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L’article de Disjecta pose une très bonne et simple question... pourquoi le Monde Diplomatique, hautement réputé pour être sérieux et bien informé valide-t-il aussi facilement, même encore aujourd’hui, la version officielle chère aux amis de Bush pourtant techniquement très faible, juridiquement insultante et politiquement indigeste ?
Pourquoi une telle compromission du Monde Diplomatique devant les yeux de nombreux lecteurs qui attendent beaucoup plus d’esprit critique, d’informations techniques ou tout au moins de prudence face à ce cinéma hollywoodien qui nous a été proposé depuis le 11 septembre 2001 ?
La réponse est simple mais elle demande l’étude technique poussée de deux gros dossiers sur deux affaires qui se sont succéder à 10 jours près : le WTC 911 et le AZF 921.
Ces deux affaires ont un gros point commun pour la recherche technique de la vérité : l’étude des données sismologiques.
Le 911 commence tout juste à sortir de l’ombre avec le scientifique français du CNRS André Rousseau qui a soulevé récemment de très nombreux problèmes sismologiques et qui a pointé sur l’existence de phases sismiques prouvant une antériorité « explosives » particulière face aux événements largement visionnés (impacts et effondrement des tours).
Le 921, c’est AZF le 21 septembre 2001 à Toulouse... et c’est aussi un autre gros mensonge sismique concernant un séisme profond et puissant (magnitude 3.4) situé à 2 km au sud-est du cratère d’AZF, sous la colline de Pech David et l’ancien hôpital militaire Larrey dont un immense réseau souterrain vieux de près de 90 ans part sous tout le pôle chimique (réseau partiellement connu des USA). Le cratère d’AZF n’a été que la résultante d’une explosion d’ammonitrate à faible impact sismique 9 sec plus tard (magnitude 1.5).
WTC911 concerne essentiellement le lobby militaire américain conservateur et les grands argentiers qui roulent sur l’armement et le pétrole, AZF921 concerne un projet à caractères militaire e civil d’avant -garde intéressant les nouvelles armes électromagnétiques et les futurs systèmes de transfert d’énergie, projet essentiellement managé par le grand pôle gauliste anti-atlantiste... et par le Grand Orient qui contrôle lui même le Monde Diplomatique.
L’un des projets a été saboté et a mis dans le plus grand embarras ses auteurs... devinez lequel ?
Barety,
3 points à régler Barety ... :
1/ Qui vous a dit que j’excluais un impact sismique de l’effondrement final des tours ?
Sur ce point je pourrais vous rejoindre, mais comme vous n’avez regardé que les courbes de PAL à un niveau zoomé, vous ne vous posez toujours pas de questions sur tout ce qui a été sismiquement enregistré. La dernière phase d’ondes de Rayleigh sur PAL et sur d’autres stations (à des distances différentes), arrivant près de 9 sec après la première phase a toutes les chances d’être cet impact final de la tour. Je rejoins et confirme en ce sens les remarques de A Rousseau sur le rôle de cette seconde phase non négligeable qui ne semble pas subir l’écart de temps indissociable d’une origine sismique unique.
Là encore, comme vous vous posez aucune question sur les datations, vous loupez beaucoup de choses et vous essayer d’enfourner dans votre « corset » alpin une comparaison qui déconne sur plein de points. La durée totale des phases significatives d’ondes de Rayleigh sur la chute de WTC1 est beaucoup trop longue pour contenir votre comparaison et également pour justifier l’événement unique sismique provenant du seul effondrement.
2/ N’essayez pas de faire croire à vos lecteurs que j’assimile les explosions qui ont eu lieu dans ces immeubles et notamment en bas, le 11-9, à des explosions classiques engendrant des fréquences basses de 1 Hz. C’est un point qui mérite plus que votre comparaison avec des phénomènes naturels... vous vous refusez à étudier les autres cas des nouveaux explosifs militaires dont ceux à la nanothermite pour la simple et bonne raison qu’ils ont eu encore très peu de documentations sismiques.... mais ce n’est pas une raison pour nier ce type de possibilités et vous contentez de votre étude qui pêche en plein de points. Vous oubliez aussi que la programmation et la répartition des explosifs peut avoir aussi un très grand rôle dans l’impact sismique qui est souvent rechercher comme le plus faible (les affirmations de Rousseau reposaient aussi la-dessus je pense). L’absence d’atténuation de l’amplitude des ondes de volumes est une particularité du WTC1 sur laquelle vous n’avez toujours pas répondu et en tout cas pas avec votre comparatif alpin.
3/ Les éjections latérales juste sous le front de chute (et non 15 étages en dessous) seraient bien une réaction à la compression... mais elles sont une preuve tracée du compactage très « lent » et progressif de la tour (et encore de ce qu’il en reste après tout ce qui part sur les bords et en fumées), la vitesse de la chute libre n’est pas délirantes pour un impact d’éboulis ! Cela ne se compare absolument pas avec de très gros rochers s’arrachant d’une montagne sans aucun frein en dessous. Avec votre technique de la vision globale entrée/sortie, vous avez abuser de cette comparaison sans aucune justification. Je ne peux donc la cautionner.
Tant que vous n’avez pas un raisonnement de sismologue pour une étude sérieuse des courbes à disposition, comment voulez-vous que les quelques éléments de votre étude originale qui paraissent parfois plausibles puissent sauver le massacre que vous du reste de vos contradictions et de vos élucubrations.
Votre étude a à mes yeux apporté un seul élément intéressant que je n’aurais pas trouvé si vite (je ne regarde cela que depuis l’article de A Rousseau) : celui de l’impact sismique du décrochage dans les cas alpins. C’est peut-être le seul qui pourrait avoir partiellement un équivalent avec ce qu’il s’est passé au pied des tours avant leur chute.
Les comparaisons que je fais avec AZF ne portent pas effectivement sur une comparaison sismologique... je ne ferai pas votre erreur de faire ce genre d’étude comparative. Mais elles portent sur le système de raisonnement que vous adoptez que j’ai retrouvé très proche de la fine équipe de Mme Souriau de l’OMP qui s’est amusée à tout vouloir expliquer de ces phénomènes sismiques non naturels alors qu’ils n’en avaient aucune compétence.
Ont-ils tout comme vous le soucis de fuir les données du terrain et les problèmes de chronologies uniquement pour protéger (totalement inconsciemment ou non d’ailleurs) les vrais responsables du désastre ?
Axez vos compétences sismologiques qui doivent être largement supérieures aux miennes sur les données du terrain... ! Et si possible essayez de motiver en France le milieu des sismologues pour trouver des solutions à toutes les incohérences sismologiques du 9-11. Bien entendu... auprès de types comme F Thouvenot ou même Raoul Madariaga, ceux du CEA-DAM et de l’OMP ayant des cadavres datant aussi de 2001 dans leur placard sont moins bien placés. Le silence de tout ce petit monde est assourdissant !
Votre « bon sens » me fait rigoler car il m’évoque les mêmes mots de ceux de la sismologue Annie Souriau de l’OMP pour qui la présence d’un cratère est nécessairement la preuve qu’il n’y a qu’un seul séisme le 21-9-2001 à Toulouse et que ce séisme est forcément celui de magnitude 3.4. Ce simple « bon sens » (dans le texte) lui a permis dans un article scientifique validé par la complaisante Académie des Sciences de février 2002 de se passer de toute vérification des cohérences des vitesses d’ondes P et du calcul géographique de l’épicentre ; étapes pourtant élémentaires de toute étude sismologique !
On ne fait pas une étude scientifique conclusive avec du « bon sens » Barety. Cette expression peut rassurer, conforter des non spécialistes dans des commentaires de blog mais elle est à bannir de toute étude dite scientifique. Je suis perplexe sur vos bases ?!
Contrairement à certains, je peux concevoir qu’au fur et à mesure de la descente de la partie supérieure (ou de ce qu’il en reste), des expulsions de vitrage ont pu avoir lieu sur l’étage qui subissait immédiatement la pression, donc celui qui est sous le front de chute. Je ne suis pas convaincu d’un système systématique à chaque étage d’explosions volontaires, loin de là.
Mais à plusieurs endroits les vidéos ont montré d’autres expulsions latérales très puissantes bien plus basses qui n’ont aucune explication avec la chute, même si certains ont voulu invoqué des pressions issues de la colonne centrale pour des raisons non mécanique. Ces phénomènes, même en faible quantité, sont très clairs et ont toujours précédé de plusieurs étages la chute. Il est de plus fort possible que ces phénomènes ne soient que la partie visible de ce qui se passe à l’intérieur.
Ils ne peuvent pas s’expliquer par la seule chute de la tour. Il y a eu forcément explosion à certains niveau (peut-être apparemment qu’à un ou deux seulement).
En revanche un point important est ce qui se passe en bas. Les phénomènes précurseurs qu’ont perçus par les témoins juste avant les impacts d’avions et juste avant la chute des tours, sont essentiels pour comprendre comment assurer sans une grosse infrastructure pyrotechnique la chute des tours : c’est tout simplement la désolidarisation de ce qui permet l’ancrage robuste global et durable de la tour quelque soit les événements qui lui arrive au-dessus.
Cet ancrage est garanti par les piliers à la base de la tour et dans les sous-sols. Enlever cet ancrage ne fera pas forcément chuter la tour (comme au moment de l’impact d’avion) , mais cela permettra en revanche la répartition latérales des contraintes du front de chute et évitera surtout la subsistance d’un pilier central qui aurait pu complètement déséquilibrer la chute. Cette rupture d’ancrage a eu lieu à la base, probablement en deux fois pour le WTC1 et en une seule fois pour le WTC2 qui n’a peut-être pas eu besoin d’un nouvel affaiblissement de l’ancrage avant la chute plus aisée (la masse supérieure était peut-être suffisante).
Il est aberrant d’imposer une théorie d’une très forte chaleur imposée à un maximum d’acier sans envisager la survie de beaucoup de témoins encore visibles dans toute la tour juste avant la chute et sans comprendre pourquoi il ne reste quasiment plus rien des masses colossales des étages.
Votre théorie du méga-compactage ne repose sur aucun élément visible dans les documents.
Il ne se retrouve pas à la fin des événements et une très grande partie semble avoir été réduite en poussière sans aucune raison valable. C’est là la plus grosse différence avec les événements des chutes en montagne et elle est de taille ! Dans les cas naturels de chute, une forte fragmentation qui est souvent le cas pour de nombreux massifs, est suivi d’éboulis impressionnants, voire de fortes poussières si le sol s’y prête, et il n’y a alors jamais d’impact sismique notable...
Les phases d’onde de volume du cas WTC sont effectivement surprenantes si on ne considère pas, comme FHC, qu’elles ne sont que des ondes de surface de faible ampleur coïncidant merveilleusement avec le timing d« ondes P et S. Mais leur régularité en amplitude qui se retrouve sur les autres cas où les sismos ont pu les percevoir est certainement le point le plus surprenant, encore plus que le 1 Hz, qui n’est pas si exceptionnel et sur lesquels vous avez monté une comparaison très hasardeuse.
Une des hypothèses est bien la création d’une sorte de phénomène de décrochement (comme pour l’exemple des rochers) mais portant uniquement sur la partie basse de la tour.
Le décrochement de quelques centimètres a pu avoir lieu en plusieurs étapes programmées de quelques dizièmes de secondes. L’emploi de nanothermite a pu assuré un tel décrochement volontaire d’un maximum de piliers en sous sol (centraux ou non) sans créer d’effets impulsionnels importants grâce à l’effet chimique calorifique ultra-rapide dominant.
L’argument que les pro VO utilisent pour justifier un affaiblissement de l’acier bien trop facile face à une chaleur démentielle qui n’a jamais été démontrée dans les dizaines de minutes, qui ont suivi, de plus sur une grande portion de la tour, est pourtant l’argument technique de la nanothermite qui lui n’avait pas besoin de se retrouver sur toute la hauteur de la tour mais à la base.
La disparition d’une telle masse de la tour en poussière dans la partie supérieure est disproportionnée par rapport à tous les autres cas d’explosions contrôlées... je ne m’explique pas comme beaucoup sans un emploi de matériel militaire de très haut niveau.
L’absence de votre part d’un intérêt plus poussé pour accéder aux données sismiques précises est très dommage. Jamais, si j’étais un sismologue de métier, je ne prêterais à fonder des hypothèses et à les affirmer haut et fort comme les plus certaines, sans une étude détaillée des courbes. Cette absence a d’ailleurs expliqué pourquoi vous avez dû en rester à une vision »Entrée/Sortie" du phénomène montagnard mais les quelques informations chiffrées fournies ne permettent pas de compenser la pauvreté graphique des Pdf utilisés. Le but de ces études d’ailleurs étaient effectivement restreint à une vision globale et donc incompatible à une comparaison articulée d’événements successifs au WTC.
J’ai assez pratiqué les entourloupes des sismologues de l’OMP et du CEA-DAM dans l’affaire AZF pour savoir qu’il est très facile de raconter n’importe quoi à partir de documents qui ne portent pas sur des courbes précises et sur des preuves détaillées. Il est une chose de faire confiance au travail et aux données exploitées non retranscrites dans une étude ciblée, et il est une autre chose d’échaffauder une nouvelle théorie avec la partie visible de ces documents. C’est comme si vous repreniez des bouts de programme compilé d’un super logiciel de simulateur de vol pour jeu PC et que vous les réintégrer texto dans les programmes informatiques des grands Airbus sans tenir compte de toutes les recherches propres au programme Airbus.
Accéder aux sources de l’information est une sécurité minimale avant de dire des conneries sur toute la longueur.
L’absence totale de curiosité des sismologues français qui ont pourtant une très bonne réputation du traitement sismologique de nombreux phénomènes naturels ou non, pour le cas WTC, est quasiment révoltant pour un pays qui semble avoir joué toute une comédie théâtrale à l’ONU face aux ambitions du pouvoir américain de l’époque. Il était extrêmement facile de déranger les commissions d’enquête US et le pouvoir US pour le couple Franco-Allemand, uniquement avec tout ce que des sismologues du CEA Militaire et des experts électriciens ou autres auraient pu ouvertement exiger des US sur cette affaire devant l’ONU.
Cela n’a pas été fait. André Rousseau est le premier à avoir publiquement révélé cette carence honteuse dans le domaine sismologique. Il n’a pas tout expliqué mais il a largement montré l’état déplorable des études engagées à ce niveau et pas que sur le plan sismologique puisque les datations sont très floues et, même si vous amenez une vision hypothétique originale... vous n’avez absolument rien apporté au rouleau compresseur scientifique qu’il faut pour expliquer tout ce qu’il s’est passé.
EXIGER LA VERITE, C’EST EXIGER TOUTES LES DONNEES !
et surtout pas d’en chercher ailleurs pour faire croire qu’on n’a pas besoin des données les plus importantes et les plus proches du terrain.
Les paramètres de comparaisons que vous utilisez sont uniquement des paramètres globaux d’« entrée/sortie ». Ils ne décrivent absolument rien des événements et ne permettent donc pas de pouvoir les comparer.
Vous employez abusivement le terme d’éboulis dans les deux cas d’études naturels alors que vous n’avez aucune preuve que les impacts ayant provoqué les phénomènes sismiques ne sont pas dus à la présence de grosses entités qui étaient agrémentés de ces éboulis inévitables, même si à la fin de la chute les restes étaient effectivement plutôt fragmentés.
Il existe de très nombreux cas de très forts éboulis qui n’ont déclenché aucun séisme dans les massifs montagneux du même type. Les cas répertoriés avec des magnitudes pouvant atteindre 1.5 à 2 sont très rares par rapport à tous ces cas. La présence de la première phase sismique au décrochage et les traces de ces décrochages montrent au contraire de ce que vous supposez pour assoir votre théorie, que les volumes de très grosses taille ont bien existé et avaient toutes les chances de perdurer jusqu’au premier gris impact.
Manier le mot éboulis ou même essayer de bluffer le lecteur avec les mots « pluie de débris » et « pluies de roches » pour le plaisir de vous rapprocher du WTC est encore une fois de la pure malhonnêteté scientifique. La pluie de roche justement n’existe pas de la cas des chutes naturelles évoquées. C’est comme si vous parliez de pluie fine pour décrire un phénomène qui mélange simultanément le crachin et des grêlons gros comme des oeufs d’autruche.
Le relativement faible écart d’impact sismique entre les chutes de très gros volumes et celui de l’exemple de 1997 pour les Drus, qui est très modeste provient justement de la fragmentation de départ nécessairement plus probable sur de grosses surface de décrochement.
Les vitesses d’ondes comparables... pas de surprise quelque soit les cas sismiques.... ce n’est pas un critère de comparaison.... je dirais même au contraire, vu le type de parcours et de lieu géographiques, ils pouvaient y a voir plus de différences sans que cela ne gêne votre démonstration. Utilisez cela dans vos critères dénote la faiblesse de votre raisonnement.
Vous faites aussi du spectre de fréquence de WTC un spectre très chaotique et complexe... ah oui et en quoi ? Sur les cas naturels cela paraît assez clair et très prévisible vu les masses et les volumes en jeu... mais pour le WTC j’aimerais un peu plus de précision dans l’aspect chaotique et complexe ? Avez-vous aussi fait attention au problème de la qualité du signal pour WTC par rapport aux nombreux sismographes relativement fins des cas de chutes naturelles ? Et pouvez-vous confirmer cette complexité sur tous les sismogrammes des autres stations à des distances similaires du WTC... ? Vous serez peut-être surpris justement de voir que pour certains d’entre eux moins gênés par le bruit de fond, ces spectres ne semblent pas aussi complexes qu’avec PAL et encore moins qu’avec les cas naturels.
Vos critères de comparaison pour cette complexité ne sont absolument pas justifiés et je ne parle pas de tous les cas sismiques qui n’ont rien à voir ces deux séries comparées qui présentent évidemment aussi ce type de complexité.
Il serait intéressant de voir le comportement exact des ondes de volumes pour le cas des chutes naturelles car une période proche du 1 Hz est une chose, mais le cas WTC a, sur quelques sismographes dont PAL, la particularité d’avoir très peu de variation sur l’amplitude, ce que vous n’avez jamais montré sur les cas naturels.
Je réitère à ce niveau ma demande d’accès aux données sismiques des cas naturels (celui des Drus aurait dû être accessible sur le site du SISMALP mais ne l’est pas) à une échelle scientifiquement respectable pour pouvoir juger de vos critères de comparaison.
C’est quelque part ou non ? je n’ai toujours pas de réponse de votre part alors que ceci est essentiel pour s’appuyer sur la comparaison des signaux sismiques des ondes volumiques très particuliers pour le WTC.
Et bien entendu vos certitudes sur vos comparaisons ne vous amènent même pas à vous poser le problème de la datation des événements complètements incohérents. A ce niveau, vous vous en moquez autant que J. Quirant et vous ne vous posez même pas le problème de l’existence d’autres possibilités sur l’origine de ces signaux.
Il n’y a absolument rien de limpide dans vos comparaisons qui sont faites à un niveau globalisant qui ne tient sur aucune rigueur scientifique et qui ne reposent même pas sur une série de coïncidences qui pourrait commencer à nous interloquer... à part le 1 Hz sur lequel tout à démarrer dans votre approche, le reste n’est pratiquement que de l’habillage sémantique, avec les mots pour trompez le lecteur et avec des chiffres globaux pour faire croire qu’un comparatif qui ne repose que sur quelques valeurs de départ et d’arrivée.
La présence de faibles ondes volumiques par rapport à plusieurs séries d’ondes de Rayleigh, n’est pas non plus une critère exceptionnel pour une comparaison. De très nombreux cas d’explosion au sol sont le lot de ce type d’enchaînement, la forte amplitude d’ondes volumiques étant un critère surtout pour des explosions en milieu très confinés et souterrain.
C’est d’ailleurs un des critères les plus mensongers utilisés par les sismologues de l’OMP et du CEA Militaire pour justifier l’association du cratère AZF avec l’explosion au sol du tas d’ammonitrate du hangar 221, car les ondes de volumes étaient très importantes et dénotaient un phénomène sismique très souterrain que les autorités françaises se sont empressées de cacher. Pour l’explosion du camion de nitrates au sol, pris dans un incendie en mai 2004, à Mihailesti en Roumanie, les sismogrammes ont bien présenté de faibles ondes de volumes et de fortes ondes de surface et un cratère de 5 m de profondeur et de 15 m de diamètre qui n’aurait jamais existé sur le granite alpins.
Il est même surprenant que vous n’ayez pas chercher à mieux décrire les phases sismiques de décrochement qui sont elles certaines de ne pas pas être trop engluées par la complexité du phénomène naturel (ce qui me pousse à croire d’ailleurs que votre étude n’a pas été faite avec les courbes sismiques de base mais avec les gribouillis des Pdf mentionnés).
Vous vous foutez complètement de l’absence du volume énorme que devait constituer la pluie de débris à la fin de l’effondrement... les quelques 12 à 20 m de monticule de Ground Zéro constitue une différence énorme avec les cas montagnards que vous évoqués qui, eux, n’ont pas caché leur volume de débris derrière des théories fantasques sur la disparition des tonnes d’acier et de bétons à l’arrivée. (C’est vrai qu’ils n’ont peut-être pas eu autant de fines poussières magiques que pour le WTC).
Là... rien aucune remarque, J Quirant vous a peut-être satisfait dans ses réponses... j’ai bien peur que oui !!!
Barety,
vous utilisez toujours le même processus...
profitant de remarques disproportionné de FHC sur le rendement sismique de l’effondrement d’une tour qui n’aurait pas été « allégée », vous pousuivez votre comparaison des rendements sismiques des cas naturels de chute de blocs de rochers sans vous souciez pour ces cas naturels :
- du type de fragmentation réelle qu’il y a eu dans les secondes de création des ondes sismiques (dont la responsabilité des plus gros blocs encore non fragmentés)
- de la forme exacte des ondes de volumes que vous résumez à un spectre de fréquence globale et quelques sismogrammes quasiment illisibles
- du rôle joué par le sol « récepteur » dans les événements... (absence d’étude du terrain impacté)
Puis avec ce cumul d’approximations vous globalisez masse totale, énergie potentielle, rendement sismique, tout en masquant volontairement les très fortes différences pour ce type de comparaison entre WTC et les chutes :
- fragmentations et densité des éléments qui n’ont rien à voir...
- comparaison de contraintes complètement idiote car basée sur un montage grossier du WTC complètement irréel et supposant déjà un scénario unique que vous cherchez à retrouvez (ce raisonnement est complètement anti-scientifique)
- rôle des structures de la tour encore ancrée au sol incomparable au sol d’une montagne
- nature des sols (sédimentaires et granitiques) qui ne réagissent pas du tout de la même manière dans la répartition de l’énergie à très faible distance et dans le rendement sismique des différentes phases d’ondes
- délais et formes exactes des phases qui ont débuté l’effondrement des tours sur lesquelles vous affirmez des choses sans aucune preuve !
Bref, comme les 8 sec d’ondes de volumes de la station PAL ont un spectre de fréquence privilégiant le Hz (aucune vérification sur les autres stations du 11-9), vous estimez que la mise en correspondance d’une partie des caractéristiques globales et totalisantes entre ces deux séries de phénomènes sismiques vous suffit pour affirmer que les choses sont comparables. On peut concevoir l’élaboration d’une hypothèse de l’existence de quelques points communs mais autant d’affirmations péremptoires aussi peu étayées, soit c’est de la bêtise, soit c’est de la panique ?!
Le raisonnement est du pur fantasme, de la pure escroquerie s’il n’est pas étudié dans le détails et selon tous les paramètres nécessaires pour ce genre de comparaison.
Il en va de même pour les fréquences de tremblement de terre, le cas WTC et les cas de chute de roche sont suffisamment particuliers pour ne pas évacuer d’un revers de main les remarques de A Rousseau sur le Hz observés. Un raisonnement statistique de votre part n’a absolument rien d’honnête vu les types d’événements étudiés. Beaucoup d’ondes de volumes de séismes peu profonds sont de l’ordre de 1 à 3 Hz sur les sismographes à des distances de 25 à 100 km (les bases de données françaises en témoignent)... vos affirmations globalisantes sont à ce niveau tout aussi malhonnêtes que les autres.
Et bien entendu, le problème de la datation, que vous méprisez à 100% pour le WTC n’est même pas pris en compte pour les cas de chute de roches, car vous êtes incapable de savoir qu’elle « objet » ou type de groupement d’objet« a réellement provoqué les principales séries d’ondes sismiques. Seul l’impact sismique du décrochement, à cause de sa datation précoce, est certain et il est lui à 100% incompatible avec le scénario du WTC que vous défendez. Il faut noter d’ailleurs que l’impact d’un très gros bloc a pu provoquer au niveau du sol impacté dans le flanc de la montagne les effets sismiques très proches de ceux qui peuvent provoquer un nouveau décrochement (sans qu’il s’amorce nécessairement) et donc expliquer en cela les fréquences en Hz du sol évoqués par A Rousseau.
Je suis surpris que quelqu’un de votre niveau (présenté comme tel par Mooréa34) se risque à autant d’affirmations comparatives très peu-scientifiques pour le simple plaisir d’expliquer le Hz des quelques premières secondes d’ondes volumiques repérés sur PAL. FHC,avec le peu d’étude des courbes qu’il a fait, est moins ridicule et est apparemment très sincère, en proposant l’hypothèse d’ondes non volumiques... qu’il serait prudent de ne pas rejeter à 100% vu le nombre d’événements sismiques repérés sur les sismographe qui ont émaillé la matinée du 9-11.
L’utilisation d’un pseudo »Barety« qui perdure devient aussi très mal élevé quand on ose s’attaquer scientifiquement ouvertement à des gens qui n’ont jamais cherché à se cacher, et quand on s’appuie sur des documents écrits par des quasi-collègues à ce que je crois comprendre de ce que dit M. Quirant à propos de vous. Vous appelez-vous réellement Barety ou avez-vous peur de révéler à vos (futures) collègues votre vrai nom ?
Avez-vous parlé de tout cela à M. François Thouvenot à Grenoble ? Savez-vous s’il a une opinion sur l’affaire du WTC et des données sismiques du 9-11 ?
Il est très surprenant de constater qu’aucun géophysicien et aucun sismologue en poste en France n’ait osé s’attaqué en 9 ans sur l’aspect sismique du WTC ! Le modeste A Rousseau, à la retraite, qui ne faisait pas du tout parti de ces centres d’études sismologiques renommés en France, est le pionnier en la matière... vous êtes peut-être le second, mais apparemment, contrairement à lui, c’est en toute discrétion ! Si votre jeunesse explique votre prudence, il serait en revanche intéressant de votre part de booster les professionnels déclarés français la dessus, au lieu de servir de jeune éclaireur imprudent !
Pour les phénomènes sismiques non naturels d’AZF-Toulouse, on n’a vu le CEA Militaire se cacher derrière des spécialistes de séismes naturels comme Annie Souriau et Matthieu Sylvander de l’OMP, servez-vous aussi de frêle bouclier pour les très silencieux sismologues civils et militaires français qui n’ont pas encore estimé intéressant de parler du WTC ?
Il serait aussi intéressant qu’un brillant scientifique comme vous indique aussi ce que les USA sont capables de présenter comme données sismologiques précises et exhaustives pour la recherche de la vérité sur cette affaire du WTC ! On peut comprendre le »jmenfoutisme" de Quirant qui n’a aucune base très solide dans ce domaine, mais quelqu’un qui est capable de ramener des données sismologiques aussi géniales et originales que cela pour des comparatifs sismiques osés devrait être capable d’indiquer à tous les lecteurs du forum, l’état de l’art sismographiques dans les pays occidentaux pour ce qui est du potentiel de mesures sismologiques. Et ne me dites pas que vous imaginez que les USA ne disposent même pas de ce que dispose le CEA militaire en France !
Je souhaiterais que vous permettiez aussi à ceux qui souhaitent vérifier vos comparaisons l’accès aux courbes sismiques d’origine des cas naturels étudiés (au moins celui des Drus grâce au réseau SISMALP intervenant). A moins que vous vous êtes reposés uniquement sur les rapports déjà mentionnés et que leurs graphiques vous ont suffit pour la comparaison avec le 9-11.... je n’en serai pas étonné vue la manière dont vous simplifier à l’extrême vos raisonnements.
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