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janel

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Mon ancien pseudo : djanel je suis donc de retour après quatre années d'absence.

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  • janel janel 13 novembre 2016 22:33

    @janel

    ... Encore un petit dernier pour la gloire quoique ... ici c’est plutôt le désert. Pour la gloire, il faudra aller voir ailleurs.


    Je reviens donc pour publier un lien pour que vous puissiez écouter l’interprétation d’Anna Marly de 1964. Effectivement, elle a remplacé le mot allemand par celui d’ennemi. Initialement, c’était :


    Les allemands étaient chez moi

    On m’a dit « résigne » toi

    Mais je n’ai pas pu

    Et j’ai repris mon arme.


    Censure ? Non à l’époque, il fallait montrer au peuple allemand que les français ne les considéraient plus comme des ennemis. Une réconciliation voulue par de Gaulle tambour battant. Anna MARLY qui était russe, il faut le savoir, était certainement pour cette politique et l’a montré en modifiant le texte de sa chanson.


    J’attire votre attention sur le dernier couplet. Le tempo est très lent, les mots sont très bien prononcés : «  le vent souffle sur les tombes » Franchement pourquoi, Léonard Cohen a remplacé dans sa version anglaise ce vers par celui-ci  « oh le vent, le vent souffle » qu’est advenue cette évocation pour ceux qui sont tombés ? Remise au vers suivant «  a travers les tombes, le vent souffle » Croyez que ce vers ainsi corrigé par Léonard Cohen à plus de signification ou qu’il soit plus beau ?


    Je vous laisse juge. Écoutez donc la version d’Anna Marly.


    Ha !!! j’oubliais. L’air a été sifflé sur radio Londres durant la guerre parce que malgré le brouillage on pouvait encore entendre le sifflement et reconnaître la mélodie.



  • janel janel 13 novembre 2016 00:34

    @janel
    j’ai cafouillé en oubliant ce qui suit :


    Le vent souffle sur les tombes
    La liberté reviendra
    On nous oubliera
    Nous rentrerons dans l’ombre

    remplacé sur la version anglaise par :

    Oh, le vent, le vent souffle

    À travers les tombes, le vent souffle

    La liberté viendra bientôt

    Alors nous viendrons de l’ombre.

     


  • janel janel 13 novembre 2016 00:20

    @janel

    .Léonard Cohen ainsi que son parolier n’ont rien compris. Pas compris qu’il y eut dans la résistance beaucoup de victimes en représailles, de fusiliers pour l’exemple et qu’en conséquence de tout ça beaucoup de tombes parsèment la campagne de France.

    Ce vers « le vent souffle sur les tombes » symbolise le temps qui passe, ne dites pas non. Avec le temps qui passe la liberté reviendra . Du moins, c’était cet espoir qui existait en France 1943.

    Et toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera et cet oubli qui deviendra irrespectueux avec cet abruti de Sarkozy.

    Et toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera. Qui donc se souvient aujourd’hui réellement des résistants pris individuellement ? Personnes.

    Cette strophe signifie donc qu’un résistant rentrera dans cette ombre qu’est la clandestinité, et qu’il en sortira pour se battre en plein jour au moment de la libération et toujours avec le temps qui passe, le résistant s’en retournera dans l’ombre qu’est cette vie ordinaire des gens qui vivent dans l’anonymat comme vous et moi qui ne sommes que des inconnus.

    Donc cette strophe résume bien la vie d’un résistants qui est entré dans l’ombre pour n’en sortir qu’en se battant afin d’y mourir pour sombrer de nouveau dans l’oubli qui lui aussi est une sorte d’ombre.

    Tandis que cette strophe corriger par Léonard Cohen a perdu toute de signification.

    Tu parles d’un beau prix Nobel qu’il aurait pu faire ce Cohen à la place de l’autre Bob.....




  • janel janel 13 novembre 2016 00:18

    @janel

    Léonard Cohen ainsi que son parolier n’ont rien compris. Pas compris qu’il y eut dans la résistance beaucoup de victimes en représailles, de fusiliers pour l’exemple et qu’en conséquence de tout ça beaucoup de tombes parsèment la campagne de France.

    Ce vers « le vent souffle sur les tombes » symbolise le temps qui passe, ne dites pas non. Avec le temps qui passe la liberté reviendra . Du moins, c’était cet espoir qui existait en France 1943.

    Et toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera et cet oubli qui deviendra irrespectueux avec cet abruti de Sarkozy.

    Et toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera. Qui donc se souvient aujourd’hui réellement des résistants pris individuellement ? Personnes.

    Cette strophe signifie donc qu’un résistant rentrera dans cette ombre qu’est la clandestinité, et qu’il en sortira pour se battre en plein jour au moment de la libération et toujours avec le temps qui passe, le résistant s’en retournera dans l’ombre qu’est cette vie ordinaire des gens qui vivent dans l’anonymat comme vous et moi qui ne sommes que des inconnus.

    Donc cette strophe résume bien la vie d’un résistants qui est entré dans l’ombre pour n’en sortir qu’en se battant afin d’y mourir pour sombrer de nouveau dans l’oubli qui lui aussi est une sorte d’ombre.

    Tandis que cette strophe corriger par Léonard Cohen a perdu toute de signification.

    Tu parles d’un beau prix Nobel qu’il aurait pu faire ce Cohen à la place de l’autre Bob.....



  • janel janel 13 novembre 2016 00:12

    Pomme de Reinette 12 novembre 09:53

    @janel

    C’est bien de rappeler que l’origine de la chanson « The song of the french partisan » de Léonard Cohen est le poème du grand résistant D’astier de la Vignerie : « La complainte du partisan », mais vous vous trompez totalement sur l’interprétation

    <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>><<<<<

    Merci beaucoup pour le compliment ça me rappelle la maternelle mais ensuite vous êtes devenuE, est-il nécessaire de respecter l’accord au genre féminin pour votre cas.... vous m’êtes apparue fortement désagréable en me reprochant de m’être trompé sur mon interprétation (ma manière à moi de comprendre). Niet !!! Niet !!! Et encore niet, j’ai bien été explicite mais si vous n’arrivez pas par vous même à me comprendre, je ne peux rien pour vous.

    Je dois vous rappeler que dans votre commentaire vous reconnaissez que dans certaines interprétations, il prononce « pas pu » et que dans d’autres « pas peur  ». Peut-être mais en disant cela vous montrer que pour vous aussi Cohen a un problème d’interprétation . Quelle est la bonne interprétation « pas pu » ou « pas peur ». Vous lui trouvez une justification en disant qu’il n’est pas francophone et qu’ainsi nous devrions comprendre qu’il prononce mal ces mots. Mais cette justification ne tient pas debout puisqu’il chante ce passage avec un cœur qui l’accompagne et qui prononce bien « pas pu » sans accent, j’ai bien entendu.

    Ensuite vous nous dites que ce n’est pas lui qui a corrigé les paroles mais un parolier portant le nom bizarre de Hy Zaret mais Léonard Cohen a approuvé ses corrections puisqu’il les a les chantées. Il est donc responsable de cette mauvaise interprétation.

    Sur n’importe qu’elle autre chanson, il n’y aurait pas eu de problème mais pour celle-ci, il y a en un parce que ce n’est pas la musique qui a prévalu à l’époque mais les paroles. C’est un chant historique de ralliement pour la résistance. Il ne faut pas oublier.

    Ces paroles décrivent en peu de mots les conséquences dune entrée dans la résistance « j’ai perdu femme et enfants  » « un vieil hommes nous a caché » « il est mort sans surprise  »

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