaux UMP qui se démarquent de façon ostentatoire et parfois très critique d’un président en désamour avec une part grandissante des électeurs pour cause de bling-bling et de promesses non tenues sur le pouvoir d’achat.

    Sarkozy, devenu un boulet pour son camp, est déclaré personna non grata dans les fiefs UMP. Assez cocasse, non ?



  • Fergus fergus 21 janvier 2008 10:42

    En effet, Sarkozy nous gratifie d’une nouvelle volte-face, cette fois sur les quotas de pêche qu’il soutenait en décembre et dénonce en janvier. Sans doute pour amadouer les professionnels avant les élections municipales, histoire de ne pas ouvrir un nouveau front de contestation dans un milieu dont les coups de sang peuvent se révéler spectaculaires et désastreux pour le pouvoir.

    Résultat : une fois de plus, Sarkozy a raconté n’importe quoi et promis la réouverture du dossier dès juillet. A l’évidence, il s’agit au mieux d’une nouvelle calembredaine du chanoine, au pire d’une manipulation de l’opinion. Dernière réaction en date après celle, très critique du vice-président de la Commission Jacques Barrot, le WWF dénonce une initiative qu’il juge « scandaleuse » à l’heure où il conviendrait, au contraire, de renforcer ces quotas et non de les assouplir.

    Qui peut encore raisonnablement faire confiance à Sarkozy lorsqu’il se livre à de telles déclarations, irresponsables pour la ressource et malheureusement emblématiques de son mépris intrinsèque pour l’écologie ? En baisse dans les sondages et en début de désamour du côté des ralliés FN, des retraités et des catholiques, le président bling-bling a été, nous dit-on, contraint d’annuler un week-end en amoureux à l’étranger avec Carla pour retourner au charbon sur le terrain vendre ses salades mal assaisonnées comme il l’avait fait auparavant avec un certain succès. Pas sûr que l’opinion se laisse prendre désormais, surtout lorsqu’il manipule les chiffres (comme à Sens sur les heures supplémentaires) ou remet en cause, comme à Boulogne, la parole de la France dans la plus pure démagogie !

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