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jean-jacques rousseau

Citoyen francais

Tableau de bord

  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 05/10/2010
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Derniers commentaires



  • jean-jacques rousseau 22 janvier 2012 13:42

    Pour répondre plus précisément à votre objection selon laquelle je n’ai pas souligné par un exemple le principe de rétro-action qui lie l’effet à la cause en fin de cycle. Je vous avoue que c’est ce que j’ai tenté de faire dans la description d’un cycle politique pervers :


    « Ces lois iniques et contraires au bien commun scandalisent un peu plus l’opinion et l’abondance et la complexité des textes ne parvient jamais a renverser ce sentiment de tromperie et de trahison organisée. Un sentiment aggravé par l’ingérence du pouvoir contre l’indépendance du pouvoir législatif et judiciaire. Ce qui, en revenant par effet-boomerang (4) en direction du gouvernement qui en est à l’origine : cristallise dans le texte l’absurdité d’une politique2 ; contribue à fragiliser le régime dans l’opinion du fait de la dégradation accélérée de la situation qu’elle provoque dans l’environnement international, social, économique ou naturel. Selon cette inaptitude caractérisée a répondre à une crise donnée et servir le bien commun il devient alors évident que le pays mal gouverné s’enfonce chaque jour davantage dans la ruine et la division.

    La boucle de rétro-activité a bien fonctionné : elle vient de lier - avec un certain délai - l’effet avec sa propre cause selon un phénomène d’accélération non contrôlée typique d’un cycle négatif. »

    Peut-etre n’ai-je pas assez souligné l’effet rétroactif entre : impulsion d’une politique non-consensuelle par le gouvernement —> rejet du gouvernement par la population pour non-réponse à ses besoins ?




  • jean-jacques rousseau 22 janvier 2012 13:28

    Je vous donne raison sur ce point : il manque un exemple pratique d’analyse systémique. Ici je n’aborde que des généralités et des hypothèses qu’il serait intéressant de vérifier.

    Cependant je ne suis pas spécialiste de l’évaluation du risque systémique et je pense qu’une évaluation de ce type exige une réflexion pluridisciplinaire à laquelle j’estime ne pouvoir donner qu’une modeste contribution. 




  • jean-jacques rousseau 17 janvier 2012 13:31

    Rien n’indique dans votre article que Mme Le Pen soit « complétement à l’ouest » en Economie... Vous n’avez rien démontré. 

    D’ailleurs vous ne parlez pas vraiment d’Economie, il s’agit d’un vrai fourre-tout sans suite où vous mélangez allègrement toutes sortes de sujets... Je pique au hasard dans vos remarques : « technique de l’interronégative ou de l’interrogative », « règlements commerciaux internationaux », « perte de compétitivité », « histoire de France », « courage politique », « religion catholique, judaïsme et paganisme » et pour couronner le tout « la Corée du Nord » ! 
    Chapeau ! 
    Non seulement vous n’exposez pas les thèses ou propositions économiques de la candidate pour les contredire point par point avec un raisonnement clair et des arguments mais en plus vous ne parlez même pas d’économie... Avec un contradicteur comme vous, votre interlocuteur n’a aucun souci à se faire !

    Sans être le moins du monde proche du FN ou de ses affidés je reconnais avoir trouvé chez certains d’entre-eux plus d’ouverture intellectuelle, de sens commun et de préoccupation sur la dérive économique de notre pays qu’ailleurs au Modem ou au PS pour ne citer qu’eux... 

    « On prend comme arguments de l’ouverture commerciale et de la dérégulation tarifaire aux moins deux idées : 
    1. celle »théorique« reprise par les libéraux pur sucre qui consiste à dire peut importe si l’echange est déficitaire pour un pays donné puisque le seul fait qu’il existe un échange est la preuve que celui-ci est profitable, puisque si cela n’était pas le cas l’échange n’aurait pas lieu. 
    Or ceci est une logique typiquement syllogistique : 
    1. tous les échanges sont profitables, 2. or la France échange, 3. donc la France profite... 
    Mais malheureusement il n’est pas démontré que l’échange meme consentit librement (encore que le consentement aux traités commerciaux n’ait pas donné lieu à l’expression d’une volonté générale des français) soient profitables aux deux parties. Un échange peut 
    créer un avantage à l’un (le plus astucieux), et un désavantage à l’autre (la bonne poire)... 
    En tout cas c’est ce que démontre le déséquilibre de la balance commerciale

    2. celle »pratique« des marioles de Bercy reprise en coeur par les médias de l’oligarchie : »La france ne peut pas fermer ses frontières aux importations car tous les pays prendraient des mesures similaires a son égard et nous ne pourions plus exporter, ce serait une catastrophe pour notre économie, 1/4 de l’emploi occupe le secteur de l’exportation, etc.«  

    C’est l’argument qui prouve la duplicité de ces milieux dans la ruine économique du pays car si nous disons pour convaincre les français que  »l’importation est nécessaire à l’exportation et que nous devons accepter d’acheter à l’étranger pour pouvoir leur vendre« , pourquoi ne pas dire aussi au reste du monde que »notre exportation est nécessaire à l’importation et que nous ne pouvons pas accepter d’acheter plus que ce que nous pouvons vendre«  ? 
    Ce qui reviendrait en terme de mesure commerciale à mettre un butoir aux importations au niveau de la capacité en devise fournie par nos exportations. 
    Evidemment cela ne se traduira pas par un blocage brutale et hermétique des frontières mais une régulation par la réévaluation annuelle d’un quota et de tranches de taxation supplémentaire dés le dépassement de celui-ci dans le but légitime de contrôler notre déficit commercial et d’encourager la réciprocité des échanges. 

    Si ce dispositif n’est pas mis en place c’est certainement qu’il existe des intérêts qui profitent du déficit commercial francais et qui verraient d’un mauvais oeil que l’on tienne des comptes exactes et révélateurs sur »qui paye quoi à qui« , car les comptes mystères qui engloutissent des sommes astronomiques et qui ne se retrouvent sur aucune autre comptabilité nationale seraient vite identifiés !  »

    Supression d’un droit de douane=invention d’un gain de productivité 16 mai 2008

    Ce qui veut dire que fixer arbitrairement une taxe douanière de 3% ne se justifie pas si cette mesure n’est pas intégrée au principe de réciprocité commerciale et a un système de compensation des devises. Et ce sur ce seul point que vous pouvez attaquer en toute légitimité et rationalité la proposition qui vous semble fautive.

    En résumé : le déficit commercial est causé par l’inégalité des exchanges commerciaux entre importation et exportation : c’est le signe d’une faible performance commerciale à l’exportation et une faible protection du marché interieur à l’importation. 
    On a récemment pointé du doigt le désavantage d’un euro fort, la faiblesse des PME/PMI à l’export, les néo- classiques incriminent les couts de production (hauts salaires, charges sociales, taxes et impots) etc. 
    Toujours est-il qu’un déséquilibre commercial est toujours pénalisant puisque c’est le signe d’appauvrissement du pays, d’endettement public pour compenser la perte de masse monétaire et maintenir le niveau d’activité économique, une cause de chomage et de délocalisation par la concurrence des produits importés, etc. 

    Fin de la discussion.



  • jean-jacques rousseau 16 décembre 2011 14:09

    C’est une bonne idée de se demander à qui profite la crise, la dette et les politiques déflationnistes... Dire que c’est la faute des banques est d’une naïveté consternante puisqu’elles jouent essentiellement le rôle d’intermédiaires et de courtage moyennant une commission. 

    De plus il ne faut pas croire que le détournement de fonds publics soit une chose nouvelle... Partout ou l’Etat est intervenu dans le cadre de ses prérogatives il s’est toujours trouvé quelques petits malins pour en profiter. 
    Ce qui s’est passé du temps de Law avec la spéculation du duc de Bourbon ou le prince de Conti sur le papier-monnaie ou en temps de guerre sur la fourniture aux armées ce reproduit aujourd’hui avec le besoin de financement du déficit budgétaire ou commercial ou les commandes publiques...
    Le point commun c’est que cette corruption ne peut prospérer et se répandre que dans des régimes laxistes et par une dilution du principe de responsabilité... « tout est permis, c’est la faute à tout le monde et personne à la fois »
    Il y a pourtant une solution : puisque nous sommes en pleine confusion et devant le fait accompli, c’est de mener une série d’enquêtes approfondies sur les auteurs et les responsabilités et envisager des dispositions rigoureuses à prendre dans tout ces domaines pour punir, réparer et prévenir ces abus.
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