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Helveto

Helveto

Québécois devenu suisse.  Trilingue français-anglais-esperanto (Eo appris en 1988). Marié, père de deux enfants qui ont reçu l’esperanto de naissance, à côté du français.
Profession : DBA et développeur d’applications web, en Suisse, dans le domaine de la formation continue et dans un contexte multilingues (UML, xHTML, php, mySQL, Joomla, Moodle, etc.)
Trois principaux centres d’intérêts : les gens, les humains et les personnes.
Idéaux : l’avenir de la planète post-petroleum et les énergies renouvelables. Les idées qui ont fait avancer l’Humanité vers plus d’humanité : Gandhi, Dalai-lama, Elisabeth Frey, L.L. Zamhenhof, Edmond Privat, et plusieurs autres qu’il serait trop long d’énumérer. J’aime aussi les efforts pour l’égalité Nord-Sud, pour l’égalité femmes/hommes, pour l’égalité entre gens de langues différentes, pour la justice économique et sociale. J’aime aussi les manifestations de pacifisme, incluant celles exprimées dans le silence des Quakers (universalistes ou pas).
(Je dis bien que ce sont mes idéaux, pas toujours mon pain quotidien).
Bénévolat : Caissier et responsable des abonnements du journal L’Essor.



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  • Helveto Helveto 20 mars 2009 20:03

    Le brouillard est dissipé, c’est le week-end, j’ai un peu de temps pour revenir au thème de la "victoire de l’anglais" dont parle The Economist. J’ai fait lire l’article à quelques personnes autour de moi. Dans le tas, y’a des suisses romands ordinaires et des espérantophones (tout aussi ordinaires). Ca a soulevé des questionnements que je livre en vrac :

    1. La France et l’Italie n’ont-ils pas longtemps financé des structures pour faire la promotion de leurs langues respectives (comme des maisons de l’Alliance française ?). L’équivalent existe-t-il pour anglais ?

    2. Est-il vrai que des stations de radios privés (hors du monde anglo-saxon) reçoivent gratuitement leurs stocks de disques en échange d’un engagement à diffuser au moins x% du temps des chansons en anglais ? (je n’ai aucune idée du %-age en question). Une sorte de "scratch my back, I will scratch yours" entre les majors du disque et des radios locales.

    3. Y a-t-il quelque part des sondages ou des études qui ont exploré ou mesuré rationnellement ces points :

    3a) Intérêt et attrait (ou désintérêt) pour les langues étrangères, en général (ou l’anglais en particulier — c’est égal) disons CHEZ LES MOINS DE VINGT-CINQ ANS, par exemple. Autrement dit : les jeunes eux-mêmes en pensent quoi de ces questions ? Parce qu’on lit souvent que les jeunes sont anglophiles, mais en même temps on croise souvent en France des tas de jeunes qui sont (disons en vrac) anglophobes, anti-américains, anti-euiropéens, etc. A part vos ressentis et opinions personnelles, avez-vous des chiffres là-dessus ?

    3b) L’efficacité de l’enseignement des langues, à l’école. Je ne parle pas de fric, mais du résultat concret, de la capacité de comprendre et d’être compris, par rapport au temps d’apprentissage consacré. (Personnellement, j’ai fait de l’anglais pendant 6 ans au Québec, mais je n’ai vraiment commencé à le comprendre ou pouvoir l’utiliser un peu correctement qu’en immersion, lors d’un voyage de plusieurs mois dans l’Ouest canadien après la fin de mes études. Bref, j’ai l’impression que l’enseignement des langues à l’école [au Québec et à mon époque] est[était] un fiasco et un gaspillage énorme. (Je désamorce tout de suite : je ne sous-entend pas que l’enseignement de l’E-o à l’école, serait mieux. Puisque j’ai appris l’espéranto, on peut présumer de ce que j’en pense à titre personnel). Mais n’empêche que la question de l’efficacité de l’enseignement des langues en général mérite d’être posée. Est-ce mesurable ? Cela a-t-il été mesuré ?

    3c) Sait-on quel est le pourcentage de personnes qui maitrisent l’anglais comme langue seconde en France, en Allemagne, ou dans les autres pays d’Europe ? Et à quel niveau, en vérité ? Où trouve-t-on des chiffres là-dessus ?

    Voilà, à vous...

    Helveto

    P.S. Je concluerai en précisant que je préférerais ÉVIDEMMENT lire vos réponses concernant les questions qui m’ont été posées plutôt que de lire des "chicaneries" (mot québécois) entre les participants, mais :
    Qu’importe si la tentation de donner des conseils est irrésistible... puisque la faculté de les ignorer est universelle.




  • Helveto Helveto 15 mars 2009 23:06

    Cher Linmark,

    Vous avez raison quand vous supposez : "Il semble qu’Hermès s’adressait en eo à Helveto".

    Cet aparté me concernait. Il s’agissait des derniers "réglages" dirons-nous. Nous avons établi un contact direct dans cet étrange chose qui s’appelle le monde réel, oui, là... juste à côté si près d’AgoraVox qu’on peut le toucher du doigt (pour ceux qui ont vu le film Matrix).

    Ce qui veut dire en français que la saga "Recherche Helveto désespérément" est close et que les pseudos ont cédé la place aux humains. Les autres visiteurs de cette page ou moi-même allons pouvoir ici continuer de parler DE L’ARTICLE du journal The Economist. Les apartés personnels entre personnes (en français ou en espéranto) pourront se dérouler là où ils le doivent, c’est-à-dire dans nos boites e-mail respectives. Ceux qui ont suivi la saga en silence : merci de votre patience.

    Pendant ces derniers jours, y’a quelques personnes autour de moi qui ont lu l’article. Ils m’ont communiqué des commentaires intéressants. Mais ce ne sera pas pour ce soir, j’y reviendrai prochainement. Pour l’instant, je laisse le brouillard se dissiper chez mes interlocuteurs directs et je vais me coucher.

    Helveto



  • Helveto Helveto 15 mars 2009 14:33

    Rebonjour Krokodilo et Lord_Mahuf.

    L_M, vous me remerciez pour mes témoignages lus avec attention, c’est gentil de votre part.
    Hermes, vous m’avez écrit à l’adresse e-mail que j’ai publié et je vous ai répondu. Merci aussi.

    Kroko avait raison quand il a commencé un de ses précédents messages par :
    "On bute là sur la question de l’anonymat et des pseudos.".
    C’est ça qui m’a décidé à afficher publiquement mon vrai nom. J’y ai réfléchi quelques instants puis je l’ai fait. C’est tout.

    En ce qui me concerne, le débat sur ma "véritable identité dans le monde réel" est clos, puisque je suis sorti de derrière mon pseudo et que j’ai donné mon vrai nom, ma ville, mon vrai numéro de téléphone, et mon histoire personnelle suffisamment en détails pour être trouvable et donc crédible. Il suffit à n’importe quel espérantophone qui sait lire en esperanto les chiffres de un à dix et qui veut être rassuré sur mon identité de m’appeler au numéro de portable que j’ai donné. Et le code pour la Suisse à mettre devant, c’est +41. L’argument "il n’a donné qu’un numéro de portable, donc ça ne prouve rien" n’est pas recevable. Car je n’ai pas donné ce numéro pour "prouver" qui je suis, juste pour devenir atteignable. Appellez-moi, et il ne suffira que de quelques mots entre nous (Fr ou Eo) pour prouver mes dires. C’est pas la publication ici sur cette page publique de mon numéro de portable que je considère comme une preuve (ce n’est là que le moyen de me joindre). C’est la CONVERSATION qu’on aura qui le permettra.

    Pourquoi mon portable ? Parce que je suis au moins sûr que ce sera moi qui décrocherai ! Ce n’est pas à ma femme ni à mon fils de 6 ans, ou de 11 ans, de répondre à d’anonymes AgoraVoxistes qui voudraient cesser de douter. Est-ce que tous ceux qui restent encore bien au chaud derrière leurs pseudos (je les comprend) veulent bien au moins admettre ça ? Mais, en fait, c’est une précaution inutile. Car maintenant que j’ai décliné mon identité, je ne peux même pas cacher mon numéro de téléphone de la maison. Car les espérantistes peuvent attraper sur les rayons de leur propre bibliothèque un exemplaire du pasporta-servo, regarder la rubrique Suisse, trouver mon numéro de téléphone à la maison, et m’appeler. et si ils n’ont pas le passporta-servo chez eux, c’est pas ce bouquin qui est dûr à trouver en espérantie. N’importe qui peut aussi taper mon nom sur le site des renseignements téléphoniques suisses, obtenir là encore mon adresse et mon numéro à la maison et m’appeler. Y’a même une carte googlemap qui montre mon adresse sur un plan.
    Vérifiez tout ce que vous voulez, mais personnellement je préfèrerais quand même juste qu’on m’appelle au mobile d’abord, quitte à ce que je rappelle ensuite, ou que je dise alors à mon interlocuteur "Ok, je suis à la maison présentement, appelez-moi au numéro fixe" que vous avez trouvé dans le pasporta servo ou dans l’annuaire téléphonique" ou alors "rappelez-moi à la maison à telle ou telle heure, quand je serai rentré du boulot". Bref, la question de me contacter pour être sûr de qui je suis ne se pose tout simplement plus depuis le "coming-out" (dévoilement de mon identité) de mon dernier mail.

    Et celui qui craindrait de m’appeler sur mon portable DEPUIS un téléphone fixe... peut descendre au coin de la rue et ma m’appeler depuis une cabine si ça lui chante. Ce n’est plus mon problème.

    En plus, personne n’a fait (que je sache) un e-mail à Cyril Hurstel (le vice-président d’Espéranto France) pour lui demander gentiment : "Auriez-vous l’obligeance de jeter un coup d’oeil à cette page d’AgoraVox, et de me dire si tout ce qui est dit là correspond bien à ce M.B. que vous connaissez. Cyril vous dira que oui. Au pire il m’appellera ou m’écrira d’abord pour me poser la question, avant de répondre. Tout ça sans parler des autres personnes que je cite, qui vous le confirmeront aussi. Mais ce n’est même plus nécessaire de les déranger, puisque je me suis rendu atteignable directement.

    J’ai aussi proposé d’organiser un contact par Skype, qui permet la téléphonie avec vidéo. Pas de réactions...

    L’adresse e-mail temporaire. Oui, elle est valable pendant une semaine. Et j’ai dit pourquoi j’y avais eu recours. Vous avez jamais eu une boite e-mail inondée de spam, vous ? Mais j’ai aussi dit que je répondrais depuis mon e-mail nominatif.
    Hermes m’a écrit. Il a eu une réponse. En mettant une adresse e-mail temporaire, je ne joue pas au chat et à la souris avec LES GENS qui lisent cette page, je fais juste preuve d’un peu de prudence envers le reste du web, incluant les programmes-robots qui écument les adresses e-mail. VOUS TOUS qui utilisez des pseudos ici et ailleurs, vous pouvez quand même comprendre ça, il me semble !
    J’ai donné bien assez de moyens de me contacter "dans la vraie vie". Alors ce n’est plus mon problème. Il ne m’importe plus de prouver qui je suis à quiconque craint suffisamment pour son propre anonymat au point de ne même pas pouvoir m’appeler depuis une cabine téléphonique de la gare la plus proche de chez lui.

    J’en garderai juste un éternel étonnement quand aux tours et aux retours que le web permet (ou empêche).
    Kroko disait "On bute là sur la question de l’anonymat et des pseudos." et il avait raison.
    Moi, depuis que j’ai publié mon nom et mon cv dans mon mail précédent, je ne bute plus.
    Le reste, je n’y peux rien.

    J’avais dit que j’éviterais les longs messages. Caramba, encore raté. C’est par e-mail directement aux personnes concernés que je suis prêt à discuter pour ne pas continuer de polluer cette page... et donner indirectement du grain à moudre à certains. Mais maintenant —désolé de le dire— c’est moi qui bute sur la question de l’anonymat et des pseudos.

    Helveto (Mario)

    P.S. Et comme j’ai la mauvaise habitude de rajouter des P.S., en voici un :

    À part le reportage télévisé de France 3, Pauline Froissart, journaliste "papier" du journal Ouest-France a aussi fait paraitre un article sur la rencontre des familles esperantophones de juillet 2009 tenue au chateau de Gresillon, à Baugé en juillet-aout 2009. Je me suis rappelé que cet article avait été repris sur le site de SAT Amikaro (voir ici). L’article cite mes réponses à la journaliste, celles de mon fils (toujours le même) qui apparait aussi sur la photo accompagnant l’article, tout de gris vêtu avec un tambourin. Décidément, nous apparaissons plus le web que je l’eusse jamais souhaité... (O ve).



  • Helveto Helveto 13 mars 2009 22:16

    Plus simple en effet.
    On dit soixante-dix, quatre-vingt, quatre-vingt-dix au Québec, comme en France.
    En Suisse romande, septante et nonante partout.
    Quant au 80, ça varie. Chez moi (c’est bon là, tout le monde connait ma ville ?) on dit quatre-vingt, mais ailleurs en Suisse romande on dit à certains endroits "huitante", et j’ai même entendu parler de "octante" (plus rare, je crois).

    J’aime bien le parrallèle avec les souliers et autres objets "artificiels". Je vais le ré-utiliser.

    Merci Henriette.



  • Helveto Helveto 13 mars 2009 22:02


    >> Reste que vous ne faites qu’accumuler des noms, des faits et des lieux tous trouvables sur la Toile.

    Ben oui, précisément. Vous m’avez demandé de signaler des gens qui peuvent vous confirmer qui je suis.
    J’aurais pu vous mentionner d’obscurs espérantistes suisses parmi la centaine que je connais, mais ça ne vous aurait avancé à rien. Alors j’ai cherché sur le net précisément ceux qui sont connus, présents sur la toile, dont vous n’auriez pas à vous défier et QUI EN PLUS ME CONNAISSE BIEN.

    Mais sans rien vérifier, vous me dites que je NE fais QUE accumuler des noms. (soupir...)
    J’avais pourtant l’impression de répondre à votre demande, pour vous permettre À VOUS de vérifier ce que vous vouliez vérifier, sans pour autant m’étaler publiquement. Bon. Tant pis. Je vais devoir me jeter à l’eau.

    Vous doutiez au début que j’étais espérantophone, soit.
    Je vous écrit en e-o un post-scriptum de 8 mots, vous le décortiquez et vous doutez un peu plus.

    J’y ai cru de bonne foi et vous ai cité des gens connus qui, simplement en lisant mes messages ici, vous auraient confirmé qu’ils me connaissent. Et hier, dans un post-scriptum en esperanto je vous ai mis avec mon numéro de téléphone personnel
    pour être plus direct. Pour que vous puissiez m’appeller directement (eh oui, c’est mon vrai numéro), qu’on se parle en quelques phrases, et que vous n’ayez ainsi finalement besoin de déranger aucune tierce personne pour trancher votre lancinante question.

    Je ne sais pas si vous avez essayé de demander confirmation à une des personnes que je cite. Ni si vous avez visionné la vidéo de France concernant REF... Mais vous me ré-écrivez ce soir pour me dire que le doute continue, à cause d’une apostrophe à Helveto, ou L’Helveto, ou La Helveto, et vous revenez sur la forme "non-fluide" de mon premier post-scriptum. Ben alors, et tout le reste ? Et pourquoi vous ne me téléphonez pas ?

    Je comprends que tout ce que j’ai pu mettre dans mes second et troisième messages ne sert à rien si il est impossible d’obtenir de manière implicite ne serait-ce qu’une présomption de bonne foi au départ. Vous devez salement souffrir de toutes ces réactions agressives sur les forums où vous intervenez, pour que la défiance s’élève plus haut que la longueur de mes trois messages réunis.

    Il m’a fallu faire le cycle trois fois avant de comprendre que ça peut tourner en rond éternellement, c’t’affaire.
    Mais je sais m’adapter, et ne compte pas vous faire souffrir plus longtemps.

    Les Québécois —vous ne me contesterez pas ce point j’espère— ont la réputation d’être des gens francs et directs, n’est-ce pas ?

    **********************************************************************************************************
    Alors permettez que je nous sorte de ce cercle vicieux en nous tirant tous VERS LE HAUT.
    Vers la clarté de la vie réelle, là où les pseudos et autres multi-avatars n’ont plus cours...
    Vous êtes prêts ?  smiley On y va...

    **********************************************************************************************************

    Je m’appelle M-a-r-i-o B-é-l-i-s-l-e. (le nom vient de votre Belle-Isle-en-Mer en Bretagne).
    J’ai 48 ans. Je suis né à Montréal en 1961. Marié, deux enfants.

    J’habite à La Chaux-de-Fonds, dans le canton de Neuchâtel.
    Je suis venu en Suisse et j’y ai appris l’espéranto en 1988, auprès de Claude Gacond, d’abord... et des autres que j’ai cités (Ertl et cie). J’avais, juste avant de quitter Montréal, connu pendant quelques mois Normand Fleury et les autres familles proches de la Société québécoise d’espéranto. Mais c’est loin déjà.

    En Suisse, j’ai travaillé en espéranto pour la Fondation Edmond-Privat et au K.C.E. de cette même ville de 1989 à 1994.
    Durant cette époque, j’allais à chaque Nouvel an en Allemagne pour participer à IS, et j’ai aussi participé à quelques IJK, ou autres junularaj arangoj. En 1994, quand Claude Gacond a cessé de s’occuper du K.C.E., c’est un nouveau comité sous la houlette de G. Silfer qui a repris les rennes, et j’ai alors complètement pris mes distances. Du Centre... et ma foi aussi un peu de l’espéranto. J’avais probablement besoin d’air.

    Après ces années d’esperanto à temps plein, j’ai trouvé un "vrai" travail (non, je ne me moque pas de l’Eo), nous avons eu des enfants, et j’ai cessé de participer à des rencontres internationales. Ma compagne et moi avons néanmoins élévé nos enfants comme denaskuloj. Et pas complètement en marge du monde esperantophone non plus. il y a aussi des rencontres en Suisse, et plusieurs membres de notre famille proche parlent aussi esperanto, dont ma belle-mère, qui est la co-présidente de la Société suisse d’espéranto , impliquée dans ILEI, dans les commissions d’examens, et qui participe à U.K., elle. Elle a été la présentatrice de la audiaua vespero du U.K., ces dernières années. D’où ma remarque antérieure à Kroko où je lui disais : si vous allez au U.K., vous connaissez même ma belle-mère (alors, vous y allez, ou pas ?).

    Nous avons donc eu, comme je le disais, beaucoup de contacts avec des esperantophones, mais pratiquement aucun en France, sauf avec mon ami Gijom du Kotopo, qui a travaillé avec moi au K.C.E. avant de revenir sur Lyon pour y lancer son propre projet.

    Durant l’année scolaire, nous accueillons des esperantophones de passage, puisque nous figurons dans le pasporta-servo, sous la ville de La Chaux-Fonds.
    Et durant l’été, nous avons participé à chaque REF avec les enfants, depuis que le premier a eu à peu près 3 ans. A ces 8 ou 9 dernières rencontres des familles, j’y suis moi-même allé 5 ou 6 fois. L’été passé, c’était à Grésillon en France, au lieu d’être en Hongrie, en Pologne, en Tchéquie ou en Croatie comme les années d’avant. On en a profité pour passer à la Kvinpetalo de Bouresse, et à Gray.

    Quant au web, c’est une autre histoire.

    Je n’avais pas de liens à fournir vers des blogs ou des forums sur lesquels je figurerais sous un pseudo quelconque (je l’ai déjà dit) mais ça ne veut pas dire que je n’apparais pas sur le web. Sauf que lorsque j’y figure, c’est sous mon vrai nom tout simplement. (voila pourquoi Skirlet ne trouvait d’abord pas chaussure à son pied).

    Maintenant que vous connaissez mon nom, vous me trouverez évidemment dans le pasporta-servo version papier.
    Et sur le site du pasporta-servo je crois (je n’ai pas en tête le lien web).

    Ailleurs sur le web, lorsque j’y figure en photo ou autrement, c’est souvent sur des sites où personne ne m’a demandé mon avis.
    Je viens de me "google-iser" moi-même et voici quelques pages sans pseudo.
    Vous me trouverez en photo au premier plan avec mon fils ainé 
    sur le site de Claude Gacond : Galerie de photos
    (oui, oui, le même que dans la vidéo de France 3).

    Vous me trouverez aussi là :
    Listo de svisaj esperantistoj avec mes deux enfants cités comme denaskuloj.

    Et j’ai eu droit (comme tous les e-phones suisses) à une courte rubrique dans l’encyclopédie suisse des langues planifiées en page 1085. C’est un gros pavé, faudra venir le consulter en Suisse ou aux bibliothèques de UEA, de UFE, etc.

    Dans les livres plus connus en France mais accessibles aussi sur le web, j’apparais dans le livre Le Défi des Langues, du gâchis au bon sens, de Claude Piron, sous les remerciements.
    C’est publié à L’harmattan, j’en parlais dans mon premier message.

    Certes ce ne sont que des liens web. Mais avec mon vrai nom, et en photo, vous pourrez si ça vous chante interroger les amis que je vous ai précédemment livrés en pâture. Y’a alors intérêt que je sois moi, car sinon je vais me coller un bon procès.

    Quand vous serez revenus de votre petite balade sur ces diverses pages nominatives (Kroko et Skirlet, ou même ceux qui depuis le début ne doutaient pas, si vous y allez), nous serons, je vous le souhaite, sorti de ce cercle vicieux par le haut. Et pour les non-esperantophones qui auront suivi le suspense "Helveto" sur cette page, vous aurez compris que les parcours de vie de ceux qui apprennent et/ou utilisent l’espéranto sont variés comme la vie, au point que même entre locuteurs, il faille parfois se renifler un peu pour ne plus montrer les dents...

    Pour m’écrire perso hors d’AgoraVox, utilisez cette adresse jetable qui a une durée de vie d’une semaine
    à partir d’aujourd’hui : [email protected] (Il ne viendra maintenant à personne l’idée de me reprocher de ne pas mettre mon vrai e-mail pour ne pas me faire spammer, hein ?). Je répondrai de ma vrai boite e-mail à ceux qui m’écriront de la même manière.


    Et vous, Kroko, Skirlet, existez-vous dans le monde réel ? Parce que les esperantophones sont toujours les bienvenus dans le canton de Neuchâtel dans le cadre du pasporta-servo.
    Mon invitation pour une vraie fondue tient toujours (je suis pas rancunier)... mais il vous faudra apporter DEUX SACRÉS BONNES BOUTEILLES. smiley


    Mario

    (jusque-là méconnu, mais douteusement apparu sous le tout frais pseudo de huit jours à peine de L’Helveto, ou Helveto, ou La Helveto ou The Helveto, ou der Helveto, ou Est levé tôt).

    P.S.
     1) N’ayez crainte, ce sera mon dernier LONG message sur cette page.

    2)
    Le premier qui doute encore ou qui dit : "Ben voilàààà, tu vois, il suffisait de le dire" ou qui pense que je suis un imposteur parce que j’ai renoncé à mettre un accent circonflexe sur une lettre "g", je le passe au lance-flamme. :->


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