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Johan

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Dans l'éducation. Diplômé en Droit des Affaires et en Métiers de l'éducation et de la Formation, ancien animateur (centres aérés et colonies de vacances).
Très curieux, passionné. Aimerait promouvoir l'esprit critique et la réflexion via des médias citoyens comme Agora, et développer une vie étudiante moins superficielle par un engagement associatif.

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  • Premier article le 21/04/2006
  • Modérateur depuis le 19/06/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Johan Johan 14 février 2007 15:27

    Un peu HS, mais je ne pourrais pas faire valider un article sur AVOX TV à temps :

    javascript:ol(’http://www.dailymotion.com/fr/featured/video/x17b6r_ma-valentine’) ;



  • Johan Johan 14 février 2007 15:25

    Je crois que je n’ai jamais vu d’article dont le fil dérive en dialogue comme celui ci :

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=11847

    Presque 50 posts à 2 !

    Sinon j’ai une grande question : pourquoi les articles qui PROPOSENT sont ils si sévèrement jugés ? Est ce culturel ? J’ai entendu de nombreux profs se plaindre de la sainte alliance contre les idées neuves.

    A part ça, j’ai tenté de faire accepter quelques ovnis à la rédaction, sans succès. Dur de s’abstraire de son style !

    Parmi eux :

    Les nouveaux dieux de la nuit

    Les nouveaux dieux de la nuit

    Sur le dance floor d’un club privé

    S’agitent dans un rythme saccadé et sensuel

    Ils affichent ostensiblement

    Leurs signes de reconnaissance

    Comme autrefois un attribut héraldique

    Voltigent portables, bijoux, vêtements

    Distinctions de la tribu scintillante

    La cylindrée de la voiture sport

    Rassure sur l’appartenance de l’étranger.

    Le fard des courtisans coule

    Comble les creux de vieillesse

    Rester lisse pour se coller l’étiquette

    Qui ouvre les portes et les draps

    Quelques années encore

    Contre le blues la poudre blanche

    De l’apothicaire véreux est parfaite

    Elle ravale les remords, les atermoiements

    Aspérités handicapantes et occultées

    Laissons aux losers les flics et les fouilles

    Les privilégiés ne partagent pas

    Avec l’inconnu indisposé à sacrifier

    A ses codes, ses règles et ses normes.

    Le strass a séduit le gamin, pressé de goûter

    A la vie riche qu’on lui a appris à désirer

    A la télé, fric égale plaisir est suggéré

    Comme faste et oisiveté réservés qui plus est

    Le papillon obsédé se jette sur la lumière blanche

    Veut communier et brûle ses ailes

    Contre les nantis protégés et adorés, intouchables

    Qui consomment sa jeunesse et sa fraîcheur

    Le laissent s’épuiser dans ses rets

    Saupoudrés de la drogue qui réduit

    Au rang d’objet la goule avide, envieuse, pitoyable

    A des vampires joueurs, décadents mais implacables

    Qui n’ont jamais entendu partager

    Le don obscur avec les roturiers.

    Johan

    21/12/02

    Une petite expérience :)



  • Johan Johan 14 février 2007 15:08

    Nisco,

    Je suis content de voir qu’on se retrouve énormément.

    Certaines choses sont hors commerce. C’est par exemple le travail largement sous payé, le travail dans des conditions de sécurité insuffisant, la vente des produits de son corps, de sa santé, les horaires excessifs, l’exploitation déraisonnée des ressources naturelles.

    Aucune entreprise ne devrait craindre d’être concurrencée par une autre qui ne respecterait pas ces critères, aucun travailleur ne devrait pouvoir se voir proposer ces « offres d’emploi ». Aucun pays ne devrait laisser amputer un patrimoine commun à toute l’humanité.

    C’est l’exploitation à des buts illégitimes de la misère humaine.

    Donc effectivement, il faut complètement repenser la croissance pour arrêter de marcher sur la tête.

    Après il y a pour moi une différence entre l’aliénation marxiste, qui te dit que tout travail pour le compte d’un autre est une aliénation, et ma vision de l’aliénation qui est un degré supérieur de l’exploitation.

    Tu es exploité quand tu n’est pas payé à ta juste valeur, ce qui arrive souvent.

    Tu es aliéné quand on te prive littéralement de ta vie, quand tu n’est qu’un facteur de production.

    Effectivement, certains sont aliénés par le travail, par le Prozac (33 à 43% de la population sous antidépresseurs lourds selon Bruno Etienne), par 4 h de télé par jour, en moyenne, par l’obsession matérialiste...

    Pour eux, il s’agit souvent d’une servitude volontaire au système.

    Un chômeur lui même peut être aliéné. On le prive de gagner sa vie en exeçant son métier.

    Maintenant, je n’ai pas envie de faire de la démagogie, et puisque notre premier achoppement vient de là, je pense que les jeunes des quartiers dont je me suis occupé sont pour certains inemployables, dans le sens où l’entreprise comme le jeune n’a qu’une vision caricaturale de l’autre.

    Alors que certains a prioris tombent très vite et révèlent parfois des convergences fortes smiley C’est pourquoi je pense qu’il faut créer des ponts. Par ailleurs, à tort ou à raison, je crois d’avantage dans le consommateur que dans l’homme politique pour exiger un traitement décent des travailleurs.

    Voici un article que j’ai publié cet été sur une nouvelle forme de commerce équitable.

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=11952

    PS : Continue à être agaçant, mais n’oublie pas de développer tes idées. Ca permet de discuter sur des bases plus saines.



  • Johan Johan 14 février 2007 14:40

    J’ai appris que la petite chapelle d’un quartier difficile de Marseille où j’ai fait ma première expérience en tant qu’animateur avait également été brûlé.

    D’abord, il faut rappeler que quelque soit le culte visé, ces actes sont intolérables.

    Ensuite, il serait bon de s’interroger sur un monde où rien n’est obtenu parcequ’il est juste qu’il le soit, mais seulement au terme d’un rapport de forces. On n’existe que dans la démonstration brutale, que dans une intimidation qui va jusqu’à l’autodestruction.



  • Johan Johan 13 février 2007 23:01

    Pour répondre au mieux à ta question, ce n’est pas du travail, c’est de l’esclavage.

    Comme la prostitution pour une dose d’héro, comme la vente de son rein ou de ses cornées.

    Ca doit être interdit. Le consommateur doit refuser des produits faits par des esclaves, les pouvoirs publics et les entreprises doivent lui en donner les moyens.

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