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Grasyop

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  • Grasyop 4 octobre 2007 00:49

    Zen : « Le rapport entre les revenus moyens des 5 % les plus riches et des 5 % les plus pauvres a cru de 78 à 114 entre 1988 et 1993. »

    Le Chat : « Tiens , je pensait que les écarts de salaires étaient plutôt de 1 à 500 entre le smicard et le patron du CAC 40 »

    Ce n’est pas incompatible ! Les patrons du CAC 40, qui doivent logiquement être environ quarante, sont loin de représenter 5 % des français (à supposer qu’ils soient français). Ils représentent tout juste 0,00006% des Français (et pas les plus pauvres) !



  • Grasyop 30 septembre 2007 16:28

    J’avoue avoir des doutes !

    Comment les scores de confiance sont-ils calculés ? Je sais, moi, que l’énoncé « Les mouches du temps aiment une flèche. » est peu vraisemblable. C’est ma connaissance du monde qui me fait dire que le sens de cette phrase est peu vraisemblable ; la forme, elle, est tout à fait crédible. Comment une machine peut-elle juger que cette phrase est invraisemblable, et lui donner un faible score de confiance ?

    « Il suffit d’apprendre au modèle à réagir correctement (algorithme à réseaux de neurones et phase d’adaptation) aux habitudes du locuteur »

    Si je comprends bien, la machine apprend par imitation du locuteur, comme un perroquet. Mais de l’imitation à la réflexion, il y a un gouffre. Et la machine qui réfléchit, un cerveau en somme, elle n’est pas pour demain.



  • Grasyop 30 septembre 2007 15:24

    L’idée d’une traduction automatique performante (vocale ou pas) relève du rêve. Il y a des énoncés qu’une machine ne sait pas traduire correctement. L’exemple type est la phrase « Time flies like an arrow. ». Un humain comprend la métaphore et traduira « Le temps file comme une flèche. ». Une machine ne peut pas comprendre la métaphore et ne saura donc pas traduire cette phrase correctement. Elle ne saura pas choisir entre la bonne traduction et les mauvaises, par exemple « Les mouches du temps aiment une flèche ». La puissance de calcul de la machine ne change rien : pour pouvoir traduire la phrase, il faudrait que, comme un humain, elle en comprenne le sens.



  • Grasyop 28 septembre 2007 15:36

    Et malgré ce cercle vicieux, il y a tout de même une certaine activité en espéranto (Wikipédia, Libera Folio, Le Monde diplomatique... )qui fait plaisir à voir et qui donne à lire en espéranto à ceux que ça intéresse.



  • Grasyop 28 septembre 2007 15:31

    L’espéranto a 120 ans d’existence, c’est vrai, mais je pense que l’apparition relativement récente d’Internet peut changer les choses. Internet en mettant en contact des gens de langues différentes, augmente le besoin d’une langue commune facile à apprendre. Auparavant, c’est surtout les élites voyageuses qui avaient besoin d’une langue commune, maintenant tout le monde est en contact avec tout le monde. Internet permet aussi aux espérantistes des quatre coins du globe de communiquer facilement, sans congrès, sans les lenteurs et les coûts du courrier papier. Que pouvait faire, jusqu’ici, un espérantiste isolé ? Moi-même je ne suis jamais allé à un congrès et je n’irai probablement jamais.

    Je préfère donc considérer l’âge modeste d’Internet. Ensuite, savoir combien de personnes parlent espéranto et dans quelle mesure, savoir quelle est l’évolution de l’espéranto au cours des dernières années, c’est bien difficile à évaluer.

    Ce qui est sûr, c’est que l’énoncé « c’est un échec » est autoréalisateur : les gens pensent que c’est un échec, donc s’en désintéressent, donc c’est effectivement un échec. Cercle vicieux. smiley

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