• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

gem

gem

Homme, 40 ans, heureux père et moins heureux mari, fonctionnaire, parisien par nécessité. Libéral dogmatique et dictateur indolent, mutualiste heureux, scientiste matérialiste, pinailleur conceptuel et logique, joueur informatique (JDR, STR), blogueur raté. Dans ma bibliothèque : la Bible, René Girard, Shakespeare, Sun Tsu, Chuang Tzu, Machiavel, Jean-Pierre Petit et Laurent Nottale, entre autres.

Tableau de bord

  • Premier article le 14/09/2006
  • Modérateur depuis le 06/12/2006
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 8 753 545
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique











Derniers commentaires



  • gem gem 2 octobre 2006 19:44

    Excellent article, de forme et de fond.

    Refuser ses responsabilités est devenu le sport national de l’état et des hauts fonctionnaires, le « parapluie » est leur emblème.

    D’ailleurs « responsabilité » est un mot qui a été rayé de la politique, après le mot « honneur ». Le système est impitoyable, celui qui accepte ses responsabilités se fait vite jeter, remplacer par un autre qui, lui, ne sera pas « responsable », mais qui prendra ses « précautions », le nouveau mot à la mode

    « Responsabilité » remplacé par « précaution », qui entre dans la constitution. Ce qui est fou c’est de voir l’impact de la disparition d’un simple mot. Ce simple remplacement signe bien plus surement le déclin français que tout le reste.



  • gem gem 2 octobre 2006 19:23

    Ce que je crois est bien plus simple et bien plus complexe que ça.

    Quand on est maitre d’un bien, il faut s’en occuper un minimum, et pas s’en remettre aveuglement à un intendant. Parce que l’intendant, il faut ce qui va dans le sens de son propre intérêt, et seulement accessoirement dans le sens du maitre.

    Et, de ce point de vue, les fonctionnaires et les politiciens ne sont que des intendants comme les autres. Qui font passer leurs idées et leurs intérêt avant celles du Peuple, puisque le peuple ne les contrôle plus depuis longtemps !

    Que l’intendant soit l’ex-CGE ou une troupe de fonctionnaires, l’important c’est de les contrôler. Public ou privé, c’est de l’idéologie : en fait, tout est privé, à commencer par ce qui est officiellement « nationalisé ».



  • gem gem 2 octobre 2006 19:04

    ouahahahahha LOL !

    Tordantes, tes définitions de « gauche » et de « droite ». Donc tous les syndicats sont de droite, puisque je n’en est jamais entendu un seul « accepter l’éventualité de la perte de son statut » ! Arf ! C’est pas la droite et la gauche que tu nous décrit, c’est le contenu de ta cervelle hémiplégique. Trop drôle !

    Aller, j’essaye. J’ai trop rigolé pour te priver d’un plaisir semblable, sans me faire d’illusion sur la pertinence de la chose.

    premier essai

    Les personnes de droite et de gauche croient toutes les deux qu’à Noël elles trouveront plein de cadeau au pied du sapin.

    Celle de gauche se moque de celle de droite, qui croit encore au Père Noël ; celle de droite s’indigne de celle de gauche, qui croit que c’est la Cheminée qui est magique.

    Celle de droite, toute l’année, veut se faire bien voir du père Noël, être gentille, se montrer obéissante. Ca fait bien rire la personne de gauche, qui se moque bien des règlements idiots du père Noël.

    Celle de gauche, toute l’année, fait sa liste de noël, mais aussi la liste de ses potes, et elle en a beaucoup, des potes ! La Cheminée y pourvoira... Ca scandalise la personne de droite, dont la liste est plus « raisonnable ».

    deuxième essai

    La personne de droite est une personne. Egoïste qui assume plus ou moins, elle prend parfois sa carte dans un mouvement anti-xénophobe tout en réclamant l’expulsion des clandestins en face, parce que faut pas déconner quand même, mais attention, humainement hein, et sans oublier de les dédommager ... en puisant dans la caisse commune et pas dans son pportefeuille à elle, parce que faut pas déconner quand même (bis) : on dit alors qu’elle est « de gauche ». Certains puisent directement dans leur portefeuille sans attendre qu’on puise dans la caisse commune, on les appelle des « socio-libéraux », autant dire des traitres.

    La personne de gauche, ça n’existe pas. Comme en informatique, c’est juste une « instance » de sa « classe ». Si l’avancement du « programme » nécessite la mise à jour d’une « classe » (exemple : taux d’imposition), voire l’effacement pur et simple d’un nombre quelconque d’instance, pas de problèmes : tout cela n’est absolument pas « personnel », puisqu’il n’y a « personne » de concerné... Le programmeur n’est ni de droite ni de gauche, il est le Programmeur, Big brother, et droite et gauche sont juste des « méthodes » de ses créatures.

    troisième essai.

    Le mec de droite, c’est celui qui, quand il voit une injustice, il s’indigne, surtout quand c’est lui la « victime ». Il gueule tout seul dans son coin et après il est soulagé. Parfois, ça lui suffit pas pour se soulager, alors il veut qu’on le dédommage, quitte à piocher n’importe où, dans la caisse publique s’il faut.

    Le mec de gauche, c’est celui qui, quand il voit une injustice, il s’indigne, surtout quand de toute façon il ne peut rien y faire (et encore plus quand, en fait, c’est lui le principal responsable !). Il manifeste avec ses potes et après il est soulagé. Parfois, ça lui suffit pas pour se soulager, alors il veut qu’on pioche dans la caisse publique de quoi dédommager la « victime », parce que comme ça personne ne sera léser...

    quatrieme essai.

    La personne de gauche, c’est celle qui veut toujours plus de fraternité et qui s’indigne quand on lui en donne : elle appelle ça « big brother », et elle a bien raison !

    La personne de droite, c’est celle qui s’effraie de « Big Brother » et qui se plaint du manque de fraternité. Et elle a bien raiosn, aussi.



  • gem gem 2 octobre 2006 17:50

    Il y a une droite et une gauche parce que la politique c’est la guerre (reférence : sun Tzu, Machiavel, Clausewitz, Mao, etc. Qu’on me cite un seul penseur politique qui concoivent cette activité comme pacifique et bienveillante !)

    Et les batailles ça se fait toujours à deux camps, jamais à trois ou plus.

    Alors, malheur aux neutres et aux abstentionnistes, qui ne sont après la bataille que des traitres pour les vaincus et des inutiles pour les vainqueurs.



  • gem gem 2 octobre 2006 17:26

    je ne comprend pas votre question, vous pouvez préciser ?

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv