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  • Goda Goda 20 décembre 2017 18:43

    @ l’auteur



    (avant que vous ne répétiez votre drôlatique saillie si éculée à mon encontre : oui « ils » m’ont à nouveau « laissé sortir » ! période de proba’ oblige vous comprenez... ?)


    Vous avez écrit en fin de votre article et en guise de « ferme-caquet » :

    « Et il me semble pourtant qu’une des meilleures preuves d’intelligence est d’avoir le sens de l’auto-dérision, de savoir se moquer de soi-même. Certains sont plus doués que d’autres pour cela.. »

    Comme vous par exemple j’imagine ?
    Cela se ressent tellement dans la façon dont vous répondez aux commentaires, aux critiques, etc. Meme ceux qui ne sont pas foncièrement insultants à votre encontre, mais simplement critiques. Ô humilité palpable qui est la vôtre...

    On ne peut que respecter, voire admirer cette impartialité dont vous faites sans cesse preuve, ce sens aigu de l’exemplarité, cette honnêteté intellectuelle qui parsème vos articles et qui se dresse telle une muraille entre vous et la médiocrité, entre vous et le mensonge. Votre démarche même est d’une honnêteté à toute épreuve. On reconnait bien là l’ancien professeur des écoles en « zone de guerre versaillaise » qui aura donné tant de sa personne, qui aura tant sacrifié pour le bon développement de nos têtes blondes (et brunes et rousses).

    Encore merci Amaury. 
    Sans vous, nous aurions bien du mal à décrypter le quotidien, et ce fameux « réel » dont vous vous targuez d’en être le seul et unique et juste gardien des clefs.


    Mots clés :
    ZEP Versaillais. 
    Années 80. 
    92intifada.

    (rires, autodérision, gaudriole, etc.)



     smiley



  • Goda Goda 10 décembre 2017 15:17

    « Il était né dans la rue un soir de juin 1943 et n’était le fils de personne, il aurait pu connaître le pénitencier » (...)


    C’est quoi cette légende à la Hector Malot ?
    Je ne savais pas qu’il avait été abandonné à la naissance, ni que ses parents étaient inconnus...
    Ah pardon, vous ne faites que souligner le fait qu’il n’ait été que tardivement reconnu par son père peut-être. En tout cas il n’a pas connu la DASS ni l’ASE.

    Connaitre le pénitencier ? oui, enfin, restons mesurés tout de même, il n’avait pas une vie de gangster, ni de chien de la casse. C’était plutôt un enfant de la balle, donc plutôt préservé, que cela soit dit. Comme les fils Cassel par exemple, pour ne citer qu’eux.

    Que de « mélodrames » arrangeants et approximatifs juste pour coller aux mots de ses chansons. Ce genre d’exercice de style - l’hommage au défunt - n’est pas chose aisée, mais apparait un brin ridicule dès lors qu’une forme de mythification entre en jeu.

    Mais bon, je respecte votre peine de « fan », et ne vais pas appuyer plus avant ma critique des hommages réécrivant l’histoire de façon quelque peu romancée. 
    Phénomène post mortem des plus banals. Et probablement le moins négatif d’entre eux, malgré tout, surtout provenant d’un anonyme.

    Au-delà de cela, sa mort est clairement instrumentalisée « ad nauseam ». Non pas par vous, mais par tout le système médiatique et politique qui, comme à son habitude depuis un certain temps, ne s’honore aucunement dans ce genre de gesticulations morbides et outrancières.


    La vie continue.



  • Goda Goda 6 décembre 2017 15:31

    @foufouille

    Moi aussi internet m’apporte de menus services et m’arrange quelquefois.
    Mais à quel prix au final ?
    Et en m’inscrivant dans quelle logique au juste ?
    Oui, à chacun de savoir quand couper quand se retirer, etc.
    Je pense que cela sera de moins en moins évident.




  • Goda Goda 6 décembre 2017 14:32

    @Jeff Parrot

    Franchement, meme sans avoir fait Polytechnique ni les Mines, on peut tout à fait imaginer les égarements et les abus amenés par ces technologies. Et sachant que la réalité dépasse souvent la fiction...

    Du bon sens, de l’honnêteté, du courage et les moyens de se faire entendre sont les seuls ingrédients nécessaires en fait.

    Hélas çà n’a pas l’air simple de nos jours de réunir tout cela. 
    Surtout ces fameux « moyens de se faire entendre »... Et avec des technologies qui isolent tant les individus, c’est tout vu pour le moment. 
    Le « black out » sera une « illumination », un courant d’air, si tant est qu’il arrive.

    Des fois, le simple fait qu’une technologie soit découverte, passant de l’idée au concept sur papier, puis passant du papier à son application réelle, suffit à rendre celle-ci inévitable. 

    A votre critique, j’ajouterai qu’il serait également bon que les scientifiques de tous crins aient à adhérer à une charte éthique et qu’ils la respectent sous peine de ne plus pouvoir exercer (meme et surtout dans le privé). Mais aussi qu’ils aient à étudier, eux, les scientifiques, la philosophie et l’éthique dès leur formation universitaire. 

    Je sais : doux rêve....







  • Goda Goda 6 décembre 2017 14:20

    @foufouille

    Mouaifff... 
    Ca pourrait surtout se lire dans l’autre sens aussi.

    Placer des machines en guise d’interlocuteurs permet aux gouvernants, aux corpos et aux institutions de ne plus être en contact avec la masse d’indigents/clients/vaches-à-lait, ce qui permet bien évidemment la sauvegarde de LEUR tranquillité, LEUR anonymat, LEUR intégrité physique, si le « pélo lambda » venait à péter un cable et à vouloir les choper par le colbac (on sait jamais hein...).

    Ainsi, la foule en colère (fourches et torches en mains) arrivant à un guichet d’une administration quelconque se retrouverait face à un robot, et non plus un employé fait de chair et de sang (miam). Ce robot ne rejoindrait jamais la foule en colère (meme avec les 3 lois de la robotique en lui), ne se laisserait jamais convaincre de son « inutilité » et de sa morne vassalité. 
    Qui plus est, si vous lui demandez de vous mener à son supérieur hiérarchique, il y a de grandes chances qu’il vous réponde avec un laconique : « ceci n’est pas dans ma programmation ». 
    Vous pourrez aller jusqu’à le déboulonner qu’il ne vous donnera pas satisfaction.
    Et si çà se trouve, cet episode de démantelée robotique, faisant d’un robot le bouc-émissaire pourrait meme suffire dans certain cas, à calmer la vindicte populaire, qui sait ?

    M’enfin... Si les gens préférent parler à un robot au téléphone, dans le cadre d’un dialogue à choix multiple digne d’un livre dont vous êtes le zéro... Si vous aimez être pris pour un abruti, Tapez 1. Si vous préférez que l’on vous caresse dans le sens du poil, tapez 2, si vous voulez laisser une plainte sur un « répondeur poubelle », tapez 3... Désolé, nous n’avons pas bien compris votre réponse, veuillez rappeler ultérieurement. Le montant de votre appel s’élève à...
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