Je suis à moitié d’accord. Notre régime est effectivement mafieux et a partie liée avec les multinationales, néanmoins le pouvoir politique central s’avère extrêmement autoritaire. Je ne sais pas si on peut encore l’appeler ’patrie’ mais c’est bien un état tyrannique, qui en même temps n’est qu’une province d’un plus grand ensemble : une sorte d’empire occidental, qui se voudrait mondial. Donc pour la destruction de la cohésion du pays-province c’est discutable (il peut y avoir cohésion par la contrainte comme en Chine). A cet empire manque toutefois un empereur : ce n’est pas le président des USA, c’est plutôt le pouvoir opaque des oligarques internationaux. D’autre part il y a un embrigadement extrêmement violent via la propagande, un point commun des régime fascistes avec les régimes communistes les plus autoritaires. La réglementation des moindres petits gestes du quotidien évoque d’ailleurs plutôt le communisme que le fascisme. Tout cela justifié par un moralisme cul-cul-la-praline (ou village Potemkine), dont le modèle vient de la gauche. *** Je dirais que l’emballage et les méthodes de ’conversion’ sont pris à la gauche, que les objectifs sont mafieux (donc asociaux), mais que les vieux ressorts fascistoïdes (ségrégationnisme, soumission à l’autorité quelle qu’elle soit, appel au ’devoir’, voire la guerre pure et simple) sont mis à contribution autant que nécessaire. Le mélange obtenu forme une bouillie tout à fait indigeste pour un occidental un minimum éclairé par l’histoire.
Quelques nouvelles d’Afrique du Sud où Omicron s’est répandu en premier. (L’AfSud est différente de la France, pour la population et le climat, mais on peut comparer les différents pics d’AfSud entre eux).
La mortalité générale (toutes-causes) en AfSud : on voit un petit pic (de saison d’ailleurs) de mortalité en décembre 2021-janvier 2022, de hauteur bien moindre que les pics précédents. La surface entre la valeur attendue et la valeur réelle donne un excédent environ 10 fois inférieur par rapport aux 3 pics précédents en 2020 et 2021 (y compris le pic de décembre 2020-janvier 2021 à la même saison).
@Eric F Pour l’immunité collective face à un coronavirus : cette immunité peut être partielle (meilleure résistance aux formes graves), temporaire (6 mois, un an, avant que le sytème immunitaire oublie complètement, et en tout cas aussi longue que celle des vaccins), et ne s’appliquer qu’à une branche particulière des coronas (par exemple Covid-19). La réinfection régulière est de ce point de vue une assez bonne chose. La disparition de Delta concommitante avec l’explosion de d’Omicron indique bien une protection contre Delta par contamination Omicron, et ce dans tous les pays du monde. Je n’ai vu aucune autre explication pour la disparition de Delta. https://covidtracker.fr/ L’objectif d’éradication de tous les variants Covid-19 par vaccination était une illusion pour vendre des confinements et une vaccination de 100% de la population. Mais par contre l’immunité de masse (même partielle) permet de supporter les nouveaux variants de mieux en mieux. Surtout s’ils suivent leur courbe habituelle vers une moindre létalité. Mon opinion, toute personnelle, est que nous aurions dû laisser courir l’épidémie, surtout parmi les populations relativement jeunes, pendant les étés 2020 et 2021, à la saison où les gens sont le plus résistants. Il y a de la part de nos dirigeants politiques et médicaux une volonté pathologique de contrôle qui se heurte à la réalité du fonctionnement de ce virus. Le zéro-Covid est un fantasme auquel seul un gouvernement Chinois, ou une autre tyrannie, peut faire semblant de croire.
@GerFran La première question qu’ils devraient se poser est : pourquoi ces surrisques ? (l’ARNm injecté lui-même, la spike produite, les adjuvants, une réaction inflammatoire auto-immune... ?) Deuxièmement, puisque le vaccin n’est pas injecté à proximité et ne vise pas le coeur, il n’y a pas de raison de penser que les effets négatifs du vaccin ARNm se limitent au coeur. C’est juste qu’un effet sur le coeur se perçoit immédiatemment. Ensuite seul est étudié le surrisque sur une courte période (quelques semaines), mais quelles conséquence d’une myocardite/péricardite à 20 ans sur l’espérance de vie ? Surtout si on ignore par quel mécanisme elle a été déclenchée. Et pour terminer la phrase usuelle : ’ce surrisque ne remet pas en cause le rapport bénéfice/risque’. Mais bien sûr que si, puisque l’on a augmenté le dénominateur ’risque’ (tandis que le numérateur ’bénéfice’ lui diminuait d’abord fortement par la faible durée de protection que l’on observe en condition réelle, et ensuite drastiquement avec le remplacement de Delta par Omicron). Le surrisque total pour un jeune s’étale sur 70 ans. Mais les études longues, ne serait-ce que sur 10 ans, risquent de ne pas avoir lieu, et elles arriveront trop tard.
@ETTORE C’était affiché en bandeau sur au moins une chaîne TV d’info continue : Delfraissy, qui dirige le Conseil Sanitaire, appelle ces vaccins ’vaccins médicaments’, il y a oublié d’ajouter ’médicament préventif, à reprendre tous les 2-3 mois’. (Ce n’est pas un médicament destiné aux malades mais aux bien-portant, donc préventif ou prophylactique) Je ne pense pas qu’une revaccination tous les 2/3 mois puisse être une stratégie immunologique. Cela n’a jamais été fait, surtout avec des vaccins en phase expérimentale, sur des enfants en parfaite santé, sous la contrainte, par des labos exonérés de toute responsabilité future, en réduisant au silence les médecins qui expriment quelques doutes, sous le sceau du secret défense, avec une propagande médiatique digne des régimes les plus totalitaires, et validé par des institutions politiques soumises à l’état d’urgence... Mais une fois que ce sera fait, on pourra dire que cela l’a déjà été, et retenter notre chance.