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jean-jacques rousseau

Citoyen francais

Tableau de bord

  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 05/10/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • jean-jacques rousseau 27 février 2012 11:26
    « L’accession de Napoléon Bonaparte au pouvoir a été un événement fondamental pour l’émancipation des Juifs dans toute l’Europe. Ils eurent accès à l’égalité des droits civiques et à la liberté de circulation, et furent intégrés à la nation. »

    Déclaration de Napoléon Bonaparte

    Proclamation à la nation Juive Quartier général Jérusalem, 1er floréal, an VII de la République Française (20 avril 1799) 
    Bonaparte, commandant en chef des armées de la République Française en Afrique et en Asie, aux héritiers légitimes de la Palestine : 
    Israélites, nation unique que les conquêtes et la tyrannie ont pu, pendant des milliers d’années, priver de leur terre ancestrale, mais ni de leur nom, ni de leur existence nationale ! 
    Les observateurs attentifs et impartiaux du destin des nations, même s’ils n’ont pas les dons prophétiques d’Israël et de Joël, se sont rendus compte de la justesse des prédictions des grands prophètes qui, à la veille de la destruction de Sion, ont prédit que les enfants du Seigneur reviendraient dans leur patrie avec des chansons et dans la joie et que la tristesse et que les soupirs s’enfuiraient à jamais. (Isaie 35.10) 
    Debout dans la joie, les exilés ! 
    Cette guerre sans exemple dans toute l’histoire, a été engagée pour sa propre défense par une nation, de qui les terres héréditaires étaient considérées par ses ennemis comme une proie offerte à dépecer.
    Maintenant cette nation se venge de deux mille ans d’ignominie. Bien que l’époque et les circonstances semblent peu favorables à l’affirmation ou même à l’expression de vos demandes, cette guerre vous offre aujourd’hui, contrairement à toute attente, le patrimoine israélien. 
    La Providence m’a envoyé ici avec une jeune armée, guidée par la justice et accompagnée par la victoire. Mon quartier général est à Jérusalem et dans quelques jours je serais à Damas, dont la proximité n’est plus à craindre pour la ville de David. 
    Héritiers légitimes de la Palestine ! 
    La Grande Nation qui ne trafique pas les hommes et les pays selon la façon de ceux qui ont vendu vos ancêtres à tous les peuples (Joël 4.6) ne vous appelle pas à conquérir votre patrimoine. Non, elle vous demande de prendre seulement ce qu’elle a déjà conquis avec son appui et son autorisation de rester maître de cette terre et de la garder malgré tous les adversaires. 
    Levez-vous ! 
    Montrez que toute la puissance de vos oppresseurs n’a pu anéantir le courage des descendants de ces héros qui auraient fait honneur à Sparte et à Rome (Maccabée 12.15). 
    Montrez que deux mille ans d’esclavage n’ont pas réussi à étouffer ce courage. 
    Hâtez-vous ! 
    C’est le moment qui ne reviendra peut-être pas d’ici mille ans, de réclamer la restauration de vos droits civils, de votre place parmi les peuples du monde. Vous avez le droit à une existence politique en tant que nation parmi les autres nations. Vous avez le droit d’adorer librement le Seigneur selon votre religion. (Joël 4.20) 

    Le 16 août 1800, Napoléon déclara : 
    « Si je gouvernais une nation juive, je rétablirais le temple de Salomon. »



  • jean-jacques rousseau 15 février 2012 08:36

    Votre article est très décevant. 

    Le titre lui-même est trompeur « la civilisation des Celtes son origine cananéenne » puisque nous vous ne traitez nulle part ni de la civilisation Celte en elle-même, ni de son origine. Vous vous perdez dans l’exégèse biblique, la linguistique approximative, la glose exotérique, l’anachronisme et l’interprétation libre d’historiens de l’antiquité qui pourtant ignoraient tout de la question.
    L’intérêt est réel toutefois puisque les nombreux commentaires nous ont permis de trouver certaines réponses qui contredisent entièrement vos spéculations.
    Il se trouve suffisament d’éléments pour réécrire un article plus sérieux sur le sujet.

    1. une distinction doit être établie entre CULTURE et ORIGINE. Qui sont deux aspects distincts et complémentaire d’une civilisation. Un fond de peuplement caractérisé par un groupe génétiquement identifiable est tout a fait indépendant de l’influence culturelle qu’il reçoit par acculturation. Et symétriquement un groupe culturel donnée comprend des groupes de population dont le capital génétique est diversifié. 
    2. une chronologie rigoureuse doit être respectée basée sur une datation des vestiges (stratigraphie, C14, mutation adn, etc.)
    3. on attend une meilleur intégration de la recherche génétique dans l’analyse des migrations, des colonisations ou associations ethniques
    4. une description des influences et des évolutions culturelles est indispensable
    Ainsi les proto-celtiques empruntent l’art de la poterie mandchoue et la métallurgie du cuivre du haut-danube. Ils modifient constamment entre -4500 et -1.350 leur mode de sépulture ; du tertre dans steppes à l’incinération en champs d’urnes en Bourgogne. 
    5. une place au doute dans les hypothèse et au relativisme est nécessaire pour tenir compte d’une certaine marge d’erreur d’appréciation.

    Vous etes complètement passé a coté du sujet et de sa richesse intrinsèque pour ne vous servir du thème que comme accroche à vos théories sans fondement réel, sans jamais chercher à établir un quelconque consensus.


  • jean-jacques rousseau 14 février 2012 19:16

    Pour ce qui concerne l’association Campaniforme et Haplogroupe R1b nous avons quelques indications sur le site de Bernard Secher


    « Lorsque le peuple dont l’haplogroupe majoritaire est R1b-L11, arrive en Ibérie vers 3.000 avant JC, il parle probablement une langue proto italo-celtique. La mutation R1b-P312 apparait très tôt, puis se diffuse sur toute l’Europe occidentale à travers la culture campaniforme. Plusieurs archéologues commeJohn Koch, Barry CunliffeAlain Gallay ouPatrice Brun ont proposé récemment d’associer la culture campaniforme avec l’arrivée des premiers celtes en Europe occidentale. Ce dernier auteur y voit un complexe atlantique qui se développe principalement à l’âge du bronze, et un complexe nord alpin qui prend le dessus à l’âge du fer. C’est notamment par leur contact avec la sphère méditerranéenne (grecs et étrusques) que naissent les cultures de Hallstatt et de la Tène. »

    L’article « Une nouvelle histoire de l’Europe » offre aussi un point de vue génétique intéressant.

    «  il faut comprendre que les R1b1a2 portent les mutations suivantes : M343, L278, M415, P25, P297, L320, L265, M269, S17, M520, S3, S10, S13. J’insiste sur le nombre de mutations car il souligne l’histoire commune que cela sous-tend. Ce groupe est notre point de départ et quelques mutations ultérieures, permettent le suivi de ce qu’on peut voir comme « une conquête de l’Europe », dont l’histoire n’a pas conservé de trace sauf celle qui apparaît avec les nouveaux outils de génétique.[...]

    La surprise est, en effet, que l’ensemble R-L11 de l’Europe de l’ouest, donc tous les U106 et P312 confondus, forment un groupe remarquablement cohérent dont l’âge ne dépasse pas les 5000 ans (donc 3000 avant JC ). On est donc conduit à admettre qu’un groupe sans doute de petite taille a réussi à s’imposer aux populations néolithiques en place.

    Que se passe-t-il en Europe de l’ouest vers 3000 avant JC (en se rappelant que les dates sont approximatives) ? C’est le tout début de petits objets en cuivre dans quelques localisations. C’est aussi le début des monuments mégalithiques. Les recherches ont montré qu’un groupe amené à prendre de l’extension , le groupe des Campaniformes, qui tirent leur nom de leurs céramiques (poteries) en forme de cloche renversée, produit les plus anciennes poteries dites campaniformes au Portugal vers 2900 avant JC.

    [...]

    Si on accepte le lien avec les Campaniformes, reste à décrypter la raison de l’existence de 2 branches principales, U106 et P312 et les voies de pénétration. Il y a une thèse qui propose que les R1bs auraient fait le tour par l’Afrique du nord et seraient remontés par le Portugal et la péninsule Ibérique (thèse de A. Klyosov). Si on suit la métallurgie du cuivre en Europe on constate que la zone géographique (actuelle) des ht35 correspond à la diffusion d’une phase préliminaire. Une sorte de « second âge du cuivre » se développe ensuite vers la Corse sans doute via l’Italie du nord où plusieurs centres précoces de métallurgie du cuivre sont connus puis atteint le Portugal. Il est possible qu’à partir de la Corse une phase maritime cabotant le long de l’Afrique du nord et du sud de l’Espagne ait permis d’atteindre le Portugal. Ce n’est que 500 ans plus tard avec les premiers bronze à l’arsenic, puis les bronzes à l’étain que les Campaniformes connaissent une grande expansion.  »



  • jean-jacques rousseau 14 février 2012 18:39

    Il est possible que Adn-Y J2 et G2 soit des types génétiques associés dans la diffusion néolithique. Il faudrait peut etre envisager l’origine génétique de ces peuplements comme multiple et diversifié dès le départ bien que le peuplement humain en Europe soit dès l’origine plus pauvre en variabilité génétique.


    Le site Eupédia suggère l’association des cultures néolithiques avec des haplogroupes Y.
    Pour la culture cardium sont associés : I, I2, I2a, G2a, E-V13, J2b et T
    A titre comparative pour la culture mégalithique qui semble réaliser une convergence en France du Nord-Ouest des Cardiaux et Rubanés on note : I, I2, I2a, I2b, G2a, E-V13. Les haplogroupes J2b et T ont disparu. 
    On pourrait en conclure que cette souche J2 est plus récente et plutot ratachée à un peuplement plus tardif de l’ouest méditéranéen. La carte de distribution J2 semble trop ignorer la zone carthaginoise (faute d’analyse de terrain ?) pour y voir un indicateur de l’expansion phénicienne.

    D’autre part on peut relier Otzi à G2. 

    « Le groupe G2a2b auquel appartient Ötzi est actuellement inconnu sur le continent et on ne le trouve qu’en Sardaigne. La concentration G en Grèce (voir carte – ci-dessus) est G2a3a alors que le groupe principal en Europe est dérivé de G2a3b1 (marqueur P303). Ce sont des G2a3b1 qu’on trouve aussi en Inde (et aussi, pour partie, dans le Caucase). L’évolution en G2a3b1a1 (marqueur U1) et G2a3b1a2 (marqueur L497) semble particulière à l’Europe mais des cas isolés ont été identifiés hors Europe. Les groupes de type G2a1 sont Circassiens pour l’essentiel. 

    Dans le cas d’ Ötzi nous disposons d’une datation indépendante des estimations de la génétique et on nous dit qu’ Ötzi a vécu il y a 5400 ans (3400 avant JC). Pour situer, les premières traces de travail du cuivre en Europe (justement dans les Alpes) sont datées de 3700 avant JC. C’est nettement postérieur aux artefacts connus au moyen orient mais cela correspond à une seconde phase de la métallurgie du Cuivre, à la technologie améliorée qui annonce les débuts du bronze. Vous trouverez souvent que la métallurgie est nettement postérieure en Europe à ce qui s’est fait au moyen orient. A partir de cette phase, ce n’est vrai que pour l’extension, les zones sont restreintes en Europe et ne s’étendent que difficilement jusqu’à l’avènement du bronze. Si j’ai insisté sur le cuivre c’est que, justement, Ötzi était porteur d’une hache en cuivre ; la lame est en cuivre, une vraie rareté à l’époque, et son assaillant ne lui a pas pris cette hache.

    Que dit la génétique, concernant la datation des groupes G en Europe ? L’analyse des G2a3b1a qui forment, de loin, le groupe le plus important, les densités dans les Alpes et en Italie étant largement attribuables à ces G2a3b1a, montre un groupe sans doute ancien mais les densités plus importantes s’expliquent par une phase d’expansion environ 1200 av JC, précédée d’une autre phase d’expansion vers 3800 av JC. En fait, ces dates semblent légèrement biaisées ; des dates plus récentes de 300 ans dans la marge d’erreur donnent une image plus cohérente. Pour faire court, on aurait eu un groupe néolithique dont un sous groupe a acquis très anciennement pour l’Europe la métallurgie (cuivre) vers 3400 av. JC, un prolongement de ce groupe donnera la culture de Villanova (à partir de 1100 av. JC), elle-même à l’origine des Etrusques. L’extension romaine a véhiculé en partie ce groupe G en Europe.

    Le groupe antagoniste qui expliquerait l’absence de G dans la plaine du Pô est sans doute le groupe dit de Remedello, célèbre pour ses poignards en Cuivre. Il y aurait eu conflit entre 2 cultures du Chalcolithique. 

    Pour revenir à notre Ötzi, il décède dans la première phase d’expansion. L’historique qui précède suggère que le groupe avait des voisins peu enclins au développement de ces fondeurs de cuivre. Le groupe G2a2b n’a pas survécu, semble-t-il dans cette région. Impossible de dire si les G2a3b1a rescapés ont fait partie des rivaux. L’ADN mitochondrial, qui suit la lignée par les femmes a aussi été séquencé et Ötzi est de l’haplogroupe mitochondrial K1, connu par 3 lignées dans les Alpes mais la lignée particulière d’ Ötzi est inconnue par ailleurs. Les débuts du cuivre en Europe ont donc été chaotiques. Ce sont surtout les Campaniformes qui vont diffuser plus tard leurs poignards en cuivre et cette diffusion (très discutée) semble partir du Portugal, un peu comme si la piste Italienne avait été une tentative sans lendemain, en tous cas sans progression continue. On peut considérer le développement ultérieur de G en Italie comme une spécificité issue, sans doute, d’une culture cousine de celle d’ Ötzi. »

    G2 semble aussi associé à l’Empire romain mais il faudrait peut-être plus de finesse et de discrimination dans l’analyse des sous-groupes pour distinguer l’expansion du G2 néolithique et du G2 antique, sachant toujours que « plus de 40 siècles » les séparent... 



  • jean-jacques rousseau 14 février 2012 07:24

    1. Personne ne remet en cause l’origine méditéranéenne et moyen-orientale des Chasséens, ni le caractère néolithique (élévage, agriculture, artisanat) de leur culture... ni le fait que leur sédentarisation s’accompagne de constructions puissantes voir apparentées au type cyclopéen qui s’illustre dans la culture mégalitique.


    2. votre hypothese découlant de la lecture de Diodore de Sicile et qui associe Herackles à Tyr et qui fait du mariage du héros avec la belle Celte une allégorie d’une union des Phéniciens et des Celtes matérialisée par la fondation de Nuerax me semble plutot tirée par les cheveux. 

    3. on vient de démontrer que la colonisation Chasséenne est antérieure à la présence celtique et on se demande comment dans ce cas les colons Chasséens/cananéens auraient pu essaimés « à partir de cités/mères gauloises »...

    4. Les Phéniciens ont rencontrés des Celtes mais surtout des Ligures : tribus plus ou moins apparentées aux anciens Chasséens et Impresso-cardiaux dont on peut vraisemblablement vérifier la présence par l’aire d’extension de l’haplogroupe J2 
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