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Ganesha

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  • Ganesha Ganesha 27 août 2011 12:55


    Bel effort d’explication de texte du rapport Vance.

    J’apprécie et je considère comme très pertinente la référence à l’affaire d’Outreau...

    A mon avis, Mme Diallo a perdu la partie le 30 Mai, quand elle a fait aux enquêteurs une démonstration de ses talents dignes de Sarah Bernhardt en leur racontant son viol en Guinée...

    Bien qu’on ait probablement mis sur cette affaire le personnel le plus expérimenté, ce jour là, ils l’ont crue...
    Et quand les membres de « l’Unité Spéciale pour les Victimes » se sont rendu compte, quelques jours plus tard, que Nafissatou les avait berné, en pratique, ’l’affaire était terminée".

    En ce qui concerne les variations de Mme Diallo sur son emploi du temps après son « incident avec DSK », cela montre surtout qu’elle ne connaissait pas suffisamment la technologie pour imaginer qu’il existait une trace dans un ordinateur central de toute ouverture de porte avec un pass, et qu’elle se croyait donc libre de raconter tout ce qui lui passait par la tête...

    Le fait de retourner dans la suite 2806 après avoir vu le départ de DSK avec sa valise, est extrêmement suspect : qu’allait-elle y faire ?
    Un adage dit "l’assassin retourne toujours sur le lieux de son crime"


    Quant aux réactions à votre article, une information intéressante est fournie par la page d’accueil du site Rue 89 (en haut et à droite)
    Ce sont des statistiques ; vous y verrez qu’un de leurs articles les plus lus ce jour (sur la prostitution...) à été visité par 60.000 internautes qui ont laissé environ 200 commentaires, soit 59.800 qui se sont informés, mais n’ont pas eu le temps, le courage ou l’inspiration pour écrire et publier une opinion ou une contribution au débat.

    Au moment où je vous écris, le petit groupe habituel des dames est venu répéter
    la petite phrase maladroite qui est leur fétiche et à laquelle elles se raccrochent comme à une bouée de sauvetage : "la rencontre a été trop brève pour être consentie" ...

    Ce brave Cyrus Vance doit être un garçon très timide et romantique, qui se présente à tous ses rendez-vous « Meetic » avec un bouquet de fleurs à la main...

    Pour ma part, vous constaterez que je fais un effort pour vous écrire un texte original et je résisterai même à la tentation de vous copier-coller une fois de plus ci-dessous mon désormais célèbre "ce qui s’est réellement passé"

    Je crains malheureusement que ce merveilleux feuilleton qui nous a occupé l’esprit durant les trois derniers mois touche à sa fin !

    Il va bien falloir nous pencher sur ce qui se passe réellement en France : le chômage vient d’augmenter, et il y a au minimum huit à dix millions de pauvres.
    Pour eux, l’élimination de DSK de la vie économique et politique est certes un petit point positif, mais il faudrait imaginer des solutions...

    La mienne : l’instauration d’un revenu d’existence (allocation universelle)



  • Ganesha Ganesha 26 août 2011 12:14

    Il y a un mot et un paragraphe de mon commentaire qui vous ont échappé : si DSK est aujourd’hui en possession de son passeport, c’est parce que Mme Diallo est apparue comme une redoutable « affabulatrice » au yeux du personnel de la police et du procureur, qui ont l’expérience de centaines de cas similaires.
    Et cette conclusion vient d’entretiens qui ne sont pas passés dans l’émotion du moment, mais plusieurs semaines après les faits.

    Il est manifeste que plusieurs d’entre vous continuent à raisonner sans avoir lu le rapport du procureur, qui existe pourtant en traduction française sur le site Rue 89. Je ne peux pas le lire à votre place, mais pour vous faciliter la tâche, voici en « copié-collé » , les deux premières pages :

    Inculpation No. 02526/2011.

    Au nom du peuple, l’Etat de New York demande l’abandon de l’inculpation de l’accusé, telle qu’elle est désignée ci-dessus, pour agression sexuelle sur la plaignante dans un hôtel du centre de Manhattan, le 14 mai 2011.

    La nature des accusations exige que l’on soit en mesure de prouver avec certitude que l’accusé a engagé un acte sexuel avec la plaignante sous la contrainte, et sans son consentement. Après enquête approfondie, il apparaît que la preuve de deux éléments essentiels – l’usage de la force et l’absence de consentement – ne peut reposer que sur le témoignage de la plaignante lors d’un procès.

    Les preuves physiques, scientifiques et d’autres natures indiquent que l’accusé a engagé un acte sexuel précipité avec la plaignante, mais elles ne permettent pas de dire si l’acte a eu lieu sous contrainte et sans consentement. Mis à part la plaignante et l’accusé, il n’y a pas d’autre témoin de l’incident.

    Pour que le jury déclare l’accusé coupable, il est donc nécessaire qu’il soit convaincu, au delà de tout doute raisonnable, que la plaignante est digne de foi. L’affaire dépend en effet entièrement de son témoignage.

    Au moment de l’inculpation, toutes les preuves disponibles nous ont laissé penser que la plaignante était fiable. Mais d’autres éléments recueillis durant l’investigation ont gravement remis en cause sa fiabilité dans cette affaire. Que des individus aient menti dans le passé ou commis des actes criminels ne fait pas nécessairement d’eux des gens indignes de notre confiance et cela ne nous empêche pas de les appeler à la barre des témoins durant le procès.

    Mais, quelle que soit la réalité des faits dans cette affaire, le nombre et la nature des mensonges de la plaignante nous empêche de faire confiance sa version des faits au delà de tout doute raisonnable. Si nous ne pouvons la croire sans douter, nous ne pouvons pas demander à un jury de le faire.

    Nous avons résumé ci-dessous les circonstances qui nous ont amenés à cette conclusion. Il ne s’agit pas d’une affaire où nous imposons à la plaignante des investigations excessives ou des critères élevés. Au contraire, nous sommes confrontés à une situation dans laquelle il est apparu de plus en plus clairement que la crédibilité de la plaignante ne résistait même pas à l’évaluation la plus basique.

    En résumé, la plaignante a donné des versions changeantes et contradictoires des événements concernant la supposée agression sexuelle, et par conséquent, nous ne pouvons pas être certains de ce qui s’est passé le 14 mai 2011, et nous sommes incapables de savoir quelle version la plaignante donnerait durant le procès.

    Au cours de chaque entretien avec des procureurs, alors qu’il lui était simplement demandé d’être sincère, elle ne l’a pas été, que cela soit sur des détails ou sur des faits importants, certains mensonges portant sur son passé et d’autres sur les circonstances même des faits incriminés.

    Dans deux entretiens, par exemple, la plaignante a évoqué de façon saisissante, et avec de nombreux détails, un viol dont elle aurait été victime dans son pays d’origine, viol dont elle admet aujourd’hui qu’il a été entièrement inventé. Elle a également admis avoir menti lorsqu’elle a raconté aux procureurs et au grand jury ce qu’elle avait fait immédiatement après l’agression.

    Cette tendance à dire des contre-vérités ne date pas des contacts de la plaignante avec le bureau du procureur. Notre investigation a montré que la plaignante avait déjà fait dans le passé de nombreuses fausses déclarations, dont certaines inscrites dans les fichiers du gouvernement et faites sous serment ou sous peine de parjure. Tous ces mensonges devraient, évidemment, être révélés au jury durant un procès, et leur accumulation aurait un effet dévastateur.

    Enfin, nous avons conduit une minutieuse investigation dans le but de découvrir des éléments permettant d’en savoir plus sur la nature de l’acte sexuel engagé entre l’accusé et la plaignante. Tous les éléments recueillis, qui auraient pu être pertinents pour statuer sur les questions de l’usage de la force et de l’absence de consentement, se sont révélés non concluants.

    Nous ne faisons pas cette recommandation à la légère. Notre scepticisme vis-à-vis de la crédibilité de la plaignante nous rend incapables de savoir ce qui s’est véritablement passé dans la suite de l’accusé, le 14 mai 2011, et empêche donc de continuer les poursuites judiciaires. Par conséquent, nous conseillons respectueusement que l’accusation soit levée.

    Lisez la suite sur Rue 89, il y a encore plein d’informations passionnantes, et revenez discuter après... 



  • Ganesha Ganesha 26 août 2011 10:57


    Je vous écris ce commentaire sur mon petit Asus Eeepc, qui tourne sous Linux...
    Bien sûr, je partage votre enthousiasme...avec quelques petites réserves....

    Même en installant Ubuntu à la place du Xandros d’origine, je ne suis jamais parvenu à faire fonctionner mon imprimante Canon, ni mon scanneur Epson (il est vrai qu’il s’agit déjà de modèles un peu anciens)

    Et n’ayant jamais réussi à installer Wine, je me suis finalement résolu à acquérir en complément un petit pc « box », qui tourne sous Vista... mais, par précaution, j’ai désactivé sa fonction Wifi, et il ne viendrait pas à l’idée de surfer sur internet autrement qu’avec un ordi sous Linux : les fabricants de virus ne s’intéressent pas à nous, et je n’ai tout simplement ni pare-feu, ni antivirus et je ne crains pas les « chevaux de Troie ».

    L’évolution actuelle est l’invasion des tablettes, qui tournent avec des processeurs ARM.
    On sait que Microsoft prépare un « Windows pour ARM » et ma question est : avez vous une idée pourquoi on parle si peu de « Ubuntu pour ARM » ?

    Je vous trouve bien optimiste de présenter Android comme faisant partie de la famille Linux : pour moi je le ressens plutôt comme un piège qui nous est tendu par Google pour mieux nous espionner avec son « Cloud Computing »

    L’avantage des processeurs ARM est qu’ils coûtent moins cher que les i386 d’Intel et surtout qu’ils ne gaspillent pas l’énergie des batteries en produisant de la chaleur... en vous écrivant, les touches et le boitier de mon eeepc me brûlent un peu les doigts et je sens dans ma paume gauche le souffle du ventilateur...

    Les batteries sont l’élément le plus onéreux d’un ordi et les fabriquants font des « choux gras » en surévaluant le prix de leurs tablettes...

    On attend également la sortie des laptops et notebooks sous ARM... un des seuls qui existe actuellement est l’Hercules, une marque française, ne coûte que 179 euros, mais sa diffusion semble rester très confidentielle...

    Je ne discuterai pas trop de votre programme économique... ce que j’attends de l’avenir, c’est l’institution de l’Allocation Universelle (ou plutôt Revenu d’Existence) Reste à savoir si nous pourrons l’obtenir par un processus électoral en 2012, ou s’il nous faudra à nous aussi une « Révolution d’Indignés »....



  • Ganesha Ganesha 26 août 2011 08:34


    Il y a manifestement un « travail de deuil » à effectuer pour les « fan de Nafissatou », ou pour m’exprimer autrement, vous me faites penser à un supporter d’un club de football qui continue indéfiniment à « refaire le match » ;

    Apparemment, vous avez lu le rapport Vance, mais vous voulez nous éblouir avec vos capacités intellectuelles en nous montrant qu’on peut lui faire dire le contraire de qu’il dit...Dans la Grèce antique, on appelait cela un « sophisme ».

    Ce que dit ce rapport, (dès la deuxième page) c’est que le procureur et ses assistants sont des gens expérimentés et qu’ils en sont arrivés à la conclusion que Mme Diallo est une redoutable affabulatrice : pour mémoire, dans l’affaire d’Outreau, quand le « petit juge » a enfin compris que c’était le cas pour Myriam Badaoui, il a dû libérer une dizaine de personnes enfermées en prison...

    Comme beaucoup de commentateurs sur ce site, vous essayez de "couper les cheveux en quatre« sur la »relation rapide"

    Bien sûr que cela n’a pas été un coup de foudre et une "grande histoire d’amour«  !

    Deuxième hypothèse ; le »Viol par Fellation" est un des concepts les fascinants qui soit apparu sur cette planète depuis le "Dogme de l’Immaculée Conception", qui lui n’est qu’une reprise d’une légende bouddhique.

    Il est reste une troisième, que le procureur ne peut probablement pas ouvertement évoquer, parce qu’elle est officiellement interdite à New York : la prostitution.

    Ce qui a « dérapé », là, j’en arrive bien sûr à donner mon intuition personnelle : DSK refusant de payer ? Non.

    Un complot d’état ? (CIA, Sarkozy, les banques,etc...) je pense qu’ils auraient sélectionné une « meilleure recrue » que Mme Diallo...

    Je pense donc qu’elle a voulu se faire sa petite arnaque personnelle !

    "Elle ne savait pas qui était DSK", mais elle avait conscience d’être à l’étage des suites VIP...

    Pour mémoire, un petit texte que j’ai déjà publié en réponse aux nombreux « dubitatifs » qui hantent les forums internet...

    Ce qui s’est réellement passé :

    Un complice (on sait qu’un collègue masculin était là) appelle Nafissatou et lui indique que DSK est sous la douche.

    Elle entre dans la chambre et referme la porte (il n’y a pas vraiment de « clef », une simple chaîne)

    Il sort nu de la salle de bain et elle lui propose aussitôt une petite « gâterie »... qu’il a l’immense stupidité d’accepter !
    DSK veut la remercier avec un billet (20 ou 100 dollars), mais elle sort de la chambre en riant et en lui disant que cela va lui coûter infiniment plus cher que cela... Et il comprend qu’il est tombé dans un piège...

    Ce qui aurait dû alerter DSK, c’est que « vraie » professionnelle se fait toujours payer « avant » !

    Plus tard, ayant vu DSK sortir définitivement dans le couloir avec sa valise, Nafissatou revient dans la suite 2806 (ce qu’elle essaiera à tout prix de cacher au procureur)
    Elle prend dans la corbeille le préservatif utilisé par DSK avec la dame de la nuit précédente, se met une goutte de sperme sur le chemisier, puis à l’idée saugrenue d’en mettre un peu partout dans la chambre, ce qui paraîtra « très inhabituel » au procureur et aux experts de la police de New-York, qui ont l’expérience de ce genre de situation...

    Tout ceci étant dit, je suis infiniment soulagé de la perte d’influence de DSK.
    Il y a cependant dans cette affaire, une forte probabilité d’acte manqué : un personnage de son importance aurait dû avoir une secrétaire et des gardes du corps dormant dans le salon.
    Avait-il, au fond de lui-même, une toute petite trace d’ « Idéal de Gauche » et a-t-il voulu laisser à d’autres « le sale boulot » qu’on attendait de lui ?



  • Ganesha Ganesha 25 août 2011 20:32

    Ce qui s’est réellement passé :

    Un complice (on sait qu’un collègue masculin était là) appelle Nafissatou et lui indique que DSK est sous la douche.

    Elle entre dans la chambre et referme la porte (il n’y a pas vraiment de « clef », une simple chaîne)

    Il sort nu de la salle de bain et elle lui propose aussitôt une petite « gâterie »... qu’il a l’immense stupidité d’accepter !
    DSK veut la remercier avec un billet (20 ou 100 dollars), mais elle sort de la chambre en riant et en lui disant que cela va lui coûter infiniment plus cher que cela... Et il comprend qu’il est tombé dans un piège...

    Ce qui aurait dû alerter DSK, c’est que « vraie » professionnelle se fait toujours payer « avant » !

    Plus tard, ayant vu DSK sortir définitivement dans le couloir avec sa valise, Nafissatou revient dans la suite 2806 (ce qu’elle essaiera à tout prix de cacher au procureur)
    Elle prend dans la corbeille le préservatif utilisé par DSK avec la dame de la nuit précédente, se met une goutte de sperme sur le chemisier, puis à l’idée saugrenue d’en mettre un peu partout dans la chambre, ce qui paraîtra « très inhabituel » au procureur et aux experts de la police de New-York, qui ont l’expérience de ce genre de situation...

    Le « Viol par Fellation » est un des concepts les fascinants qui soit apparu sur cette planète depuis le « Dogme de l’Immaculée Conception », qui lui n’est qu’une reprise d’une légende bouddhique.
    Cependant, mais uniquement sur la base d’une intuition personnelle, j’ai l’impression que Mme Diallo est une indépendante, et je ne la vois pas trop « téléguidée » par la CIA ou une autre grande organisation.

    Tout ceci étant dit, je suis infiniment soulagé de la perte d’influence de DSK.
    Il y a cependant dans cette affaire, une forte probabilité d’acte manqué : un personnage de son importance aurait dû avoir une secrétaire et des gardes du corps dormant dans le salon.
    Avait-il, au fond de lui-même, une toute petite trace d’ « Idéal de Gauche » et a-t-il voulu laisser à d’autres « le sale boulot » qu’on attendait de lui ?

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