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Un citoyen du monde

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  • Premier article le 21/12/2012
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  • JOCO DOCO 21 janvier 2013 15:53

    Pour vous aider à comprendre ce qu’est la monnaie


    Vous avez peut-être déjà lu certaine chose, mais d’autres sont arrangées :

    L’un trouve une ressource de la terre stockable, une pierre, et l’autre la transforme, la taille. Tous deux, s’ils échangent leur produit, réclament une récompense, relative au volume (ou quantité), au temps et l’information (sa vérité), de l’offre et de la demande (de bien et de pénibilité) identifiés par le sujet, c’est-à-dire, son accessibilité relative. Tout objet est à la fois offre et demande, seul la position du sujet diffère, celle de l’agent économique. Tout acteur définit ainsi le prix du bien, le produit de l’effort et la récompense marginale de manière élastique en fonction de ce qu’il observe et de ce qu’il désir, c’est-à-dire sa perception relative. Tout au long de son évolution et de son observation des choses et de son interaction avec autrui, l’acteur établit sa notion de la valeur des choses.

    Si l’un échange de la valeur, du travail, il a besoin d’être sûr qu’il travaille pour réaliser son objectif. Son objectif est déterminé dans le temps et, dans un rapport économique, est lié au travail d’autrui. C’est à dire que si je demande un produit réalisé et que le producteur demande un produit qu’il pense pouvoir recevoir ailleurs ou plus tard, je peux lui délivrer un certificat valable si le producteur hypothétique existe et demanderait hypothétiquement ma propre production, ou bien celle d’un autre, et ainsi de suite. le tout échangé avec des jugements différents et dynamiques.

    Un stock plus ou moins liquide selon la forme de la monnaie. Ce stock étant maintenant demandé comme offert, comme un bien, il a les mêmes variations. Mais le monde du travail et le monde de la finance évoluent parallèlement. Ce stock étant maintenant demandé comme offert, comme un bien, il a les mêmes variations. Mais le monde du travail et le monde de la finance évoluent parallèlement. Cependant, les deux mondes étant connectés par la production, si l’un chute, l’autre aussi, et le système est condamné à croître ou risque s’effondrer (et si la production de monnaie et de biens n’évolue pas ensemble il y a inflation ou déflation).

    On conclut que :

    1. La monnaie est un stock de travail à réaliser ayant plus ou moins de valeur selon le marché et plus ou moins liquide selon sa forme.
    2. La monnaie est une échelle de valeur qui représente un produit, un prix et un revenu.
    3. Dans un environnement complexe où les industries sont entremêlées, le système monétaire ne peut-être étudié comme un système à trois et aucune solution de création monétaire démocratique n’est envisageable (la banque doit exister).


  • JOCO DOCO 21 janvier 2013 15:51

    En plus du message précédent je vous encourage à penser à ce qui suit (ça vous aidera à comprendre ce qu’est la monnaie)


    Vous avez peut-être déjà lu certaine chose, mais d’autres sont arrangées :

    L’un trouve une ressource de la terre stockable, une pierre, et l’autre la transforme, la taille. Tous deux, s’ils échangent leur produit, réclament une récompense, relative au volume (ou quantité), au temps et l’information (sa vérité), de l’offre et de la demande (de bien et de pénibilité) identifiés par le sujet, c’est-à-dire, son accessibilité relative. Tout objet est à la fois offre et demande, seul la position du sujet diffère, celle de l’agent économique. Tout acteur définit ainsi le prix du bien, le produit de l’effort et la récompense marginale de manière élastique en fonction de ce qu’il observe et de ce qu’il désir, c’est-à-dire sa perception relative. Tout au long de son évolution et de son observation des choses et de son interaction avec autrui, l’acteur établit sa notion de la valeur des choses.

    Si l’un échange de la valeur, du travail, il a besoin d’être sûr qu’il travaille pour réaliser son objectif. Son objectif est déterminé dans le temps et, dans un rapport économique, est lié au travail d’autrui. C’est à dire que si je demande un produit réalisé et que le producteur demande un produit qu’il pense pouvoir recevoir ailleurs ou plus tard, je peux lui délivrer un certificat valable si le producteur hypothétique existe et demanderait hypothétiquement ma propre production, ou bien celle d’un autre, et ainsi de suite. le tout échangé avec des jugements différents et dynamiques.

    Un stock plus ou moins liquide selon la forme de la monnaie. Ce stock étant maintenant demandé comme offert, comme un bien, il a les mêmes variations. Mais le monde du travail et le monde de la finance évoluent parallèlement. Ce stock étant maintenant demandé comme offert, comme un bien, il a les mêmes variations. Mais le monde du travail et le monde de la finance évoluent parallèlement. Cependant, les deux mondes étant connectés par la production, si l’un chute, l’autre aussi, et le système est condamné à croître ou risque s’effondrer (et si la production de monnaie et de biens n’évolue pas ensemble il y a inflation ou déflation).

    On conclut que :

    1. La monnaie est un stock de travail à réaliser ayant plus ou moins de valeur selon le marché et plus ou moins liquide selon sa forme.
    2. La monnaie est une échelle de valeur qui représente un produit, un prix et un revenu.
    3. Dans un environnement complexe où les industries sont entremêlées, le système monétaire ne peut-être étudié comme un système à trois et aucune solution de création monétaire démocratique n’est envisageable (la banque doit exister).


  • JOCO DOCO 19 janvier 2013 15:09

    Effectivement, donc nous sommes d’accord (si vous avez bien tout lu) de l’intérêt de la centrale d’emploi. www.lanouvellepartie.fr&nbsp ;



  • JOCO DOCO 19 janvier 2013 14:34

    J’ai bien parler d’INCERTITUDE


    La monnaie est un substitut de récompense, ce pour quoi on travaille. Certaines récompenses viennent naturellement, la satisfaction intérieure, mais d’autres viennent pour l’échange (l’échange est ce qui permet que le don soit démocratique) .La monnaie facilite cet échange car elle est à la fois un stock de ressource et de travail à accomplir. Si je trouve une pomme et toi une poire, si je veux la poire je ne suis pas sur que tu veuille la pomme, je suis sûr que tu voudras la monnaie qui te permettra d’acheter autre chose avec (c’est un rapport de confiance) qui te permettras de faire de même (on dit que la monnaie rend la valeur plus ou moins liquide selon sa forme). Dans un système monétaire le travail de l’un est lié au travail d’autrui. > www.lanouvellepartie.fr
    Ce stock permet de palier à l’incertitude de la production d’autrui en faisant confiance d’une part à l’acceptation de la monnaie mais aussi à l’impulsion productrice grâce à la disponibilité des capitaux et à la compétition dans l’espace et dans le temps.
    Le problème étant que lié aux ressources et au travail à accomplir, la monnaie est une dette pour des organisations alors qu’en étant simplement un stock de travail accomplit (grâce à la correction du taux d’intérêt par l’intérêt social payé par les banques > www.lanouvellepartie.fr, le système est rééquilibré.


  • JOCO DOCO 19 janvier 2013 11:46

    Tenter d’imposer la création de monnaie pour palier la création d’autrui ? Ce n’est absolument pas ce qui est dit car ça ne veut rien dire. Et il n’y a pas de novlangue.


    Mon raisonnement n’a qu’un seul objectif déterminer exactement en quel sens le système financier et bancaire mondial est injuste et voir comment arranger la situation. > www.lanouvellepartie.fr

    Je ne sais ps si c’est la conclusion qui est un peu floue. Essayons de nous mettre d’accord sur au moins quelques de ces points :

    1. 1. Le capitalisme est la forme de développement économique la plus logique (et nécessaire) pour l’être humain qui ne peut se contenter de ce qu’il a autour de lui.
    2. 2. Si on peut réponde à l’inflation par l’augmentation du taux d’intérêt il l’est toujours pour l’enrichissement ou la rentabilité des banques plus que pour les classes inférieures.
    3. 3. L’existence de différentes devises perturbe les échanges internationaux.
    4. 4. L’épargne est source de grande complexité et n’a aucun sens si le revenu est assuré hors inflation.
    5. 5. La marge des banques commerciales surr le taux directeur n’a aucun sens.
    6. 6. Le système de réserve est absurde et ne fait que maintenir le pouvoir économique des banques. Ce pouvoir économique qu’ils échangent contre le pouvoir politique.
    7. 7. Les instruments sociaux ne peuvent être réglés que par une liaison économique profonde entre chaque individu du système
    8. 8. La structure étatique ne peut pas faire face aux organisations économiques internationales et doit trouver le moyen de pouvoir de contrôler intégralement les échanges de capitaux. 
    9. 9. Si le capitalisme libéral est crucial, c’est au niveau de la création de monnaie elle même qu’il faut créer le système social.
    10. 10. On doit centraliser le système monétaire et salarial en reconnectant le monde industriel et financier par le revenu des travailleurs et le prix de la monnaie et en formant une boucle auto-régulatrice.
    11. 11. Ce que l’on attend du système économique : Redistribuer durablement les richesses et de façon compétitive, permettre une politique démocratique viable, garantir l’égalité des droits et la paix au niveau international. = alors qu’on s’inquiète de la survie des espèces animales, que plus personne ne meurt dans la rue pour raison économique.




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