Leonard
Cohen, je le place assez loin derrière Bob Dylan. Dans mon
panthéon personnel ne figurent d’ailleurs que 5 titres de lui
sur plus de 4 000 : The Partisan etc.....
Il ne faudrait pas trop rigoler avec le
« The partisan » car si vous
continuez à attribuer la paternité de cette chanson à Léonard
Cohen, je me sentirais contraint de l’accuser d’avoir commis un
vulgaire et honteux plagiat.
Cette chanson « La
complainte du partisan » qui est son véritable
nom, fut écrite en 1943 pour les paroles par un grand résistant :
Emmanuel
d’Astier de La Vigerie. Lamusique
fut composée par Anna
Marly.
Cette chanson a donc une histoire qui appartient aussi à celle de
la France pendant la guerre. Elle fut chantée par Anna
Marly sur
radio Londres à destination de tous les résistants pour les
encourager à persévérer dans leurs actions contre l’ennemi. La
chanter en France valait à cette époque le peloton d’exécution.
Quant
à Léonard Cohen, il n’a pas fait autre chose que de la reprendre
longtemps après la guerre. Il ne risquait donc plus rien étant bien
à l’abri dans son tout petit Canada natal et comme cette chanson
avait connu juste après la guerre un succès qui dura jusqu’au
compagnon de la chanson qui l’interprétèrent bien avant lui. D’un
point de vue commerciale, il n’a pas pris beaucoup de risque non
plus.
Pour
écouter l’interprétation de compagnons de chanson cliquer là-dessus
Dans son interprétation Léonard Cohen
commet une bourde quand il chante ces paroles qu’il reprend en
français :
« Les
Allemands étaient chez moi On
m’a dit « Résigne-toi » Mais
je n’ai pas pu Et
j’ai repris mon arme »
Il
ne chante pas « je
n’ai pas pu »
mais « je
n’ai pas peur »
grave erreur qui prouve qu’il n’ a rien compris de ce qu’a voulu dire
Emmanuel
d’Astier de La Vigerie. C’était
pourtant facile.
En
France durant cette époque de la guerre, cette question se posait
ainsi à chaque français pour savoir s’il devait résister ou
collaborer ou attendre en ne faisant rien ce que la majorité des
français avaient choisi comme comportement.
L’auteur dit que devant cette question qu’il n’a pas pu se
résigner (ne rien faire) et qu’il a repris son arme ce qui signifie
qu’il rentrera en résistance armée contre l’occupant.
Léonard n’a pas compris que dans ces moments de réflexion où l’on
doit prendre une décision qui chamboulera toute son existence
future, il n’est pas question dans ces moments là d’avoir peur ou
pas parce que cette question ainsi que sa réponse appartient non pas
à la sensibilité mais à la raison parce qu’elle est avant tout
morale. Emmanuel d’Astier de la Vigerie nous dit tout simplement
qu’il n’a pu agir autrement ce qui est l’expression d’un comportement
de grande moralité envers son devoir de patriote.
La peur viendra ensuite ce qu’il expliquera en racontant son histoire
avec beaucoup de poésie
….des
balivernes, Dassault ne faisait que respecter la lois. Tous les
ouvriers chez Dassault entreprise sont hautement qualifiés et si
l’entreprise les perdait, elle perdrait en même temps son savoir
faire car les ingénieurs quoique qu’ils pensent d’eux même ne sont
que des ouvriers qui touche salaire pour la tâche accomplie comme
pour n’importe quel balayeur ou autres ouvriers hautement qualifiés
à bac + 2 ou 3.
Quant
à la nationalisation, on ne demandera pas en exclusivité l’avis des
ouvriers ni des actionnaires si un jour on maîtriser à 100% notre
défense nationale.
Je
rappelle à tonton Archibald que Dassault a exporté la construction
des dromes en Israël si bien qu’au jour d’aujourd’hui la France est
dépendante d’une puissance étrangère pour son approvisionnement
dans un armement d’une importance stratégique.
C’est
un bonimenteur ce tonton Archibald, vous avez manqué de lui dire mon
cher JL
Ce
n’est pas parce qu’une entreprise fait de gros bénéfices que
ses salariés sont bien payés : bien au contraire. Avec
spartacus, vous faites une belle brochette de crétins.
Mon très cher et immensément très
très très archi très cher Jl... je n’ai pas lu tous vos
commentaires ni ceux du tonton archibald vieux
croûton mais je ne peux pas m’empêcher d’intervenir dans votre
conversation.
J’ai donc cru comprendre après une
lecture ultrarapide de vos commentaires que vous vouliez réfuter
l’argument fallacieux du tonton
vieux croûton qui disait qu’il n’y avait pas
d’ouvriers payés au SMIC chez Dassault. C’est tout à fait normal
puisque le SMIC n’est qu’un barème de rémunération qui interdit
aux employeurs de payer les ouvriers en dessous d’un barème fixé
par la loi. Le SMIC n’est donc qu’une garantie pour les ouvriers sans
qualification qu’ils seront payés au salaire minimum exigé par
loi.
Or chez Dassault, il n’y a pas
d’ouvriers sans qualification. Hé !!! oui, nous devons donc
reconnaître par exemple au balayeur une qualification.
Il est probable qu’il en fut ainsi chez
Marcel Dassault et aussi dans bien d’autres entreprises.
Il est normal qu’un ouvrier sans
qualification qui ne sait pas quoi faire s’il n’est pas accompagné
par une personne qui lui donne des ordres , soit payé au Smic …
je rappelle que le SMIC a été voulu par de Gaulle pour donner aux
familles une garantie de revenu pour qu’elles puissent vivre comme
tout le monde décemment.
Si le balayeur se débrouille tout seul
pour exécuter sa tâche, il doit être considérer comme qualifié.
Il connaît son boulot.
Lorsque tonton Archibald nous dit en
l’insinuant que tous les ouvriers chez Dassault sont payés au dessus
du SMIC par générosité envers les ouvriers parce que l’entreprise
est prospère, tonton Archibald nous manipule en déformant la
vérité.
D’abord parce que dans une entreprise
comme celle-ci qui est à la pointe de la technologie, il n’y a pas
d’ouvriers sans qualification ce n’est pas possible qu’il y en
ait.... même pour les tâches subalternes. Dans le bâtiment, il n’y
a plus de manœuvre sans qualification car ceux qui sont chargé
d’approvisionner le maçon doivent savoir au minimum conduire un
engin de levage. Il n’y a plus aujourd’hui d’emplois sans
qualification.
Pas de qualification, pas de savoir
faire, pas de boulot pour toi, tu resteras éternel chômeur si tu
restes dans cet état.
Donc quand tonton Archibald nous dit :
Un
jour j’ai vu à la télé l’ancêtre des Dassault, Marcel, auquel
l’interviewer voulant être dans le vent demandait s’il n’avait
pas honte d’être aussi riche et de payer ses employés au SMIC. Et
il repondit simplement que chez lui il n’y avait personne de paye
au SMIC parce que l’entreprise faisait de gros bénéfices et
pouvait donc payer correctement ses salariés..... Ce qui explique
probablement le refus des salariés de se voir nationalisés qui se
voyaient un avenir plus sombre si des élus devenaient actionnaires
et gestionnaires de leur entreprise.
rs
quoique qu’ils pensent d’eux même ne sont que des ouvriers qui
touche salaire pour la tâche accomplie comme pour n’importe quel
balayeur ou autres ouvriers hautement qualifiés à bac + 2 ou 3.
Quant
à la nationalisation, on ne demandera pas en exclusivité l’avis des
ouvriers ni des actionnaires si un jour on veut maîtriser à 100%
notre défense nationale.
Je
rappelle à tonton Archibald que Dassault a exporté la construction
des dromes en Israël si bien qu’au jour d’aujourd’hui la France est
dépendante d’une puissance étrangère pour son approvisionnement
dans un armement d’une importance stratégique.
C’est
un bonimenteur ce tonton Archibald, vous avez manqué de lui dire mon
cher JL
à l’auteur avez-vous remarqué les
effets de votre manipulation sur le commentaire de Pimpin qui connaît
sa grammaire puisque devant un pet le n doit se transformer en m
comme meuh disait la vache.