Bien sûr. À quoi bon s’étendre sur cette propagande castriste ? Comme il a été dit à plusieurs reprises ici : Cuba ne souffre d’aucun blocus ; ce pays peut commercer avec le monde entier et commerce avec un grand nombre (Espagne, France, Canada, etc. qui ont largement investi dans ce pays, essentiellement dans le tourisme) et aussi avec les États-Unis qui sont devenu le premier fournisseur du régime socialiste (produits agricole et alimentaires, médicaments, fournitures médicales, etc.)
« La révolution cubaine était nécessaire et a été un succès en ce qu’elle a redonné sa dignité à ce qui était devenu un peuple de prostitués, d’escrocs, de malfrats et de lèche-culs... »
La dictature castriste est un tel succès que la majorité des Cubains ne rêvent que de s’échapper de l’île, que le régime fait tout pour empêcher par la force, la menace, le chantage ou la coercition les gens de foutre le camp de ce paradis socialiste, que la plupart d’entre ne peuvent survivre que grâce à l’aide qui leur est envoyée par des familiers depuis les États-Unis, qu’aujourd’hui il y a mille fois plus de prostitution qu’à l’époque de Batista - Fidel Castro n’a même plus cherché à nier le fait, il s’est seulement vanté que les prostituées cubaines étaient les plus instruites au monde.
Très amusant cet article qui tombe bien opportunément, juste au moment où vient de mourir dans les geôles castristes un dissident politique emprisonné pour avoir osé demander plus de liberté pour les habtiants de l’île aux 200 prisons, comme des dizaines d’autres opposants politiques persécutés par la dictature communiste.
Quant au « blocus », toujours une bonne blague cette propagande à deux balles. Cuba ne subit aucun blocus. Seulement, et en principe, un embargo de la part des États-Unis. Cuba peut commercer avec le monde entier ; mais évidemment il faut avoir autre chose que des larmes à offrir sur le marché international. Mais même cet embargo est tout ce qu’il y a de plus relatif : les États-Unis sont le premier partenaire commercial de Cuba (produits alimentaires, médicaments, etc..)
« Car bien souvent les proches du défunt, choqués par la mort d’un être cher, posent un refus plein d’affects à la transplantation ; alors qu’ils auraient pû répondre différemment à un autre moment. »
Bah... qui va croire que ces quelques cas suffiront à éliminer les listes d’attente et empêcher les milliers de morts par an faute d’organes.
« Alors il faut envisager de transformer la présomption de consentement en une possible obligation si nécessité médicale. »
Donc échanger librement un rein contre de l’argent, ce serait du nazisme selon certains rigolos. Mais obliger quelqu’un à donner son rein - gratos -, ça c’est cool, démocratique, citoyen et tout et tout ?
« ...la solution à la pénurie d’organe me semble être la présomption légale de consentement de donation d’organe après la mort. »
C’est bien une des solutions proposées dans l’article par l’auteur.
Mais il se trouve que cette solution appliquée déjà dans de nombreux pays est très insuffisante : quand on meurt, c’est en général pas en très bonne santé - bref les dons d’organes « périmés »... bof bof... Quand aux organes prélevés sur des accidentés jeunes, c’est très aléatoires et comme, en plus, on fait tout pour que dans nos sociétés les jeunes ne meurent pas bêtement dans des accidents idiots... bref, encore une source bien faiblarde.