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  • Gourmet 2 mars 2010 11:58

    « On vit une époque formidable ! »

    La faute à qui ?
    A nous, tout simplement. A nous qui avons laissé faire, à nous qui avons élu des politiques qui laissent faire.

    Regardez ce qui se passe en Islande.
    Les banques islandaises ont, comme toutes les autres, joué et ont, bien entendu, perdus.
    Qui c’est ki doit renflouer les finaudes en question ? Le bon contribuable islandais bien entendu !
    Tout comme le bon contribuable français, anglais, allemand l’a fait (sans qu’on lui demande son avis au passage).

    Mais, en Islande, tout comme en Suisse, il existe encore un semblant de démocratie (dans les petits pays ça se voit un peu trop lorsque le pouvoir prend de la distance avec l’opinion publique) et cela en passe donc par un référendum (enfin, surtout, lorsqu’un tiers des électeurs grogne).
    Et le contribuable islandais n’est pas d’accord pour rembourser les créanciers étrangers (3 milliards ce n’est pas une paille pour un petit pays comme l’Islande) qui ont beaucoup perdu grâce aux placements avancés des banques islandaises.
    On le serait à moins pas d’accord n’est ce pas ?

    Mais c’est que ça ne se passe pas comme ça : menaces du FMI, du Royaume-Uni et de la Hollande (principaux créanciers) de ne plus soutenir l’islande de faire en sorte qu’elle soit isolée du reste du monde, pressions sur le gouvernement de la part de l’Europe (ah tiens la revoilà) menaçant de remettre en cause l’adhésion de l’Islande à l’Europe (mon avis est qu’elle ferait mieux de s’en éloigner à grandes enjambées).

    La conclusion ?
    Nous avons laissé faire , trop longtemps.
    Et, à présent, lorsqu’on tape du poing sur la table, c’est les gros yeux, les menaces de pan pan cul cul !

    Je résume : les banquiers et financiers FONT CE QU’ILS VEULENT, n’en déplaise aux gouvernements et aux populations. Non mais !
    L’agravation du chômage (conséquence directe de leurs abus) et le silence des politiques ne peut que leur donner raison :
    - on a autre chose à faire que gueuler lorsqu’on est au chômage ;
    - ils sont convaincus désormais que QUOI QU’IL ARRIVE la collectivité viendra à leur secours.

    POURQUOI S’EN PRIVERAIENT-ILS ?
    ILS SONT DESORMAIS LES ROIS, LES EMPEREURS.

    db



  • Gourmet 2 mars 2010 11:46

    Mais tout à fait !
    il faut virer ces gnomes qui ne rapportent pas au moins 100 fois ce qu’ils coutent à la banque (hors les dirigeants puisqu’il en faut pour négocier avec le politique) !
    Or, un agent, un directeur d’agence, ça ne rapporte pas grand chose : 2 ou 3 fois ses charges salariales pour l’agent et un peu plus pour le directeur.
    Pas assez mon fils.
    Allez hop, virez-moi tout cela et mettez en place des agents et directeurs distants (des indiens par exemple, qui reviennent 20 fois moins chers et 20 x 4 ou 5 ça fait 100 !).
    En plus, cela contribuera à relever le niveau de vie du milliard d’indiens qui crèvent la faim.
    Un peu de solidarité les français, MINCE, alors !
    Arrêtez de vous regarder le nombril avec vos 5 à 6 millions de chômeurs (réels pas officiels hein ?). Pensez aux pays émergents qui en ont des centaines de millions.
    Punaise !

    Et les actionnaires alors ? Ils veulent un minimum de 15 à 20% de rentabilité sur l’année. Et alors ? Vous y pensez à ces familles qui peuvent à peine faire tourner le yacht de 110 mètres avec ce que ça coute en carburant et en personnel de bord (indien lui aussi tant qu’à faire) ?

    Non vraiment, la SOLIDARITE se perd dans cette France pourrie !

    db




  • Gourmet 2 mars 2010 10:39

    « les privatisations en Europe ont un bilan largement positif, tant pour les consommateurs que pour les salariés »
    Ah bon ?
    La privatisation a pour effet de stresser encore plus les salariés (jusqu’au suicide comme nous l’avons constaté chez Renault et chez FT n’est ce pas ? Y a-t-il eu jamais des suicides dans le public ?) et de les virer sans ménagement.
    Faudrait peut-être arrêter d’écrire de telles conneries.

    Une entreprise bien gérée avec un personnel satisfait d’en être est une belle chose.
    Telle était la Poste jadis avant que les politiques ne décident il y a 10 ou 15 ans de « la préparer à la concurrence ».
    Le résultat a été :
    1. des investissements hasardeux ;
    2. un personnel qui ne sait plus très bien où il en est et qui est démotivé à force d’être tiraillé à droite ou à gauche :
    - puisque ça ne sert à rien, on n’est pas payé plus cher.

    Telle était également EDF au temps où elle était une entreprise publique.

    Enfin bref, la privatisation n’apporte que très rarement des bienfaits pour les 2 camps.
    Le pire exemple étant les chemins de fer anglais qui, une fois privatisés, ont rencontrés les pires catastrophes de leur histoire (à force de réduire les coûts, ça arrive !).

    db



  • Gourmet 1er mars 2010 14:14
    <<
    5 - Taxe spécifique à la construction de maison individuelle et taxe spéciale sur le foncier bâti pour l’unicité d’occupation (nb de logement par unité de construction pour favoriser l’habita collectif)
    6 - Suppression de la péréquation de solidarité qui consiste à payer un abonnement identique quel que soit le lieu de fourniture applicable à tous contrats de fourniture y compris les télécoms. (La distance au centre ville, ça se paye) >>

    Pas très écolo ces mesures.
    Inciter les gens à habiter en ville plutôt qu’à la campagne c’est plutôt même la négation de l’écologie.
    Même chose pour l’incitation à la vie en communauté dans des immeubles de grande hauteur.
    db


  • Gourmet 1er mars 2010 13:27

    "N’est-on pas en droit de se poser la question : qui sont les terroristes ?"

    Je pense sincèrement que le terrorisme n’est pas plus présent que dans les années 70 ou 80 contrairement à ce qu’on veut nous faire croire.

    2 choses cependant :
    - s’il existe encore son aire d’action s’est agrandie ; c’est désormais le monde ;
    - il est devenu une commodité pour aider les états justifier des mesures liberticides.

    On ressort ainsi Ben Laden juste avant les élections.

    Le terrorisme est devenu un instrument de marketing ni plus ni moins.

    db

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