• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Gilles

Gilles

Mon but ici : dénoncer les pratiques anti-démocratiques, liberticides ou malhonnêtes au niveau des institutions, des politiques, des média (même si cela intéresse cent fois moins qu’un article nul sur Sarko)

A l’occasion, proposer des réflexions de fond sur des thèmes complexes afin d’engager un débat (j’y crois plus trop mais...j’aime écrire)


Tableau de bord

  • Premier article le 21/02/2007
  • Modérateur depuis le 26/04/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 8 3456 271
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 55 37 18
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique











Derniers commentaires



  • Gilles Gilles 23 mars 2007 14:41

    Vraiment, beaucoup de commentaires peu informés. En tant qu’ex bachelier scientifique à Aix en provence j’ai du me poser la question entre classes prépas et universités voici 15 ans.

    Une chose saute à l’oeil. Pour intégrer une bonne classe prépa (parceque la aussi il y a les classes prépas élitistes et les autres), il est nécessaire de la faire dans un bon lycée. Les bons lycées voient une bonne partie de leurs étudiants intégrer les trés grandes écoles (polytechniques, centrales, mines...) alors que les moins bon lycées se contentent des écoles secondaires.

    Et, oh surprise, les bons lycées (avec plus de moyens que les autres) se situent presque tous en région parisienne et quelques uns dans les grandes villes.

    Ensuite, il est plutôt difficile d’obtenir une place en prépa hors de son lycée, et carrément plus hors de son académie, à moins d’avoir des dossiers exceptionnels, car la sélection se fait sur dossier et non sur les résultats scolaires ou au bac, donc subjectivement.

    Du coup, il est normal que les élites scientifiques viennent plus de Paris que d’ailleurs. Et c’est là que le bas blesse, les lauréats ne sont pas forcément les meilleurs puisque la sélection géographique a joué son rôle lors de l’admission en classe prépa.



  • Gilles Gilles 20 mars 2007 11:23

    Dis donc, l’INSEE n’est pas un simple institut de sondage, mais de statistiques. Les chiffres qu’ils sortent sont fiables et le problème porte plutôt sur ce que l’INSEE mesure et ne mesure pas.



  • Gilles Gilles 20 mars 2007 10:21

    Désolé, mais vous refusez de considérer les faits.

    Bien que Dassault marche bien dans l’ensemble, il reçoit de la part de l’Etat Français un soutien considérable grâce à des commandes, militaires notamment.

    Ensuite, n’oubliez pas que le gouvernement français fait un fort lobbying auprés des pays Etrangers pour faire signer des contrats commerciaux entre les grands industriels français (dont Dassault en première ligne) et les autorités étrangères. Les mirages se sont bien vendus grâce à l’influence primordiale de la France dans certaines régions du monde. L’Etat français n’hésite même pas a forcer la main des acheteurs ; la signature de contrats contre d’autres avantages, comme des aides financière par exemple ; Si ça ce n’est pas une subvention cachée !!

    Ainsi, le CA de Dassault est implicitement lié à l’Etat. Sans lui, pas sûr qu’il resterait à cette hauteur (sans même parler de faillite...), notamment aprés l’échec total du programme rafale, qui sans les commandes automatiques de la France n’aurait pas vu un seul avion en opération.

    D’ailleurs on peut faire un parralèle avec Boeing. Les commandes militaires énormes de l’Etat auprés des deux avionneurs sont un soutien étatique à leurs activités. En plus l’Etat en tant que client indispensable est en mesure de dicter des conditions à ces entreprises (restriction de leur clientèle, secret défense imposé....). Comme quoi on est plus strictement dans la shère privée !



  • Gilles Gilles 17 mars 2007 19:49

    Première partie de l’exposé plutôt intéressante je dois avouer pour son coté descriptif du système actuel. Mais ensuite, au lieu d’envisager les diverses possibilités de réforme du régime de protection social et de la fiscalité, étudier objectivement le contre mais aussi le pour, l’auteur abandonne brusquement le sujet pour s’emballer à l’encontre du système de protection sociale, et plus largement, des services publics en déclarant notamment :

    « ..... une mesure qui rendrait plus difficile le démantèlement de ces monopoles publics ! »*

    Voilà donc ! Enfin ! La réforme, que nenni ! Ce n’est pas le problème de fond. Le problème, suivez mon regard, c’est l’Etat spoliateur ! (du Madelin dans le texte). Il faut tout bazarder au privé et vite avant que le mamouth nous ruine, car se sont les services publics qui sont évidemment responsables de tous les maux, tous les déclins du seul fait de leur existence.

    Il faut savoir que la pierre angulaire du dogme néo-libéral (et non libéral, qui est une philosophie plus vaste) c’est bien que moins l’Etat intervient dans l’économie, mieux elle se porte. Les mécanismes propres au marché redistribuant ensuite les richeses équitablement selon l’utilité de chacun. Il est aussi acquis que l’Etat n’a pas vocation à gérer de quelconque services car elle le fait TOUJOURS (c’est une loi de l’univers) moins bien que les acteurs privés, qui motivés par le salvateur appat du gain auront plus d’incitation à mieux faire fonctionner le système. En résumé, le succés du système est envisagé uniquement à l’aune des gains financiers. L’égoïsme au service du bien public en quelque sorte.

    Il s’agit bien d’un dogme puisque la ligne directrice étant fixée, la remettre en question réduit la doctrine à néant et les détracteurs sont traités avec mépris de « passéïstes, marxistes....etc ». Comme tout bon dogmatiques, dés que vous enclenchez la discussion sur un quelconque thème (fiscalité, coût du travail, investissement, etc etc et même l’éducation et la protection sociale), inévitablement ils retournent vers leur thème de prédilection : à bas les services publics. Cet article en est une illustration.

    Il est d’ailleurs étonnant de voir des néolibéraux hurler contre « l’Etat spoliateur » qui s’accapare les richesse crées par les français (une émisison dernièrement sur LCP avec Madelin). Cela me fait penser à Arlette beuglant contre les « patrons spoliateurs » qui s’accapare les richesse crées par les travailleurs.

    Si les néo-liberaux avaient à coeur de nous démontrer que leur vision économique est meilleure en le prouvant sans inlassablement nous asséner l’argument « si tout va mal, c’est bien que nous avons raison » leurs arguments seraient plus porteurs.



  • Gilles Gilles 17 mars 2007 14:09

    Pourquoi utiliser le conditionel ? Il me semble avoir lu pas mal de témoignages d’élus locaux dans la presse validant ces pressions aux subventions, moult exemples à l’appui.

    Encore une fois des politicards oeuvrent à miner la démocratie à des fins toutes personnelles. Plutôt que de nous convaincre par la raison de voter pour eux, ils essaient de nous faire voter par défaut. C’est d’ailleurs exactement ce que signifie le « vote utile ». Ne votez pas selon vos convictions mais votez pour moi sinon vous obtiendrez le pire, le croquemitaine ; l’effrayant Sarkozy pour les uns, les socialistes passéïstes pour les autres.

    Bref, votez pour le candidat qui vous parait le mieux correspondre à vos idéaux. S’il n’y en a pas ; ABSTENEZ vous ! ça c’est le seul vote util qui ne sera pas récupéré.

    Si ensuite il y a plus de 50% d’abstention au 2em tour, et bien là la France sera bien obligé de faire l’inventaire de son système « démocratique » pour l’améliorer (quoique....)

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv