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Un citoyen du monde

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  • Premier article le 21/12/2012
  • Modérateur depuis le 23/02/2013
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Derniers commentaires



  • JOCO DOCO 23 février 2013 19:56

    Mort de rire ! Elle est vraiment bonne celle la ! En utilisant un vocabulaire plus moderne je la ressortirais !

    Mais en ce qui concerne le contenu de l’article ?



  • JOCO DOCO 23 février 2013 19:02

    Un thème qui devrait être développer plus souvent d’autant plus qu’il semble que nous soyons de plus en plus près d’une révolution de paradigme général.

    Mais si la science sert à passer d’une croyance à une autre il semble un peu rapide de dire que la « supercherie » religieuse va laisser place à l’« imposture » scientifique... ca ne tient pas réellement debout. (mais je pense que c’est simplement une question de choix des mots)

    La seule chose qui se trompe malgré lui c’est l’être humain. La religion et la science en soi ne peuvent pas être qualifié ainsi.

    De plus la politique et la science sont en fait les deux composantes de ce qu’est réellement ce que l’on appelle la religion, basé sur le principe de croyance, basé elle sur celui de l’observation, qui évolue quant à elle avec l’expérience.

    Durant l’histoire de l’humanité nous nous sommes construit différents paradigmes qui impliquent d’office l’idée que l’on se trompe étant donné que notre sentiment de certitude s’amoindrit par l’expérience de l’erreur. L’idée aujourd’hui qui se répand que la religion est une supercherie et que la science est une imposture (ou comme je disais plutôt peut simplement être développée comme tel) obéït au même principe de construction faussés qu’il dénonce comme faux... on tombe donc dans une ambiguïté. Encore une preuve que nous devons changer de paradigme de façon très profonde (un paradigme qui devra être assumé directement comme étant révolutionnable) 

    En fait je pense que ce nouveau paradigme mettra en évidence une « logique » dans l’évolution des différents paradigmes (pour la science : Aristote, Copernic ... plus le nouveau ; pour la politique : le polythéisme, le monothéisme, plus le nouveau. Comprenez bien que la science s’est substituée à la vérité du pouvoir et la politique à la vérité de la volonté.

    La nouvelle religion de l’Homme devra expliquer à partir de l’élément fondamental observable et concevable (et le principe fondamental même de l’observation et de la conception) comment et pourquoi l’humanité.

    En ce qui concerne « Dieu ». il ne s’agit la que d’un « chaologisme » qui, en fait, aussi bien pour un croyant que pour un non croyant ne devrait même pas être utilisé à moins de tomber aussitôt dans une incohérence. Si les croyants en « dieu » et les non croyants en « dieu » ne s’accordent pas c’est tout simplement parce que malgré eux ils disent tous deux absolument n’importe quoi. 

    Seuls comptent la politique et la science qui diront pourquoi et comment l’humanité a une raison d’être, une raison expliquée dans le fondement de toute chose : le concept même du point, entre existence et inexistence, entre vrai et faux, le fondement de thermodynamique, de l’échange, de l’économie. Il s’agit de la grande unification. Mais peut être qu’elle n’aura jamais lieu, que l’important est simplement d’arpenter le chemin. Et peut être nous orientons-nous vers un « hyperhéisme ».

    Enfin si vous avez l’impression que la croyance sert de plus en plus la politique, c’est aussi une illusion dictée par une partie de votre cerveau qui vous pousse à révolutionner la chose. Car en fait ca n’a jamais changé. La politique a simplement toujours composé avec la bétise, c’est une normalité. Ceci vous semble de plus en plus évident car cette prise de conscience est de plus en plus vitale. La seule chose qui évolue c’est la technique (de communication ...) autrement dit le lien entre politique et science.

    Et pour le paradigme économique : voir www.lanouvellepartie.com



  • JOCO DOCO 1er février 2013 12:51

    Personnellement je salut l’initiative.


    L’économie est la chose la plus complexe parce que totalement systémique à traiter. Et aucun économiste surdiplômé jusqu’aujourd’hui n’a fait l’affaire.

    Et je tiens à ajouter que les gens comme ce genre de trou de bal de lyonnais, qui pense qu’il faut laisser les réflexions économiques à ces gens, méritent de se faire brosser le cul avec une brosse à chiotte à longueur de journée. On verra si ils ne finissent pas par prendre le risque humaniste de réfléchir ensemble à la question.

    Sait-il qu’Adam Smith était un simple contrôleur de douane ? Qu’albert Einstein travaillait aux archives des brevets ? Que Newton était avant tout un vulgaire (je dis ca parce que je suis moi même de formation scientifique) alchimiste ?

    La seule chose qui compte pour avancer c’est la curiosité, la projectivité et le scepticisme. Le diplôme n’est qu’une garantie comme une autre.

    Et s’il veut d’avantage de filtrage et de formatage d’article qu’il aille sur Le Monde ou autre.

    Peut-être serez vous intéressé par ce site :

    Amicalement,
    jcdc


  • JOCO DOCO 1er février 2013 12:40


    Il ne s’agit pas seulement d’utopie qui vise à éradiquer la misère (bien que ce ne soit une utopie que dans de faibles mesures). Le monde industriel, financier, humain est en guerre. Et le système monétaire actuel empêche les classes du bas de se défendre face aux incidences de la guerre des plus grands. Une guerre dont les faibles sont les instruments. C’est tout.

    Et dire que le système ne va pas trop mal. Enfin voyons.. un peu de recul. On comprends bien que pour vous ça va bien. Mais ce n’est pas le cas pour le système global. Peut-être que vous ne voyez rien du monde réel, vous êtes dans une bulle.

    Aussi le système qui « va bien » n’en a pas toujours été ainsi. Et avant celui-ci vous auriez surement été l’un de ceux qui disaient « mais non... ca va pas si mal ». Et pour ceux qui ouvrent les yeux. En fait, aujourd’hui, c’est pire.

    Mais c’est vrai que cet article est comme les autres. Bidon. La conclusion ?? les gens doivent être éduqués, les indicateurs fiables et les banques contrôlées ?, D’accord mais le plan c’est quoi ? Bref comme d’hab. 

    Peut-être que ce lien pourrait vous aider à y voir plus clair :



  • JOCO DOCO 31 janvier 2013 23:57

    Pour passer de 300 à 100 de production pour le même nombre de clients il y a deux solutions : le partage (réduit le nombre de ressource nécessaire) ou la technologie (réduit le nombre d’heures de travail nécessaire). Dans les deux cas il va falloir que tu demandes autant de richesses voir plus, en en redistribuant moins vu que tu a diminué ton outil de production. Et même si on pense à taxer le capital (en admettant...), si c’est pour redistribuer, il faudra que le prix augmente. 

    Donc si l’augmentation de la capacité de satisfaction a pour but la diminution de la production par rapport à la consommation, si on le considère en un système fermé simple, et si cette évolution est continue, sans redistribution c’est la déflation, sinon c’est l’inflation. Et la satisfaction se détériore. 

    En fait la maximisation de la satisfaction de consommation par rapport à la production n’est pas l’objectif. Il s’agit plutôt de trouver le moyen de faire sans. Comme vous le disiez au début, l’important c’est que le travail de chacun soit au bénéfice de chacun, quelque soit leur comportement. Il n’y a qu’une seule chose à penser aujourd’hui, pour éviter de tomber dans les réflexions que les diplômés en économies sont pitoyablement tous persuadés de maitriser (je ne dis pas que je le maitrise mais pour sûr que je fais l’effort de penser autrement - comme vous) : c’est repenser le système monétaire et faire en sorte, comme vous dites, que le travail de chacun soit au bénéfice de chacun sans pour autant changer les comportements (ce qui ne change rien à l’économie).

    Et s’il y a problème de redistribution avec la concentration capitalistique c’est encore une fois au niveau de la production de monnaie qu’il faut agir, avec un taux d’intérêt social à financer par les banques.
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