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franco-chinois

Simple homo sapiens en cours d’hominisation ou de co-naitre, sur terre dans ce monde, avec les autres de la même espèce. Neanderthal ou l’homme universel, qui des deux est plus humain ?

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  • franco-chinois 8 mars 2010 12:19

    “A l’approche de la 51ième commémoration du soulèvement tibétain, et 2 ans après les manifestations de 2008, le Tibet est toujours sous une forme de loi martiale.

    ....un réalisateur tibétain, Dhondup Wangchen, …..”. “Avant que le film ne soit rendu public, Dhondup Wangchen a envoyé sa femme et ses enfants à l’étranger.”

    Elle est bien laxiste cette “forme de loi martiale”.

    Bien que le Dalaï-lama ne demande qu’une réelle autonomie pour le peuple tibétain, dans le respect de la Constitution chinoise, ...”

    Point par point, les negociations entre Dalai Lama et le gouvernement chinois :

    http://www.tibetdoc.eu/spip/spip.php?article150



  • franco-chinois 6 mars 2010 19:27

    « Ne crois-tu pas que ce nombrilisme consistant à mesurer notre bonheur intérieur brut peut nous faire oublier complètement le malheur extérieur brute  ? »

    Parfaitement. C’est le but du jeu. Ce n’est rien d’autre, une sophistication inutile supplémentaire, un leurre de plus dans cette caverne de Platon que nous vivons.

    Comment peut-on quantifier une notion complètement subjective et abstraite dont chacun a sa propre définition, selon sa perception de ce que c’est la vie ?

    Nous ne sommes pas déjà suffisamment paumés ? Bien-être n’est qu’une partie de l’homme, qui, pour être complet, possède deux mots à sa description : Sujet et Verbe.

    Faisons un petit peu l’étymologie du mot « bonheur » : bonne heure.

    C’est quand la « bonne heure » ? Ce n’est surement pas le pouvoir politique, ni un marchand de « bonheur », qui me le dicteront.



  • franco-chinois 1er mars 2010 19:32

    Avant de parler des droits de l’homme, de son universalité, il serait peut-être utile de se mettre d’accord sur ce qu’est un homme - un être humain.

    Montaigne posait déjà la question : « comment être un Persan ? » Le savons nous mieux aujourd’hui ?

    S’en suivent les questions de l’humanisme, et du progrès de la société humaine.

    La déclaration universelle des droits de l’homme est basée sur un humanisme lié à une vision idéale de ce que doit être une homme - l’homme universel -, afin de bâtir une société plus humaine.

    L’esprit de la déclaration est parfaitement noble. Mais...

    Extrait des « Récits d’humanisme », Michel Serres, 2006, Édition Le Pommier.

    « Humanisme.
    Jusqu’à aujourd’hui, en effet l’humanisme n’eut jamais lieu parce que l’homme universel qu’il évoquait n’existe pas. En un sens restreint, ce mot abstrait désigna, dès la renaissance, l’ensemble des tentatives, réussies ou avortées, en faveur des lettres latines, d’abord, et grecques, par la suite. Le développement de la scolastique les avaient, au moyen age, étouffées  ; empiriste et logique, fermée dans l’université, méprise les récits de la littérature.
    Datant de l’age classique, et encore vivace en Belgique et dans les pays de langues anglaise. Le terme humanité couvre ces mêmes études, grecques et latines, dont le loisir fleurit en Europe assez longtemps pour qu’il en reste, ici et maintenant, de rares témoins. Renaitront-elles en Occident pour tirer de la laideur et de la barbarie les classes dominantes dont les générations arrogantes refusèrent naguerre de transmettre au future la sagesse mère de la Méditerranée ?
    Avant que s’effondre cette beauté, quelques érudits allemands du XIXe siècle avaient désigné par le mot Humanismus une doctrine générale, une pédagogie fondées toutes deux, en souvenir des érudits de la Renaissance et des philosophes du XVIIIe siècle, sur ce que, depuis les Lumières au moins, l’on nommait aveuglement nature humaine. Qui se doutait alors que cette conception imposait de fait aux tous les habitants de la planète des usages d’Occident ? Cet humanisme risque encore moins de naitre que l’autre ; il évoquait, ou de cette façon, narcisse et impérialiste, ou de manière inaccessible, l’homme universel : il m’eut donc pas lieu. »




  • franco-chinois 22 février 2010 16:53

    @ l’auteur :

    Très bon article, comme d’habitude.

    Juste quelques interrogations sur les « luttes » en cours ou à venir, puisque le titre de l’article sent légèrement « la poudre ».

    En Occident, on aime beaucoup de jeu d’échecs et mettre mat l’adversaire.

    En Chine, non seulement le jeu d’échec est joué mais aussi le Weiqi (le Go, en japonais).

    Dans le jeu de Weiqi, l’essentiel est de prendre plus de terrain que son adversaire et non pas de le mettre au KO.

    Bien que Sun zi soit enseigné dans les académies militaires en Occident, mais combien sont-ils, ont compris et/ou maitrisent le jeu de Weiqi ?



  • franco-chinois 12 février 2010 00:40

    Il y a une differenciation du ton sur les deux mots, dans le mandarin. Dao (倒)est au 3ieme ton, Dao(到) utilise le 4ieme ton.

    Mais dans le sud, par exemple au delta de Yangtze où l’on parle la langue de Wu (吴)(cf. les trois royaumes), il n’y a pas de distinction entre les deux prononciation.

    Comment ça se prononce chez toi, dans Jiangxi, avec la langue de Bai, Hengxi ?

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