... Encore un petit dernier pour la gloire
quoique ... ici c’est plutôt le désert. Pour la gloire, il
faudra aller voir ailleurs.
Je reviens donc pour publier un lien
pour que vous puissiez écouter l’interprétation d’Anna Marly de
1964. Effectivement, elle a remplacé le mot allemand par celui
d’ennemi. Initialement, c’était :
Les allemands étaient chez
moi
On m’a dit « résigne »
toi
Mais je n’ai pas pu
Et j’ai repris mon arme.
Censure ? Non à l’époque, il fallait montrer au peuple
allemand que les français ne les considéraient plus comme des
ennemis. Une réconciliation voulue par de Gaulle tambour battant.
Anna MARLY qui était russe, il faut le savoir, était certainement
pour cette politique et l’a montré en modifiant le texte de sa
chanson.
J’attire votre attention sur le dernier couplet. Le tempo est très
lent, les mots sont très bien prononcés : « le vent
souffle sur les tombes » Franchement pourquoi, Léonard
Cohen a remplacé dans sa version anglaise ce vers par celui-ci
« oh le vent, le vent souffle » qu’est advenue
cette évocation pour ceux qui sont tombés ? Remise au vers suivant
« a travers les tombes, le vent souffle » Croyez
que ce vers ainsi corrigé par Léonard Cohen à plus de
signification ou qu’il soit plus beau ?
Je vous laisse juge. Écoutez donc la version d’Anna
Marly.
Ha !!! j’oubliais. L’air a été sifflé sur radio Londres
durant la guerre parce que malgré le brouillage on pouvait encore
entendre le sifflement et reconnaître la mélodie.
.Léonard
Cohen ainsi que son parolier n’ont rien compris. Pas compris qu’il y
eut dans la résistance beaucoup de victimes en représailles, de
fusiliers pour l’exemple et qu’en conséquence de tout ça beaucoup
de tombes parsèment la campagne de France.
Ce
vers « le
vent souffle sur les tombes »
symbolise le temps qui passe, ne dites pas non. Avec le temps qui
passe la liberté reviendra . Du moins, c’était cet espoir qui
existait en France 1943.
Et
toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera et cet oubli qui
deviendra irrespectueux avec cet abruti de Sarkozy.
Et
toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera. Qui donc se
souvient aujourd’hui réellement des résistants pris
individuellement ? Personnes.
Cette
strophe signifie donc qu’un résistant rentrera dans cette ombre
qu’est la clandestinité, et qu’il en sortira pour se battre en plein
jour au moment de la libération et toujours avec le temps qui passe,
le résistant s’en retournera dans l’ombre qu’est cette vie
ordinaire des gens qui vivent dans l’anonymat comme vous et moi qui
ne sommes que des inconnus.
Donc
cette strophe résume bien la vie d’un résistants qui est entré
dans l’ombre pour n’en sortir qu’en se battant afin d’y mourir pour
sombrer de nouveau dans l’oubli qui lui aussi est une sorte d’ombre.
Tandis
que cette strophe corriger par Léonard Cohen a perdu toute de
signification.
Tu
parles d’un beau prix Nobel qu’il aurait pu faire ce Cohen à la
place de l’autre Bob.....
Léonard
Cohen ainsi que son parolier n’ont rien compris. Pas compris qu’il y
eut dans la résistance beaucoup de victimes en représailles, de
fusiliers pour l’exemple et qu’en conséquence de tout ça beaucoup
de tombes parsèment la campagne de France.
Ce
vers « le
vent souffle sur les tombes »
symbolise le temps qui passe, ne dites pas non. Avec le temps qui
passe la liberté reviendra . Du moins, c’était cet espoir qui
existait en France 1943.
Et
toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera et cet oubli qui
deviendra irrespectueux avec cet abruti de Sarkozy.
Et
toujours avec le temps qui passe, on nous oubliera. Qui donc se
souvient aujourd’hui réellement des résistants pris
individuellement ? Personnes.
Cette
strophe signifie donc qu’un résistant rentrera dans cette ombre
qu’est la clandestinité, et qu’il en sortira pour se battre en plein
jour au moment de la libération et toujours avec le temps qui passe,
le résistant s’en retournera dans l’ombre qu’est cette vie
ordinaire des gens qui vivent dans l’anonymat comme vous et moi qui
ne sommes que des inconnus.
Donc
cette strophe résume bien la vie d’un résistants qui est entré
dans l’ombre pour n’en sortir qu’en se battant afin d’y mourir pour
sombrer de nouveau dans l’oubli qui lui aussi est une sorte d’ombre.
Tandis
que cette strophe corriger par Léonard Cohen a perdu toute de
signification.
Tu
parles d’un beau prix Nobel qu’il aurait pu faire ce Cohen à la
place de l’autre Bob.....
C’est
bien de rappeler que l’origine de la chanson « The song
of the french partisan » de Léonard Cohen est le poème du
grand résistant D’astier de la Vignerie : « La
complainte du partisan », mais vous vous trompez totalement sur
l’interprétation
Merci
beaucoup pour le compliment ça me rappelle la maternelle mais
ensuite vous êtes devenuE,
est-il nécessaire de
respecter l’accord au genre féminin pour votre cas....
vous m’êtes apparue fortement désagréable en me reprochant de
m’être trompé sur mon interprétation (ma manière à moi de
comprendre). Niet !!! Niet !!! Et encore niet, j’ai bien
été explicite mais si vous n’arrivez pas par vous même à me
comprendre, je ne peux rien pour vous.
Je
dois vous rappeler que dans votre commentaire vous reconnaissez que
dans certaines interprétations, il prononce « pas
pu » et que dans
d’autres « pas peur ».
Peut-être mais en disant cela vous montrer que pour vous aussi
Cohen a un problème d’interprétation . Quelle est la bonne
interprétation « pas pu »
ou « pas peur ».
Vous lui trouvez une justification en disant qu’il n’est pas
francophone et qu’ainsi nous devrions comprendre qu’il prononce mal
ces mots. Mais cette justification ne tient pas debout puisqu’il
chante ce passage avec un cœur qui l’accompagne et qui prononce bien
« pas pu » sans accent, j’ai bien entendu.
Ensuite
vous nous dites que ce n’est pas lui qui a corrigé les paroles mais
un parolier portant le nom bizarre de Hy
Zaret
mais Léonard
Cohen a
approuvé ses corrections puisqu’il les a les chantées. Il est donc
responsable de cette mauvaise interprétation.
Sur
n’importe qu’elle autre chanson, il n’y aurait pas eu de problème
mais pour celle-ci, il y a en un parce que ce n’est pas la musique
qui a prévalu à l’époque mais les paroles. C’est un chant
historique de ralliement pour la résistance. Il ne faut pas oublier.
Ces
paroles décrivent en peu de mots les conséquences dune entrée dans
la résistance « j’ai
perdu femme et enfants »
« un
vieil hommes nous a caché »
« il
est mort sans surprise »