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Un citoyen du monde

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  • Premier article le 21/12/2012
  • Modérateur depuis le 23/02/2013
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Derniers commentaires



  • JOCO DOCO 18 janvier 2013 19:21
    La liquidité ce n’est pas ça. Une très bonne explication : http://www.universalis.fr/encyclopedie/liquidite-monetaire/

    Nous tournons en rond mais je sais que de nombreux points communs lient nos deux projets alors je vais essayer de nous mettre d’accord sur des points. 
    1. Le capitalisme est la forme de développement économique la plus logique (et nécessaire) pour l’être humain qui ne peut se contenter de ce qu’il a autour de lui.
    2. Si on peut réponde à l’inflation par l’augmentation du taux d’intérêt il l’est toujours pour l’enrichissement ou la rentabilité des banques plus que pour les classes inférieures.
    3. L’existence de différentes devises perturbe les échanges internationaux.
    4. L’épargne est source de grande complexité et n’a aucun sens si le revenu est assuré hors inflation.
    5. La marge des banques commerciales surr le taux directeur n’a aucun sens.
    6. Le système de réserve est absurde et ne fait que maintenir le pouvoir économique des banques. Ce pouvoir économique qu’ils échangent contre le pouvoir politique.
    7. Les instruments sociaux ne peuvent être réglés que par une liaison économique profonde entre chaque individu du système
    8. La structure étatique ne peut pas faire face aux organisations économiques internationales et doit trouver le moyen de pouvoir de contrôler intégralement les échanges de capitaux. 
    9. Si le capitalisme libéral est crucial, c’est au niveau de la création de monnaie elle même qu’il faut créer le système social.
    10. On doit centraliser le système monétaire et salarial en reconnectant le monde industriel et financier par le revenu des travailleurs et le prix de la monnaie et en formant une boucle auto-régulatrice.
    11. Ce que l’on attend du système économique : Redistribuer durablement les richesses et de façon compétitive, permettre une politique démocratique viable, garantir l’égalité des droits et la paix au niveau international.



  • JOCO DOCO 17 janvier 2013 20:06

    Je parle de monnaie et vous parlez d’unité de monnaie. Je dit que la liquidité de la monnaie est importante et vous n’êtes pas d’accord.


    En fait le problème est qu’à propos de la monnaie et autour, ainsi que pour l’intérêt vous racontez simplement n’importe quoi. 

    Ceci et le reste est expliqué sur le site.


  • JOCO DOCO 17 janvier 2013 11:52

    Et l’exemple vaut ce qu’il vaut mais savez vous que la banque d’Angleterre vient d’arrêter la production du 1 penny (peut être que c’était le 5) parce qu’il lui coutait 2 penny à la production ? 

    Ne faites vous pas payer la production de la monnaie ? Et pour que la banque paie la production et qu’on lui rembourse, ne doit elle pas créer encore plus de monnaie ?

     

    Peut-être que votre étude des concepts a mal été dirigée. Vous devez aujourd’hui comprendre l’importance de l’existence même du taux d’intérêt dans le système humain.

     

    S’il y a un problème a réglé au niveau du taux d’intérêt c’est dans l’organisation du système de crédit. L’existence d’un taux directeur pour la banque centrale et d’une marge pour les banques commerciales n’est pas admissible et est responsable de grandes perturbations.

     

    Ce que l’on observe chez l’humain

    1. L’importance manifeste qu’il travaille et se forge un modèle du monde pour s’y développer dans les meilleures conditions ;

    2. Sa faculté à réaliser l’immensité des richesses qu’il possède, à ne plus savoir qu’en faire, lorsqu’il est perdu au milieu de la nature, alors qu’il est en proie à la peur de ne pas en posséder suffisamment lorsqu’il est parmi les siens ;

     

    3. Sa tendance à suivre le mouvement général de son espèce tout en s’ouvrant à l’inconnu comme s’il cherchait un chemin à arpenter ensemble alors que dans le même temps il s’entraine à courir seul contre les autres.

     

    4. Sa constitution matérielle et immatérielle à travers laquelle il semble condamné à reproduire des cycles de vie et de mort.

     

    5. Ses deux plus grandes inventions : la roue et le taux d’intérêt.

     

    Ces observations nous suggèrent que l’existence de l’Homme a une raison, que l’on considère comme importante ou non, qui doit avoir un lien avec la durabilité de son développement, rien de plus. C’est pour cela que nous avançons.

    Le système en question est une boucle autorégulatrice où le travailleur et la monnaie opèrent de concert en liant entre eux tous les agents économiques.





  • JOCO DOCO 17 janvier 2013 10:06

    Je crois que c’est vous qui ne lisez pas.


    La monnaie offre une liquidité qu’aucun bien ne peut offrir pas même l’or.

    Et le système décrit sur le site (remis à jour hier) ne peut que se voir au minimum à 6 et encore ce n’est pas suffisant

    Avez vous compris pourquoi centraliser le système monétaire et salarial en reconnectant le monde industriel et financier par le revenu des travailleurs et le prix de la monnaie et en neutralisant l’importance des réserves monétaires ? (réponse complétée)


  • JOCO DOCO 16 janvier 2013 21:58

    Aahh la démocratie… ça me donne envie de chanter…

    Les 5 principes sont absurdes

    La liquidité n’a rien a voir avec la monnaie ?

    Bref on ne s’entendra pas sur les concepts

    J’essaie différemment :

    Si l’humanité échange de la valeur, du travail, il a besoin d’être sûr qu’il travaille pour réaliser son objectif. Son objectif est déterminé dans le temps et, dans un rapport économique, est lié au travail d’autrui. Pour pallier à l’incertitude de la production d’autrui, alors qu’il est dans environnement compétitif, et à l’incertitude du timing, il créé la monnaie. La monnaie est un stock de valeur de travail réalisé et à la valeur variable selon le marché. Un stock plus ou moins liquide selon la forme de la monnaie. Ce stock étant maintenant demandé comme offert, comme un bien, il a les mêmes variations. Mais le monde du travail et le monde de la finance évoluent parallèlement.

    Les deux mondes étant connectés par la production, si l’un chute, l’autre aussi, et le système est condamné à croître ou risque s’effondrer (et si la production de monnaie et de biens n’évolue pas ensemble il y a inflation ou déflation).

    L’Humanité se retrouve piégée avec la lourde responsabilité de déterminer la valeur de  sa monnaie de la façon la plus efficace. La constituer sous forme d’intérêts périodiques est une chose. Trouver le bon taux d’intérêt en est une autre. Aussi, si je prête à l’autre je n’ai pas de certitude sur les fluctuations de prix de la ressource sans savoir le projet de l’un, et si je prête à l’un, inversement. Ils peuvent aussi décider d’épargner, par précaution, projet, ou spéculation (monnaie, biens, taux d’intérêts). Et si nous avons tous des projets différents, l’apport optimal réel à long terme est impossible à déterminer dans un marché complexe.

    Si on a créé la monnaie fiduciaire, le billet, correspondant à de l’or en stock, lorsque l’économie dominante posséda la plus grande partie du stock, c’est ces devises que les banques des autres économies stockaient. Ces banques ont commencé par échanger leur billets contre des dollars mais étant donné qu’ils étaient trop manipulables par l’économie dominante ils ont arrêté d’échanger les billets et créé les systèmes de banques centrale qui ne peuvent prêter qu’aux banques commerciales, de dépôt et d’investissement (ne peuvent pas prêter directement aux Etats pour éviter les politiques inflationnistes), le plus souvent par simple jeu d’écriture, et ces banques sont devenues maitres de l’économie mondial. Les Etats ne sont plus maitres de rien en économie. Quelques soient les agissements des différentes banques et leurs connexions, l’économie mondiale devient hautement manipulable.

    Aujourd’hui, on peut être côté en passant par une banque qui a intérêt à faire savoir que l’entreprise est performante pour attirer le volume. Ensuite, un troisième peut faire savoir que l’entreprise va mal pour faire suffisamment baisser le cours pour racheter les parts et les revendre à la banque lorsqu’eux deux pensent que l’entreprise va bien. Et la banque fait savoir que l’entreprise va bien et ainsi de suite. Si l’entreprise se met à tourner réellement mal, l’appas de la rentabilité les pousse à continuer le jeu jusqu’à ce que le risque soit intolérable, tandis que lorsqu’elle va bien, le volume monte jusqu’à ce que la plus-value attendue soit la moins crédible. Et lorsqu’il y a faillite d’un système il cherche un recours au niveau supérieur tel qu’aujourd’hui le jeu est passé de l’industrie aux banques puis aux Etats. Des fonds internationaux ont été créés mais leur solution au problème est plus que mitigé. Et quand les banques centrales elles-mêmes cherchent des solutions en fermant le cercle vicieux : elles achètent des titres pour créer de la monnaie. Mais cette folie a une raison

    Pour toute industrie, l’évolution technologique, en considérant le côté destructeur de l’innovation est corrigé en fonction de la disponibilité et de l’accessibilité de capitaux liquides ainsi que d’une correcte redistribution sociale, est le principal facteur de développement économique, du moins dans le champ industriel concerné. Et en temps de problème de prix de marché, de crise managériale, l’automobile fait partie de ces secteurs avec celui de la nourriture, de la santé, de la téléphonie, de l’énergie, mais surtout de la monnaie, pour qui, même si la production n’est pas fiable, le consommateur, à cause de l’importance de ces biens, poussent la production. Tous ces secteurs doivent effectuer une innovation dans le système de production. Si aujourd’hui le monde réfléchit à des politiques monétaires non conventionnelles ou à la révision des réserves fractionnaires ou encore à la révision du système de crédit et d’imposition du capital, c’est bien parce qu’il y a nécessité urgente de révolutionner la production de monnaie.

    Et pour monétiser de la valeur de nombreux artifices existent. La promesse de dette signée, je peux, au lieu d’attendre le revient, la vendre en transférant mon statut de créancier. Le débiteur peut aussi choisir d’hypothéquer ses biens pour rassurer la banque en signant un papier. Ces papiers devenant également une monnaie. Ainsi différents « agrégats » monétaires sont créés et pouvant avoir des dépréciations cachées ou des valeurs ajoutées cachées. Si ces papiers ne suffisent pas à la demande, on créé ce que l’on appelle des réserves fractionnaires, qui constituent de la monnaie sans aucun bien derrière (cette pratique reste toutefois limitée à 12,5 fois la réserve réelle). Aussi, étant donné l’incertitude de l’activité du travailleur, pour le particulier, l’industriel tout comme pour le banquier, ont étés créés les assurances. Ces assurances sont rémunérées par des versements, et lorsque le papier est signé, elles peuvent aussi s’échanger comme une monnaie. Lorsque l’Etat, la banque, l’assurance et l’industrie sont dissociés et échangent entre eux, l’économie devient incontrôlable. Et l’enrichissement des banques et assurances inacceptable. L’économie forme des cycles mais il y  une fuite de revenus par le haut

    > On doit trouver le moyen de rééquilibrer les pouvoirs dans un système capitaliste en centralisant le système monétaire et le monde du travail en le reconnectant par le revenu, en le rendant moins sujets aux aléas humains. Pour cela il faudra se mettre d’accord sur un plan avec les Etats et les banques.

    Explication du système www.lanouvellepartie.fr 

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