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  • Gemini Gemini 2 décembre 2016 23:12

    @Spartacus
    Toujours les mêmes conneries.
    D’ailleurs, aucun français ne profite de ces 57% de richesses socialisées.
    En outre, quand on voit déjà tout ce que l’on peut s’offrir avec ces « misérables » 43 % restants…

    Enfin, rassurez-vous : une bonne part de ce qui est « pris » revient à vos copains les riches profiteurs nantis : patrons, actionnaires, etc. (+ de 40Mds rien que pour le CICE…)



  • Gemini Gemini 7 novembre 2016 14:15

    Cette discussion sur les inégalités n’a guère de sens dans un monde où les inégalités, bien qu’étant basées sur un soi-disant mérite, ne sont, dans les faits, absolument pas fondées là-dessus mais sur un système économique spoliateur qui organise le vol de la valeur générée par le travail des salariés au profit des branleurs et assistés que sont les possesseurs de capitaux, la nouvelle aristocratie.

    L’ouvrage « La société des égaux » de Pierre Ronsanvallon, notamment, apporte des éclairage très intéressants sur le sujet.

    Nul en France, pas même la gauche, n’exige une égalité totale de revenus entre chaque citoyen. La gauche, la vraie, exige en revanche que la valeur ajoutée créée par le travail des salariés ne lui soit pas spoliée par les capitalistes. Et ça n’a rien à voir avec l’égalité. Mais avec la justice, et avec la liberté des individus. Le système capitaliste nous maintient dans un état d’hétéronomie totale. C’est cela le véritable projet de la gauche : nous émanciper, pour nous permettre de ne pas dépendre du bon vouloir du dieu Capital et permettre à chacun de choisir son propre chemin. C’est cela, la vraie égalité.



  • Gemini Gemini 9 octobre 2016 23:58

    C’est rare, mais pour une fois, je ne suis pas en accord avec l’auteur.

    Il est totalement inacceptable, alors que l’automobile accapare à son unique profit déjà tant d’espace public, que certains se permettent en plus de squatter l’espace rachitique laissé aux autres usagers (trottoirs, pistes cyclables, etc.).

    Il est totalement inacceptable que le piéton, l’individu en fauteuil roulant, la mamie avec son chariot de courses, le parent avec la poussette de son enfant, soit obligé de descendre sur la route et risquer fortement sa vie — sans même parler de la difficulté de la manœuvre pour certains de ces usagers.

    L’amende est donc on ne peut plus justifiée. Le trottoir est strictement réservé aux piétons et doit le rester.

    À cela s’ajoute une considération plus générale : la voiture est une plaie moderne. Elle occupe bien trop de place dans l’espace public. Elle est dangereuse et responsable de beaucoup de nos problèmes modernes : pollution, morts, blessés plus ou moins graves, bruit, étalement urbain, mort des centre-ville, monopolisation de l’espace public au détriment des piétons et autre modes de déplacements, au détriment des espaces verts, et au détriment de la sécurité de tous les autres usagers, coût économique, inactivité physique, et j’en passe…

    Son usage doit être bien plus raisonné qu’aujourd’hui et se limiter aux cas réellement nécessaires. L’espace qui lui est accordé doit plus que fortement diminuer.



  • Gemini Gemini 8 octobre 2016 00:44

    Guère d’évolutions chez cet auteur, toujours le même tissu d’ineptie. Dommage qu’il n’ai pas daigné répondre à mon commentaire si un de ses articles précédent.

    Son texte est une nouvelle fois remplis de contre-vérités. Citons-en quelques-unes :

    — « seul le travail paie (et doit payer, y compris très bien pour ceux qui prennent des risques entrepreneuriaux) » : c’est faux. Ceux qui travaillent ne sont jamais riches. En revanche, les assistés que sont les actionnaires, eux, le sont. Ceux qui travaillent sont mal payés. Le salaire médian est faible. Ce qui paie, dans le monde capitaliste, ce n’est pas le travail, c’est de profiter du travail des autres, et donc d’être actionnaire. Ou investisseur, selon le vocabulaire que vous préférez. Eux ne font rien. Ne produisent rien. Ne travaillent pas. Mais ils encaissent.

    — « que le monde industriel stable du XX ème siècle s’est largement déplacé vers d’autres cieux et que ce n’est plus guère de force de travail dont ont besoin les entreprises (l’ex main d’oeuvre) mais de travailleurs très qualifiés, mobiles, motivés et capables de changer » : c’est vrai. De nos jour, l’entreprise voit effectivement ses travailleurs comme des objets. Pas comme des humains. Et l’on retrouve la société voulue et imposée par le capitalisme : l’homme doit être au service de l’argent.

    Donc il faudrait des « travailleurs très qualifiés » : pourquoi pas. Ça tombe bien, en France, nous en avons beaucoup.
    « Mobiles » : ah ? Vie sociale interdite ? Qui décide du lieu de vie ? L’entreprise ou l’être humain ?
    « Motivés » : alors là… non seulement le travailleur se fait spolier la richesse qu’il produit, ne peut même pas décider son lieu de vie, ne doit penser qu’à servir son maître l’entreprise à tout instant, mais en plus, il faudrait qu’il se soumette à ce diktat intégral en chantant ?

    — « que les Français doivent retrouver le goût du risque et de l’entreprise (sans entrepreneur plus de richesses ni d’avenir). » Ahhh ça y est. La bonne vieille fable libérale. La richesse est produite par le travail, et rien d’autre. Pas par l’entrepreneur qui ne fait que confisquer la richesse produite par le travail des autres.

    Les recettes libérales ne fonctionnent pas. L’état du monde le prouve : cette idéologie néfaste est appliquée dans le monde entier. Et que constate-t-on ? Les inégalités explosent, l’espérance de vie diminue, la planète est en détruite à marche forcée, les guerres prolifèrent, le terrorisme empire, la démocratie n’existe plus, et les êtres humains vivent sous la férule du dieu Argent.

    Ce système est néfaste et nauséabond. Il doit changer.



  • Gemini Gemini 21 septembre 2016 21:40

    Il est étonnant qu’en 2016, de tels fables puissent encore en berner certains. Cet article n’est hélas que propagande basée sur du vent et démontre surtout que pour son auteur, l’être humain doit être au service de l’argent et que le travail, ou plus précisément l’emploi — car il ne faut pas confondre les deux termes — est un fin en soi. Quel triste projet de société !

    L’emploi n’est qu’un moyen pour le capitaliste d’extorquer de la plus-value au travailleur. C’est de cette façon qu’il peut accumuler plus de capital, nommé pudiquement bénéfice. Ce n’est qu’une forme moderne de féodalisme, où, au lieu de dominer les autres par le sang bleu, on le domine par l’argent que l’on a en masse. C’est pourquoi il y a tant d’emplois nuisibles à la société et/ou inintéressants. C’est juste un moyen pour les capitalistes de nous faire croire que nous sommes en démocratie alors qu’en réalité, nos politiques ne décident guère de choses et laisse juste faire la « main invisible », qui n’est autre que celle des possédants, nommés pudiquement « investisseurs » décider en réalité de quasiment tout : aménagement du territoire, qui produit quoi, où, comment, quelles recherches scientifiques doivent être effectuées, quels maladies pourront être soignées, etc.

    À l’inverse, le travail, lui, est utile. Mais seulement s’il est utile à la société et à l’intérêt général. Il doit permettre à celle-ci de produire les biens dont elle a réellement besoin. Ces besoins doivent être définis démocratiquement. Et alors, le sens du slogan « Ne pas perdre sa vie à la gagner » prend tout son sens. Cela ne signifie pas ne rien faire. Cela signifie travailler utilement, pour l’intérêt général, seulement à la production de ce qui est nécessaire, plutôt que perdre sa vie dans un emploi inutile qui ne servira qu’à enrichir un capitaliste.

    Et au final, il y aura bien moins besoin de travailler en effet. La plupart des objets produits aujourd’hui sont d’inutiles gadgets ou de dangereux objets dont la soutenabilité environnementale est inexistante. Toutes ces productions pourraient disparaître. À l’inverse, ce qui est utile est en général produit de fort mauvaise qualité — à tout hasard l’essentiel de la nourriture non issue de l’agriculture paysanne —, et là, il faudrait utiliser plus de temps pour une production de meilleure qualité, et surtout bien plus respectueuse de notre environnement.

    Écologie et travail utile font bon ménage et feraient un merveilleux projet de société où notre travail serait utile, respectueux de l’environnement, et où notre environnement même serait à nouveau beau, agréable, et ne nous rendrait pas malade.

    Travailler pour travailler ne fait pas un projet de société. Nos difficultés économiques et sociales sont uniquement dûes à ce système néolibéral mortifère où les possesseurs de capitaux ont tous les droits et ont confisqué nos démocraties de façade. Ça ne va pas mieux dans les autres pays. Les pauvres, les inégalités, explosent partout, que ce soit en Allemagne, en Angleterre, ou aux États-Unis.
    Ce système et cette vision de la société fait de nous de simples esclaves des seigneurs capitalistes, destinés à être des soldats dans LEUR guerre économique.

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